Je suis
toujours à réfléchir à la notion de liberté et je me dis que c’est un concept
impalpable, absolu. Le seul moyen de le savoir ce qu'elle est, c’est de le ressentir par
contraste. Comme tout concept abstrait.
L’amour n’y échappe pas. Si on veut savoir ce
que c’est, il faut le ressentir et encore on ne sait jamais très bien si c'est de l'émotion ou un sentiment profond.
On a vite fait de faire l'amalgame.
L'amour divin, il me semble, qu'il naît dans le cœur mais qu'il se diffuse aussi en chaque corps.
Il nous a fallu vivre des situations diverses et variées pour pouvoir le définir, par contraste, comparaison.
Ce
qui m’amène au sens même de l’incarnation et à l'intérêt de l'expérience de la dualité.
Il fallait venir sur terre pour comprendre dans la chair, la théorie enseignée dans l’éternité, dans le monde de l’avant ou de l’après vie sur terre.
Il fallait venir sur terre pour comprendre dans la chair, la théorie enseignée dans l’éternité, dans le monde de l’avant ou de l’après vie sur terre.
Il est vrai que la théorie ne remplace pas l’expérience et c’est ce
que nous sommes venus faire.
Ce qui rend le parcours difficile, c’est le fait d’oublier
que tout ça n’est qu’un jeu, une exploration.
La sensation de tourner en rond
refait surface, l’impression de déjà dit, ressassé, répété. Pourtant j’avance,
je sens bien que ma vision des choses s’est drôlement allégée.
Ma façon de
penser aussi est bouleversée et même si je n’arrive pas à créer en conscience
ce que je veux, je suis déjà moins affectée par tout ce qui arrive.
Je me dis
que mon inconscient garde encore l’idée que l’apprentissage ne peut pas se
faire autrement que par contraste.
Que je ne peux apprécier le jour s’il n’y a
pas la nuit. Chercher et reconnaitre la lumière si je ne suis pas dans l’ombre.
Je
peux mieux sentir la joie quand elle remplace les pleurs.
Apprécier la santé quand je suis guérie d’une maladie.
Qu’être en haut ou en bas, c’est déjà
se situer, se rassurer, se dire qu’on existe.
Mon ego se rebelle à l’idée que
la seule chose à faire, c’est d’être, et que ça suffit à exister.
Il veut sans
cesse prouver qu’il existe et qu’il est, qu’il y a quelque chose à dire quitte à
se répéter.
Comme si
le doute venait pour amplifier ma foi, pour la rendre vivante.
Parce qu’une
fois que je me dis qu’il suffit d’habiter ce corps, pour être ce que je suis,
il n’y a plus rien à cogiter, plus rien à se raconter.
Si je
peux me détacher de ce que je vis en étant spectateur, encore faut-il que j’accepte
d’être acteur. Que j’accepte d’avoir des émotions...
Que je lâche ma peur d'aimer et d'être aimée.
Que je m'autorise à ressentir l'amour divin en moi.
Pour cette raison, être dans l'acceptation me permet de lâcher la culpabilité née du sentiment d'indignité, d'illégitimité.
17h42
Le
fait d’avoir abordé le sujet de la mort, ce matin, semble avoir réveillé de vielles
peurs. Pourtant depuis longtemps, ce que je crains le plus, c’est la souffrance.
La mort me semble plus être comme une délivrance.
Et quand je commence à
vouloir la souhaiter, je me dis: "ben non, maintenant que je sais ce que je suis,
je pouvoir le vivre dans la chair, en vrai".
Maintenant que je suis convaincue d'être éternelle au niveau de la conscience, il n'y a aucune raison que des peurs soient présentes.
C'est oublier que l'inconscient, est aussi de la fête!
Je suis
allée lire quelques textes écrits par d’autres personnes qui croient aussi en l’humain
divin et je suppose que c’est la loi de résonance qui m’a fait tomber sur des
messages qui sont aussi sombre que mon état d’esprit.
Je ne vais pas faire
comme d’habitude et tenter de rehausser mon taux vibratoire en lisant des mots
d’encouragement, remplis de joie ou de douceur ou en me remplissant d'amour et de lumière.
Je laisse aller ce qui est là,
sans m’y attacher, sans vouloir le changer, ça finira par passer. Je peux faire
diversion mais le fond sera quand même là et me mentir ne fera pas avancer les
choses.
Je vais
essayer de m’adresser à cette tristesse, l’interroger.
Je me
suis endormie ! Carrément, comme si le fait de ne pas vouloir lutter
contre ce qui était là, m’avait détendu au point de m’endormir, de tout lâcher.
Le réveil n’est pas désagréable et le froid me pousse à m’activer.
Je vais me
refaire des choux. Le four allumé réchauffera au moins la cuisine et la
dégustation sera la récompense de n’être pas tombée dans le piège des
lamentations.
Je ne cherche pas à comprendre puisque la tristesse est partie
comme elle était venue.
Je me dis que ça devait être ainsi et que j’ai dû libérer
ce qui avait besoin de l’être.
Quand on
s’acharne à vouloir comprendre des choses qui n’ont pas de sens apparent, on ne
fait qu’augmenter le malaise en focalisant dessus.
J’aurais
pu chercher à contacter ces personnages que j’ai incarnés mais puisque cette
vie est la synthèse des autres et qu’elle contient tout ce qui me reste à
comprendre, il n’est pas nécessaire d’aller m’y référer.
Cette expérience
passée de contact, a eu sa raison d’être puisqu’elle m’a conforté dans la foi en ma multidimensionalité, en la réincarnation, en l’humain divin et tout ce que j’ai
pu lire à propos du 21 décembre.
Enfin tout ce que j’ai lu qui résonnait en
moi, qui trouvait écho en mon cœur.
Les messages annonçant la venue imminente d’extra-terrestres
sauveurs je n’en tiens pas compte tout comme ceux qui disent de suivre quelqu’un
d’autre que soi, qui parlent de sauveur ou qui déresponsabilisent l’humain, le
dévalorisent ou l’encensent un peu trop. Ils sont sûrement utiles mais ne sont pas pour moi.
Je suis
assez rassurée de constater que la plupart des personnes qui tiennent un
discours qui me correspond, évoluent vers l’amour inconditionnel, la notion d’unité,
l’acceptation de tout ce qui est.
Petit tour sur la presse galactique, la pensée du jour:
« À partir de la perspective physique, la plupart d’entre vous croient que leurs convictions sont les bonnes, et si vous êtes en désaccord avec quelqu’un c’est que l’autre doit se tromper. Mais à partir du point de vue Non-Physique, ça n’est pas vu comme vrai et faux. C’est vu comme la diversité puissante qui stimule la pensée, et à partir de la perspective Non-Physique, vous aimez cette diversité. »
Abraham, 15 février 1997 Traduction AD Page d’origine : http://www.abraham-hicks.com/lawofattractionsource/index.php
Tout à fait d'accord, monsieur Abraham!
Voyons ce qui résonne sur le site « du ciel à la
terre », de Monique Mathieu, en piochant quelques clefs de sagesse, au "hasard".
Clef 47
Vous devrez être de plus en plus attentifs aux manifestations de peurs ou de soucis qui pourront vous assaillir car de plus en plus vous serez confrontés à cela. Bénir vos peurs c’est éclairer l’obscurité et vous savez que lorsque vous projetez la Lumière sur l’obscurité celle-ci disparaît, elle est annihilée.
Oui, toujours en plein dedans. Je suis toujours épatée de
voir à quel point ça correspond à mes pensées du moment. Remarque, elles sont
un peu en vrac, il y a un peu de tout mais le fond est le même.
Clef 605
Vous êtes dans la renaissance, c'est à dire que vous allez renaître à vous-même, à votre vraie réalité, et toute naissance est douloureuse parce que vous sortez d’un contexte pour entrer dans un autre. Vous allez quitter un milieu de vibrations très basses pour aller de plus en plus rapidement vers une vibration réellement très importante. Plus vous vous laisserez aller vers cette vibration, vers cette transformation, plus vous direz :
" j’accepte tout ce qui m’arrive, j’accepte de perde mes repères, j’accepte que mon corps me fasse parfois souffrir".
"j’accepte de tout mon cœur et de toute mon âme d’aller vers la Lumière
et l' Amour, d’aller vers ma très grande transformation".
C’est
aussi ce que je fais, sans que ce soit de la résignation. C’est plutôt un
genre de confiance et aussi le fait que je me dise:
"Maintenant, je ne peux plus
reculer. Non seulement j’en perdrais la raison mais comme ça devient de plus en
plus excitant, je ne lâche pas l’affaire !
Pour ce qui est des douleurs, je
suis servie mais ça reste léger et surtout, je n’y prête pas vraiment
attention, je n’en rajoute pas.
Tout comme les pensées qui débarquent de nulle
part, je me dis que ça passera comme c’est venu.
Clef 52
N’oubliez jamais que vous êtes parfait ! L’image d’imperfection que vous avez toujours de vous-même vous mène vers cette imperfection ! L’image de perfection que vous maintiendrez dans votre conscience vous ouvrira les portes non seulement de votre perfection mais aussi de l’Amour Universel et du grand Livre de la Sagesse qui sont en vous.
Là, c’est
la foi au dieu intérieur qui m’amène à y croire.
Hors contexte bien/ mal et même
au niveau du corps physique, il faut bien reconnaitre que tout est bien foutu.
Quand on
regarde de près le fonctionnement du corps humain!
La façon dont l’âme nous
amène sur des chemins d’ouverture de conscience et de cœur, on ne peut que se dire "tout
est bien", "Tout est parfait" !
Quand on connait la loi d'attraction, il est clair que si on nourrit des pensées de dévalorisation envers soi-même, on attire des situations qui vont nous le prouver.Mais chercher à nier des pesées négatives n'en retire pas moins l'aimantation qui se fait au niveau inconscient.
Il me semble donc, que la meilleure solution soit de l'accepter sans plus s'y intéresser.
Ce dire "c'est normal"je ne suis pas que joie, qu'amour...
Bon, j'arrête là parce que je vais repartir sur les explications que je viens de me dire, en haut de cette page!
Photo de zébrule trouvée sur MSN, la chaîne verte.