lundi 28 novembre 2016

« Connaitre et utiliser ses émotions plutôt que de les subir »





Comme à chaque fois que je vois ma sœur, je suis chamboulée à l’intérieur. De vieilles émotions remontent à la surface, les mécanismes de survie, les comportements impulsifs se manifestent mais cette fois-ci, j’ai pu calmer le mental, accueillir l'émotion et m’adresser à l’enfant intérieur, communiquer, communier avec cet aspect de moi-même qui réagit au contact de ma famille. 
Tant que je ne savais pas comment fonctionne le mental, tant que je ne connaissais pas le système de survie, les jeux de rôle…, je réagissais de façon automatique et souvent je projetais les émotions vers ma sœur, ma mère, vers tous ceux qui éveillaient les blessures internes. Puis quand j’ai compris comment l’enfant refoule l’émotion dans l’inconscient, j’ai dû apprendre à lâcher les étiquettes, à me défaire de la notion de bien et de mal, en revenant au centre, à la neutralité mentale pour que ces émotions refoulées puisse s’exprimer sans que je m’y identifie. Et comprendre surtout que la compréhension mentale des mécanismes de survie ne libère pas en profondeur, ne libère pas la mémoire émotionnelle, seule la libre expression de l’émotion, dans le détachement, permet cela graduellement.
Selon chaque membre de la famille, des scénarii spécifiques se rejouent continuellement et cela correspond au rôle de victime la plupart du temps. 
Alors le meilleur moyen de libérer ces comportements instinctifs, c’est déjà de rassurer l’enfant en moi, de lui parler, de lui témoigner du soutien sans conditions de l’adulte que je suis aujourd’hui. 
Un soutien qui se manifeste concrètement par le fait de ne pas s'identifier aux pensées ni aux émotions qui émergent automatiquement. J'ai dû la rassurer mentalement, lui dire qu’elle ne court aucun danger en posant les circonstances actuelles, de façon objective.

dimanche 27 novembre 2016

« Nous sommes Lumière et Amour » Kara Schallock





Nous avons de plus en plus de Lumière. Lorsque cela se produit, les anciens problèmes / schémas / croyances refont surface pour partir afin que plus de Lumière et d’Amour puissent prendre la place. 
Chaque entrave intérieure à votre Véritable Soi et à votre Pouvoir – comme la peur, l’anxiété et tout ce qui n’appartient pas à ce que vous êtes – est mise en Lumière. 

Les relations qui font partie de l’ancien et qui n’ont pas encore été libérées vous montrent comment ces relations sont nocives. Cela s’est produit au sein de la relation que j’ai avec ma mère en particulier (bien que cela se soit produit avec d’autres relations à un degré moindre). 
La relation la plus forte que vous avez est celle où vous êtes le plus attaché à ce qu’elle reste la même. Ma mère disait que tout devait avoir des règles. Cela a touché une corde sensible en moi car je sais que le Nouveau n’a pas de place pour les règles. 

Les règles sont basées sur les anciens modèles de contrôle. Ce qui a été un autre grand moment de surprise pour moi alors que toutes les relations avec ma famille de naissance sont en train de changer peu à peu.

Nous évoluons par petites vagues et cela peut sembler lent. 
J’avais remarqué qu’aucune personne de ma famille n’entrait en résonance avec moi. L’avaient-elles jamais fait ?

« Votre lumière s’intensifie » les guides de l’unité via Daniel Desjardins





« Très chers amis humains,
C'est avec grand Amour et grande Joie que nous nous adressons à vous aujourd'hui. Depuis notre dernier message, ce nuage, cette noirceur dont nous vous parlions s'est déjà grandement dissipée. Le choc initial a amené de plus en plus d'êtres humains à s'enflammer, à s'allumer et, même si, pour une majorité ce n'est encore qu'un balbutiement, c'est déjà tellement merveilleux à observer; toutes ces lumières qui s'allument, tous ces cœurs qui s'ouvrent, cela amène beaucoup, beaucoup de lumière dans votre collectif humain. 

De notre perspective, nous observons ce qui était une grande noirceur devenir de plus en plus spectaculaire avec tous ces jeux d'ombre et de lumière. Nous ne vous disons pas que la lumière va faire fuir tous les ténèbres instantanément, mais ce que nous pouvons vous confirmer c'est que cette lumière est en chemin et cela est une grande source de Joie pour tous les êtres non incarnés, mais aussi tous les êtres incarnés, car lorsque vous sombrez dans le sommeil, vous aussi avez la même perspective que nous. Certains en ont un bref souvenir à leur éveil. 

Notre message aujourd'hui est donc un message encourageant et rassurant, car vous êtes sur le chemin d'éveil, vous êtes sur votre chemin, car cet éveil vous mène, tout un chacun individuellement, à l'expression de votre brillance.

samedi 26 novembre 2016

« Les mondes subtils de la pensée, de l’émotion, de la vibration » & « 4ème reconnexion âmique » avec Magali Magdara






25 11 Ce matin, j’ai la pêche et avec le recul je constate une fois de plus que les turbulences mènent toujours à plus de stabilité intérieure, une plus grande clarté ou une conscience plus ouverte, attentive, une foi amplifiée et plus ancrée dans la réalité. 

C’est clair que toutes les infos auxquelles nous avons désormais accès, toutes les fréquences lumineuses que nous recevons tant de la source que des mondes subtils, viennent balayer les anciennes croyances et bien évidemment cela créé des turbulences en tous nos corps. La lumière éclaire ce qui est caché en profondeur, elle révèle nos blessures et les stratégies habituelles qui ne marchent plus lorsqu’on commence à comprendre les mécanismes de survie.
Tant qu’on reste identifié à la surface de l’être, on ne peut pas avoir suffisamment de recul pour voir que tout est parfait. Et cette perfection n’est pas un concept humain, elle ne concerne pas l’individu mais l’être véritable, la source, la conscience Une et l’âme qui animent toute vie. Cette clef de sagesse, un peu plus bas, piochée à l’instant, me confirme la puissance de la vibration, de l’intention, lorsqu’elle s’aligne au mouvement spontané porté par la joie. Je comprends de mieux en mieux comment nous sommes constitués et comment nous fonctionnons à mesure que j’intègre ces nouvelles données qui sont à l’opposé de ce qu’on nous enseigne ordinairement. 
Et c’est cela qui rend difficile le chemin parce que ça demande de se dépouiller de toutes ces fausses croyances qui ont été inculquées depuis des millénaires par ceux qui prétendaient détenir la vérité, l’autorité. 

jeudi 24 novembre 2016

« Le mental ne sait pas gérer l’émotion de façon appropriée, seule l’âme en a le pouvoir »





23 11 Il y a bien longtemps que je n’avais pas eu cette sensation de régresser, de tourner en rond. Mais en regardant en arrière et en constatant que c’est à chaque fois la même chose, le même processus, puis en me positionnant dans le cœur, la neutralité, malgré l’apparente confusion, je trouve la paix et une confiance aveugle en l’avenir.

Quand on s’autorise à vivre les émotions sans les bloquer ni les retenir, on se trouve dans une phase déroutante parce qu’on ne peut plus s’accrocher aux croyances passées, on entre dans un monde inconnu, on perd nos repères habituels. On ne peut plus s’identifier au personnage de surface et à ces certitudes, aux croyances qu’ils l’ont formé et qui le nourrissent alors on a la sensation d’être perdu, seul, impuissant.
On ne sait plus comment être ni quoi faire et plus on essaie de contrôler les choses plus elles nous échappent. 

On est tellement habitué à agir de façon automatique que le fait de suivre l’élan du moment, de vivre au jour le jour, en accueillant ce qui émerge dans l’instant, peut effrayer.
Et plus on résiste à ce qui arrive plus on se sent perdu. La panne de voiture et le mécano qui promet de venir la réparer, c’est un scénario déjà vécu et la seule différence avec le passé, c’est ma façon de réagir à cela.

Je vois que l’énergie de la victime s’active, que les pensées de dévalorisation s’enchaînent et que les émotions sont bloquées dès qu’elles se manifestent. Je ne change rien à ma façon d’agir mais je ne me laisse pas berner par les pensées automatiques.

mardi 22 novembre 2016

« Pleurer est bon pour la santé ! »...





Saviez-vous que pleurer est bon pour la santé ?
Durant longtemps, les larmes ont été perçues comme le principal signe de faiblesse d'une personne. Le seul fait de pleurer était considéré comme la démonstration d'une personnalité immature. Les personnes qui pleuraient étaient accusées de ne pas assumer leurs erreurs et de vouloir seulement attirer de la compassion. 

Pleurer est bon !
Lorsque nous sommes tristes, et que nous l'exprimons par des pleurs, le corps libère des substances qui jouent le rôle de calmant naturel, qui nous aident à ce que notre douleur s'apaise petit à petit.
Les pleurs permettent de libérer deux classes d'hormones distinctes, les opiacées et l'ocytocine.
Ces deux substances ont la capacité d'apaiser nos souffrances.
Elles fonctionnent comme deux véritables anesthésiants naturels, qui nous apportent de la tranquillité et, d'une certaine manière, un peu de "détente".
Pour résumer, pleurer est un bon exercice qui nous aide à maintenir le bon fonctionnement de notre organisme.
C'est un comportement essentiel lorsque nous nous sentons angoissé, lorsque nous sommes déprimés ou préoccupés par une situation particulière. 

« Le Pouvoir de l’Accueil » Nassrine Reza





Ce matin (mardi), la pluie remet en question l’idée d’aller faire des courses puisque la voiture est en panne et je n’ai pas de parapluie. Je n’ai jamais pensé à acheter cet engin qui dans la région n’a pas de raison d’être tant les pluies sont rares. J’ai pris l’habitude d’adapter mon emploi du temps à la météo comme je n’ai pas d’obligations sociales, de contraintes horaires.
Je mesure combien j’ai été attachée à la lutte, la résistance, à l’intensité des sensations. 
En relisant ce que j’ai écris hier et que je n’ai pas publié de suite parce que j’ai préféré agir plutôt que de rester dans le mental, j’ai pris conscience que j’ai tellement été habituée à vivre la peur au ventre étant enfant, que j’y ai pris goût. Pas à la peur mais à son intensité. Puis comme c’était douloureux et handicapant, j’ai cherché l’inverse, les plaisirs intenses, la joie provoquée par des substances sans jamais me demander si cette quête n’était pas la cause de mon mal-être.

Malgré tout, il fallait passer par là pour connaitre la palette des émotions et décider enfin de vivre dans la paix. Cette paix qui devient vitale au point que le désir de l’obtenir amène à s’attacher à toutes sortes de croyances qui même si elles ne permettent pas de trouver la quiétude, aident à sortir la tête de l’eau. 
Mais cet équilibre est précaire puisqu’il demande une attention soutenue à ces pensées, un contrôle permanent qui finit par créer encore plus de trouble, d’anxiété. 
Je viens encore de vérifier la puissance libératrice de l’abandon de la lutte.

On est tellement habitué à résister à ce qui se manifeste en soi qu’on vit dans un stress permanent qui génère des crises, des explosions émotionnelles, de la confusion mentale et un sentiment de dévalorisation croissant.
Plus on s’accroche aux raisonnements du mental, plus on tente de contrôler et plus l’énergie peine à circuler.

lundi 21 novembre 2016

« Cesser de lutter, de s’attacher à ce qui se manifeste en soi »





Maintenant que la vague est passée, enfin que je m'accroche moins aux raisonnements du mental, ce qui reste de cette expérience, c’est une redéfinition des émotions, des énergies, et la capacité à marcher avec le mental plutôt que contre lui, de le rassurer en cessant de cogiter. 
Plus on lutte contre ce qui se manifeste en soi, plus on donne de l’énergie à la peur, simplement en l’étiquetant de mauvaise et plus on est mal, dans la confusion. 

Savoir abandonner les étiquettes et croyances semble être un bon moyen de se faciliter la vie et d’intégrer le changement, les nouvelles énergies, en douceur ou sans avoir la sensation d’être perdu, bouleversé à l’intérieur. Être hypersensible peut sembler douloureux mais en lâchant la notion de bien et de mal, en cessant de bloquer l’énergie en soi, ça devient une force. La patience est nécessaire, elle permet de s'apprivoiser, de se familiariser avec les sensations.

J’ai repensé aux moments où j’ai senti ce trouble intérieur et au fait qu’à chaque fois, j’ai eu la forte impression d’intégrer de nouvelles énergies, d’augmenter mon taux vibratoire. C’est fascinant d’observer comment fonctionne l’énergie et quand on le fait avec un certain recul, quand on n’est pas identifié aux pensées ou aux émotions qui émergent naturellement quand ces téléchargements s’effectuent, quand on reconnait et quand on lâche certaines croyances, on sent une paix de plus en plus profonde et stable. 
Quand on admet que la notion de jugement, de bien et de mal est arbitraire, aléatoire et en plus douloureuse, on facilite l’intégration ou l’émergence de l’énergie de vie en soi.
C’est ce qui ressort de mon expérience de ces derniers jours.

samedi 19 novembre 2016

« Maintenir la reliance interne » & vidéo Darpan « Travailler sur ses peurs »






Ces derniers jours ont été très intenses et avec un peu de recul, je peux constater plusieurs choses et tirer un bilan plutôt positif de la situation. C’est encore assez bouleversant mais comme je confie tout à mon âme et comme j’ai pu exprimer mon ressenti à deux âmies, je reste debout et confiante.
Pouvoir remonter à une peur, une croyance qui s’est imprimée dans l’enfance, dans les profondeurs de l’inconscient, créant un programme spécifique dont découlent toutes sortes de comportements, de croyances, de schémas de pensées, de réflexes conditionnés, c’est en soi une nette progression. Cela veut dire que la peur de la peur est en train de se dissoudre, ou de changer de forme, d’apparence, de sens et même si ça peut sembler fou de dire ça, c’est une réalité que nous partageons tous. 

Nous sommes habitués à refouler la peur, à lui donner des réponses intellectuelles, à s’en prémunir ou à croire qu’on peut le faire en achetant toutes sortes d’assurances, de garanties, en achetant une arme pour se défendre, en ayant un compte en banque bien rempli, et dans les relations amoureuses, à tout faire pour ne pas perdre l’autre, à se marier, à le couvrir de cadeau, à être aux petits soins, à répondre aux attentes de l'autre…

Toutes sortes de stratégies qui sont sensées nous tranquilliser, nous faciliter la vie mais qui sont totalement vaines lorsque survient une crise, un deuil, la perte d’un emploi, d’un conjoint…
On a tellement de solutions très sophistiquées pour ne pas sentir la peur, qu’on fini par croire qu’elle n’existe pas, qu’elle n’a pas de raison d’être, que ce sont les faibles qui en sont la proie...

vendredi 18 novembre 2016

« Oser toucher la vérité de la personne pour sentir la présence de l’être "divin" »






On peut avoir l’impression que le monde s’écroule quand on regarde la politique, les révélations, les infos qui circulent en masse, qui se contredisent et dont on ne peut pas vérifier la source. Chacun expose son point de vue selon ce qu’il vit à l’intérieur, selon le domaine qui lui tient à cœur et la quête de vérité touche une grande majorité de gens. Mais plus on cherche des réponses à l'extérieur et plus on s'éloigne de sa propre vérité, celle qui est vivante en soi. 
Dans tout ce fatras on peut apprendre à se connaitre, à se reconnaitre, à se situer et surtout à comprendre que la vérité est en soi, que ce qui résonne en notre cœur est précisément ce que nous avons besoin d’entendre, d’intégrer et de comprendre à cet instant. 
Que cette vérité est d'abord celle de nos blessures, des croyances qui nous conditionnent et à moins de les regarder en profondeur, on ne peut voir émerger ce que nous sommes au-delà du personnage.
Quand on fait confiance à son intuition, quand on reconnait la façon dont l’âme, la vie, notre environnement, les situations, nous guident, nous parlent, nous enseignent, quand on reste ouvert, ce que disent les autres n’est plus une référence, on apprend à faire émerger notre propre vérité sans avoir besoin de convaincre qui que ce soit parce que la reconnaissance est intérieure, intime, elle consiste à voir ce qui est enfoui dans les profondeurs. 
On est guidé vers un livre, une phrase, une vidéo, qui viennent à point et qui éveillent ou initient quelque chose en nous. La sensation de paix intérieure devient l’ancre, la source, la référence absolue et l’indicateur que nous sommes notre propre secours. 

Et la solution à tout problème, à toute question, c’est toujours de s'intérioriser, d’incarner sa propre réalité, d’être présent à soi-même, d’être ouvert, à l’écoute des pensées, celles qui expriment la souffrance, les croyances difficiles. De laisser les émotions associées à ces pensées, s’exprimer sans les refouler, sans les juger, parce qu’elles amènent toujours à sonder l’inconscient, à reconnaitre la croyance de base, celle qu’on a adopté comme une vérité et qui conditionne nos comportements depuis lors.

mardi 15 novembre 2016

« L’Ombre et la Lumière » & « Outil de reconnaissance d’étapes dans votre évolution » Magali/Miriadan





Nous recherchons la Lumière et en faisons notre objectif de vie, notre "mission". 
La Lumière est cet état par lequel nous rayonnons à partir de Qui Nous Sommes, dans le Partage et la Beauté. Être Lumière emplit et nourrit. Être Lumière apporte la satiété et une finalité. La Lumière appose une stabilité.

Dans son Amour infini, l'Un nous a offert l'égale et la sœur de la Lumière : l'Ombre. L'Ombre est une initiatrice, une émulatrice. Elle détient les clés de la Lumière en vous car elle en est la gardienne aimante et exigeante. Dans toute évolution, il vous faut abandonner vos repères, vos croyances, vos illusions, ce qui vous maintient dans votre zone de confort, pour aller plus loin, en profondeur. Et l'Ombre est cette ouvreuse de portes.

Notre corps est un temple dédié à Qui Nous Sommes. 
Rien ne se trouve à l'extérieur, tout se cache en notre intériorité. 
Notre magnificence nous attend patiemment, et s'offre progressivement lorsque nous acceptons l'invitation de notre Ombre à nous initier à nous-même. Cette partie indissociable de notre Être nous présente nos peurs, nos blocages, nos limites dans l'objectif de nous dépasser. Et quand nous trouvons en nous la voie, que nous dépassons le miroir de nos fantasmes, nous laissons jaillir la Lumière.

La religion nous a éloigné de l'Ombre en la dépeignant sous les traits du Mal, ennemi du Bien. D'où vient l'image du diable aux pieds de boucs et cornu ? Nous le retrouvons sous les traits du dieu celte Cernunnos, intermédiaire entre les vivants et les morts et gouvernant le rythme des saisons, ou le dieu grec Pan, gardien de la nature et exalteur impertinent de ce que nous n'osons pas regarder en nous. Et rien n'est plus Juste.

lundi 14 novembre 2016

« Il n’y a rien de plus important, de plus vrai, que l’Amour »






Ce matin, je suis en joie ! Pour plusieurs raisons, je sens que mon cœur s’expanse, je retrouve la sensation intense d’amour, de plénitude, que je connaissais lorsque je participais aux réunions de l’église et que je témoignais de l’amour divin.

J’ai vraiment passé un cap décisif sur le chemin de libération qui est le mien. 
Libération de l’être véritable que je suis, que j’ai toujours été mais que je n’osais pas exprimer au grand jour en toute simplicité. Évidemment, comme on dit « chassez le naturel et il revient au galop » mais quand on contraint des aspects entiers de soi, quand on bloque l’énergie de vie de peur d’être consumé, quand on sélectionne les émotions qu’on peut extérioriser, par peur d’être rejeté, ce vrai moi s’exprime dans la maladresse, l’excès et la douleur. C'est l'enfant en souffrance qui s'exprime.

Puis avec patience, en laissant l’enfant en soi exprimer tout ce qui a été refoulé, en accueillant sa détresse et en offrant tout cela à la source d’amour lumière en soi, tous les aspects de l’être s’harmonisent et l’être véritable émerge. 

Celui qui n’a pas peur ou honte d’aimer sans conditions simplement parce que c’est devenu son état naturel, son état d’être intérieur. 
C’est un parcours qui peut sembler laborieux tant qu’on ne fait pas la paix avec tout ce que nous sommes et portons, déjà au niveau mental. Tant qu’on ne comprend pas et qu’on ne vit pas des moments de paix et d’harmonie intérieure en choisissant d’écouter son cœur plutôt que la peur, on sera dans le doute, balloté de part et d’autre au gré de nos humeurs, des circonstances de la vie et des mouvements chaotiques du monde, du climat même.

« Vous êtes la lumière dans la noirceur » les guides de l’unité via Daniel Desjardins






Très chers amis humains,
Il y a ces jours-ci dans votre réalité tridimensionnelle, comme dans vos cœurs, comme dans votre conscience collective, de bien gros nuages noirs et à l'intérieur de ces nuages noirs, des éclairs.
Nous vous invitons à considérer que ces éclairs ne sont pas cette rage que vous percevez, mais ils sont plutôt des éclairs de génie, car à l'intérieur de cette confusion, de ce chaos, il y a vous, vous qui cherchez la lumière, vous qui cherchez toujours à vous libérer de ce qui n'est pas réellement vous, vous qui lisez ou écoutez ce message.

Ce nuage, cette confusion, génère de plus en plus de désir, une grande force en vous qui vous propulse à vous ouvrir de plus en plus à qui vous êtes réellement, à découvrir votre source, cette lumière en vous et ce que vous pouvez observer, à travers ces nuages ce sont vos éclairs de génie, vos lumières qui s'illuminent, votre ouverture à votre divinité qui s'accélère. 
Car oui ce chaos est bénéfique pour vous, vous l'avez demandé, vous l'avez appelé, et nous saluons avec Amour, plus que nous ne pouvons mettre en mot, nous saluons votre courage de faire ce choix. 
Vous, sur Terre êtes ceux qui faites évoluer la conscience pour tout l'univers en ce moment; vous faites des choix très difficiles et tout cela vous amène à vous ouvrir de plus en plus à qui vous êtes réellement, car au fond de vous, vous sentez cet appel qui auparavant n'était qu'un murmure, dans les dernières années est devenu une parole de plus en plus sure, et aujourd'hui vous entendez presque comme un cri!

dimanche 13 novembre 2016

« De la théorie à la pratique »





« Rien ne sert de courir, il faut partir à point » cette maxime connue de tous est d’une grande sagesse comme la plupart des proverbes populaires. Ce La Fontaine était inspiré et ces fables basées sur l’observation de la nature sont empruntes de sagesse. 
Quand on parle de communication télépathique avec la nature, je l’entends plus comme une interaction où la conscience humaine observe et tire des conclusions de cette observation silencieuse de la nature qui révèle des principes universels. 
Observer, c’est connaitre ou être avec, au sens littéral du terme.

Ce n’est pas par hasard que cette phrase de La Fontaine est apparue maintenant puisque ça résume l’essentiel et ça correspond bien aux circonstances. J’ai observé que lorsque j’ai une irrésistible envie d’écrire alors que je devrais être dans l’action, c’est le signe que le mental est apeuré. Il ne s’agit pas de le convaincre qu’il a tort mais juste de reconnaitre cela et de laisser l’émotion surgir, s’exprimer. 
Comme la peur est systématiquement refoulée, elle ne va pas s’exprimer de façon violente ou claire et d’ailleurs ça n’est pas ce qui compte le plus. Ce qui change la vibration, c’est le fait de reconnaitre le processus de refoulement, de réaction, de résistance et de le stopper en se posant, en se centrant dans le ressenti du cœur.

« Partir à point », c’est à mon sens agir depuis l’espace serein du cœur, plutôt que de démarrer au quart de tour motivé par l’instinct de survie. La phrase et son contenu sont l’expression de l’âme, de sa guidance, de sa présence et en venant au centre, c’est une façon de communier, de se mettre en état de réceptivité, d’ouverture.

samedi 12 novembre 2016

« Intégration de l’Âme » Kara Schallock






C’est toujours un tel plaisir que d’être surpris par les choses, plutôt que d’avoir une attente à propos de quelque chose. Pour moi, les phases de la Lune me surprennent car je ne suis pas l’Astrologie, les phases de la Lune, le calendrier, etc. Donc lorsque je vois la Lune, les étoiles et les autres belles choses de l’Univers, je suis ravie, bénie et mon Cœur déborde de Joie. N’est-ce pas ainsi que tout est dans le Nouveau ? 

Nous sommes surpris et ravis même par les plus petits miracles. 
C’est voir avec de nouveaux yeux, car lorsque les anciens schémas / attachements / attentes / croyances / autres anciennes façons de faire s’attardent encore à l’intérieur, il n’est pas possible de voir avec de nouveaux yeux… et ensuite, nous nous attendons à ce que les choses soient comme elles l’ont toujours été. 
C’est tellement plus amusant de ne pas avoir de prévisibilité dans notre vie, mais peut-être que de ne pas avoir d’attentes n’est pas une chose si amusante pour certains. Aimez-vous la prévisibilité ou aimez-vous être surpris? Cela vous en dira beaucoup sur vous-même.

Nous sommes dans une phase énergétique où nous pouvons voir nos croyances les plus enracinées et transformer tout ce qui est limitant. C’est à nous de discerner ce qui nous sert ou pas. Lorsque nous laissons aller la prévisibilité, nous nous ouvrons à de nouvelles façons de voir les choses et nous en apprenons de nouvelles que nous ne connaissions pas auparavant. Tant de choses sont révélées en ce moment – si nous choisissons de voir avec de nouveaux yeux et d’être ouverts au Nouveau.

vendredi 11 novembre 2016

« Utiliser les circonstances pour se centrer et se libérer de la forme, des croyances »





10/11 Il est clair que plus le monde semble chaotique, plus l’extérieur est troublant, plus ça demande de faire la clarté en soi, de se positionner dans ses choix, de s’ancrer dans sa réalité. Moins on s’éparpille, moins on se projette vers l’extérieur, mentalement et émotionnellement et plus on se sent serein, puissant, confiant,  malgré ce qu’on peut percevoir dans le monde. Et d’ailleurs comme le mental ne peut pas être à la fois focalisé sur le cœur et sur l’extérieur, lorsqu’on vient au centre de l’être, l’extérieur ne suscite plus de réaction. Peu à peu, à mesure que le mental émotionnel se stabilise, s’équilibre, ce que vit le monde ne nous touche plus.

Ce n’est pas une fuite non plus mais plutôt la conséquence d’une évidence, la vision depuis le cœur est claire, on sait où se situe notre responsabilité, notre potentiel et notre champ d’action. 
Notre potentiel se déploie depuis cette reconnaissance de qui nous sommes et la conscience que c’est la part divine, éclairée, beaucoup plus vaste, qui agit, qui crée, qui a tous pouvoirs. 
Le premier, c’est d’apaiser la personnalité et d’éclairer sa vision.   
Les outils sont la transparence envers soi, la capacité à se positionner dans le centre et à choisir à chaque instant la paix et l’unité. 
La transparence permet de voir en soi, de distinguer les rôles, les personnages, de l’être véritable. 
Nous avons le réflexe de projeter vers l’extérieur, par instinct de survie, ce que nous ressentons en nous-même, ce qui nous dérange. De ce fait nous nous éparpillons et nourrissons l’illusion, l’illusion de l’impuissance, du pouvoir et des jeux de rôle.

jeudi 10 novembre 2016

« Le chaos est notre ami » Daniel Desjardins






Cette nuit, à 00:57, heure de l'est des Amériques, je me suis éveillé en sursaut avec une intuition, non une connaissance, que les États-Unis d'Amérique avaient élu Donald Trump. Je ne vous cacherai pas que mon mental est tout de suite passé en 6e vitesse avec une quantité de scénarios et de peurs quant à l'avenir de notre monde et une grande incompréhension face au fait qu'en 2016, après déjà 4 ans de nouvelles énergies, comment était-il possible qu'un potentiel despote soit élu à la tête d'un des pays les plus influents de la planète?
C'est lorsque je me suis permis de rester dans la question, et de m'ouvrir véritablement à recevoir la réponse que les Guides de l'Unité m'ont parlé (ou plutôt c'est à ce moment, lorsque j'ai baissé mes barrières que j'ai pu les entendre...). 

Ils m'ont montré que oui, cette élection va amener le chaos à plusieurs niveaux dans leur pays, mais aussi dans le monde, mais que le chaos, contrairement à ce que la majorité de gens pense, le chaos c'est une bonne chose!

Le chaos accélère la destruction de l'ancien, car plus rien ne peut rester en place comme il l'était. Cela force le changement, et c'est pour cela que les gens ont voté! L'humanité en a assez de l'Ancien Monde et des anciennes énergies, et ironiquement, la façon la plus rapide de s'en débarrasser c'est d'aller une dernière fois dans l’extrême (je ne dis pas que cela ne peut pas se produire aussi en France et dans d'autres pays qui ont des élections cette année ou l'année prochaine :) ).

mercredi 9 novembre 2016

« Être pleinement Vivant » & « Être soi-même » vidéo de Darpan






8 11 Toute souffrance vient d’un blocage énergétique, d’un manque de fluidité, de souplesse, d'ouverture. Si l’énergie de vie est confinée dans un des corps, un des chakras, cela créé des frustrations, des maladies et une confusion mentale. Elle est généralement confinée dans le mental qui tente de contrôler la vie, les émotions. C’est plus ou moins intense selon les blessures d’enfance et la capacité d’adaptation à son environnement, selon la personnalité, la foi, le désir d’incarnation ou d’Être de l’âme, le degré de conscience et le vécu. 
Cela fait beaucoup de paramètres et de par notre constitution multidimensionnelle, le nombre de nos corps et le contexte de la dualité, c’est autant de possibilités de souffrir, de s’enfermer, d'être confus, que de potentiel d'ouverture, de réalisation et d’expansion qui s’offrent à nous.
La perception et l’interprétation de l’humain ignorant de sa nature multidimensionnelle est limitée en conséquence. Plus on devient conscient de tout ce que nous sommes en réalité et en le ressentant, en s’observant avec un regard neuf, plus on est émerveillé par cela.

On croit que la sexualité représente l’enjeu essentiel et que l’accomplissement d’un être réside dans l’acte qui consiste à assouvir son désir. La société est construite sur ce postulat réducteur et tout est envisagé comme un objet de consommation, tout est commercialisé et tourne autour de la séduction, de la capacité à convaincre, à dominer l’autre et à avoir raison.

Je regarde des vieux films des années 30 à 50 et je suis ébahie de constater que les mêmes personnages, les mêmes scénarii se rejouent sans cesse. Tout est basé sur la superficialité de l’être et l’amour est cantonné aux relations de couple quels qu’ils soient. 
Le besoin de communion, de fusion est limité dans son accomplissement par la relation de couple, les relations filiales, comme si le cœur de l’humain ne pouvait embrasser qu’un nombre limité d’individus. 

mardi 8 novembre 2016

« Ne pas s’attacher à ce qui est perçu, ne pas qualifier, ne pas nommer, Juste Observer »





7 11 Je viens de faire la dernière méditation de Deepak Chopra et comme je réagis à chaque fois qu’il parle de l’âme comme d’un aspect limité et possiblement endormi de l’être, j’ai demandé à mon âme d’éclairer mon mental pour que je puisse comprendre mieux qui est qui. Je ne sais pas si je vais traduire en mots ce que j’ai perçu sous forme d’images symboliques, mais j’essaie quand même histoire de ramener le mental au calme.

Tout est question de conscience, de niveau de conscience et d’identification. 
Tant qu’on est identifié seulement au corps physique, qu’on se croit limité, on l’est apparemment. Puis quand on ressent son âme ou que nous sommes plus que notre corps, nos pensées, notre personnalité, on se tourne à l'intérieur, en son cœur/esprit, on s’ouvre et par l’observation on va reconnaitre le caractère illusoire de la personnalité. 

En effet comme nous jouons tous des rôles qui peuvent être reconnus et placés dans des cases, ces rôles étant construits sur l’expérience douloureuse et l’incompréhension ou l’identification aux pensées émotions, aux blessures, il est clair que ça n’est pas notre vrai moi. 
Lorsqu’on est conscient d’exister au-delà des rôles, dans une dimension plus vaste de l’être et par la connexion à cet aspect de soi, on est en relation avec toutes les émanations de l’âme. Elle est infinie, se manifeste en toute forme de vie et selon notre degré de conscience, notre capacité d’ouverture, on va s’identifier soi à une âme qu’on s’approprie soit à l’âme cosmique, universelle. 
Il semble qu’il y ait une seule et même âme, ou l’aspect incarné de la source, l’aspect capable de se matérialiser dans la chair, la matière, sous forme d’atomes organisés. 
Nous sommes uniques dans la relation à la source, à l'âme et la conscience Une.
Puis la conscience sans forme qui habite toute vie et que nous partageons tous.

lundi 7 novembre 2016

« Je suis déjà tout ce que je souhaite manifester »





6 11 Ce matin, après une bonne nuit de sommeil réparateur, je me sens bien, sereine et en commençant à écouter la médiation de Deepak Chopra, l’idée que mon âme a choisi d’utiliser la dualité, la souffrance et la faculté de comparaison du mental comme moyen de réalisation, d’émergence du vrai moi, du soi, m’apparait comme une évidence. 
Il n’y a rien à faire, juste à être, je suis déjà tout ce que je souhaite manifester.

Je suis encore parfaitement en résonance avec ce qu’il dit et ces quelques mots en particuliers, ont fait écho en moi : « Irradier la plénitude/réalisation/l’accomplissement est l’étape finale de l’expansion du bonheur. Ceci vient de soi quand vous reconnaissez en vous qu’il n’y a plus rien à chercher, vous retournez chez vous, après votre voyage. Pourtant, le chemin spirituel se déroule comme un voyage étrange parce que vous ne parcourez aucune distance. 
Vous commencez là où vous avez commencé avec vous-même mais le soi que vous connaissiez au début, n’est plus celui que vous connaissez à la fin. 
Votre soi à la fin s’est réalisé, il a appris que la vie ne nécessite aucune lutte, peur ou résistance, vous avez seulement besoin d’être. 
J’aime la simplicité de la citation suivante : « pour devenir illuminé,  arrêtez de courir continuellement et commencez à marcher. Quand vous marchez, ralentissez et arrêtez vous. Dès que vous vous arrêtez, vous réalisez qui vous êtes vraiment ». 

Alors, tout le voyage est un processus de détente et de relâchement. Il n’y a rien à étudier, mémoriser, apprendre ou à défendre, il y a seulement l’expérience. Faire l’expérience du vrai soi ne serait-ce qu’un instant, active la sensation du « ah ah, voilà ce que j’ai toujours recherché » Deepak Chopra

dimanche 6 novembre 2016

« Je suis la Paix, l’Unité, l’Équilibre et l’Harmonie »






Ce matin, la journée commence dans l’énervement malgré une bonne nuit de sommeil. 
J’ai voulu installer skype et comme ça se compliquait, le stress s’est installé. J’ai fait la méditation du jour de Deepak Chopra et bien que je sente encore des tensions à l’intérieur, le mental est apaisé.  
C'est clair que le personnage soumis à la peur se manifeste en ce moment et le seul fait de le reconnaitre en défait l'intensité. Savoir revenir au centre, au calme, à la détente générale, restaure l'unité intérieure et ramène à l'essence de l'être. Il suffit de peu pour en perdre conscience et de la même façon il suffit de quelques respirations profondes pour retrouver cette vibration, cette conscience d’Être.

Je repense à ce que j’ai écris hier au sujet des croyances et au fait que l’humanité ait progressé par le contact avec la source, la lumière, l’amour, en choisissant la paix plutôt que la réaction primaire. Chaque individu qui s’est libéré des masques, des conventions, des croyances et superstitions religieuses, a participé à l’éveil des consciences, de la conscience collective, de façon directe et c'est encore le cas aujourd'hui. 
On parle du siècle des lumières parce qu’il correspond à une période où l’accès aux connaissances n’était plus réservé à une élite, aux nobles et aux bourgeois. Même si ces connaissances étaient et restent limitées à l’aspect humain de l’être, le fait de pouvoir apprendre à lire, écrire et compter, a permis au plus grand nombre de devenir plus autonome. Les érudits tout comme les initiés ont empruntés des chemins isolés, ont voyagé, rencontré différentes cultures, afin d’élargir leur vision et leur compréhension de l’humain. L’accès à Internet aujourd'hui, produit le même effet d'ouverture des consciences et en même temps pose la question du discernement.
Les églises ont causé beaucoup de tort aux humains en instituant des croyances, des superstitions et la crainte d’un dieu éloigné des hommes. Mais d’un autre côté l’ignorance de l’humain au sujet de sa vraie nature et la vision d’un dieu autoritaire ont créé ces chefs, ces hiérarchies, ce système patriarcal.

vendredi 4 novembre 2016

« Patience et longueur de temps font plus que force ni que rage, lol »






Ce qui suit est venu en écriture spontanée et ça n'est que mon point de vue bien qu'il soit exprimé avec assurance. 
Qu’est-ce qu’une croyance ? C’est une association d’idées basée sur une expérience vécue et perçue selon le degré de conscience de l’individu au moment de l’évènement marquant, qu’il soit positif ou négatif. 
Dans l’incompréhension face à un comportement qui enclenche l’instinct de survie ou qui génère une récompense ou encore une punition, la mémoire enregistre les faits au niveau émotionnel, inconscient, bloque l’énergie et le mental en déduit une croyance.

Elle est la réponse précipitée à un stress qui forme tout un réseau neuronal qui s’incruste dans l’inconscient, le cerveau limbique, la mémoire, et qui trouve son origine dans les gènes et le tronc cérébral. L'instinct de survie s'y loge et génère des réactions automatiques de fuite, d'agressivité ou de défense. C’est la réponse automatique donnée par l’humanité depuis des générations et celle adoptée dans l’enfance suite à un trauma. Très souvent cette réponse vient des parents, qui eux-mêmes ont eu ce réflexe identique face à une difficulté qui mettait en cause leur survie. Le genre de réponse spécifique est d'ordre génétique, selon le degré de conscience des ancêtres et leurs réactions instinctives dans l'expérience. Au fil des siècles, l'humain a utilisé son intelligence et sa connexion à l'amour lumière en lui pour répondre de façon moins primaire aux stimuli extérieurs. 

Chaque individu d'une lignée qui a su utiliser son intelligence, sa sagesse innée pour répondre aux aléas de la vie a enrichit les générations suivantes. Élargit le panel de réponses possibles.

jeudi 3 novembre 2016

« Dans la paix et l’unité intérieures, le mental est perçu comme un outil au service de l’être »





« Ne te préoccupe pas de ce que tu dois faire dans la matière, pour le moment, ce qui importe le plus, c’est que tu apprennes à faire totalement confiance en ta guidance intérieure, que tu puisses reconnaitre la voix de la sagesse en toi. 
La sagesse n’est pas une attitude rigide ou encore faussement détachée face aux circonstances de la vie, aux autres, c’est la conscience de ce que tu es, de la paix du cœur et de sa capacité à pacifier tout ce que tu es. Il ne t’importe pas de t’occuper des autres dans la matière mais de ces autres "toi" à l’intérieur ».

Je suis tellement en joie, connectée à mon âme par le fait d’espacer les prises de médocs que la sensation de bien-être intérieure m’inspire encore à écrire mais comme le soleil brille et que la température est douce, je vais d’abord en profiter et reporter à plus tard l’écriture. 
C’est clair que cette habitude de confier sur l’ordi tout ce qui me passe par la tête au quotidien constitue à la fois un stimulant et une aide pour le mental qui structure la pensée, concentre l’énergie, mais en même temps, ça m’éloigne de la réalité tangible ou de l’action dans la matière. 
Le juste milieu est à trouver mais là encore, sans forcer, juste en continuant de me maintenir dans la paix et l’unité intérieures. 
Ce moment d’écriture est une façon de démarrer la journée avec un mental remplit d’enthousiasme du fait d’être dans la passion. La vibration qui me porte est alors celle de la joie et le goût de passer à l’action vient dans l’élan spontané, motivé aussi par le goût du changement. 
L’effet duel ou contraste sert le bien-être lorsqu’on est porté par l’inspiration, lorsqu’on suit l’élan à changer d’activité sans s’y obliger, simplement par évidence, par goût.

mercredi 2 novembre 2016

« Crédibilité » Jamye Price





Êtres Bénis, alors que vous observez votre monde, vous créez une structure d’interprétation et d’interaction. 
Il est important que votre structure intérieure soit fluide, adaptable et fiable.
Tous les humains commencent en étant influencés par ceux qui les entourent. 
C’est nécessaire afin d’initier une connexion / une compréhension de points de vue extérieurs. C’est ce qui relie le soi intérieur aux autres à l’extérieur. 
En grandissant et en prenant de l’âge, votre focalisation change et vous n’êtes plus influencé par l’extérieur – qui peut aller de la famille aux amis, des amis aux collègues, ou toute combinaison de groupes extérieurs.

Sans l’effort d’individualiser, vous pourriez maintenir un semblant de structure intérieure, cependant elle serait fortement influencée par ceux qui vous entourent. Les compétences de discernement seraient principalement basées sur des influences passées plutôt que dans le moment d’interaction. Ce manque de confiance intérieure et de discernement crée un besoin de dominer certains et un besoin d’en suivre d’autres.