Ces
dernières 24 heures ont été éprouvantes mais comme je sais que tout est fait
pour me permettre de lâcher les jeux de rôles, guérir les blessures d’enfance
et devenir plus libre et autonome, j’ai lâché prise et laissé les pensées
émotions de la victime intérieure me traverser. J’ai amené en la paix du cœur ce
bagage énergétique qui nourrissait la souffrance, les rôles et toujours en
suivant l’élan de l’instant, je me suis laissé guidée et dépouillée du
superflu.
J’ai écris comme chaque jour ce que je ressentais et vivais mais j’ai
préféré aller au jardin pour que tout en moi s’harmonise naturellement au
contact de la nature. Je copie-colle une partie de mes ressentis d’hier :
(Mercredi 13 avril)
Comme
toutes les nuits, je me suis levée vers deux heures pour aller aux toilettes
avec le souvenir très net d’avoir été enseignée durant mon sommeil. J’ai la
sensation qu’il s’agissait plus d’une forme de mise au point entre les
différents aspects de la psyché, comme un dialogue interne entre l’âme et la
conscience.
Lorsque
je lis des messages canalisés, ou des infos concernant le développement
personnel, je retiens ce qui fait écho en moi et je me dis qu’à un certain
niveau de la conscience, elle n’est plus isolée, comme si elle était une
individualité faisant partie d’un collectif.
Et lorsque ça résonne en moi,
c’est comme si une part de la pensée de celui qui délivre le message provenait
du même "endroit" que la mienne. C’est pour ça aussi que je parle de conscience
Une dont nous sommes tous issus et où nous rejoignons plus ou moins
consciemment.
"En ce lieu", nous avons une vision commune de la vie, des valeurs universelles,
de l’humain et du ‘divin’.
Ensuite, selon la pureté de nos filtres
mental/émotionnel, notre personnalité et notre vécu, nous manifestons ces
vérités individuellement de différentes manières.
Parfois, c’est totalement
opposé mais de plus en plus, les personnes qui ont réalisé le nettoyage de leur
corps subtils et qui ont soif de vérité, tendent vers la paix, l’unité intérieure, en arrivent aux mêmes
conclusions :
Justement l’importance de lâcher les jeux de rôles, de
prendre en charge ses mondes internes, de guérir les blessures d’enfance, en venant
au centre de soi, dans la neutralité, afin que la source d’amour lumière
intérieur nous dépouille du superflu, harmonise les énergies, les corps
subtils.
Et c’est dans ce dépouillement, cet abandon à la source de vie intérieure
qu’elle se révèle, que sa présence peut être perçue, ressentie. Le feu de la conscience consume les pensées injustes et l'eau du monde émotionnel est purifiée.
On
parle de source père mère et je sens que je fais partie de cette source en même
temps que j’en suis le fruit. Et cela se retrouve aussi à l’intérieur puisque
je suis autant masculine que féminine et en même temps, une part de ce que je
suis est très enfantine.
Reconnaitre
cela et avoir le désir de réconcilier tout ce que je suis, c’est ce qui fait
que je me sens de plus en plus entière. Je perds peu à peu la sensation et l'idée du
manque et ça se traduit concrètement et naturellement, sans effort, par le
sevrage des médicaments. Et c'est en étant à l'écoute de mes corps, en suivant l'élan de vie spontané à chaque instant que j'apprends à me faire confiance, à compter sur mes propres ressources intérieures.
Le fait de ne plus lutter contre moi-même, contre les
aspects internes qui maintiennent en place le geste, les croyances, change ma
vibration et ma vision à ce sujet ce qui facilite drôlement les choses.
Comme
j’ai choisi de me réconcilier avec tout ce que je suis et que j’apprends à me
connaitre en profondeur, à m’accepter telle que je suis dans l’instant et à me
faire confiance, il règne un climat de paix et d’unité à l’intérieur.
Je
ne juge plus ce qui se manifeste en moi et quand ça s’apaise, quand la
vibration change, quand l’énergie s’équilibre, je ressens de la gratitude pour
mon corps émotionnel et pour le mental.
Je suis passée par une période de
remous émotionnel hier pour un détail qui a mis en évidence le rejet du
masculin en moi, par effet miroir. La façon dont je me suis fait un film,
comment j’ai amplifié la paranoïa sur une idée de départ totalement faussée,
m’est apparue clairement seulement ce matin.
Mais déjà, comme je sais laisser
les pensées émotions me traverser, s’exprimer, sans y croire, sans les juger,
j’ai retrouvé la paix assez vite et j'ai vu que ma vision avait été faussée.
Je n’ai pas pu me laisser envahir par les
pensées ou m’y identifier parce que même si j’étais troublée, je savais que ma
réaction avait éveillé quelque chose qui était en moi.
Le raisonnement qui
accusait le voisin d’avoir fait quelque chose de malhonnête à mon égard,
semblait tenir la route et j’aurais pu croire que c’était "la vérité".
Mais comme
j’ai constaté qu’à chaque fois que je me sens victime, c’est en fait le signe
d’un déséquilibre interne, d’une croyance erronée ou d’un conditionnement, je
me suis contentée de faire confiance au processus d’accueil des émotions en
sachant que tout redeviendrait calme et clair à un moment donné.
Je n’ai pas
cherché à me raisonner ou à essayer de savoir si j’avais raison de penser que
le voisin avait été malhonnête.
Je me suis juste contentée de laisser tout
sortir sans espérer que ça s’en aille vite mais en sachant que c’était de
l’énergie qui avait besoin d’être libérée, harmonisée et qu’elle m’apprendrait
quelque chose.
Je suis allée au jardin une fois le calme retrouvé et même si des
pensées lourdes se manifestaient de temps en temps, je me suis contentée de ne
pas les nourrir par des raisonnements, des explications.
Souvent,
on fait l’erreur d’essayer d’argumenter, de se raisonner, de se dire qu’on ne
devrait pas agir ou penser de telle façon et c’est là qu’on amplifie le
déséquilibre, le conflit et on bloque les émotions qui peuvent finir par
exploser. On cherche à tout prix à comprendre pour avoir le contrôle sur nos émotions.
J’appelais mon âme à m’aider à y voir clair, mes corps à rester unis
et solidaires et je me suis rendue compte en fin de soirée, que je n’avais même
pas pensé à ajuster la dose de médicaments.
Je sais que lorsque je diminue la
dose ne serait-ce que d’une miette, je deviens hypersensible, les émotions sont
amplifiées, les pensées troublées, sombres et j’ai vite fait de m’y identifier.
Mais comme l’idée ne m’est pas venue, j’ai éprouvé un sentiment de gratitude, de confiance et
constaté combien le fait de ne plus me critiquer, de ne plus juger cette
addiction participait à cette sensation.
Critiquer cette addiction revenait à
en vouloir tant à l’enfant que j’étais qu’à l’ado qui avait pris cette décision
afin de ne pas être dépendante de l’amour d’un homme. Je rejetais, niais, les
souffrances de l’enfant et critiquais mon incapacité à ne pas pouvoir mieux
gérer mes émotions alors qu'en plus depuis un certain temps, je sais comment faire.
J’en voulais autant à
l’enfant qu’aux stratégies de l’ego et comme inconsciemment j‘ai associé l’ego
au masculin, je faisais la guerre à mes propres énergies.
D’un côté je rejetais
ma vulnérabilité et de l’autre je m’en voulais d’agir avec violence envers cet
aspect féminin. Dans ces conditions, c’était sans issue.
C’est le drame des
stratégies de l’ego, on tourne en rond en se faisant violence, en jouant tour à
tour les rôles de victime et de bourreau.
Puis quand on sait qu’il y a un
sauveur en soi, que l’amour peut résoudre les conflits, on va se créer de
nouvelles stratégies selon la vision de l’ego, selon l'intellect.
On tente d’agir selon
l’idée qu’on se fait de l’amour inconditionnel et on adopte un comportement
alors que ça n’est que dans la spontanéité et l’accueil de ce qui se manifeste
en soi, l’abandon des résistances, des raisonnements que l’amour peut surgir et agir.
C’est pour cela que très souvent, quand je sens que des pensées émotions
commencent à devenir ingérable, je vais m’allonger.
Dans ces cas là, moins
j’essaie de comprendre et mieux la paix peut revenir et la clarté revient aussi après, comme une évidence.
C’est peut-être cela qui
est le plus difficile, de ne pas essayer de comprendre, vouloir comprendre c'est une forme de contrôle qui bloque le processus de libération émotionnel. Le mental
ne sait pas être en paix ou dans le silence et ça n’est qu’en ne s’identifiant
pas aux pensées qu’elles peuvent passer, qu'elles se dissolvent.
Quand une émotion s’exprime,
le mental veut s’en saisir de suite, il veut lui donner une étiquette, un sens
et très souvent il va amplifier l’énergie initiale, la polariser encore plus, faire de la résistance alors qu’en laissant
l’émotion nous traverser sans chercher à savoir d’où elle vient ni à la nommer,
elle va perdre naturellement son intensité.
Puis quand on retrouve la paix, on
comprend quel besoin non assouvit se cachait derrière l’émotion. On voit quel rôle on jouait, quelle stratégie de l'ego était activée.
Tant
qu’on ne sait pas accueillir une émotion, on va essayer de se raisonner et
quand une pensée négative arrive, on va chercher à la combattre, à la rejeter
au lieu de ne pas y accorder d’importance en sachant qu’une fois que l’émotion
qui lui est associée ce sera exprimé on verra le sens réel qui vient toujours
après et de façon évidente.
Quand on veut guérir des blessures du passé, on
fait souvent les choses à l’envers parce qu’on essaie de comprendre pourquoi on
a telle ou telle pensée. On veut lui donner un sens, on se dit oui, je pense
comme ça parce que j’ai vécu ça, mais ça ne marche pas.
On oppose notre
compréhension d’adulte à ce que l’enfant exprime. Le mental a besoin de trouver un sens et il va chercher dans des lectures ésotériques, des vies antérieures supposées, la raison de son mal-être.
Il suffit de savoir que nous sommes composés de différents corps subtils et systèmes qui par nature n'ont pas le même mode de perception et d'action pour comprendre la raison des conflits, de la division et du sentiment de séparation en soi. La composition de notre cerveau, le fait d'avoir un système de survie, un corps émotionnel, relié au cerveau limbique, animal, et au tronc cérébral, puis d'être doté d'un cœur et d'une conscience, d'une âme, peut engendrer des conflits puisque chacun de ces système est indépendant et différent. En ce sens nous sommes autant animal, instinctif, qu'humain, sensible, doté d'une conscience capable de se projeter, d'analyser et c'est notre conscience/essence divine peut unifier l'ensemble, gérer ses mondes de façon cohérente, intelligente et pacifique.
L’enfant porte et exprime les
blessures, les émotions et ça n’est pas des explications qu’il attend mais juste d’être
consolé, accepté tel qu’il est, dans l’instant. En respirant calmement, on
retrouve la paix et c’est alors que la joie va revenir naturellement avec le
sentiment d’être compris, aimé et soutenu. Ce processus est interne et demande de lâcher prise, de faire confiance à l'intelligence divine, la sagesse innée, celle du cœur.
J’ai
fini par regarder un dessin animé portée par l’élan spontané et même si je sais
que ça réjouit l’enfant en moi, je n’ai pas anticipé cela. Du coup, j’ai pu me
laisser porter par l’histoire et la surprise était au rendez-vous. Puis ça m'a ramené en douceur à l'importance de l'unité intérieure, de chacun des aspects de la personnalité et de la force de l'union, de l'harmonie. Là aussi, c'est une forme de guidance, de synchronicité qui nourrit la foi et la confiance en "Sois". Cliquez sur le lien: "Là-haut" dessin animé
Ce
matin (mercredi 13 avril), l’enthousiasme était là et le rêve de cette nuit y a participé parce que
je me souviens d’avoir retrouvé la joie de pouvoir vivre cette incarnation
parce que c’est vraiment une période spéciale.
Pouvoir se regarder en toute
transparence, sans se juger, sans renier ce qu’on est, c’est très libérateur.
L’amour véritable de soi qui vient de l’acceptation de soi, de ce qu’on pensait mauvais
ou inapproprié comble vraiment le sentiment de manque.
Et le fait de pouvoir
trouver cette autonomie affective par l’unité et l’harmonie, procure un
sentiment de puissance et de renaissance inconnus jusque là.
La confiance qui s’installe et permet de
suivre les élans spontanés apporte la joie dans l’instant puis une fois qu’on
comprend la pertinence du désir qui a émergé et le fait de l’avoir suivi, on se
sent soutenu par la vie.
J’avais
une envie irrésistible d’aller au jardin ce matin et je l’ai suivie alors
qu’habituellement j’écris dès le réveil. Et j’ai bien fait de m’écouter parce
que maintenant il pleut ! C'est tout bête mais très significatif parce que si j'avais voulu répondre au besoin d'écrire qui est souvent motivé par le besoin de reconnaissance extérieure, j'aurais nourri le manque d'amour de soi, le besoin d'être approuvée par l'extérieur au lieu d'écouter le désir spontané. Ce désir qui est motivé par l'élan de vie, qui nourrit l'être tout entier parce que dans la nature, l'harmonie est facilitée, les corps s'alignent à la fréquence du vivant, naturellement. Ils travaillent ensemble, le désir motivé par la Vie en soi se concrétise dans le geste et le mental est connecté à l'intuition naturellement. Je me laisse guider pour agir, sans réfléchir, en suivant l'élan porté par la joie de pouvoir être en lien avec la terre, la nature.
(Fin de soiré du 13 avril)
Je
suis toute électrique mais malgré tout, la paix demeure. Je pourrais me dire
que tout ce que j’ai libéré depuis tout ce temps est encore en train de me
chambouler mais en fait comme je m’habitue de plus en plus à laisser les
énergies s’exprimer librement, sans m’y attacher, ça ne m’affecte pas.
On
nourrit tellement le mental de pensées, de questions et de réponses qu’on en
perd le sens des choses, la simplicité de la vie.
Tous les messages canalisés
ont apporté de l’espoir et quelques réponses aux questions existentielles mais
ça maintient dans une sorte de rêve, d’illusion, et tant qu’on ne fait pas
soi-même l’expérience de la paix du cœur, tant qu’on ne s’écoute pas de
l’intérieur, on reste dans le flou et dans l’attente.
Je
note que je souffre à chaque fois que je veux à tout prix donner un sens à ce
qui est. Puis chaque fois que je résiste à ce que je ressens intérieurement,
c’est la même chose.
Mais quand je lâche prise, les synchronicités (la vidéo de Daniel Miron) me redonnent confiance en mon âme, sa présence constante et sa guidance. Quand je doute, c'est simplement que je suis identifiée aux pensées émotions et perds confiance en ce que je suis essentiellement.
La
dernière vidéo de Daniel Miron est en parfaite résonance avec ce que je pense
et je reconnais avoir cherché dans les messages spirituels une forme d’évasion,
un espoir qui m’éloignait de ma vérité intérieure, comme si ça allait m’éviter
d’avoir à me regarder en face. Et comme il le dit, je pensais trouver un
monstre en moi. Mais ça n’est que de l’énergie qui est contenue, enfermée et
polarisée...
« L'attitude juste pour évoluer! » Daniel
Miron http://www.methodemiron.com
J’ai
la sensation d’être encore en train d’équilibrer le masculin et le féminin en
moi mais je note juste cela de façon à rassurer le mental, à donner un sens à
ce courant électrique intérieur. Enfin pour lui éviter de cogiter et de
projeter.
Je préfère partir du principe que j’ai vécu en étant étrangère à
moi-même jusqu’à maintenant et je découvre qui je suis concrètement en collant
le moins possible d’étiquette à ce que je suis.
Même si je parle de l’enfant
intérieur, de la source et des énergies féminines et masculines, se sont juste
des repères, des façons d’intégrer l’harmonie et l’unité en permettant au
mental de ne pas se sentir perdu. Et de donner une direction à mes pensées mais
je préfère éviter de définir ce qui ne peut l’être que de façon aléatoire
et superficielle.
C’est dans l’action, dans la façon dont je suis l’élan et le
degré de confiance que j’aie en moi-même et en la vie que je peux savoir qui je
suis vraiment, en étant simplement moi-même, sans masques et sans projection.
Sans modèle à suivre mais juste en agissant selon le désir du moment.
Ceci dit, la confiance
grandissant, la façon de concrétiser mon objectif, celui d’être totalement
autonome, je planifierais peut-être les choses mais pour le moment agir selon
l’élan du moment est le plus approprié.
On passe par toutes sortes d’état
d’être quand on fait face à soi-même sans se mentir, les pensées émotions liées
aux anciennes croyances doivent être pacifiées, équilibrées, tempérées, et le
processus n’est pas linéaire.
L’environnement, les énergies de l’extérieur, de
la terre, ceux des égrégores et les rencontres font que rien n’est fixe, figé.
C’est
la même chose en soi mais quand on peut retrouver la paix simplement en
n’écoutant pas ses pensées, et en laissant les émotions s’extérioriser, en
respirant calmement, on finit par ne plus être déstabilisé par ces mouvements
internes et externes.
Être hypersensible n’est plus un problème lorsqu’on
apprend à équilibrer les énergies mais dans la phase d’apprentissage, il peut y
avoir encore des moments où on va s’identifier à nouveau à la vague. Et c'est dans la patience qu'on aura vis à vis de soi, que l'amour véritable et la confiance vont grandir et permettre d'agir en harmonie, en cohérence entre nos aspirations et leur manifestation concrète dans la matière.
(Jeudi
matin 14 avril)
J’ai
bien fait de faire confiance à la vie et la réponse à la demande de direction auprès
de mon âme, au sujet de la façon de concrétiser mon désir de proposer un
accompagnement, s’est manifesté de façon naturelle, par synchronicité, dans l’écoute
et le fait de suivre la guidance intérieure.
J’ai
donc décidé de proposer un accompagnement et de remettre en ligne le blog que j’avais
prévu à cet effet.
Mais je ne me précipite pas, je me laisse guider en toutes
choses tant pour la structure que pour l’offre elle-même. J’ai suffisamment
confiance en ce que je suis et au processus de libération/guérison puisque j’en
expérimente l’efficacité au quotidien, pour transmettre les clefs et proposer ce
soutien.
Il me reste encore quelques détails à mettre en place et surtout
prendre l’habitude de me centrer, de maintenir la connexion constante à la
source. Enfin d’en être consciente à chaque instant parce que l’idée de
séparation n’est qu’une idée et pas une réalité.
Je précise que j’ai ajouté les
dates du déroulement de ces prises de conscience, du processus de lâcher prise
et de la décision qui en émerge afin que vous puissiez comprendre que rien ne
se fait d’un claquement de doigt mais que c’est une question d’abandon des
résistances, d’écoute et de confiance en la source intérieure, en son mode de communication et d'action...
Si vous souhaitez partager ce texte, merci d’en respecter
l’intégralité, l’auteure et la source ; Lydia, du blog :
« Journal de bord d’un humain divin comme tout le monde » ou http://lydiouze.blogspot.fr