vendredi 14 mars 2014

"Quand tu reconnais ton humanité, ton unicité, tu trouves le divin et l’unité que tu as toujours été". Film...





"La prophétie des Andes", et sa version livre audio. Le spectacle de Dieudonné, "Le Mur"...et un texte d'Axel Piskulic...
 
Encore debout à 5h mais en fait, ça me convient très bien finalement. Je baigne dans le calme pendant au moins trois heures et c’est très bénéfique surtout quand on est hypersensible aux énergies et au bruit extérieurs. Je me réveille de plus en plus contente d’exister, ici, maintenant et toujours enthousiaste. 
Puis au  milieu de la journée quand les autres se posent pour se nourrir et que le calme revient, je peux méditer en toute tranquillité et ainsi récupérer de l’énergie et me recentrer, m’ancrer,  pour le reste de la journée.
Suivre son cœur, ses élans, ses envies, peut sembler difficile au début parce que ça fait ressortir plein de vieux clichés mais quand on comprend que tout ce qui se manifeste ne demande qu’à être vu, aimé et ainsi libéré, ça aide à aller de l’avant.

Retirer tous les masques, c’est se défaire des croyances erronées qui s’expriment par ces phrases meurtrières qui viennent en tête quand on veut se dépouiller de tout ce que l’extérieur nous a renvoyé. Il y a aussi ce constat qui peut être un piège quand on se croit impuissant et victime. Par exemple, une phrase qui revient encore de temps en temps et que ma mère me disait ; « tu es fainéante » (à chaque fois que j’écris ce mot, je fais au moins une faute !) En fait, au début, je la croyais parce que gamine, je ne m’intéressais pas aux mêmes choses que les autres, je ne cherchais pas à gagner, à être en compétition, je vivais dans ma bulle, mes pensées. Je ne me souviens plus trop ce qu’elles exprimaient, mais je sais que je me posais beaucoup de questions existentielles et me tenais à l’écart. Je ne jouais pas trop avec mes frères et sœurs et m’isolais souvent. 
J’avais plus de contact avec les animaux qu’avec les humains. J’avais déjà conscience du mensonge permanent des « grands », de leur côté double, changeant. L’échange d’amour sans condition avec les animaux et leur authenticité, leur simplicité, était un besoin presque vital. J’étais calme et ne cherchais pas à plaire, j’aimais faire de la pâtisserie, le mélange des matières me fascinait déjà, la transformation de la pâte en quelque chose de solide, le fait de créer quelque chose qui en plus faisait plaisir à tout le monde. Je n’étais pas trop dans le « faire ». Mes différences n’inquiétaient pas trop les autres puisque j’avais de très bons résultats à l’école… 






Mais il est resté un climat d’incompréhension amplifié par le fait du secret imposé par le contexte de l‘inceste, que je n’arrivais pas à dénoncer.  Je vivais relativement bien ma différence grâce à l’amour partagé avec les animaux mais il m’a fallu revêtir une armure chimique, à l’adolescence, pour ne pas devenir un clone, rentrer dans le cadre pré établi et me dépersonnaliser complètement. Au moins, je me disais qu’un jour, j’aurais le courage et la force de retirer cette armure puisque c’est moi qui l’avais choisie et donc j’étais consciente de porter un masque.  
Cette phrase, bien qu’elle me semblait injuste, est restée gravée dans mon inconscient et je découvre seulement maintenant l’impact qu’elle a encore sur moi. Il m’a fallu un certain temps pour en libérer la charge négative et me rendre compte qu’elle exprimait seulement l’incompréhension des autres par rapport à ma façon d’être assez marginale. 
Je suis plutôt du genre à investir du temps et de l’énergie pour quelque chose que j’aime. Si je ne suis pas passionnée, je ne fais pas. Par contre si je suis portée par l’enthousiasme, je peux déplacer des montagnes, rester focalisée pendant des heures sur l’objet de ma passion.
Je n’en veux plus à ma mère de m’avoir balancé ce genre de croyance puisqu’elle ne faisait qu’exprimer quelque chose qui était en moi. D’ailleurs, elle continue de le penser très fort quand on aborde la question du travail. Elle ne comprend pas qu’on puisse être assisté, ne pas assumer son existence. Elle voit ça comme un manque de fierté, une honte, et je dois régulièrement lui rappeler mon point de vue. Au début, ça renforçait la croyance en moi, je me sentais minable mais heureusement, au fond de moi, je savais que j’étais courageuse. 

Puis, le système ne produit que des moutons, depuis l’école jusque dans le monde du travail. La façon de classer les gens et de valoriser uniquement ceux qui sont intellectuels est totalement arbitraire et produit une société où la ruse, la compétitivité, l’esprit « gagnant » prime sur le bien-être de l’ensemble, de l’environnement. 
C’est chacun pour soi, on calcule ce qu’on va gagner dans les interactions humaines, amoureuses et même si les structures sociales, les aides existent, elles ont été créées afin de calmer les rebelles, les réfractaires au système. Tous ceux qui sont dans le cœur, sont considérés comme des idéalistes, rêveurs, utopistes, improductifs, à moins d’être sacralisé par la foule, d’être populaire donc démagogique et calculateur.  
Les gens qui ont du succès, représentent bien l’état d’esprit de la majorité, l’idéal commun. Les comédiens sont estimés selon leur valeur marchande et tournent dans des navets pour rester bankable. 
En politique, c’est la même chose, ceux qui sont élus reflètent les croyances populaires et ça fait peur quand on voit le succès des partis nationalistes ! Malgré toute cette chape de plomb, quelques fleurs arrivent à s’épanouir, à s’extraire du bitume pour se dresser vers le soleil. Mais, ça leur demande d’avoir des racines solides.  






Oser être soi-même en dépit des autres mais surtout des personnages intérieurs qui ont compris que pour obtenir de l’amour, être accepté, validé, reconnu, il fallait se comporter selon les règles, les convenances sociales, demande une grande intégrité. 
Il faut bien se connaitre pour pouvoir se respecter, ne pas se trahir et avoir de l’amour pour l’être véritable, celui qui est incarné par l’enfant intérieur qui manifeste le désir de l’âme. Comme j’ai suivi mes envies pratiquement toute ma vie, ça n’est pas trop difficile de revenir à ce que je suis vraiment mais ça demande de libérer toutes ces croyances d’illégitimité, d’infériorité, d’impuissance…

Heureusement, l’âme, le divin, se manifestent régulièrement mais pas trop non plus parce qu’il ne s’agit pas de passer d’un conditionnement à un autre. De s’extraire des schémas de manipulation de la société pour entretenir un rapport d’esclave à maitre, avec le divin. 
Là, il y a du boulot pour libérer les croyances gravées dans le marbre de l’inconscient, au sujet de ce qu’est le divin. Je ne cherche plus trop à savoir ce qu’est cette part de moi-même, dans la forme, mais bien plus à libérer l’image d’autorité, de supériorité, et évidemment l’idée de soumission qui va avec. Plus j’apprends à me connaitre à tous les niveaux et plus je vois que c’est l’harmonie qui me donne l’existence, qui me permet d’être à la fois humain et divin.  
C’est vrai qu’entre le moment où on lâche l’idée d’un sauveur extérieur, d’un dieu extérieur, et celui où on comprend où se trouve son propre pouvoir, il peut se passer des années, parce que ça demande une fidélité totale à qui on est vraiment. 
Et ça demande aussi de réviser ce qu’est l’amour, de réaliser que l’amour est en soi et que c’est en apprenant à s’aimer vraiment, entièrement, en sachant que ça va nécessairement, rendre solitaire le temps de se reconnaitre en totalité, qu’on trouve la souveraineté.   
Mais finalement, ça vaut vraiment la peine d’emprunter ce chemin parce que la liberté en est le cadeau. 
J’ai trouvé un texte à propos du critique intérieur qui n’est pas venu sous mes yeux par hasard !





« Aimer notre critique intérieure...
De nombreuses personnes sont excessivement critiques envers elles-mêmes. Elles ne sont quasiment jamais contentes de leurs résultats au travail, de la qualité de leurs relations, de leur vie en général…
Elles sont perfectionnistes. Non par engagement sincère à bien faire les choses, mais plutôt comme stratégie de protection contre l’autocritique qui surgit à la moindre erreur commise.
De plus, elles sont excessivement susceptibles aux critiques (ou à la désapprobation) venant d’autrui, dans lesquelles elles voient se refléter leur propre et douloureux conflit interne.
Cette aspect autocritique de la personnalité est appuyé par des émotions qui semblent le justifier et lui donner raison : face à ses propres erreurs ou à celles d’autrui, surgissent automatiquement la colère ou le dégoût, légitimant ainsi l’irruption de l’opinion défavorable (c’est à dire la critique).
Si une personne présentant ces caractéristiques prend conscience de sa situation, si elle se rend compte que son comportement autocritique ne lui apporte que de la douleur sans l’aider réellement dans aucun des aspects de la vie, elle finira peut-être par se dire : « Bon, il faudrait que j’arrête de me critiquer » ou « je devrais commencer à me traiter avec plus de considération »; ce qui revient à utiliser le même mécanisme, mais sous un déguisement très subtil, consistant à se faire des reproches lorsque l’on se surprend en flagrant délit d’autocritique.
Alors que faire, lorsque nous désirons sincèrement abandonner ce trait de caractère si pénible, quand le simple fait de le désigner comme élément indésirable nous fait entrer dans un cercle vicieux d’autocritique ? Que faire de ce critique intérieur, s’il se trouve qu’en le désapprouvant ou en le remettant en question, on ne fait en réalité que le renforcer et lui donner le pouvoir de nous contrôler ?
La réponse à ce questionnement me parût autant déconcertante qu’inattendue. Elle ne semble pas être la solution logique à ce problème. Et pourtant, en tant que réponse correcte, elle obéit sûrement elle aussi à une certaine logique.
Voyons un peu : cet aspect autocritique de la personnalité – qui revêt l’apparence d’un perfectionnisme salutaire – provoque seulement de la douleur, en qualifiant d’insuffisants tous nos efforts et résultats puisque, « logiquement », ils pourraient toujours être meilleurs ou supérieurs. Cette partie critique de nous-même est blessée. Il s’agit d’une partie offensée, triste et en colère, dont l’origine remonte précisément à la critique reçue par l’enfant que nous avons été.
Seul l’amour peut nous guérir
Il est inévitable qu’un enfant offensé par des adultes se sente peiné, triste et en colère. Et il est compréhensible qu’il s’exprime avec le langage et les codes appris de la critique sans amour. Un enfant « blessé » – qui n’a pas reçu le stimulus bénéfique de l’amour et de l’acceptation inconditionnels – ne mérite pas de nouvelles critiques et maltraitances de notre part pour « le corriger », mais mérite plutôt (et il le réclame à sa manière) que nous l’acceptions et que nous l’aimions tout simplement. L’amour est la seule chose qui peut lui redonner (qui peut nous redonner !) la paix, l’équilibre et la joie. Seul l’amour peut nous guérir…
Et cette conclusion n’est pas seulement valable pour notre être intérieur. Quand finalement nous comprenons ce qui se déroule en nous, quand nous comprenons que la seule réponse efficace envers l’autocritique ou l’auto-agression c’est l’amour envers nous-même (et particulièrement envers notre côté critique), on évalue immédiatement la portée universelle de cette conclusion. On commence à comprendre quelle est la véritable condition de « l’agresseur » : quelqu’un qui en réalité se punit lui-même, quelqu’un qui a un besoin urgent de se donner et de recevoir de l’amour, quelqu’un qui est incapable de donner de l’amour aux autres et d’en recevoir parce qu’il recrée et projette sur autrui son propre drame interne, et finalement quelqu’un comme nous qui a seulement besoin d’amour pour guérir… »


Axel Piskulic
merci à Tout est psychologie






On pourrait dire que je suis fainéante, de faire du copié collé ou que j’essaie d’argumenter mes croyances pour les consolider avec d’autres voix mais en fait, j’ai toujours été fascinée par les chorales qui expriment l’harmonie, l'idéal de société auquel j'aspire et c’est dans cette optique que j’ajoute de plus en plus d’écrits qui ne sont pas de moi, sur ce blog, mais qui résonnent tant, que j’aurais pu les rédiger moi-même.

Nous ne serons jamais trop à scander l’ultime vérité, celle qui peut changer totalement a face du monde :

Aime-toi entièrement, aime ton corps physique, tes défauts qui sont tes signes particuliers, ta singularité et qui ne demandent qu’à être aimés pour révéler leur puissance, dans l’équilibre retrouvé.
Quand tu reconnais ton humanité, ton unicité, tu trouve le divin et l’unité que tu as toujours été.


Pour finir, voici in lien qui permet de voir le film « La prophétie des Andes ». Je l’ai vu il y a déjà un certain temps mais je crois qu’une deuxième lecture sera des plus bénéfiques. Je vais pouvoir constater l’immense progrès accompli depuis 2006 à peu près. Je ne mémorise pas trop les dates, c’est peut-être avant mais peu importe, ce qui compte c’est de pouvoir constater à quel point j’ai ouvert ma conscience et aussi la société. C’est hallucinant de voir la vitesse à laquelle nous nous ouvrons à d’autres réalités, ou dimensions et c’est là qu’on peut constater sans aucun doute que nous vivons non seulement dans une période de révélations mais aussi de désagrégation des illusions, tant au niveau individuel que collectif. Puis l’élévation de conscience est maintenant évidente, nous avons bel et bien changé de monde !
Le film visible en cliquant sur le titre ci-dessous et au passage, pour ceux que a intéresse, vous pourrez aussi voir sur ce site, le spectacle interdit, "Le Mur" en version audio,  de Dieudonné M'Bala Bala qui malgré tout ce qu'on peut en dire, me fait toujours rire
Vous devrez attendre qu'apparaisse "start vidéo", en haut à droite du rectangle noir qui cache la vidéo, pour entendre le spectacle et voir le film. Il n'y a apparemment pas de pièges, de logiciel malveillant, en y accédant. 

Puis, la version audio du livre de James Redfield



C’est une autre façon d’aborder les choses. Pour le moment, je le laisse bercer par cette lecture et regarderais le film après. Puisque j’aurais très certainement des remarques à faire.
Je n'en suis qu'au tout début et déjà, je trouve tout ce que j'expérimente. C'est en fait la réalisation de ces prophéties qui doivent être vécues pour en saisir le "mystère" et en faire sa vérité, validée par l’expérimentation
Je commence à regarder de près ce qui concerne les extra-terrestres, enfin pour le moment à essayer de constituer un dossier constitués de messages et documents qui me semblent plausible, du moins utile pour notre progression. J’ai encore beaucoup de mal avec l’idée de sauveurs extérieurs et il y a un gros tri à faire dans les infos que nous recevons. On est très souvent à la limite de l’ingérence ! Il va falloir là aussi, trouver le juste milieu !...à suivre...


Vous pouvez diffuser ce texte et les photos de fleurs, à condition d’en respecter l’intégralité, de ne rien modifier (sauf correction des fautes d'orthographe), de citer l’auteur : Lydia Féliz, ainsi que la source : http://lydiouze.blogspot.fr  et ces trois lignes. Merci