"La prophétie des Andes", et sa version livre audio. Le spectacle de Dieudonné, "Le Mur"...et un texte d'Axel Piskulic...
Encore debout à 5h mais en fait, ça me convient très bien
finalement. Je baigne dans le calme pendant au moins trois heures et c’est très
bénéfique surtout quand on est hypersensible aux énergies et au bruit extérieurs. Je me
réveille de plus en plus contente d’exister, ici, maintenant et toujours
enthousiaste.
Puis au milieu de la
journée quand les autres se posent pour se nourrir et que le calme revient, je
peux méditer en toute tranquillité et ainsi récupérer de l’énergie et me recentrer,
m’ancrer, pour le reste de la journée.
Suivre son cœur, ses élans, ses envies, peut sembler
difficile au début parce que ça fait ressortir plein de vieux clichés mais
quand on comprend que tout ce qui se manifeste ne demande qu’à être vu, aimé et
ainsi libéré, ça aide à aller de l’avant.
Retirer tous les masques, c’est se
défaire des croyances erronées qui s’expriment par ces phrases meurtrières qui
viennent en tête quand on veut se dépouiller de tout ce que l’extérieur nous a
renvoyé. Il y a aussi ce constat qui peut être un piège quand on se croit
impuissant et victime. Par exemple, une phrase qui revient encore de temps en
temps et que ma mère me disait ; « tu es fainéante » (à chaque
fois que j’écris ce mot, je fais au moins une faute !) En fait, au début,
je la croyais parce que gamine, je ne m’intéressais pas aux mêmes choses que
les autres, je ne cherchais pas à gagner, à être en compétition, je vivais dans
ma bulle, mes pensées. Je ne me souviens plus trop ce qu’elles exprimaient,
mais je sais que je me posais beaucoup de questions existentielles et me tenais
à l’écart. Je ne jouais pas trop avec mes frères et sœurs et m’isolais souvent.
J’avais plus de contact avec les animaux qu’avec les humains. J’avais déjà
conscience du mensonge permanent des « grands », de leur côté double,
changeant. L’échange d’amour sans condition avec les animaux et leur authenticité, leur simplicité, était un besoin presque
vital. J’étais calme et ne cherchais pas à plaire, j’aimais faire de la pâtisserie,
le mélange des matières me fascinait déjà, la transformation de la pâte en
quelque chose de solide, le fait de créer quelque chose qui en plus faisait
plaisir à tout le monde. Je n’étais pas trop dans le « faire ». Mes
différences n’inquiétaient pas trop les autres puisque j’avais de très bons
résultats à l’école…
Mais il est resté un climat d’incompréhension amplifié par
le fait du secret imposé par le contexte de l‘inceste, que je n’arrivais pas à
dénoncer. Je vivais relativement bien ma
différence grâce à l’amour partagé avec les animaux mais il m’a fallu revêtir une
armure chimique, à l’adolescence, pour ne pas devenir un clone, rentrer dans le
cadre pré établi et me dépersonnaliser complètement. Au moins, je me disais qu’un
jour, j’aurais le courage et la force de retirer cette armure puisque c’est moi
qui l’avais choisie et donc j’étais consciente de porter un masque.
Cette phrase, bien qu’elle me semblait injuste, est restée
gravée dans mon inconscient et je découvre seulement maintenant l’impact qu’elle
a encore sur moi. Il m’a fallu un certain temps pour en libérer la charge
négative et me rendre compte qu’elle exprimait seulement l’incompréhension des
autres par rapport à ma façon d’être assez marginale.
Je suis plutôt du genre à
investir du temps et de l’énergie pour quelque chose que j’aime. Si je ne suis
pas passionnée, je ne fais pas. Par contre si je suis portée par l’enthousiasme,
je peux déplacer des montagnes, rester focalisée pendant des heures sur l’objet
de ma passion.
Je n’en veux plus à ma mère de m’avoir balancé ce genre de
croyance puisqu’elle ne faisait qu’exprimer quelque chose qui était en moi. D’ailleurs,
elle continue de le penser très fort quand on aborde la question du travail.
Elle ne comprend pas qu’on puisse être assisté, ne pas assumer son existence.
Elle voit ça comme un manque de fierté, une honte, et je dois régulièrement lui
rappeler mon point de vue. Au début, ça renforçait la croyance en moi, je me
sentais minable mais heureusement, au fond de moi, je savais que j’étais
courageuse.
Puis, le système ne produit que des moutons, depuis l’école jusque
dans le monde du travail. La façon de classer les gens et de valoriser uniquement
ceux qui sont intellectuels est totalement arbitraire et produit une société où
la ruse, la compétitivité, l’esprit « gagnant » prime sur le
bien-être de l’ensemble, de l’environnement.
C’est chacun pour soi, on calcule
ce qu’on va gagner dans les interactions humaines, amoureuses et même si les structures
sociales, les aides existent, elles ont été créées afin de calmer les rebelles,
les réfractaires au système. Tous ceux qui sont dans le cœur, sont considérés
comme des idéalistes, rêveurs, utopistes, improductifs, à moins d’être
sacralisé par la foule, d’être populaire donc démagogique et calculateur.
Les gens qui ont du succès, représentent bien l’état d’esprit
de la majorité, l’idéal commun. Les comédiens sont estimés selon leur valeur marchande
et tournent dans des navets pour rester bankable.
En politique, c’est la même
chose, ceux qui sont élus reflètent les croyances populaires et ça fait peur
quand on voit le succès des partis nationalistes ! Malgré toute cette chape
de plomb, quelques fleurs arrivent à s’épanouir, à s’extraire du bitume pour se
dresser vers le soleil. Mais, ça leur demande d’avoir des racines solides.
Oser être soi-même en dépit des autres mais surtout des
personnages intérieurs qui ont compris que pour obtenir de l’amour, être
accepté, validé, reconnu, il fallait se comporter selon les règles, les
convenances sociales, demande une grande intégrité.
Il faut bien se connaitre pour
pouvoir se respecter, ne pas se trahir et avoir de l’amour pour l’être véritable, celui qui est
incarné par l’enfant intérieur qui manifeste le désir de l’âme. Comme j’ai
suivi mes envies pratiquement toute ma vie, ça n’est pas trop difficile de
revenir à ce que je suis vraiment mais ça demande de libérer toutes ces
croyances d’illégitimité, d’infériorité, d’impuissance…
Heureusement, l’âme, le divin, se manifestent régulièrement
mais pas trop non plus parce qu’il ne s’agit pas de passer d’un conditionnement
à un autre. De s’extraire des schémas de manipulation de la société pour
entretenir un rapport d’esclave à maitre, avec le divin.
Là, il y a du boulot
pour libérer les croyances gravées dans le marbre de l’inconscient, au sujet de
ce qu’est le divin. Je ne cherche plus trop à savoir ce qu’est cette part de
moi-même, dans la forme, mais bien plus à libérer l’image d’autorité, de supériorité,
et évidemment l’idée de soumission qui va avec. Plus j’apprends à me connaitre
à tous les niveaux et plus je vois que c’est l’harmonie qui me donne l’existence,
qui me permet d’être à la fois humain et divin.
C’est vrai qu’entre le moment où on lâche l’idée d’un
sauveur extérieur, d’un dieu extérieur, et celui où on comprend où se trouve son
propre pouvoir, il peut se passer des années, parce que ça demande une fidélité
totale à qui on est vraiment.
Et ça demande aussi de réviser ce qu’est l’amour,
de réaliser que l’amour est en soi et que c’est en apprenant à s’aimer vraiment,
entièrement, en sachant que ça va nécessairement, rendre solitaire le temps de
se reconnaitre en totalité, qu’on trouve la souveraineté.
Mais finalement, ça vaut vraiment la peine d’emprunter ce
chemin parce que la liberté en est le cadeau.
J’ai trouvé un texte à propos du
critique intérieur qui n’est pas venu sous mes yeux par hasard !
« Aimer notre critique intérieure...
De nombreuses personnes sont excessivement critiques envers
elles-mêmes. Elles ne sont quasiment jamais contentes de leurs résultats au
travail, de la qualité de leurs relations, de leur vie en général…
Elles sont perfectionnistes. Non par engagement sincère à
bien faire les choses, mais plutôt comme stratégie de protection contre
l’autocritique qui surgit à la moindre erreur commise.
De plus, elles sont excessivement susceptibles aux
critiques (ou à la désapprobation) venant d’autrui, dans lesquelles elles
voient se refléter leur propre et douloureux conflit interne.
Cette aspect autocritique de la personnalité est appuyé par
des émotions qui semblent le justifier et lui donner raison : face à ses
propres erreurs ou à celles d’autrui, surgissent automatiquement la colère ou
le dégoût, légitimant ainsi l’irruption de l’opinion défavorable (c’est à dire
la critique).
Si une personne présentant ces caractéristiques prend
conscience de sa situation, si elle se rend compte que son comportement
autocritique ne lui apporte que de la douleur sans l’aider réellement dans
aucun des aspects de la vie, elle finira peut-être par se dire : « Bon, il
faudrait que j’arrête de me critiquer » ou « je devrais commencer à me traiter
avec plus de considération »; ce qui revient à utiliser le même mécanisme, mais
sous un déguisement très subtil, consistant à se faire des reproches lorsque
l’on se surprend en flagrant délit d’autocritique.
Alors que faire, lorsque nous désirons sincèrement abandonner
ce trait de caractère si pénible, quand le simple fait de le désigner comme
élément indésirable nous fait entrer dans un cercle vicieux d’autocritique ?
Que faire de ce critique intérieur, s’il se trouve qu’en le désapprouvant ou en
le remettant en question, on ne fait en réalité que le renforcer et lui donner
le pouvoir de nous contrôler ?
La réponse à ce questionnement me parût autant
déconcertante qu’inattendue. Elle ne semble pas être la solution logique à ce
problème. Et pourtant, en tant que réponse correcte, elle obéit sûrement elle
aussi à une certaine logique.
Voyons un peu : cet aspect autocritique de la personnalité
– qui revêt l’apparence d’un perfectionnisme salutaire – provoque seulement de
la douleur, en qualifiant d’insuffisants tous nos efforts et résultats puisque,
« logiquement », ils pourraient toujours être meilleurs ou supérieurs. Cette
partie critique de nous-même est blessée. Il s’agit d’une partie offensée,
triste et en colère, dont l’origine remonte précisément à la critique reçue par
l’enfant que nous avons été.
Seul l’amour peut nous guérir
Il est inévitable qu’un enfant offensé par des adultes se
sente peiné, triste et en colère. Et il est compréhensible qu’il s’exprime avec
le langage et les codes appris de la critique sans amour. Un enfant « blessé »
– qui n’a pas reçu le stimulus bénéfique de l’amour et de l’acceptation
inconditionnels – ne mérite pas de nouvelles critiques et maltraitances de
notre part pour « le corriger », mais mérite plutôt (et il le réclame à sa manière)
que nous l’acceptions et que nous l’aimions tout simplement. L’amour est la
seule chose qui peut lui redonner (qui peut nous redonner !) la paix,
l’équilibre et la joie. Seul l’amour peut nous guérir…
Et cette conclusion n’est pas seulement valable pour notre
être intérieur. Quand finalement nous comprenons ce qui se déroule en nous,
quand nous comprenons que la seule réponse efficace envers l’autocritique ou
l’auto-agression c’est l’amour envers nous-même (et particulièrement envers
notre côté critique), on évalue immédiatement la portée universelle de cette
conclusion. On commence à comprendre quelle est la véritable condition de «
l’agresseur » : quelqu’un qui en réalité se punit lui-même, quelqu’un qui a un
besoin urgent de se donner et de recevoir de l’amour, quelqu’un qui est
incapable de donner de l’amour aux autres et d’en recevoir parce qu’il recrée
et projette sur autrui son propre drame interne, et finalement quelqu’un comme
nous qui a seulement besoin d’amour pour
guérir… »
Axel Piskulic
merci à Tout est psychologie
merci à Tout est psychologie
On pourrait dire que je suis fainéante, de faire du copié
collé ou que j’essaie d’argumenter mes croyances pour les consolider avec d’autres
voix mais en fait, j’ai toujours été fascinée par les chorales qui expriment l’harmonie, l'idéal de société auquel j'aspire
et c’est dans cette optique que j’ajoute de plus en plus d’écrits qui ne sont
pas de moi, sur ce blog, mais qui résonnent tant, que j’aurais pu les rédiger
moi-même.
Nous ne serons jamais trop à scander l’ultime vérité, celle
qui peut changer totalement a face du monde :
Aime-toi entièrement, aime ton corps physique, tes défauts qui
sont tes signes particuliers, ta singularité et qui ne demandent qu’à être
aimés pour révéler leur puissance, dans l’équilibre retrouvé.
Quand tu reconnais ton humanité, ton unicité, tu trouve le
divin et l’unité que tu as toujours été.
Pour finir, voici in lien qui permet de voir le film « La
prophétie des Andes ». Je l’ai vu il y a déjà un certain temps mais je
crois qu’une deuxième lecture sera des plus bénéfiques. Je vais pouvoir
constater l’immense progrès accompli depuis 2006 à peu près. Je ne mémorise pas
trop les dates, c’est peut-être avant mais peu importe, ce qui compte c’est de
pouvoir constater à quel point j’ai ouvert ma conscience et aussi la société. C’est
hallucinant de voir la vitesse à laquelle nous nous ouvrons à d’autres
réalités, ou dimensions et c’est là qu’on peut constater sans aucun doute que
nous vivons non seulement dans une période de révélations mais aussi de
désagrégation des illusions, tant au niveau individuel que collectif. Puis l’élévation
de conscience est maintenant évidente, nous avons bel et bien changé de monde !
Le film visible en cliquant sur le titre ci-dessous et au passage, pour ceux que a intéresse, vous pourrez aussi voir sur ce site, le spectacle interdit, "Le Mur" en version audio, de Dieudonné M'Bala Bala qui malgré tout ce qu'on peut en dire, me fait toujours rire
Vous devrez attendre qu'apparaisse "start vidéo", en haut à droite du rectangle noir qui cache la vidéo, pour entendre le spectacle et voir le film. Il n'y a apparemment pas de pièges, de logiciel malveillant, en y accédant.
Puis, la version audio du livre de James Redfield
C’est une autre façon d’aborder les choses. Pour le moment,
je le laisse bercer par cette lecture et regarderais le film après. Puisque j’aurais
très certainement des remarques à faire.
Je n'en suis qu'au tout début et déjà, je trouve tout ce que j'expérimente. C'est en fait la réalisation de ces prophéties qui doivent être vécues pour en saisir le "mystère" et en faire sa vérité, validée par l’expérimentation
Je commence à regarder de près ce qui concerne les
extra-terrestres, enfin pour le moment à essayer de constituer un dossier
constitués de messages et documents qui me semblent plausible, du moins utile
pour notre progression. J’ai encore beaucoup de mal avec l’idée de sauveurs
extérieurs et il y a un gros tri à faire dans les infos que nous recevons. On
est très souvent à la limite de l’ingérence ! Il va falloir là aussi,
trouver le juste milieu !...à suivre...
Vous
pouvez diffuser ce texte et les photos de fleurs, à condition d’en respecter l’intégralité, de ne rien
modifier (sauf correction des fautes d'orthographe), de citer l’auteur :
Lydia Féliz, ainsi que la source : http://lydiouze.blogspot.fr et ces trois lignes. Merci