mercredi 9 septembre 2015

« La révolution interne; un mouvement répété, en spirale expansive »







La lecture de l'article de Chantal Attia arrive au moment où j’envisage les bouffées de chaleur comme une forme d’auto-régulation énergétique que j’ai choisi d'accompagner. Plutôt que de râler, de me plaindre et de cette façon, d’y résister, j’expérimente l’acceptation de ce qui est, par le dialogue avec le corps physique, les corps subtils, afin d’accompagner ce travail interne. 
Je pensais hier, qu’il était dommage d’attendre de souffrir, qu’il y ait un dysfonctionnement interne, pour oser s’adresser à cette intelligence divine qui habite le corps humain. D’un autre côté, c’est assez logique dans ce monde de contraste où nous agissons par stimulation.
Lorsqu’on est malheureux, on cherche l’amour, le bien-être et c’est souvent là qu’on trouve la paix. De la même façon une émotion dite négative nous pousse à chercher son contraire. Puis par l'alchimie des pensées émotions, on découvre, par effet contraste, en prenant du recul, la source d'amour lumière que nous sommes en vérité.

Savoir que les différents corps qui nous composent sont intelligents, vivants, autonomes et réceptifs, a changé ma perception de ce que je suis et me pousse à dialoguer avec ces aspects de l’être dont chacun est indispensable au bon fonctionnement de l’ensemble. 

C’est l’intuition, le ressenti, qui m’ont amené à agir de cette façon à leur égard et là encore, c’est un signe de cette intelligence, de cette sagesse innée, qui habite chacun.
Et ce qui me pousse à persévérer en ce sens, c’est que ça marche !

C’est subtil mais par exemple, pour les bouffées de chaleur, lorsque je demande à la source d’équilibrer les énergies en moi, à mes corps de se « donner la main » afin de canaliser les énergies de façon harmonieuses, elles diminuent considérablement en intensité et durent moins longtemps.

Depuis que j’aie foi en l’humain divin et que j’ai guéri de deux hépatites de façon spontanée, en embrassant la foi au Christ, j’appelle mes cellules à activer la santé parfaite, la jeunesse éternelle, le programme de régénération cellulaire. De même par l’alchimie émotionnelle, les énergies s’équilibrent, s’harmonisent et la paix qui vient avec la joie sont la preuve de l’intelligence vivante des corps.

Nous n’avons rien d’autre à faire que d’autoriser les corps à s’harmoniser en ne résistant pas, en faisant en sorte de maintenir la paix et la joie en nous-même.

Les problèmes de circulation sanguine selon Lise Bourbeau, sont dues au manque de joie et depuis que je le sais et agis en conséquence par la libération des fausses croyances basées sur les blessures du passé que je libère en acceptant ce qui est, je ne vois plus les symptômes des artères bouchées.
On m’a posé des stains (ressorts) et dit que ce problème était dû au fait de fumer. 
Comme je ne me sentais pas capable d’arrêter puisqu’au niveau émotionnel et mental ça me collait trop de pression et que je sais par expérience que les pensées telles que la peur et la culpabilité sont hautement toxiques, j’ai préféré agir sur les corps mental et émotionnel, avant toute chose. J’ai arrêté de fumer les trente pétards d’herbe quotidien afin d'être plus consciente, ancrée, diminué ma consommation de cigarette et me suis attelée à la guérison des blessures de l’enfance puisque ce sont elles qui généraient mon comportement toxique.

Le manque d’amour de soi, le rejet de parts internes, le fait de rester bloqué sur le passé, de nourrir la souffrance psychologique, perturbe la libre circulation de l’énergie de vie en soi et c’est cela qui crée les dysfonctionnements internes.  

L’expérience de guérison spontanée vérifiée par les examens médicaux a profondément changé ma vision du corps humain. Le phénomène de cicatrisation qui révèle le pouvoir de guérison du corps physique m’a incité à parler à mes cellules et ce dialogue révèle continuellement le divin intérieur.

Les études de  Bruce Lipton ont révélé la puissance des croyances et la science démontre la plasticité du cerveau humain. Toutes ces nouvelles connaissances associées à la foi en l’humain divin, appliquées à chaque instant, modifient mes croyances et ma chimie interne.
Savoir que nous portons deux systèmes internes régis soit par la peur, soit par l’amour qui active la croissance, la régénération cellulaire, m’ont amenée à choisir d’amplifier l’amour en moi par l’acceptation de tout ce que je suis et de tout ce qui est.

L’acceptation de ce qui est, permet que l’énergie de vie circule librement en soi, que l’amour lumière harmonise les corps, les énergies. 
L’amour divin n’exclue rien et le corps physique trouve son équilibre dans l’harmonisation des forces internes.

La médecine découvre l'intelligence du ventre, sa capacité à réaliser cet équilibre entre vie et mort. La régénération cellulaire est aussi basée sur l’équilibre entre la vie et la mort. 
Les nombreuses révélations de médecins à propos de la validité de certaines théories, de maladies qui sont fabriquées pour le profit des lobbies, notamment des laboratoires pharmaceutiques et pour maintenir l’individu dans l’ignorance, la dépendance, la soumission aux institutions et la méfiance quasi instinctive de l’autre, suscitée par mon passé m’ont poussé à chercher qui je suis et à avoir foi en l’autoguérison. 
Ce qui au départ était une connaissance intuitive a été validée par les guérisons successives que j’aie vécues. Outre les hépatites dont la guérison a été scientifiquement prouvée, il y a aussi la guérison psychologique puis d’autres symptômes physiques qui ont disparu au fil des années, par l'application de ma foi.

Je parle beaucoup de l’amour de soi parce que c’est de cette façon que ma vie change, que je trouve le bien-être et que ma vie se modèle en conséquence
Il s’agit de faire circuler cet amour inconditionnel et ça se réalise à tous les niveaux de l’être.
La chaine Arte a rediffusé le documentaire ; « Le ventre notre deuxième cerveau » que vous pouvez voir en cliquant sur le lien, jusqu’au 3 novembre. En le voyant pour la première fois, j’ai été épatée et même si je n’ai pas tout compris, ma foi en l’autoguérison a grandit au point de m’adresser à mon corps physique sans douter qu'il "m'entende".

La foi se nourrit et s’applique mais au départ, c’est une croyance fragile que la vie, les synchronicités va rendre indubitable. D’autant plus que pour ce qui concerne la guérison, ça représente un immense marché et demande de lâcher bon nombre de peurs, d’avoir confiance en soi. Cette confiance se nourrit par l’amour vrai de soi, l’acceptation de tout ce qui nous compose. 
Quand on cesse de résister à la peur on rétablit l’équilibre interne et on peut en voir l’utilité. 
Le secret réside dans l’harmonie, l’équilibre et c’est ce que réalise le divin en soi lorsqu’on se confie à son cœur, qu’on laisse l’amour lumière agir.

L’idée que je me faisais du divin a évolué au fil du temps et maintenant, je sais que c’est une combinaison d’énergies harmonisées qui habite tout ce que je suis et tout ce qui est. L’harmonisation des forces, des énergies, crée et maintient ce qui est en un tout cohérent.
L’humain est créé à l’image de la galaxie, il a un soleil en lui, le plexus solaire qui fonctionne comme l’astre et lorsqu’il est associé au cœur, lorsque l’amour vrai de soi rempli l’être, c’est l’énergie harmonisée qui l’anime et permet la santé de tous les corps.

Tout ce dont je parle sur ce blog, j’en fais l’expérience et ce parcours est forcément semé de doutes qui sont aussi des moteurs qui permettent d’amplifier la foi.   
J’ai cherché à comprendre ce que je suis en envisageant les corps de façon séparée pour mieux me connaitre et savoir à qui je m’adressais. 
Puis apparait un décalage immense entre ce que je ressens et ce que je vois. 
En cherchant à vivre de façon harmonieuse, à associer l’ombre et la lumière, je constate que la dualité est en fait une dynamique. 
Quand on cesse d’opposer ce qui est, on en voit l’importance, l’utilité et on constate que les corps sont en constante recherche d’équilibre. 
Ma quête de vérité m’a aidé à ne pas m’identifier aux rôles, et mon passé de victime d’inceste a révélé qui je suis en vérité. La souffrance vécue à cause du secret m’a poussée à chercher la vérité, à être honnête, sincère et avant tout à suivre mon cœur, mon propre ressenti et ma propre vision des choses. Avec du recul, je peux mesurer les « avantages » de ce vécu et en pardonnant à mon âme pour ce choix de vie difficile, je renais littéralement.
On n’avance pas dans le confort, l’immobilisme, mais c’est dans la contrainte qu’on évolue, lorsque nous sommes confrontés à quelque chose ou quelqu’un qui nous pousse hors de notre zone de confort. 
Cette façon d’être est typique de ce monde où chacun s’identifie à l’ego qui lui-même considère les choses en bien et mal. Cette forme d’évolution est humaine mais elle fait souffrir. Il existe une autre voie qui est celle de l’harmonie et du bien-être mais elle demande une grande foi, un immense courage d’aller à contre courant. 
C’est facilité quand on a appris à suivre ses élans, à ne pas se fondre dans le formatage de la masse et ça demande d’accepter d’être marginalisé. 
Le drame de l’inceste a posé le contexte" idéal" de la quête existentielle et ce constat m’aide à pardonner à mon âme ce choix de vie qui apparait très judicieux à mesure que j’intègre la connaissance de qui je suis et des lois universelles. Tout ce que nous vivons à pour objectif de nous faire grandir en sagesse en capacité d’aimer, de manifester les énergies de la source en nous.
Chaque fois que je suis bousculée de l’intérieur ou par les stimuli extérieurs, je râle de vivre dans ce monde fou, conflictuel dans lequel je ne me retrouve pas du tout. Mais quand je reviens aux fondements de ma foi, quand je viens en moi et que je regarde les choses avec objectivité, je vois que ça reflète ma propre vision de mon monde interne, ma difficulté à accepter d’être multiple, de ne rien contrôler et malgré tout d’essayer de le faire. Je suis face à mon propre pouvoir et deux chemins s’offrent alors à moi, soit nourrir le rôle de la victime, l’impuissance, soit utiliser l’effet contraste pour trouver l’harmonie et mon pouvoir créateur conscient. Chaque situation me donne le choix d’aller vers la souveraineté de l’être.  




Les mouvements énergétiques internes sont encore violents et parce que c'est récurent et périodique, je lâche prise avec de plus en plus de facilité.
La peur qui grandit dans le monde et la nature qui nous rappelle à notre propre ingérence créé des mouvements qui balaient tout sur leur passage. Les peurs individuelles s’associent créant des égrégores qui affectent chacun. Tout est falsifié, à l’image de l’individu qui s’identifie à la personnalité en mal d’amour.

Pourtant, en théorie, c’est très simple ! Il suffit de se libérer de la peur, des personnages faux qu’elle a forgés, de s’aimer entièrement pour que l’essence divine se révèle au travers de sentiments tels que la paix, la confiance, la joie, la liberté d’être. Ces énergies créent le bien-être et l’autonomie affective qui est un aspect essentiel de la souveraineté.
Celle-ci se découvre pas à pas, par l’observation de la nature, l’écoute de l’intuition et la volonté de devenir responsable de son monde. La planète, le soleil, la nature, les éléments reflètent ce que je suis et sont des modèles, des enseignants. Ils me montrent que c’est l’harmonie qui régit ce système. Les différents corps sont reliés aux éléments, ils sont construits à leur image…Les cycles du corps humain, les saisons…

Se relier en conscience à la terre, au soleil, c’est une façon de solliciter les forces et d’appeler l’harmonie en soi. De se connecter à l’âme qui elle-même est reliée à celle de la terre, puis au soleil, qui est relié à la conscience. Chaque vie est l’expression de la source, une image de celle-ci. La notion de fractale le démontre.
Je n’ai pas appris cela dans les livres mais c’est mon intuition qui me le montre et mon cœur qui résonne lorsque je tombe par hasard sur des messages qui l’expriment.

Je viens d’aller parler à mon ami le chêne et le remercier pour son aide à bien des égards. Le trauma de l’enfance m’a poussé à me poser des questions existentielles et à trouver des réponses à l’intérieur. J’ai toujours douté de trouver des réponses à ces questions essentielles auprès des humains parce que je me disais qu’ils se posaient aussi ces questions et que leur constitution égale à la mienne, amenait les mêmes difficultés, le doute et la confusion qui habite chacun. Puis je constatais que ceux dont l’intelligence surpassait les autres, était connecté à leur âme, tant les artistes que les plus grands scientifiques. Les génies ont toujours témoigné de leur reliance à l’inspiration interne, à l’intelligence divine. Ils ont apporté un regard nouveau sur le monde soit par leurs calculs mathématiques soit en figurant l’harmonie qui est le principe même de la Vie.
Le chemin de la connaissance intime de soi révèle l’essence divine qui nous constitue et c’est à mon sens, le propos de cette incarnation. Mais quand on en est enfin convaincu, c’est une véritable révolution interne qui se réalise et par l’acceptation, on la soutient.

On peut voir les dégâts que crée la volonté de contrôler le monde, le vivant, à tous les niveaux, que ce soit le temps et les émotions, la nature et ses forces, le mental et la foi des humains, par les religions ou les partis politiques. Tout comme l’amour conditionné peut créer de souffrance, de frustration et de perversion poussant certain au crime passionnel !
L’effet des forces qui s’opposent les énergies exacerbées sont les conséquences de l’harmonisation intérieure qui se réalise. Ce mouvement nous invite à gagner en confiance en soi et à constater la magie de l’acceptation. Le mental oriente alors son attention vers le cœur et ce faisant il est éclairé par la conscience Une qui révèle l’unité interne et ses bienfaits.
Quand j’appelle mes corps à s’unir, à agir pour le bien-être de l’ensemble, je peux sentir effectivement la paix qui vient et constater le pouvoir de l’amour qui unifie. 
J’ai offert mes critiques à la source concernant mon ingérence puis j’ai pris à nouveau conscience que ma personnalité ne fait rien d’autre que de permettre à la Vie de s’écouler librement en moi.
L’ego ne cherche plus à avoir raison, à contrôler, à diriger, il s’associe au cœur et son zèle est orienté en ce sens.

Je viens de faire l’expérience de la fluidité qui vient de l’acceptation de ce qui est puis du désir d’harmonie intérieure. J’ai pris rendez-vous avec le toubib pour le renouvellement mensuel de mon ordonnance, pour aujourd’hui même. Tout s'est fait avec facilité et j'ai pu constater que mon poids est stable alors que mon corps est plus mince. Le muscle a remplacé la graisse juste en marchant un peu tous les jours et en mangeant moins gras mais sans me priver de quoi que ce soit. Encore la conséquence du fait d'écouter les besoins du corps et de suivre le désir.
Avant, je stressais, j’avais peur que ça coince, et c’est exactement ce qui arrivait. Je devais patienter, tant chez le médecin qu’à la pharmacie, vérifier le contenu de l’ordonnance, mettre la carte de sécu à jour régulièrement alors que normalement, il suffit de le faire une seule fois. Je devais tourner pendant quelques minutes pour trouver une place de parking, bref, la vie me reflétait l’auto-jugement à propos de mon addiction. 
Le besoin du produit diminue de jour en jour et l’espace entre les prises augmente au point que j’ai pu sortir sans avoir pris la dose entière. Et je n’ai pas de sensation de manque ou de peur mais je suis en paix et la joie me remplie parce que je sais intuitivement, que la libération est proche. Qu’elle se fera facilement, juste en acceptant la situation et surtout en faisant confiance à la capacité de mes corps à manifester l’harmonie. 
J’ai offert à la source, ce martin même, les raisons injustes qui me poussaient à vouloir me libérer de cette addiction. Comme l’idée de démontrer la puissance de guérison de l’amour, et de baser la confiance en soi sur l’opinion, le regard des autres, et surtout de ma mère. Avant cela, j’ai dû constater qu’une part de moi cherchait encore son approbation, sa reconnaissance et accepter ce fait, sincèrement, sans y ajouter de commentaire. Enfin en offrant aussi à la source, les pensées négatives à propos de l’ingérence dont je parlais tout à l’heure.
J’ai aussi libéré les réflexions négatives telles que : « à quoi ça me sert d’avoir la foi si je n’arrive pas à l’appliquer entièrement dans ma vie ? » Toutes ces pensées qui ne font que rabaisser l’estime de soi, je les exprime librement, les confie au divin intérieur et le résultat, c’est que l’amour que j’ai pour tout ce que je suis devient très particulier. 
C’est un mélange de stupéfaction face au potentiel de chacun des corps, leur capacité à s’harmoniser et de reconnaissance pour le fait de pouvoir expérimenter cela, de vivre enfin ce que j’ai toujours su intuitivement. 
Il y a bien entendu la satisfaction de se dire, « j’ai raison de croire en l’amour, au divin en moi et aussi en ma personnalité » mais ça n’a rien d’égotique, il ne s'agit pas de prouver quoi que ce soit ou de se justifier. Je sais que ça n’est pas ma personnalité qui réalise cela bien qu’elle y participe ou qu’elle en soit le témoin. Être témoin de l’harmonie en soi procure une grande joie et la sensation d’être libre, de pouvoir vivre libre et de réaliser son plus grand potentiel.

Le décalage entre l’humain et le divin, entre ma foi en l’humain divin et la réalité de mon quotidien diminue à mesure que je me fais confiance. C’est la manifestation de l’unité intérieure, de l’amour qui circule librement. Le signe que ma fréquence vibratoire s’élève et que mon quotidien manifeste concrètement jusque dans la matière. Sachant que tout commence dans la pensée, c’est la preuve que le mental lâche prise, libère les fausses croyances. Que ça vaut vraiment la peine de faire preuve de patience, de suivre son cœur et de s’abandonner à l’amour. Ça nourrit l’espoir la foi en ma capacité d’autoguérison et d’indépendance financière. 
À ce sujet, je ne planifie plus rien, je laisse l’inspiration agir, l’élan me guider. De la même façon que j’apprends à écouter mon corps physique en ayant la certitude que ce qui me fait envie est exactement ce dont mon être a besoin. Au-delà des jugements, des croyances juste par la foi, la confiance en soi, au soi, à l’âme, à la source. Les besoins du corps physique comprennent ceux des autres corps et l’harmonie entre eux. Ma vie devint vraiment très simple et passionnante!
La façon dont le monde a évolué en l’espace de cinquante ans est hallucinante ! Le soleil qui avant était jaune est devenu blanc, le ciel est passé du bleu roi au gris bleu et au niveau sociétal, c’est phénoménal ! La science quantique, l’épigénétique, la technologie, l’informatique, sont le reflet de la révolution intérieure que vivent de plus en plus d’individus. Parfois consciemment et volontairement et très souvent par la force des choses. Ce constat est la preuve indéniable du changement de paradigme dont parlent beaucoup de gens.  On peut s’attarder sur l’aspect négatif du progrès ou voir son aspect positif mais dans les deux cas, le constat est indéniable. 

Toute situation, tout évènement individuel ou collectif est un appel de la conscience Une à revenir à elle, c'est-à-dire à prendre conscience de l’intelligence qui habite chaque corps, chaque être. La reconnaissance que j’attendais de l’extérieur, je la vis dans la relation à mes corps, c’est très émouvant et troublant à la fois !


Vous pouvez diffuser ce texte à condition d’en respecter l’intégralité, de ne rien modifier (sauf correction des fautes d'orthographe), de citer l’auteur : Lydia Féliz, ainsi que la source : http://lydiouze.blogspot.fr  et ces trois lignes. Merci