Ce
matin, je suis revenue sur terre dans un
état euphorique et une immense gratitude pour ce que j’ai vécu hier.
C’était plutôt rodéo mais quelles libérations à la clef !
Une journée
finalement très riche, remplie d’enseignements que je décrypte par images
concepts successifs et toujours par le biais de l’écriture spontanée.
Ce que
j’appelle mes diarrhées verbales enfin scripturaires, révèle des aspects de mon
être, tant ceux que je qualifiais de sombre que ceux autrefois étiquetés de
lumineux.
L’enfant intérieur s’exprime, enfin dit tout ce qui a besoin d’être
extériorisé et l’amour et la sagesse, le féminin et le masculin, assumés, répondent
ensembles aux interrogations émises par l’enfant. J’ai hésité trois fois à
publier la vidéo qui a attirée mon attention parce que mon mental qui a besoin
de cohérence et reste attaché à ses modes de compréhension, d’évaluation et ses
croyances, et il faisait barrage.
Mais
comme ce que j’ai vécu hier a grandement amplifié la confiance en soi, (limite
culot), j’ai décidé de ne plus rien retenir. Après tout, même si quelque chose
en moi craint encore la critique, la
désapprobation, une part qui prend de plus en plus de place, chérit la liberté
d’être, la franchise. Puis c’est en osant affronter ses peurs qu’on les
apprivoise et qu’on peut en voir toute la lumière et lire leur message.
La
plupart du temps, tout ce que nous vivons, a deux raisons d’être, enfin une
dont dépend tout le reste ; s’aimer sans conditions. Cet
« état » amène la sagesse, la guidance, révèle la lumière que nous
sommes et que nous exprimons depuis le cœur lorsque l’amour de soi est certain,
nourrit, vivant, vibrant.
Finalement
tout ce que nous faisons nait de l’amour. C’est la personnalité limitée par les
croyances basées sur la peur et le rejet de soi qui nous fait croire le
contraire.
Puis
concernant la peur de vos réactions, la peur de « perdre des lecteurs »
et à travers ça, de me sous estimer, elle se désagrège par l’expérience de
l’amour en moi, de la reconnaissance de ce que je suis en vrai et
entièrement : l’amour et la lumière.
Et pour ça, pas besoin de se la péter
puisque tout le monde est constitué des mêmes énergies. La seule différence,
c’est que je commence à le reconnaitre, à en être sûre et à en voir l’aspect
« magique ».
Enfin, l’aspect naturel mais cependant immense quant à
sa puissance créatrice.
Le regard de l’autre sur soi, est un puissant outil de
révélation, si on reconnait que ce que l’on voit et que l’interprétation qu’on
en fait, nous appartiennent. Qu’on projette nos croyances sur l’autre, sur son
attitude.
On voit l’autre exactement de la même façon qu’on se voit soi-même et
selon l’amour qu’on a vis-à-vis de soi, le reflet sera plus ou moins
douloureux.
Bon,
je fais un break pour aller sortir la chienne et prendre l’air. La marche
rapide quotidienne est encore d’actualité puisque mes jambes ont encore eu
tendance à gonfler hier soir.
J’ai demandé à mon corps physique pourquoi ça
continuait alors que je marchais tous les jours et là, la réponse a été
claire : "c’est pour que tu n’oublies pas ce rituel important".
Pas
seulement pour le corps physique puisque ce qui agit sur le physique et
prévaut, ce sont les croyances, les pensées et il est un partenaire, une guidance pour te ramener au
cœur, à l’amour et ainsi rayonner cette énergie en toi et autour.
Tu as
tendance à trop être dans ta tête, tes pensées, au mépris du reste et des soins
à porter à cette chair qui est ton lien avec la Mère, ta raison d’être ici.
En
revenant à ton corps, au moment présent tu sais que tu « accèdes » au
divin en toi, à l’éternité, non pas comme une fuite, une ‘démission’ mais comme
l’adhésion à ce choix de vie, la reconnaissance de ce qui t’a amenée ici, de ta
‘mission’, de ce désir d’unifier les dimensions de l’être, en ton cœur.
De
manifester l’essence amour lumière au travers de tous tes corps, membres,
extensions, manifestations multiples et infinies de la source jusque dans les
profondeurs de la matière. De rassembler dans l’amour pur, le haut et le bas,
l’infiniment grand et l’infiniment petit, le sombre et le clair…
Les
impulsions, idées qui te viennent sont toujours à ‘double’ sens, quand tu veux
agir vis-à-vis de l’extérieur, c’est toi-même que tu guéris, chéris, soigne,
libère.
Parce que ce faisant, tu créés des ponts entre les dimensions, avec les
autres, tu tisses une toile d’amour, de fil d’or entre tout ce qui est,
remplaçant les chaînes de l’enfermement, des conditionnements, des
attachements, par cette toile d’amour. Enfin tu dessines ce qui est déjà, tu le
reconnais, en fait ainsi ta vérité.
Tu
reconnais ainsi que c’est ta vision qui dessine ce qui est, qui te montre les
choses telles que tu les perçois. Et quand tu changes ton axe, quand tu
regardes depuis ton centre, au cœur de la croix, du vertical et de
l’horizontal, tu vois comme je vois, tu es toi et moi tout à la fois. Et tu
perçois aussi que nous sommes tout, de la même façon que l’autre et tout, toi
et moi, que tout est UN.
Je
suis touchée que tu me parles aussi directement et facilement ! Moi qui
attendais une voix autre que la mienne ! Et en même temps, il n’y a que
toi/moi qui pouvais convaincre ma personnalité humaine…
Voilà qui pourrait
paraître bien égocentrique ! Mais je sens que c’est juste et que ça ne
m’appartient pas, que cette relation intime entre l’humain et le divin est en chacun,
qu’elle est chacun et qu’elle est tout.
Je sentais que l’enfant en moi avait
raison de croire que tout est simple que l’amour est tout ; aussi simple
que complexe. Qu’il n’a pas de limite, de frontière, d’âge, de nom, d’époque,
de restrictions, qu’il est ici et maintenant autant qu’éternellement.
Au fait,
c’est toi/moi, qui t’amuses à monter la flèche des statistiques ? Le bond
à 1400 vues d’avant-hier été plutôt comique et factice puisque ça ne correspond
pas aux nombres d’articles lus. Et c’est toujours relatif au choix de prendre
soin de moi, de ma réalité dans l’instant, de lâcher les jugements, de prendre
soin du corps physique, de lui parler, bref un acte d’amour envers ce que je
suis. Puis l’occasion de lâcher la peur du rejet qui fausse totalement les
relations.
Les deux chats sont avec moi, en même temps et totalement détendus,
ce qui est plutôt rare ! Là aussi, c’est le signe qu’il y a unité en moi…
Le
petit tour matinal est toujours revigorant et en fait, j’ai fait mes courses.
Je suis passée à la pharmacie pour badigeonner mes mains de sève de plante à
verrue. Elles me sortent de temps et temps pour m’indiquer toujours le même
message ; revenir au cœur, rayonner l’amour divin à l’intérieur, sur tous les
corps, aimer Tout ce que je suis et encore plus ce que je regarde de travers.
Et comme ça se situe sur les mains, c’est lié aussi au pouvoir d’aimer, du don
réception qui demande à trouver l’équilibre…
Je suis allée au
« jardiland » couper six roseaux en prenant soin de laisser un bon
mètre avec au moins une pousse dessus. Remarque, c’est pour soulager ma conscience
parce que le roseau pousse à vue d’œil et les plantes n’ont pas du tout la même
façon de voir que nous. Elles portent en elle l’éternité par le seul fait de fabriquer
des graines qui leur assure une reproduction infinie.
J’ai aussi enregistré un
oiseau, véritable artiste que je n’ai pas réussi à voir. Lui aussi m’a enseigné
quelques vérités au sujet de la mission de vie, du mode de communication du
végétal et de ses porte parole…
Un
truc me questionne en ce moment, à propos des ‘missions de vie’. Déjà, je
n’aime pas trop ce terme qui réduit et fige dans les anciennes croyances à
moins justement de les amener au cœur, d’en profiter pour rafraîchir tout ça.
J’ai eu l’occasion il y a deux ans à peu près, de ressentir des âmes enfin d’entendre,
de percevoir des entités qui venaient au moment où j’effectuais la libération
d’une couche conséquente de peurs.
Il semble que le fait d’ouvrir son cœur, de
réaliser le processus alchimique et ainsi d’activer le portail du cœur, attire
des énergies semblables à celles qu’on libère mais qui viennent aussi par le
spectacle que ça doit créer au niveau énergétique puisque les énergies sont des
vibrations, des couleurs et aussi des sons mais ça, c’est une supposition parce
que je n’ai pas encore exploré cet aspect de l’énergie. A part le fait d’aimer
la musique et d’en jouer, je n’ai jamais envisagé l’aspect spirituel
énergétique de la chose. C’est plus la logique et la résonance que je ressens
en lisant des articles qui en parle que l’expérience directe qui me laisse
supposer que l’énergie étant une vibration, elle peut se percevoir par les
sons.
Quoique, après tout aimer la musique, en jouer et se laisser bercer,
embarquer par elle, c’est une connexion intuitive, nourrissante, avec le divin. On
se ballade dans les époques, les pays, les styles, on entre en contact virtuel
mais profond avec l’interprète tout comme lorsqu’on lit un bouquin, on touche l’auteur
de près. C’est un voyage qui en plus ne nécessite pas de psychotrope !
Nos
sens humains qu’on dit "basiques", qu’on écarte du spirituel, sont tout aussi
divins et honorables, importants que le sixième sens à qui on attribue tous les
pouvoirs.
Ils sont des portails énergétiques, des ponts qui relient l’humain physique
et éthérique, énergétique. Ils sont des ‘outils’ de communication, de
perception et donc de compréhension et surtout, ils nous donnent accès au
moment présent même s’ils ne sont que les portes.
Notre façon de considérer
l’humain divin de façon partielle, limitée, de catégoriser, d’évaluer en bien
et mal, spirituel ou non, nous limite grandement et nous empêche de reconnaitre
le divin en TOUT.
Bon,
je vais cueillir les fraises que je n’ai pas eu le courage de récolter hier. Je
préfère agir selon l’envie, avec enthousiasme plutôt que de faire les choses à
contre cœur. Tant que j’ai le choix, ça ne pose aucun problème d’autant que les
fraises se conservent mieux sur pied qu’une fois qu’elles sont cueillies.
Les
chats recommencent à se fritter, la trêve n’a pas duré longtemps.
Jusqu’à peu
je me disais que j’étais mal quand je commençais à prendre les doses de cachets
parce que ça me changeait, je portais un masque et par le fait je perdais
la connexion à ma vraie nature.
Mais il m’apparait de plus ne plus que c’est
plutôt le fait que je me critique, que je me reproche cela et que je croie que
ça me coupe de la source qui créé effectivement cette sensation de séparation
imaginaire.
La
personnalité humaine est tellement convaincue que l’amour doit se mériter, se
prouver, découler d’un comportement qui nous plait, nous convient, qu’il doit
avoir une raison, une filiation, une relation, un support en fait, que ça
fausse totalement les choses.
Puisque
l’amour lumière est notre essence, notre énergie vitale, on ne peut absolument
pas en être coupé, séparé, sinon on n’existerait carrément pas.
Seuls ceux qui croient
en être dépourvu, qui en font commerce peuvent dire que l’amour se gagne qu’il
est le fruit du mérite, du hasard, de la chance ou encore karmique, dans le
sens de ‘récompense’. Et je me compte dans les « ceux » mais j’en
sors !
Je
viens de me ressourcer au jardin où j’ai bricolé après ma récolte de 800gr
quand même. J’arrache des pieds à mesure que je vois qu’il donne des fruits
trop pleins de graines, pas très bons ou qui résistent mal au manque d’eau.
J’ai attaché les pieds de tomates aux piquets de roseau coupé tout à l’heure,
avec des bouts de mi-bas en nylon qui sont parfaits pour ça. J’ai acheté une
paire neuve puisque je ne mets pas se genre de truc en plastique et en plus,
j’ai laissé le stock que je trainais depuis quatre ans, dans l’Aveyron. C’est
idéal parce que souple et en même temps résistant.
Je
reviens sur le sujet des « passeurs d’âme » qui est remis sur le
tapis en ce moment de nombreuses manières. Par la page sur laquelle je bloque,
dans ma lecture du livre de Steve Rother : « r-appelez-vous ».
C’est justement ce sujet qui est abordé en termes "d’équipes de transition" et je
n’arrive pas à aller plus loin. J’étais allée jusqu’à la page 44 puis suis
revenue en arrière sans savoir trop pourquoi et en fait maintenant, je sais que
c’est pour cette raison.
Hier, j’ai refais la séance d’EFT dédiée à la
connexion à l’invisible proposée par Emmanuelle Ruiz. Cette vidéo dont j’ai
parlé quelques fois sans jamais oser la mettre en ligne pour son caractère trop
‘révolutionnaire’.
Pourtant, ça résonne fortement à bien des niveaux.
Le souvenir de la visite d'incarnations
passées ou présentes...le 21 décembre 2012. Les autres visites qui
correspondaient à des périodes où je libérais beaucoup de vieilles peurs,
celles qui n’ont rien à voir avec le présent, du moins l’incarnation actuelle,
qui ne trouvent pas de sens dans cette vie, n’ont pas de raison d’être mais
s’expliquent très bien justement par ces visites et le principe de
réincarnation.
Mais là aussi, j’ai plus l’impression qu’il s’agit plutôt de
vies simultanées. Bien que l’idée soit compliquée pour l’intellect, ça me
semble plus logique.
La séance d'EFT dédiée au contact avec l'invisible est
dirigé par une personne qui a un vécu similaire au mien avec quelques
différences mais on a pardonné en profondeur, enfin disons plutôt libéré les
blessures d’âme, les croyances restrictives et elle est maintenant coach,
guérisseuse et passeuse d'âmes.
Jusqu’à maintenant, j'avais tendance à me dire que le manque
cruel d’affection vécu dans l’enfance, amenait pour compenser, à se tourner
vers l’invisible, les animaux, les marginaux, tout naturellement parce la confiance
vis-à-vis des gens faux, enfin dits « normaux » a été détruite et que
ça faussait les choses, qu’on se faisait des films...
Mais en fait, tout ce
parcours permet de cultiver l’amour, de l’amplifier, par le pardon, quand il y
a résilience et par le fait d’ouvrir son cœur à ceux qui sont rejetés.
En constatant
que ceux que la société considère comme dangereux ou désaxées, inadaptés, le
sont uniquement par leur hypersensibilité et l’amour qu’ils ont pour toute vie,
pour les autres, les poussent à préférer se faire du mal à eux-mêmes plutôt que
d’en faire aux autres.
Il y a sûrement la connaissance profonde
de la souffrance et des séquelles que ça laisse sur la victime, qui font qu’on
ne va pas vouloir faire de mal aux autres et le fait qu’on s’en prenne à
soi-même qui vient du rejet de soi mais malgré tout, le parcours développe la
capacité d’aimer parce que quand on décide de s’accepter tel que l’on est, le cœur
s’ouvre immensément et tout se remet à sa juste place.
Puis si je reviens à mon
propre vécu, c’est par les décollages psychologiques, le mental qui s’échappe
de la réalité de l’instant pour ne pas souffrir du trauma et même si c’est un
réflex de survie, instinctif, que j’ai eu accès à ‘d’autres mondes’, d’autres
états psychiques.
La drogue m’a aussi amenée sur d’autres plans de conscience,
les champignons hallucinogène, les buvards, un genre de LSD, les pavots
cultivés pour la pharmacie et tous les dérivés d’opium qu’on trouve en vente
libre…tout ceci est utilisé par les chamanes.
Il est incontestable que ça ouvre
les perspectives même si le danger, c’est de rester scotché, déconnecté.
Bref,
tout ce parcours m’amène à lâcher pas mal d’à priori sur les étiquettes qu’on
colle aux individus, les motivations des gens et à constater que chacun cherche
l’amour mais aussi qu’il est l’amour et la lumière.
A travers ma propre
expérience, je peux comprendre l’autre, celui qui est exclu et témoigner des
bénéfices de la foi, de l’amour de soi.
Autant aux vivants qu’à ces êtres qui
se sont approché de moi par moment.
Déjà, je n’ai pas eu peur d’entendre ces
voix et c’est venu aussi, maintenant que je m’en souviens, juste après que je me
sois imaginé ce que pouvait vivre quelqu’un qui n’était pas conscient d’être
mort.
Un genre de mauvais trip où tu te retrouves dans un monde vide, noir en
étant vivant, en pouvant penser, avoir des émotions, des sentiments, te poser
des questions mais tu es seul, personne ne t’entend, ne te vois. Bonjour l’angoisse !
Pour cette raison l’idée qu’on se fait des gens décédés est manipulée,
distorsionnée par la peur, les croyances.
L’extra
lucidité que donne la prise de champignons hallucinogène peut s’expliquer par
le fait que le corps physique est en alerte maximale puisque c’est quand même
un poison. D’ailleurs je crois que l’amanite a faibles dosage, est un puissant
hallucinogène.
Bref, le souvenir que j’aie de ces trips, c’est de voir la
réalité d’une façon très crue et très réaliste, vivante. Comme si je percevais,
pas les atomes mais l’infiniment petit, la vibration, l'énergie, puis l’idée que le corps
physique n’est qu’un vêtement, une enveloppe, que nous sommes beaucoup plus que
ça, est venue à cette époque. Alors que je n’avais aucune idée de la
spiritualité.
Le seul truc qui m’a aussi marqué, à la même période, comme par
hasard, c’est d’être restée scotchée devant le film : "Jésus de Nazareth" de
Dino Zafarelli.
Je trainais tous les soirs, buvais de l’alcool à perdre tout
souvenir mais ce film m’avait maintenue en place, sans fumer, sans boire, à
pleurer par moments tellement j’étais touchée.
Peu après ça, je passais des soirées d’ivresse
incontrôlée et dangereuse, à la prise de
codéine qui m’a fait l’effet d’une montée au nirvana, d’une sensation de paix
mêlée à une confiance en soi plutôt forte.
Juste après, je prenais mon sac à
dos, ma chienne après avoir récupéré un accordéon diatonique, donné par un
routard que j’avais hébergé. Et en ayant appris à jouer trois morceaux ;
je savais que j’aurais de quoi vivre. J’avais gagné dix Francs en jouant mes
trois airs devant la cathédrale de Chartres et j’avais trouvé ainsi mon
autonomie et ma liberté ! J’ai bourlingué pendant deux ou trois ans,
faisant aussi les vendanges et surtout la fête, rencontrant des gens sur la
même longueur d’onde, épris de liberté, de voyage, de communion avec la vie, le
plaisir d’être…misant sur l’amour des gens, la fraternité, pour vivre, se
déplacer…
Tout
ça pour dire que mon parcours spécifique me préparait à être un portail d’amour.
Il a fallu du temps et des galères pour le comprendre et je ne suis pas au bout
des surprises, des plantages au niveau de l’interprétation ! Mais tout
ceci m’ouvre le cœur et l'esprit toujours plus.
Si
on croit que la mort n’est pas la fin et pour ça, les nombreux témoignages de
gens ayant franchi le voile, qui en sont revenu, se multiplient, on se pose la
question de ceux qui n’ont pas conscience d’avoir passé le voile. Puis nous sommes avant tout une conscience, une énergie pensante, et les découvertes
de la science, la science quantique vont dans ce sens, la logique veut que celle-ci
ne meure pas.
Sachant aussi que la conscience créé selon ses croyances, qu’elle
forme le monde qui l’entoure selon ce qu’elle croit, sa façon de se voir, celui
qui meurt en ayant tué d’autres personnes, en s’étant suicidé…s’il ne croit pas
à l’amour divin puisque pour en arriver à se donner la mort, il faut être
désespéré, le choc doit être horrible parce que la culpabilité peut créer un
décor des plus atroces.
J’imagine l’enfer que se créent des milliers d’être
mort violemment, ou même dans des circonstances « injustes »,
ou jugées comme telles ; un accident de la route, un assassinat mais cette
fois-ci côté victime, un lynchage, une mise à mort injustifiée…
Bref autant d’être
en souffrance qui erre autour de la planète, à tourner en rond, à s’accrocher à
leur ancien lieu de vie, aux énergies qui sont comme les leurs…
Sans aller jusqu’à
parler de personnes possédées ou de scénarios sortis des films d’horreur, par
la loi d’attraction, on peut se retrouver entouré d’entités paumées.
Je ne
pense pas qu’elles puissent avoir le pouvoir de nous nuire si on ne leur donne
pas l’autorisation. Si on ne nourrit pas soi-même les mêmes énergies, scénarios,
si on ne s’entoure pas de la même ‘déco’ vibratoire…
Puis il y a la mort de mon
frère à l’âge de vingt ans, dans des circonstances douteuses. Maintenant que je
sais qu’on créé sa vie selon ses croyances et la façon de se considérer, selon
les énergies qu’on porte puis que rien n’arrive par hasard, que tout ce que nous sommes est guidé par le divin. Je me demande si
mon frère n’attend pas de l’autre côté du voile pour me guider dans ce travail
de passeur d’âme. Puisque chaque libération importante, a été ponctuée par des rêves où je le voyais et ça évoluait à mesure que je lâchais la culpabilité. Dans ce "rôle", il faut un partenaire de l'autre côté et me connaissant, vu ma méfiance envers les médiums...enfin ma peur d'être manipulée qui n'est pas si mauvaise que ça puisqu'elle m'oblige à chercher à l'intérieur...ça ne peut être que quelqu'un en qui j'ai une totale confiance, un amour inconditionnel et libéré de l'attachement, du besoin, de la passion des sens; un amour fraternel.
Puis
je constate aussi que plus on accueille son ombre, plus on s’aime sans conditions
et plus notre regard vis-à-vis des autres change, on ne juge pas de la même
façon, on ne juge même plus. Enfin, plus trop. Je bloque encore avec le voisin
de jardin qui a mis sa barrière entre son bout de terre et le mien et que j’ai
surpris à balancer de cailloux de mon côté.
Ce matin, j’ai demandé à mon âme de
préparer le terrain pour une réconciliation. Mais, il est venu avec un appareil
sur le dos à vaporiser du souffre ! Il sait que je ne supporte pas. Je n’ai
pas été aussi perturbé qu’avant par de la colère, ou du ressentiment.
Je
continue de me dire « quel con » mais ça s’arrête là.
D’ailleurs, il
n’a rien vaporisé, il a désherbé à la main et n’est pas resté longtemps.
Je ne
lui ai pas parlé, j’ai préféré me taire et géré mon monde intérieur. En plus
comme j’étais en train de semer des fleurs, je ne voulais pas foirer le truc
par des énergies malsaines.
La
pensée du jour de Neale Donald Walsche :
« En ce jour de votre vie, je crois que Dieu
souhaite que vous sachiez …
que c’est mieux de faire maintenant ce que vous aurez à faire
tôt ou tard.
que c’est mieux de faire maintenant ce que vous aurez à faire
tôt ou tard.
Vous savez, dès maintenant, ce que vous aurez à
faire un jour ou l’autre.
Votre estomac vous le dit en ce moment même.
Vous ne voulez simplement pas l’écouter, pas le croire.
Croyez-le. Il sait, lui.
Combien de fois dans votre
vie devrez-vous vous le prouver ?
Vous n’aurez pas à penser plus d’une seconde pour
savoir exactement pourquoi vous avez reçu ce message aujourd’hui.
Avec tout mon amour, votre ami … »
Neale
Neale
Une
coupure de courant est intervenue alors que je faisais ma séance de relaxation
sommeil et quand je m’en suis rendue compte au réveil, j’ai râlé, accusé l’invisible
de me faire des sales coups par derrière puis la colère est partie en voyant
que malgré que l’ordi avait été éteint, ce que j’avais écrit tout au long de la
journée, n’était pas perdu…il n’a pas tout enregistré mais il reste l’essentiel.
Par contre, un autre doc que je voulais publier mais que j’avais totalement
remanié au point de ne plus ressembler du tout au message original a été perdu.
Un tri qui finalement me simplifie la vie et me ramène à l’essentiel tout comme
cette pensée du jour.
Bon, je ne force rien, ne précipite rien, laisse venir
les idées, continue d’apprendre à lâcher prise afin d’être le plus possible
dans l’amour, la paix enfin, l’acceptation de ce qui est. Puis pour les vidéos d'Emmanuelle Ruiz, on verra aussi comme ça vient.
Vous
pouvez diffuser ce texte à condition d’en respecter l’intégralité, photos du jour comprises; de ne rien
modifier (sauf correction des fautes d'orthographe), de citer l’auteur :
Lydia Féliz, ainsi que la source : http://lydiouze.blogspot.fr et ces trois lignes. Merci