jeudi 11 avril 2013

Le désir sexuel, un business qui répond à notre propre démission.





Plus on s’interroge dans un domaine particulier et plus notre aspect divin nous répond. Que ce soit au travers de situation de vie qui nous donneront l’occasion de voir nos réactions et ainsi de mieux nous comprendre ou en nous inspirant directement des pensées ou encore en faisant jouer le "hasard" qui mettra en nos mains, des textes, des messages d’êtres de lumière ou d'humains qui seront les réponses à nos questions. C’est le mail d’une lectrice puis la vidéo des bonhommes allumettes qui décrit l’exercice à faire entre ses aspects masculins et féminins, qui m’ont amené à réfléchir encore plus longuement sur la question de la sexualité.
Je savais en théorie que d’appliquer les recommandations du message de Jeshua serait la solution mais il me manquait l’outil concret pour ce faire. On ne peut faire plus simple que l’exercice de jacques Martel. J’ai donc fait l’exercice des bonhommes allumettes avec les deux aspects de ma personnalité. Je me suis contentée d’écouter la vidéo tout en faisant les dessins puis, ce matin, alors que je me suis couchée à 1h, j’étais réveillée à 6h, prête à bondir, à me jeter dans cette nouvelle journée. Le fait que je persiste à vouloir me libérer de la dépendance aux cachets m’éclaire la vision bien que ça créé des désagréments. Je ne m’en occupe plus me contentant de faire tout mon possible pour intégrer l’amour inconditionnel en moi.


L’attrait qu’a provoqué le texte que j’ai écrit sur la sexualité m’a un peu perturbée au début. Il y a eu l’ego qui s’est un peu enflé, wouah, 500 pages vues sur "mon" blog ! Puis, de suite quelques mails m’ont fait redescendre de mon nuage, me poussant à me dire : dans quoi je m’embarque ? 
Là, comme un retour en arrière, ma vie a défilé me montrant tout ce qui m’amenait à être là où je suis aujourd’hui.
Il y a plusieurs points que j’ai retenus ;
J’ai du culot, une certaine transparence et la capacité de dire facilement ce que je pense.
Mon objectif principal est d’être authentique d’élever ma fréquence vers l’amour inconditionnel, la joie, le plaisir, la facilité, la fluidité et d’être libre.
La sexualité, sujet tabou, a besoin d’être reconsidérée à sa juste valeur.
Elle sous tend la nécessité d’être dans l’harmonie entre tous les corps, l’acceptation totale de soi-même et de toute vie et de trouver l’équilibre masculin féminin.
Mon vécu et ma façon d’être, me positionnent dans cette "mission" de décrasser le sujet, de l’éclairer.
 J’y gagnerais une élévation de conscience, de personnalité, plus d’amour pour moi-même de faculté d’intégrer l’acceptation de ce qui est et je pourrais y trouver un moyen d’être autonome en proposant mes services individuellement dans le travail de diffusion de ces énergies par l’entretien personnel dont un des thèmes sera la sexualité au travers de la spiritualité.
Il y a différentes façon d’aborder ce sujet mais aucun ne me satisfait. Il va donc falloir innover en la matière. Pas question d’être un objet d’excitation de plus mais comme là n’est pas mon objectif et qu’en plus je sais que mon âme crée des situations qui me montrent ce que recèle mon inconscient, ce qui pourrait être gênant deviendrait un miroir pour progresser.
L’étiquette sexologue ne me correspond pas non plus puisque je ne suis pas ici pour initier des techniques mais pour aborder ce thème par la voie spirituelle.

Je me suis souvent dit que je n’avais pas vécu l’inceste par hasard et que celui-ci représentant la forme de domination la plus basique et perturbante, cette expérimentation devait avoir une utilité. 
Celle de chercher le sens de la vie et évidemment de le trouver, celle de témoigner du pouvoir d’auto-guérison de chacun et le terrain favorable pour être en mesure d’accepter ce qui est par le fait d’avoir vécu la délivrance par le pardon, de rechercher l’amour inconditionnel de soi, l’équilibre des contraires...
Je vais donc mettre au point un système de contact, une forme d’entretien, m’occuper du côté temporel de cet "emploi"  qui pour l’anpe, sera certainement "coach en développement personnel"
Pour l’heure, je continue de partager mon point de vue sur la question et pour répondre à celles d’une lectrice concernant la technique que j’utilise, concrètement, voici quelques réflexions à ce sujet.
Je pars du principe que nous sommes essentiellement constitués d’énergies et que nous sommes mues par elles. Notre "travail", en tant qu’humain divin ou plutôt le challenge, c’est de connaître, reconnaître ses flux intérieurs et de les diriger, de les harmoniser, les équilibrer de façon à être entier, épanoui et autonome.
Ainsi, chacun est constitué d’énergies masculine et féminine qui appellent à trouver l’équilibre et l’harmonie. 
Nous sommes tous en interaction, inter-reliés et ce que nous émettons et perceptible par les autres.
Pour trouver la paix, que ce soit en soi, en couple ou en amitié tout comme avec des personnes que l’on considère d’un premier abord, comme des ennemis, il est important de s’aimer inconditionnellement afin d’être conscient de l’amour et la lumière qui nous constituent et qui est la même en toute vie.  




Pour faire simple, le désir sexuel est une expression de l’énergie de vie qui pulse en nous à l’image du battement cardiaque, de la respiration...
C’est donc un phénomène naturel dont nous avons pas à rougir mais qu’il nous importe de connaître afin de ne pas en être l’objet.
Pour aller dans la description concrète de ma façon de faire, quand le désir se fait sentir, que ce soit par des "images", des sensations...Plutôt que de les réprimer, je me focalise sur les chakras du bas pour sentir où se situe l’énergie. Je n’ai pas eu l’occasion de le faire souvent mais quand c’est arrivé, j’ai pu localiser ce ressenti au niveau du chakra racine et du sacré.
Petite parenthèse importante au sujet de la masturbation qui est considérée comme taboue, sale mais qui en fait est la réponse mécanique au désir. Les enfants vers l’âge de 3 à 4 ans, dans l’exploration de leur corps, vont toucher sans complexes les parties génitales de celui-ci, puisqu’ils n’ont aucune notion de bien /mal. Ils ne ressentent pas grand-chose, disons plutôt qu’ils n’associent pas leur ressenti à la sexualité. 
Cette approche innocente est à conserver en tant qu’adulte car il est important de se connaître à tous les niveaux. 
Cependant, il y a quelques infos importantes à connaître. Au niveau physiologique, la masturbation créé des réactions hormonales qui peuvent entrainer une accoutumance puisque des endorphines sont sécrétées provoquant une sensation de bien-être, de relaxation profonde voire d’endormissement. C’est du moins ce qui sera ressenti si le mental n’ajoute pas d’autres hormones "poison" secrétées par la culpabilité, la honte, le déni de soi...qui annuleront l’effet positif de l’expérience.
Je ne suis pas pour l’utilisation d’objets de plaisir vendus de plus en plus parce qu’ils participent à l’incompréhension de ce qu’est la sexualité et nourrissent les énergies sombres qui la détournent de son caractère sacré. 
Tout le business créé autour de ce marché en expansion n’est que la réponse obscure à la souffrance et la misère humaine à ce niveau. 

Nous sommes constitués de telle sorte que nous sommes autonomes et les mains suffisent à explorer son corps. Le contact est ainsi intime et respectueux de ce que nous sommes. La culpabilité est minimisée parce que le corps n’est pas traité en objet de plaisir. La nuance est mince mais très importante.
De plus, les sécrétions d’endorphines sont équivalentes aux drogues puisqu’elles peuvent créer une accoutumance et ses côtés négatifs tels que la dépendance et la sensation d’incapacité à pouvoir assouvir réellement son désir puisqu’il faudra aller toujours plus "loin" pour être "satisfait". 
Si on est en couple, il s’en suivra une dépendance à l’autre qui viendra s’ajouter à la dépendance affective ou s’y mêler. Si on est seul le sentiment de culpabilité devant le constat de notre impuissance à gérer nos émotions s'amplifiera. Et nous pourrons être amenés à rejeter notre corps physique en bloc alors qu'il est une expression importante du divin en nous, considérant que nous sommes esclaves voire prisonniers.
Or l’amour c’est avant toute chose un sentiment de liberté.

Donc, quand le désir se fait sentir en moi, je focalise mon attention sur le ressenti corporel de l’énergie. Déjà, au niveau du mental, une joie nait du fait de se dire que cet exercice devient un apprentissage de ce qui vit en soi, une approche énergétique de la chose et la possibilité de jouer avec la pulsion de vie en la dirigeant. 
Je fais simple, je m’adresse à elle verbalement. Je l’appelle à monter en mes chakras tout en essayant de ressentir cette "montée". Même si elle n’est qu’imaginaire au début, le fait de focaliser mon attention sur mon corps, dans le moment présent, m’amène à être éclairée et à comprendre certaines choses intimes dans ce parcours imaginaire qui peut aussi être visualisé.
Le parcours au travers des chakras me permet de ressentir d’éventuels blocages et l’utilisation des rayons sacrés, couleurs, participe à certaines guérisons.
C’est difficile à expliquer puisque c’est une chose à vivre intimement qui ne saurait utiliser des formules spécifiques. Je ne suis pas pour les prières toutes faites. Je pars du principe que chacun est unique, spécifique, de par son vécu, sa personnalité et il me semble essentiel de personnaliser la relation avec le divin en soi.

Si je peux réaliser cette montée énergétique, c’est parce que j’ai intégré la spiritualité dans mon quotidien, accepté mon corps physique comme le temple du dieu intérieur, il y a tout un parcours de prise de conscience personnelle que personne d’autre que moi, ne peut faire à ma place. J’ai été guidée dans ma compréhension, par des lectures mais encore plus par l’intégration vivante de la foi et la reconnaissance du divin en moi. C’est devenu certitude quand j’ai reconnue la présence permanente de cet aspect divin de tout ce que je suis.

Bon je dois bouger avant que la voiture ne soit réparée et que je ne sois plus en règle par rapport au contrôle technique. Je vais aussi me renseigner pour ouvrir une boîte postale. Aborder le thème de la sexualité demande de se "protéger". Enfin, c’est plus pour avoir l’esprit tranquille au cas où toutes les peurs à ce niveau ne seraient pas libérées.
J’hallucine, je viens de me rendre compte que j’ai oublié de prendre 0,4mg de cachet, hier ! Non seulement le fait que j’ai oublié est très bon signe mais comme j’ai demandé le soutien à mon âme dans cette délivrance, je peux voir qu’effectivement elle est active puisque je n’ai pas eu plus de symptômes de manque que ça.
Je tiens à parler de ce problème qui bien qu’il puisse me faire perdre de la crédibilité, concerne un grand nombre de personnes. Nous sommes, en France, les premiers consommateurs d’antidépresseurs et parler de ce problème spécifique est essentiel. Comme je suis convaincue que nous ne vivons rien par hasard, et même si ça peut paraître, "ouais, elle se la pète à jouer les missionnaires", je sais que j’ai choisi l’inceste et la dépendance aux drogues ou médicaments, pour non seulement trouver ma souveraineté dans l’auto-guérison mais aussi pour aider d’autres à s’auto-guérir par le témoignage authentique de ce que je vis.
Le sentiment d’amour et de joie qui me remplissent au moment même où j’écris ces mots, me confirment que je suis sur mon chemin, celui choisi par mon âme, accompagnée par mes anges, Aniel et Jéliel. Je ne les cite pas pour me valoriser ou ajouter crédit à mes paroles mais plutôt pour rendre hommage à leur "travail" d’amour, leur patience et leur présence depuis toujours. 
La coupure électrique qui vient de fermer l'ordi me signale que quelques blocages ou résistances subsistent. Là, il est nécessaire de se laisser aller à la confiance en la vie, l'univers, la source...

Si vous souhaitez partager ce texte, merci d’en respecter l’intégralité, l’auteure et la source ; Lydia, du blog : « Journal de bord d’un humain divin comme tout le monde » ou http://lydiouze.blogspot.fr