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10 Je continue de relire et d’améliorer dans la forme afin que ce soit plus
lisible, ce que j’ai écrit en 2012 et publié en 2013, à la création de ce
blog.
Je peux voir combien le fait de pacifier la relation à soi libère de
nombreuses croyances erronées et rend plus fort, confiant, présent.
L’envie de
manifester l’amour inconditionnel doit s’installer d’abord en soi, se vivre en
conscience. Et cela change notre relation aux autres tout naturellement, sans
qu’on ait même le besoin ou l’idée de les changer.
C’est la manifestation de
l’amour véritable qui n’impose rien aux autres mais qui vient du choix
individuel de se positionner au centre. Ma façon de provoquer de l’époque
répondait à mon propre désir d’autonomie et au dégoût pour les manipulations en
tout genre.
Là encore, c’est en apprenant à devenir responsable de moi-même,
consciente de mes besoins et prête à les assumer en conscience que le respect
de soi s’installe.
Dans ce choix d’accueillir plutôt que de rejeter ce que
je percevais comme négatif, que la paix demeure et que l’unité, l’amour vrai,
s’installent en profondeur.
Ce qui se passe dans le monde ne m’affecte plus
autant parce qu’en accueillant mes propres « ombres » ou en éclairant
de ce regard neutre, compatissant, les aspects internes en souffrance, qui sont
dans le doute ou la confusion, j’intègre pas à pas la permissivité qui est
autant un des attributs de l’amour inconditionnel qu’un des aspects de la loi
de création délibérée.
Cette loi qui demande de se connaitre en profondeur, de
faire face à ses émotions refoulées, de lâcher la notion de jugement, afin de
déterminer ce qu’on veut vraiment, ce qui compte pour nous et d’en faire une
priorité.
Ce qui compte pour nous même et qui ne correspond pas nécessairement
aux attentes extérieures.
Bien qu’au fond, nous aspirions tous à vivre dans la
paix et l’harmonie, le respect mutuel, l’amour, la façon d’y arriver n’est pas
la même et c’est cela qui nous différencie des autres. C’est cela qui est
magique en cette vie, c’est de pouvoir s’affirmer en tant qu’individu unique,
manifester notre essence en conscience et par choix.
Tout
le monde cherche à se nourrir d’amour mais dans l’ignorance de qui nous sommes
en essence et en vérité, selon qu’on se fie aux apparences, à nos pensées de
jugement, ou à notre intuition, à la connexion à la source intérieure, le
résultat ne sera pas du tout le même.
Le besoin d’amour nourrit dans la
relation à la source en soi et le désir de paix et d’unité intérieures, comble
un individu qui peut alors aimer l’autre sans conditions, sans attentes, dans
le détachement. C’est cela qui est magique et qui de plus valide l’intuition à
propos de l’unité entre toute vie.
Le besoin d'amour nourrit par la relation aux autres dans l'attente de reconnaissance, de recevoir cet amour de l'autre, rend dépendant et place automatiquement dans un jeu de dominant, dominé. L'amour devient alors une sorte de pouvoir, une forme de domination, d'échange gagnant/gagnant au mieux mais dans tous les cas, on est enfermé dans une relation de dépendance où la sexualité est un facteur non pas d'échange mais de négociation.
Au
sujet de la réincarnation, j’ai changé peu à peu mon point de vue qui est moins relatif
au besoin de reconnaissance intérieure et extérieure mais plus près de ce que je ressens et
pense aujourd’hui. Reconnaissance intérieure dans le sens où on veut voir, connaitre l'âme selon des concepts religieux, des croyances, des attentes spécifiques, selon ce que les autres en disent, selon l'expérience de ceux qui se disent "maitres" ou qui disent connaitre La vérité. Bien que les croyances, les conditionnements, les stratégies et les jeux de rôles soient universels, la vérité est subjective. Chacun est unique et détient sa propre vérité, son interprétation unique de ce qui est.
Croire que nous avons vécu plusieurs vies, c’est un concept qui
découle du point de vue de l’individu qui se croit isolé, séparé de la source
et de la notion de temps linéaire. On s’attache à d’anciens enseignements dont
on oublie le contexte d’alors, les connaissances et le degré d’évolution des
consciences de l’époque.
Cette idée de réincarnation n’est ni vraie ni fausse,
c’est juste une question de point de vue, de positionnement intérieur, une interprétation des notions d'immortalité et d'évolution, selon notre perception humaine du temps.
Je
me rends compte en fin d’après midi que la relecture de ce que j’ai écrit cinq
ans auparavant, laisse tout de même quelques sensations de malaise. Comme un
mélange de nostalgie due à la désillusion de l’après 2012 et un malaise dû à
l’autocritique.
Je ne m’y attache pas mais je note tout de même que le système
de refoulement s’est mis en place. L’habitude de feindre l’insensibilité soit
en tournant les propos en dérision ou en se disant que ça n’est rien, est bien
ancrée mais c’est une façon de nier ce qu’on ressent.
Et du coup, ça prend de
l’ampleur peu à peu, des énergies de mal-être sont attirées par les émotions
refoulées et ça finit par miner le moral. Ce réflexe de détourner l’attention
est tellement automatique qu’on ne s’en rend pas compte et c’est comme ça qu’on
risque de sentir son taux vibratoire baisser sans plus savoir quelle en était
la cause.
Il est vrai qu’il y a aussi les égrégores ou les énergies ambiantes
qui peuvent en rajouter d’où l’importance d’apprendre à ne pas minimiser ce qu’on
ressent dans l’instant.
Et en général quand on se sent dépassé, on aura
tendance à croire que l’extérieur, que les égrégores sont la cause de notre
mal-être. Ils y participent par la nature même de l'énergie et selon les lois universelles d'attraction, de résonance.
Le fait de savoir que nous sommes des êtres énergétiques et qu’il n’y
a pas de séparation mais un phénomène d’attraction par effet de résonance au
niveau de l’énergie peut amener de la confusion.
Il est bon dans ces cas là de
se souvenir que pour poser des limites au niveau de l’énergie, c’est toujours
en revenant à ses propres sensations et en les offrant à la source. Ou en les
laissant s’exprimer tout en observant avec du recul. En revenant à la paix
intérieure, on va sentir comme un allégement au niveau de l’énergie.
D’ailleurs
ces phénomènes liées à la nature de l’énergie, illimitée et sans frontières,
sans séparation, expliquerait à mon sens, le fait qu’on puisse entrer en
contact avec des êtres décédés, avec des entités et des autres manifestations
de l’âme.
Il semble que plus on s’ouvre à ces autres réalités parallèles
intellectuellement, ou par la médiation, la connexion avec l’âme, plus on est
tourné vers les mondes subtils ou plus on est attentif à ce qu’on ressent et
perçoit et plus on est à même de faire des rencontres avec des êtres des
sphères invisibles à l’œil nu.
J’ai
eu cette sensation plusieurs fois et surtout le 21 décembre 2012 lors d’une
médiation suggérée par Marie Madeleine canalisée par Pamela Kribbe. L’effet de
résonance et le fait d’ouvrir sa conscience à ces réalités nous place en état
de recevoir. Plus on est conscient de l'âme et plus on pénètre son "espace", plus on perçoit ses "habitants"
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10 Et bien ce matin, c’est encore un passage à vide, sans envie, sans
motivation mais la différence avec le passé c’est que je m’en fous ou du moins
que je ne m’attache pas à ces sensations de perte, d’ennui, cette sorte de
mélancolie.
C’est clair que les ajustements, les harmonisations qui se
réalisent en coulisse ou dans l’invisible, sont continues et naturelles ou
logiques puisque tous nos corps s’épurent et s’alignent à la nouvelle réalité.
Enfin ils se conforment à la conscience humaine, à sa nouvelle façon de
percevoir les choses et de se situer. Puis tout ce qui se passe en ce monde a un impact sur l'ensemble au niveau énergétique, émotionnel, mental. Les révélations au sujet du comportement abusif de hommes de pouvoir impactent le collectif et chaque individu. Même si on ne lie pas les infos et si on ne veut pas entrer dans les polémiques, on est affecté au niveau énergétique, cela éveille en soi, les parts blessées...
Un des intérêts d’apprendre le
détachement, c’est qu’on ne cherche plus trop à comprendre ce qui de toute
façon n’est pas du ressort du mental.
Chaque aspect de nous-même à sa propre
vision, perception et son propre rôle à jouer.
Le monde illimité de l’âme ne
peut pas être appréhendé par l’intellect et encore moins contrôlé. On peut
seulement s’ouvrir afin de recevoir, d’être réceptif et ouvert, attentif à
laisser les pensées sombres passer sans s’y attacher.
Le
malaise de ce matin vient du fait que je me sois reproché ce manque de
motivation qui me tient depuis hier. Alors j’ai confié à la source le soin de
rétablir l’équilibre et l’harmonie intérieurs. Je sens beaucoup de lourdeur
dans le ventre à la limite de la nausée et l’irrégularité de mes passages sur
le trône confirment que des ajustements s’effectuent, qu’il y a des blocages.
Là encore, inutile de chercher le pourquoi du comment, laisser venir ce qui
peut émerger et ne pas s’y attacher, c’est encore ce que je peux faire de
mieux.
Je me disais que je devrais aller au jardin et continuer le ménage
d’automne mais là encore, j’offre à la source ces pensées qui nourrissent le
manque d’amour, la dévalorisation de soi. Je sens bien qu’à chaque fois que je
me reproche le fait de fumer, mon taux vibratoire dégringole et je finis par me
sentir coincée.
Reconnaitre et accepter le décalage entre ce qu’on fait et ce
qu’on est, entre ce qu’on vit et ce qu’on voudrait réaliser, c’est déjà
rehausser le taux vibratoire, l’alléger. C'est aussi une façon de libérer les attentes, le modèle qu'on veut atteindre en vain et cette quête nous colle une pression très forte tout en abaissant l'estime personnelle.
L’estime de soi est attachée à l’image qu’on a de soi mais cette image est une
projection mentale de ce qu’on devrait être, elle exprime surtout le manque.
Elle met en évidence ce qu’on n’est pas, ce qu’on considère comme des défauts,
ce qui ne correspond pas à nos attentes.
Fonder l’amour de soi, l’estime de soi
sur l’essence ou la relation intime à la source en soi nous ramène à la
réalité, au fait que nous soyons multidimensionnels.
Cela aide à relativiser
les choses, à accepter le décalage entre l’humain et le divin, entre ce qui est
et ce qu’on voudrait être ou vivre, entre nos désirs conscients et nos
automatismes inconscients.
Pas
facile de comprendre et d’accepter l’idée que tout dépende de la vibration qu’on
porte et que c’est en apprenant à la maintenir dans la paix, sans forcer, sans
vouloir contrôler les choses, qu’on se prépare un bel avenir tout en étant à
l’aise au présent.
Le
lecteur de musique me sort à l’instant de sa liste aléatoire, le passage du
livre audio d’Esther et Jerry Hicks qui canalisent Abraham. Et c’est
précisément au sujet des lois universelles parce que ce passage explique
non seulement les lois universelles d’attraction, de création délibérée mais il
met l’accent sur le fait que nous soyons à l’étape où nous apprenons à intégrer la loi de permission.
Et le sujet
est bien celui-là puisqu’il s’agit de développer l’amour inconditionnel en soi.
Ce qui implique de lâcher le modèle de perfection qu’on s’impose en s’acceptant
comme on est maintenant. Voici le lien des livres audios d'Esther et Jerry Hicks qu'on trouve sur Youtube: livres audio canalisations Abraham
Il
explique que les âmes ont intégré la loi d’attraction et d’ailleurs, cela se
manifeste clairement dans le fait qu'il y ait des groupes, différentes classes sociales, les
milieux où les gens se rassemblent selon leur position sociale.
Et là
encore, c’est l’amour qui peut rompre ces clivages comme le raconte l’histoire
de Roméo et Juliette bien que ça finisse mal.
Puis
celle de la création délibérée a été expérimentée à travers la magie blanche ou
noire, la prière, l’invocation, ça se sont les façons d’interpréter et d'utiliser le pouvoir
du verbe, de l’intention.
Maintenant, nous sommes en train d’intégrer,
c'est-à-dire de comprendre et d’accepter la loi de la permission. Les lois
d’attraction et de création délibérée ont été vécues à travers les jeux de
pouvoir, selon l’idée que le pouvoir est la domination, le fait d’exercer le
contrôle sur les autres et sur soi aussi puisqu’on considère que quelqu’un qui
réussit est une personne qui sait s’affirmer, qui peut coller au modèle prédéfinit, celui qui est perçu comme idéal par la majorité ou même simplement par l'individu lui-même. Mais en général ce modèle qu'on choisit et qu'on veut suivre, c'est celui que la majorité porte aux nues.
On
peut voir que les mentalités évoluent, que les gens dans l’ensemble sont moins
sexistes, racistes, plus tolérants, qu’ils comprennent de plus en plus le fait
que nous soyons tous égaux en droits. On sort peu à peu des clivages, des frontières, des limites...et au niveau individuel de notre zone de confort, donc des croyances communes, des conditionnements...
On est plus permissifs, plus évolué
dans notre compréhension de l’humain, de son aspect psychologique, atomique, cellulaire, génétique... mais on
continue d’être dans le contrôle.
On le voit au travers de la bio-ingénierie,
des manipulations génétiques, la chirurgie esthétique…La vision de l’éducation
change aussi on admet que la motivation est un facteur déterminant,
qu’apprendre dans la joie est plus productif que par le système de punition et
de récompense.
On
comprend mieux aussi, au niveau individuel où se situe la véritable estime de
soi et quels sont ses piliers, comment la bienveillance permet à l’enfant de se
construire, de se développer dans les meilleures conditions. On admet que les
gènes ne sont pas les seuls facteurs déterminant d’un individu, qu’ils peuvent
être modifiés. On comprend mieux aussi la force des croyances, des pensées, des
émotions, comment elles déterminent notre comportement, notre état d’être,
notre santé, notre présent et notre futur.
On a élargi notre vision au sujet de l'amour, du désir, de la sexualité qui ne sont plus isolés les uns des autres mais qui sont perçus maintenant comme des énergies issues de la source, comme l'expression même de la Vie, de l'âme, le désir de communion, de fusion, d'unification. On comprend mieux le pouvoir de l'amour en tant que vibration à rayonner de l'intérieur et surtout sans conditions, sans attachement et sans attentes...
Même au niveau de la création d'entreprise, de tout désir de création, l'amour ou la motivation, est l'énergie motrice, l'énergie du succès, et en même temps, celle de la réalisation.
Idriss Aberkane motivation
Au
sujet des différentes incarnations de l’âme, et d’un point de vue linéaire, on
considère qu’un individu a vécu plusieurs vies mais c’est l’âme qui se
manifeste en différents corps, sans limite de temps ni d’espace de par sa
nature vibratoire, ondulatoire, illimitée et multiple.
Nous avons accès à ses
autres incarnations au travers de nos gènes, de la mémoire souvent traumatique
et inconsciente mais elles sont présentes en tant qu’expérience à vivre et à
transmuter. Des expériences que les autres "sois" ont mal vécu, ou de façon
traumatisante, incompréhensible.
Et à mon avis, l'âme n'en souffre pas, elle ne fait qu'emmagasiner les expériences et les claque sur le modèle géométrique parfait dans le sens de "clair", harmonieux, d'où ressortent des zones d'ombres qui devront être éclairées. Là encore, je ne sais pas expliquer ce que je perçois puisque c'est intuitif.
Ces mémoires s’activent en nous dès la
naissance et on peut y accéder quand on fait des méditations ou quand on vit
des situations où le même schéma ‘problématique’ est à l’œuvre.
Plus les
individus sondent leur profondeurs et plus le voile qui sépare les mondes, les
dimensions, devient mince, plus on communique avec l’âme et plus on peut percevoir
ses mondes, les entités qui les peuplent.
La science admet l’existence de
mondes parallèles et c’est aussi la conséquence de l’évolution des consciences
tant au niveau individuel que collectif. Car pour qu’une interprétation de la réalité
soit admise par la science, il faut aussi qu’elle le soit par le collectif.
Bien que très souvent il y ait un immense décalage entre la proclamation d’une
théorie avancée par un scientifique et la perception du collectif, on peut voir
au fil du temps que cet écart diminue considérablement.
Le processus est
toujours le même face à une nouvelle théorie, au départ elle est considérée
comme ridicule puis elle devient acceptable et enfin elle est commune, normale.
Là encore, Idriss Aberkane explique bien ce phénomène au travers
d’exemples concrets, dans une vidéo que j'ai déjà publiée.
Pour
ce qui est de l’addiction à la clope qui me dérange de plus en plus, j’ai
offert à la source toutes les pensées liées à cela, accueilli les aspects
internes qui veulent mourir, ceux qui sont désespérés face à l’état du monde,
mais aussi ceux qui veulent rayonner la joie de vivre, respecter le corps
physique, ceux qui veulent évoluer, nourrir l’espoir, l’amour…juste reconnaitre
et offrir ou embrasser.
L’idée d’aller marcher s’est manifestée aussitôt et là
encore, les douleurs aux jambes, aux pieds ont suscité des peurs, de la
culpabilité, des questions que j’ai aussi confiées à la source.
Maintenant
l’idée de changer ma façon d’aborder les journées revient comme une évidence.
Commencer par aller jusqu’à la rivière en faisant une pause pour saluer mon
pote le chêne, peut être une bonne façon de s’aligner, de s’ancrer et de
déclencher le désir d’agir. Et bien sûr de faciliter la circulation sanguine
tout autant que la joie puisque les deux sont liées.
Reconnaitre ce qui est
dans l’instant, offrir à la source le soin d’harmoniser les énergies, d’aligner
les corps sur la fréquence de l’unité, de la paix, de la coopération, amène nécessairement à
vibrer cela et de nouvelles idées émergent, un élan spontané d’agir de créer
son monde selon ses aspirations profondes. On voit mieux ce qu’on peut
améliorer en ayant observé sans juger.
19/10 Il restait une zone d'ombre dans mon raisonnement parce qu'en fait, il ne s'agit pas de programmer un nouveau quotidien qui sera répété au fil des jours mais bien d'apprendre à suivre l'élan du moment, à revenir au cœur quand ça s'embrouille pour suivre à nouveau la joie, le désir.
Puis c'est tout à fait logique puisque nous sommes créateurs, ce qui implique de s'aligner à l'aspect intérieur qui créé, c'est à dire à l'énergie du désir, de vie, à l'âme, à la source.
Pour que ma vision, ma compréhension, s’éclaircissent à nouveau, j'ai dû reconnaitre et accueillir la colère face à la violence de ce monde qui veut tout contrôler...comme je le fais lorsque je veux programmer les choses...le schéma des violences faites aux femmes est l'expression du masculin contrôlant et du féminin qui se révolte.
En ce sens, s'ouvrir et observer avec neutralité, c'est permettre au masculin et au féminin en soi de cohabiter en bonne intelligence, de coopérer au lieu de lutter.
Reconnaitre et offrir à la source, la colère envers elle, envers l'âme, qui laissent faire...et heureusement que c'est le cas sinon comment pourrions nous apprendre, comprendre, incarner l'amour...
Et oui pour intégrer la source, ou du moins reconnaitre ce qu'elle est, manifester cette essence en conscience, il faut pouvoir faire des erreurs, connaitre les pôles contraires, l'effet de la dualité...reconnaitre ce que sont l'amour et la conscience élargie et c'est ainsi qu'on intègre la loi de permissivité...
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« Journal de bord d’un humain divin comme tout le monde » ou http://lydiouze.blogspot.fr