jeudi 10 septembre 2015

« Pourquoi la maitrise des pensées émotions est-elle indispensable ? »





Ce matin, la grosse chape grise a été posée dans le ciel, voilant le soleil. Rien de tel pour massacrer l’humeur surtout quand on sait que ça n’est pas naturel, que c’est le choix secret des gens qui décident du destin commun de l’humanité, qui en sont responsables. 
Je devrais dire "irresponsables" et "les gens qui manipulent les humains dans le but de s’enrichir". Et pour qu’ils puissent réaliser cela sans susciter aucune réaction de l’ensemble, il a fallu mettre au point des stratégies de manipulation de masse qui sont très efficaces, rendant les gens non seulement aveugles mais en plus complices de la folie de leurs dirigeants. Des valeurs fondées sur l'ignorance de soi, de sa nature véritable et l'identification à l'ego. 

L’hégémonie des Usa a été reconnue par toute l’Europe lorsque celle-ci a bénéficié du « plan Marshall » soi-disant censé sauver les populations détruites par une guerre dont les instigateurs ne sont autres que les puissants de tous les pays. On peut con stater que le fait de vouloir imposer sa vision du monde "idéal" en niant les différences, créé des frustrations, des déchirures, des inégalités qui finissent par amener à la révolte sanglante, au terrorisme.
De tout temps, la guerre a permis aux plus fortunés de s’enrichir et d’asseoir leur pouvoir parmi leur propre population en l’envoyant à l’abattoir, en faisant régner la terreur ou en jouant sur le sens du devoir, de l’honneur et de la patrie.

Les gens cultivés ou initiés, sont ceux qui naissent dans des familles qui ont les moyens de payer des études à leurs enfants. Ainsi, les sciences occultes, les secrets de la vie ont été délivrés à ce que la masse considère comme l’élite. Mais les connaissances véritables ont été soigneusement cachées à l'ensemble, à dessein.
Ils connaissent le pouvoir de la pensée et surtout celui de la peur.

Ils savent que la masse asservie reproduit les mêmes schémas, les mêmes traumas qui se répètent de génération en génération, ruinant l’estime de soi, faussant les relations et nourrissant l'idée de séparation, les conflits. 

Quand un être humain a un piètre image de lui-même, quand il se sent coupable, quand il connait ses défauts et tente de les cacher par peur d’être rejeté, il vit dans l’angoisse, le mensonge et la dominance auprès des plus faibles de sa famille, de son entourage.

La loi du plus fort a toujours été en vigueur et comme tout le monde l’exerce à son échelle, le désir de vengeance des victimes qui vont à leur tour reproduire ce qu’ils ont vécu, nourrit grassement l’injustice, la peur, la terreur, la trahison…

Les puissants savent que le fait de posséder et de vendre ce dont tout le monde a besoin, augmente leur pouvoir qui est fondée sur la spéculation, l'idée de manque. La nourriture, le climat, l'eau, l'air, sont essentiels à la survie de l’humain et celui qui les contrôle a tout pouvoir sur l’ensemble. 
En théorie, les agriculteurs devraient donc être les plus riches puisqu'ils fournissent la matière première vitale mais là aussi, la manipulation a été très facile puisqu’en général, celui qui travaille la terre n’a pas le temps de s’instruire et comme tout a été fait pour que seuls ceux qui possèdent des grandes surfaces puissent subsister, ils ont pu les asservir en leur vendant de quoi cultiver ces étendues ingérables sans tracteurs et moissonneuses. La dépendance a été instaurée par la nécessité de faire des crédits pour pouvoir acheter le matériel nécessaire. Il fallait d'un côté les rendre dépendants financièrement et de l'autre les maintenir dans l'ignorance. Puis les dévaloriser aux yeux de la société qui a imposé un modèle de l'humain parfait, respectable, valable, au travers des publicités, des films, des séries rendant chacun addict et abêtissant l'ensemble formaté.
Le cursus scolaire montre bien cela puisque les matières enseignées dans les Cap agricoles, sont très techniques. On n’apprend pas à ces élèves à lire, à se cultiver et donc à ouvrir leur esprit, à réfléchir, à raisonner. Pas plus qu'on ne le fait dans les autres filières scolaires. C'est hallucinant de constater que l'on passe 16 ans à l'école et qu'on en ressort sans savoir ni lire ni écrire!
La culture, les livres apportent des points de vue qui viennent enrichir un être par l'ouverture d'esprit. Les choix des programmes scolaires définissent les croyances des générations successives. On occulte volontairement certaines connaissances. 
Les gouvernements préfèrent maintenir les jeunes derrière leurs œillères et en faire des moutons consommateurs dont l'objectif sera d'augmenter coûte que coûte leur pouvoir d'achat et dont la valeur sera estimée selon leur capacité de production.  Tant dans le secteur du travail que dans leur capacité de fournir de la main d’œuvre, de faire des enfants qui à leur tour, pourront consommer, enrichir l'élite qui est mise au pouvoir par les chefs d'entreprise.
Et cela a toujours existé au travers des classes sociales prédéfinies dont chacun croit en être prisonnier. Celui qui en sort devra cultiver un esprit de lutte, de ruse, de mensonge, de stratagème, de stratégies qui sont issues de l’ego pour changer de condition. 
Il faut avoir une mentalité de prédateur pour s’enrichir quand on n’est pas né avec une cuillère d’argent dans la bouche ! Et ces personnes exercent un pouvoir immense de fascination auprès des masses envieuses.
On apprend aux gens à cultiver leur ego, leurs différences afin de baser sa valeur, son estime personnelle sur la comparaison. On se sent supérieur aux autres alors on pense être valable.
L’arrivée des postes de télévision dans les foyers a pernicieusement nourrit l’individualité, la fascination pour des modèles à suivre, pour l’élite nourrissant l’envie, la cupidité, l'avidité, au mépris de l’amour vrai de soi, du respect de soi-même et de l'autre. 
En quelques 50 ans, on a rendue la masse complètement subjuguée par les américains, leur culture capitaliste associée à la liberté qui s’est imposée jusque dans les brousses africaines. 
On a créé des besoins futiles, superficiels, sur lesquels la majorité place le curseur de sa propre valeur.  

L’humain ne sait plus quels sont ses besoins réels, le manque d’amour vrai de soi le pousse à vouloir amasser des biens, dans le seul but d’être envié, jalousé et donc valorisé. 
La publicité créé des faux besoins et formate les populations qui perdent ainsi leur singularité et leur pouvoir véritable.
J’ai toujours été ébahie de voir les parents se priver de l’essentiel, d’une nourriture saine, afin d’acheter à leurs enfants la panoplie du petit américain vêtu de fringues fabriquées en chine, par des enfants de six ou sept ans ! 
Tout ce qui compte, c’est l’apparence ! Peu importe si les enfants mangent des pizzas surgelées bourrées de sels, de colorants, de E…, des steaks hachés composés d’excréments (des analyses l’ont prouvé) copieusement baignés de sauce tomate gavée de sucre, de mayonnaise industrielle et arrosé de coca cola. Plus c’est pourri, meilleur c’est ! On se fie à l'apparence aussi dans ce domaine, il faut que le fruit soit parfait, brillant et pour cela, les pesticides et autres produits chimiques miracles sont vaporisés abondamment au mépris du goût et de la valeur nutritionnelle.

 


Les multinationales ont dénaturés tous les aliments ainsi que le climat et ils l’ont fait en connaissances de causes. Ils savent que la force de l’humain réside dans son intuition, sa relation à la nature qui rythme son horloge biologique interne et lui permet d’être en connexion à sa vraie nature, sa sagesse intérieure. Ils savent l'importance de la nourriture qui est un facteur essentielle de bonne santé.

L’exode rural, a participé à cela puisque les gens se sont calés sur les horaires de travail plutôt que sur le cycle jour/nuit, le rythme de la terre et du soleil. La désertification des campagnes induites par l’attrait de la surconsommation, les faux besoins, a déboussolé l’humain qui ne sait ou ne peut plus lire dans le ciel, la terre.
Les anciens savaient interpréter les signes, se connecter au féminin sacré, à leur intuition au travers de ce contact intime avec la terre, les cycles saisonniers. Ils connaissaient leur corps, leurs vrais besoins, le véritable goût des aliments, les vertus des plantes médicinales. 
On prétend que l’espérance de vie a augmenté mais dans quelles conditions ! On rend les gens totalement dépendants de la médecine qui a remplacé les religions. Elle-même ayant réussi l’exploit de détourner l’humain de son aspect féminin, intuitif en instaurant une société patriarcale hiérarchisée.
On a cru se débarrasser de son emprise pendant la révolution tout comme de celle des nobles qui ont juste été remplacés par les bourgeois. Une passation de pouvoir qui n’a jamais rendu le peuple souverain.
Tout ceci a été réalisable par le fait que l’humain s’identifie à l’ego et coupé de son intuition, de la sagesse intérieure, il se sent incomplet et par le fait, il a de tout temps cherché à combler ce vide auprès d’autorité qu’il croit supérieures.

L’église a perverti les enseignements du Christ afin de nourrir la peur. La peur de l’aspect féminin, de l’autre, de l’étranger, de l’autorité, de Dieu et de l’enfer. Elle a considéré le corps physique comme mauvais, inférieur et pourtant c’est par lui que se trouve la sagesse, le divin en soi. Les gens ont cru en cela parce qu’ils ne savaient pas maitriser leur émotions, parce qu’elles l’effrayaient et continuent de le faire.
Diaboliser le corps physique, les émotions leur a donné tout pouvoir de manipulation des masses. Cette connaissance est transmise de génération en génération à tous les dirigeants. Que ce soit l’église ou les médias tout comme la médecine, tous maintiennent leur pouvoir de cette façon.

Quand je vois les programmes télévisés, les publicités, je ne m’étonne pas de l’aveuglement des masses ! Les gens ont associé pouvoir d’achat et liberté, valeur de soi. Les publicitaires créent des modèles basés sur la comparaison, le déni, le rejet de soi, qui ont pour seul but que de faire de l’humain un objet de consommation.
Les acquis sociaux sont balayés au nom du profit et de la comparaison. C’est encore le même principe qui aveugle les masses. On créé des classes sociales puis on divise pour mieux régner, on oppose les fonctionnaires aux employés du secteur privé afin de détruire tout ce qui faisait du sens créait du lien. On appuie sur les faiblesses de ce secteur en occultant volontairement l'aspect social, humain, indispensable au bien vivre ensemble.
De cette façon chacun est isolé et l’unité du peuple n’existe plus pourtant c’est sa force !

Ils ont réussi à faire croire aux gens que le capitalisme, le libéralisme offrait la liberté et la possibilité de s’enrichir. Basé sur le modèle américain grassement nourri par la propagande des films hollywoodiens. Ces films qui  montrent les méchants et les gentils ne sont que des outils qui lavent le cerveau nourrissant l'esprit de division et permettent de faire la promotion de tout un tas de produits. Jusqu’aux ventes d’armes. 
Les films dits "d’action" sont des vastes opérations marketing pour faire vendre des voitures, affirmer l’hégémonie des états unis en montrant les derniers modèles d’avions mitrailleurs, tout l’arsenal militaire. Ils sont censés être un symbole de liberté mais ils sont ceux qui sont en permanence en guerre afin de voler les richesses des pays les plus pauvres. On est toujours dans les schémas préhistoriques de la loi du plus fort et ce, dans tous les domaines !
La plus grosse maison, la plus grosse voiture, le plus gros frigo remplis de produits chers à cause de l’emballage qui est sa seule valeur. C’est cher parce qu’il a fallu investir dans des campagnes publicitaires afin de valoriser le produit. Ils savent pertinemment que les gens achètent selon l’image, l’emballage attrayant et pas pour le contenu. Et par la télévision, les médias, les célébrités, ils ont tout fait pour rendre l'image essentielle, pour donner de la valeur à ce qui est superficiel. 
De toute façon ils n’ont aucune idée de la saveur véritable des denrées. Tout est basé sur la dépendance au sucre, au sel parce que ces substances sont addictives. Elles semblent combler le vide affectif mais ne font que nourrir les besoins de l’ego apeuré, isolé et perdu.
La base du problème est le manque d’amour vrai de soi qui entraine le manque de confiance en soi qu’on tentera de combler dans l’achat compulsif, le besoin d'évasion, l'intérêt pour l'apparence. Les plus sensibles, ceux qui sont en mal d'amour ou les rebelles qui refusent cette réalité imposée, se tourneront vers les drogues, les psychotropes, les messages spirituels qui montrent une autre réalité, nourrissent le besoin d'évasion, prônent l’arrivée de sauveur, l’établissement de la justice divine... 
Un être qui est coupé de sa nature, profonde, vraie, de son intuition, de sa guidance interne qui passe par l’écoute de son monde intérieur, va chercher un père, une autorité et accuser le malin de le manipuler. L’église a inventé l’enfer et le paradis pour que chacun cherche la vérité en dehors de lui et se sente coupable, refuse d'être responsable de lui-même et par le fait même soit impuissant. Pour qu'il supporte l'injustice de ce monde et fonde ses espoirs sur un avenir meilleur, dans l’au-delà, dans un ailleurs et un futur lointain. Pourtant c'est dans le moment présent, dans la façon de le gérer qu'on trouve la lucidité, l'amour et donc le pouvoir. Le pouvoir de gérer son propre monde, d'être responsable, libre et de trouver la sagesse intérieure, le divin. 
La perte de sens et en même temps, la valeur d’un individu fondée sur le pouvoir d’achat, c’est du pain béni pour les multinationales, la médecine, les églises, les extrémistes. 




On parle beaucoup d’éveil mais on passe à côté du véritable sens de cela. 
L’éveil commence par le goût de la vérité et ça commence avec soi-même. 
La transparence est indispensable à toute quête de vérité. Il ne s’agit pas de connaitre les mystères de l’histoire, du divin, des civilisations extra-terrestres…mais d’apprendre à s’écouter, à se connaitre intimement.

Tant que l’humain cherche en dehors de lui les réponses à ses besoins véritables, tant qu’il les ignore et croit que les autres, savent ce qui est bon pour lui, il ne peut accéder à la sagesse intérieure, à sa puissance véritable. Le pouvoir ça n’est pas la domination sur l’autre mais la maitrise de son propre monde.  

C’est en allant dans les profondeurs de l’être qu’on trouve sa propre lumière, en écoutant son cœur qu’on trouve la connaissance qui vient de l’intuition, celle qui suffit à se prendre en main et à trouver ainsi la souveraineté par l’alchimie des pensées émotions
Plus on est à l’écoute de soi, de son cœur et plus on reconnait ses besoins véritables. De cette façon, on se libère de l’emprise extérieure, des fausses croyances nourries grassement par les médias et leur propagande.

Il est plus facile d’accuser l’autre de son malheur mais ça ne rend pas heureux. La vision manichéenne du monde est simpliste et nourrit les peurs de l’ego, la division intérieure.
Seule la recherche d’harmonie dans le respect de tous les aspects de l’être mène au bonheur, à la liberté, la paix intérieure et la puissance
Les émotions sont des messages de l’âme, du divin qui toutes nous invitent à rechercher l’harmonie, l’équilibre. Et en le faisant, on trouve son propre pouvoir de penser, d’être.

Les séries telles que « amour gloire et beauté » ont crée des générations d’enfants formatés dont le rêve est de passer à la télé ! La notoriété n’est qu’illusion, elle n’a jamais comblé le manque affectif. La rumeur fait et défait une réputation comme bon lui semble. Seul l’amour véritable de soi permet d’être en confiance et de pouvoir suivre sa propre guidance, son cœur en dépit de l’opinion extérieure.  

La véritable estime de soi ne se fonde pas sur l’image qui par nature est changeante.
Vous allez me dire que je suis aussi dépendante que les autres, que je ne gère pas mes émotions, que je les refoule en prenant des médicaments et par le fait suis aussi dans l'illusion…
La différence, c’est que je suis consciente de ma dépendance et que je l'accepte. Je peux entendre mon cœur, mon intuition, réfléchir par moi-même et par le désir de transparence, d’honnêteté, de me regarder en face, de devenir responsable de mon monde, je peux sortir de cette matrice infernale.   

Mais ceci ne se réalise pas en un jour, ça commence déjà par oser se regarder en face sans se juger, par ne plus vouloir reproduire les schémas basés sur la peur.
On ne devient pas totalement conscient ni autonome, du jour au lendemain, il faut déjà le vouloir et oser libérer les peurs qui se manifestent dans cette quête de vérité.    

Je papote, il est déjà 11h30 et je n’ai pas encore pris un seul bout de cachet ! Là, aussi, je peux constater la puissance de ce désir de transparence, cette quête de vérité qui commence en soi et me porte tellement que j'en oublie le temps qui passe. 

La société nous reflète nos peurs, nos manques et être lucide face à cela, c’est la conséquence de cette volonté de savoir et d'accepter d'être responsable de soi, de vivre dans la lumière et dans l'amour.
Prendre conscience qu’on a vécu dans l’illusion, qu’on s’est laissé manipuler par la peur est stérile si on se complait dans la culpabilité
Le courage de se regarder en face avec bienveillance restaure la vision. 

Quand on se regarde de façon objective en ayant de la compassion pour les aspects internes encore soumis aux peurs et aux fausses croyances sachant qu’il est difficile d’y voir clair dans une société qui fait tout pour nous éloigner de la vérité, c’est cela le véritable amour de soi.

Il ne s’agit de se dire « maintenant que je sais, je n’ai plus droit à l'erreur, je n'ai plus d'excuses », il est question de prendre en compte tous les éléments intérieurs, les facteurs extérieurs et de choisir de se prendre en main dans la confiance en sa véritable nature. 
Puis de faire confiance à l'amour en soi et d'avoir compris que seule l'harmonie permet de sortir de l'enfermement des croyances basées sur la peur, le conflit, la division, de sortir de toute forme d'illusion. 
Sans accuser les autres ni soi-même, on ôte un à un les voiles que la peur et les manipulations, les stratégies de survie de l’ego ont mis en place, voilant notre vraie nature tant humaine que divine. En tombant les masques, par l’alchimie émotionnelle qui permet de voir ce qui est de façon neutre, on découvre l'être véritable et complet que nous sommes. 
Laisser l'amour véritable circuler à l'intérieur, c'est prendre patience avec soi-même parce qu’on ne passe pas de l’obscurité à la lumière comme on appuie sur un interrupteur. 
La lumière divine qui éclaire, rend lucide et pas celle des néons qui aveugle, éblouie. 




La nature nous montre le rythme des cycles évolutifs, l'effet des excès qui amènent à chercher l'équilibre. 
Reprendre contact avec elle, oser aimer l’aspect animal  instinctif en soi et accepter aussi d’être parfois dirigé par l’inconscient, les blessures et la peur, permet de s’en libérer peu à peu en laissant l'amour harmoniser l'ensemble. 

Bon, il pleut maintenant et je n’ai toujours pas sortie la chienne. Il faut dire que cette quête de vérité qui m’a toujours portée, me passionne tout comme le fait de partager ma vision du monde, de l’humaine et du divin. 
Quand on cesse de se rejeter, de s’invalider, on trouve sa puissance d’aimer et l’amour qui est l’énergie de la Vie, de l’évolution, restaure tout en soi, harmonise. 
Là encore, les films, les séries, les grandes tragédies qui parlent de l’amour endorment totalement l’humanité qui ne sait toujours pas ce qu’est véritablement aimer ! 
Pourtant, ça n’est qu’en le vivant au cœur de soi qu’on peut véritablement en faire l’expérience, en l’appliquant à soi-même qu’on le cultive et qu’on peut l’offrir. 
L’amour n’est pas brosser l’autre dans le sens du poil, répondre à ses attentes, ça, c’est de la démagogie, du fayotage, un réflexe conditionné par la peur et l’ignorance de sa vraie nature. 
L’amour véritable, divin, commence par le respect de soi, l’acceptation de tous les aspects internes de l’être. 

Tout ceci semble bien sombre mais malgré tout, c’est le cœur en paix que je fais ce constat qui m’amène à poursuivre ma quête de justice interne, afin de vivre dans l'harmonie. En acceptant tout ce que je suis et en laissant l’amour, la source de toute vie me montrer les effets de l’harmonisation intérieure, la dissolution des fausses croyances et des illusions se réalise sans souffrances. Être uniquement responsable de son monde ne veut pas non plus dire, devenir indifférent ou individualiste, c’est accepter de ne plus attendre quoi que ce soit de l’extérieur et puiser en soi tout ce qui est vital ; l’amour qui lui ne se limite pas mais rayonne et profite à tous.
 

Vous pouvez diffuser ce texte à condition d’en respecter l’intégralité, de ne rien modifier (sauf correction des fautes d'orthographe), de citer l’auteur : Lydia Féliz, ainsi que la source : http://lydiouze.blogspot.fr  et ces trois lignes. Merci