mercredi 9 novembre 2016

« Être pleinement Vivant » & « Être soi-même » vidéo de Darpan






8 11 Toute souffrance vient d’un blocage énergétique, d’un manque de fluidité, de souplesse, d'ouverture. Si l’énergie de vie est confinée dans un des corps, un des chakras, cela créé des frustrations, des maladies et une confusion mentale. Elle est généralement confinée dans le mental qui tente de contrôler la vie, les émotions. C’est plus ou moins intense selon les blessures d’enfance et la capacité d’adaptation à son environnement, selon la personnalité, la foi, le désir d’incarnation ou d’Être de l’âme, le degré de conscience et le vécu. 
Cela fait beaucoup de paramètres et de par notre constitution multidimensionnelle, le nombre de nos corps et le contexte de la dualité, c’est autant de possibilités de souffrir, de s’enfermer, d'être confus, que de potentiel d'ouverture, de réalisation et d’expansion qui s’offrent à nous.
La perception et l’interprétation de l’humain ignorant de sa nature multidimensionnelle est limitée en conséquence. Plus on devient conscient de tout ce que nous sommes en réalité et en le ressentant, en s’observant avec un regard neuf, plus on est émerveillé par cela.

On croit que la sexualité représente l’enjeu essentiel et que l’accomplissement d’un être réside dans l’acte qui consiste à assouvir son désir. La société est construite sur ce postulat réducteur et tout est envisagé comme un objet de consommation, tout est commercialisé et tourne autour de la séduction, de la capacité à convaincre, à dominer l’autre et à avoir raison.

Je regarde des vieux films des années 30 à 50 et je suis ébahie de constater que les mêmes personnages, les mêmes scénarii se rejouent sans cesse. Tout est basé sur la superficialité de l’être et l’amour est cantonné aux relations de couple quels qu’ils soient. 
Le besoin de communion, de fusion est limité dans son accomplissement par la relation de couple, les relations filiales, comme si le cœur de l’humain ne pouvait embrasser qu’un nombre limité d’individus. 




Dès qu’on limite notre amour à un être, on s’enferme dans une interdépendance, un attachement qui devient toxique si on croit que l’amour est exclusivement dans cette relation. Et c’est bien là que nait la souffrance, notre vision est réduite, limitée par un postulat initial totalement faussé.
On répond aux questions existentielles par les mêmes réponses depuis des siècles.
Même le mouvement New âge pourrait sembler donner de nouvelles réponses mais l’idée de base reste la même, la séparation et les solutions demeurent la constitution de groupes ralliés autour de concepts, d’images, d’icônes, on continue de nourrir l’idée de séparation, de division, d’appropriation et d’exclusion, de rejet.  
Aux excès on oppose le néant, à la surconsommation on répond par le minimalisme, à la sexualité débridée on oppose l’abstinence, aux vices, on oppose les vertus et si on remettait en cause le système qui consiste à opposer ce qui est pour enfin trouver le juste milieu ?

On associe le pouvoir à la dominance, la dominance intellectuelle, physique, qui oppose les plus forts aux plus faibles ou considérés comme tels. 
On fait des associations d’idées malheureuses et limitatives qui n’ont en fait aucune réalité. On associe l’image à l’être, la beauté aux apparences, la perfection aux traits fins et harmonieux mais l’apparence est symbolique, elle exprime des vérités qui sont intérieures. 

L’harmonie est le principe qui régit toute vie, le pouvoir est à l’intérieur, en chacun et en ce sens il n’y a pas de faibles et de forts. L’humain a en lui tout le potentiel de réalisation, d’accomplissement mais ça demande de l’ordre, de la clarté, d’établir la priorité en la connexion intime à la source.

L’humain crie son impuissance face à un dieu qui semble sourd à ses supplications mais que demande-t-il au fond, la justice, l’équité, la reconnaissance, le privilège d’être aimé ?
On croit que la liberté et la puissance, c’est d’être en haut de l’échelle, de pouvoir obtenir ce qu’on veut quand on le veut et on se rend compte qu’on n’est pas plus heureux quand on a obtenu ce qu’on désirait. 
Que ce soit un bien, une conquête qualifiée d’amoureuse, le plaisir se limite à la séduction et au moment où la chose nous est acquise. Mais très vite, on aura besoin de repartir à la conquête de nouveaux objets, territoires, pour se sentir vivant et puissant.

L’expérience de l’addiction aux drogues m’a montré le caractère illusoire de cette forme de plaisir, de pouvoir, de ces croyances et de l’appétit qui ne peut pas être nourri par quelque chose d’extérieur à soi. Que ce soit un être, un objet, un bien, rien ne peut combler la sensation de vide intérieure sauf la rencontre avec l’être véritable, l’essence de l’être, l’énergie de vie et la source de toute vie.
Mais là encore, ce qui nous empêche de percevoir et de laisser cette vibration rayonner librement, ce sont les croyances, le fait de vouloir nommer, figurer et qualifier cela au lieu d’apprivoiser le ressenti.




C’est comme si les croyances formaient autant de voies qui font du chemin vers la source, un véritable labyrinthe dont on semble ne jamais pouvoir entrevoir l’issue.  
Mais cette sensation vient du fait qu’on s’attende à percevoir quelque chose de particulier, quelque chose qui corresponde à nos croyances, nos attentes, nos manques et nos besoins.

A mesure que je prends conscience de la façon dont je fonctionne et que je me réfère à la pure sensation du cœur enfin de cet état de paix intérieure, le besoin de projeter et de nommer se dissipe. 
Il est clair que tout est à lâcher, que ce soient les croyances, les projections, les masques, les systèmes de croyances. Même au sujet de l’amour lumière qui est perçu depuis le mental, la personnalité et de ce fait est encombré de concepts et de croyances limitatives, erronées.

Partir de l’idée que tout le passé, la perception mentale est faussée et oser voir avec neutralité, voilà qui peut ouvrir à recevoir, à sentir la source en soi sans avoir besoin de la nommer ou de l’enfermer.

Se laisser remplir de cette sensation de paix, de douceur, d’assurance et s’ancrer en elle. Quand on sait qu’on est amour et lumière en essence, on va vouloir manifester cela dans nos gestes, dans nos paroles mais si cela ne vient pas de la paix du cœur, s’il demeure des divisions, des aspects internes rejetés, des peurs non accueillies, cet amour sera perverti. Tant que la volonté, que l’ego veut diriger, orienter l’amour, c’est juste une stratégie qui vise à combler un manque, manque d’amour de soi, de reconnaissance. Et en toute logique, en retour, on recevra ce manque, on se sentira trahit, déçu, on vivra la peur de perdre.

L’amour ne se commande pas, il est, il rayonne et s’offre à tous sans compter, sans rien attendre. La seule chose que nous puissions faire, c’est de l’autoriser à circuler, rayonner en nous, à se poser sur tous les aspects de l’être, de la personnalité.

Plus on veut être l’amour et plus nos ombres vont être mises en évidence, soit par le comportement de l’autre qui sera opposé à nos attentes, soit par la sensation de peur qui va augmenter. 
La peur de perdre l’autre, la peur qu’il regarde ailleurs, qu’il ne nous aime pas complètement. Alors on va tout faire pour que la rupture n’arrive pas et on va jouer un rôle, montrer seulement nos aspects supposés bons ou meilleurs.

Comment pourrait-on être aimé sans conditions si nous affichons seulement un aspect limité, faussé de nous-même. A moins d’être vrai, entier, authentique, on ne peut pas être aimé pour qui on est mais pour ce qu’on veut laisser paraitre. 
D’entrée, on joue sur les apparences, un personnage fictif, pour un emploi fictif, un amour faussé, conditionné. On recevra la même chose en retour pour prendre conscience de notre attitude et pour changer notre mode de fonctionnement, de pensée, nos croyances.

Plus je lâche les croyances passées et plus la paix demeure en moi, la joie s’installe parce que je redécouvre ce que je suis avec un regard totalement neuf, sans jugement, sans préjugés. 
Moins je m’attache aux images, aux visions des autres, au besoin de voir pour croire et plus je me sens libre. 




Le fait de considérer les êtres et la vie au niveau essentiel, énergétique et vibratoire libère de toute forme de limitation et d’attachement. Les limites sont celles de l’individu, de la chair, de la personnalité et de ses choix, ses préférences. Elles déterminent notre individualité sans avoir besoin de rejeter l'autre et sans chercher à lui plaire.

Je ne nie pas l’existence de mondes parallèles, ni celle des égrégores mais je suis sur terre, ici et maintenant, dans une enveloppe charnelle, constitué de multiples corps, aspects, que j’apprends à connaitre de l’intérieur et surtout à maintenir le désir constant de paix, d’unité et d’harmonie. 
En me souvenant qui Je suis en totalité, en faisant confiance à chacun des corps, ses compétences et sa dimension, je laisse la source orchestré l’ensemble sans opposer de résistance. 

Je sais que le meilleur guide, instructeur, guérisseur, libérateur, se situe en mon cœur et qu’en m’y référant, en nourrissant cette intime connexion, tout ce que je suis s’harmonise à la fréquence de la source. 
Je laisse le soin à l’âme de remplir ses fonctions, de gérer les mondes subtils, de me guider selon l’élan porté par la joie, de m’inspirer et de me montrer ce qui est, avec ses yeux puis de consoler l’enfant en moi quand c’est nécessaire. 
Je laisse l’amour lumière se diffuser en tout mon être, et je sais qu’en me maintenant sur cette vibration, les cellules se régénèrent naturellement, le corps physique me guide afin que je lui donne ce dont il a besoin pour être au mieux à chaque instant. 

Je laisse la source unifier ce que je suis et me contente de ramener le mental émotionnel vers la paix du cœur quand je sens du stress. C’est le mieux que je puisse faire puisqu’alors, les corps sont alignés à l’amour lumière, unis dans ce même désir de manifester le meilleur de leur potentiel. 
J’apprends à reconnaitre les blocages et à revenir au calme, à la détente quand je sens que ça coince, quand l’énergie ne circule plus librement de l’intention à la manifestation du désir. 

Je viens d’allumer le feu en quelques minutes, sans aucun stress, sans anticiper et cela me confirme que je suis en harmonie à l’intérieur. Une harmonie vibratoire, ressentie, naturelle et plus seulement intellectuelle, intentionnelle, la matière en témoigne.
Tous les éléments et les systèmes internes s’harmonisent naturellement lorsque la conscience est focalisée sur le désir de paix et d’unité. 

Il est clair que ça n’est pas le mental qui peut réaliser une telle prouesse vu la constitution de tout ce qui compose un humain divin et en plus l’interaction permanente avec l’énergie, les autres, les dimensions subtiles, l’environnement. 
En ce sens, entretenir la relation intime à soi, la connexion à l’âme, à la source,  nourrit et amplifie la confiance en soi. La confiance en tous les aspects de l’être qui lorsqu’ils sont portés par la fréquence de l’amour lumière, répondent au mieux à leurs fonctions dans le respect mutuel, la concertation, l’unité.

En cette relation intime, intérieure, dans les fréquences de paix et d’unité, je n’ai plus besoin de chercher au dehors mais je peux interagir plus facilement et librement avec les autres et avec mon environnement. 




Je n’ai pas besoin d’entendre les voix de la nature, des êtres invisibles pour y croire, parce que je sais que la conscience habite toute vie et que je suis reliée à tout ce qui est lorsque je suis dans l’unité et la paix intérieure. La reliance est permanente et se passe de mots, tout est dans la vibration, le silence, l'invisible et dans la conscience unifiée, rien n'est séparé ou exclu, tout est connecté dans le respect.
Le monde des défunts est aussi une interprétation humaine, de l’individu qui se croit séparé, qui croit que la mort est la fin de la vie. 
Rien ne meurt véritablement, il y a une continuité, une transformation, une évolution mais la conscience demeure et elle n’a pas de limites.

En tant qu’humain, nous ne sommes pas non plus séparés de cette source de toute vie, limités à une forme à laquelle on s’attache en vain. 
Et c’est précisément cet attachement qui nous fait souffrir, qui entraine l’excès et restreint notre champ d’action, notre vision.

Plus je lâche les croyances et plus je suis incarnée dans cette réalité multiple et unifiée qui me permet d’agir en mon âme et conscience avec légèreté. 
Je fais selon l’élan et seul l’état d’être du moment m’importe. 
Je sais que si je me sens bien à l’intérieur, tout est possible. 
Je constate que je suis plus active, créative et épanouie en cette conscience d’être la paix, l’unité et l’harmonie. 
Maintenir l’ordre en soi suffit à rendre le geste créatif et joyeux. 
L’ordre dans le sens d’agir depuis le cœur de l’être. Prendre le temps de revenir à la paix du cœur et agir seulement quant tout est apaisé, développe mon potentiel créatif.

Je n’ai plus envie de publier des messages qui généralisent ce que l’humain peut vivre et qui prédisent ce que seront les mouvements énergétiques de la planète selon le temps linéaire. 
Ce qui se passe à l’extérieur n’est pas de mon ressort et je m’éloigne de ma propre vérité quand je cherche à savoir de quoi demain sera fait, comment l’humanité va évoluer. 

Puisque je suis connectée à tout ce qui est, mon influence sur l’extérieur est évidente mais c’est réciproque et selon mon positionnement intérieur, je subis ou j’agis. 




Je suis seulement responsable de la vibration que je veux porter et de ce que je manifeste à chaque instant. Là est ma capacité à délimiter mon territoire et à élargir mon champ d’action, à manifester mon individualité selon mes choix. 

Tout commence et dépend de la vibration intérieure qui définit mon état d’être, et si je me sens en paix, ma vision et mon action sont alignées sur la fréquence de la joie. 
La simple joie d’être qui fait que je me sens à ma place ici et maintenant sans avoir à prouver quoi que ce soit. Sans avoir à me justifier ou à argumenter la nature de mes choix, de mes gestes qui sont équilibrés et justes si je suis alignée à la source. 

S’ils sont excessifs, je ramène ma conscience sur la paix du cœur et je retrouve l’harmonie, le geste ou l’idée inspirée par l’élan de la joie, du désir. 
Le désir qui nait de la connexion à l’âme, à la source, se manifeste dans la réalité sans effort, de façon fluide et logique. 
C’est l’énergie de vie, celle qu’on qualifie de sexuelle, qui circule librement en tous les corps et qui associe le masculin et le féminin dans un juste équilibre.  

C’est magique de pouvoir retrouver le simple désir d’être et de faire ! 
Le détachement qu’on trouve dans l’usage de psychotrope est maintenant naturel pour moi. Il me fallait lâcher l’attachement aux croyances, aux rôles, à l’idée de manque.   

Le détachement libérateur vient de la connaissance intime de soi, de tous les aspects de l’être pacifiés et unifiés, simplement en portant ce regard sur tout ce que je suis. Cette libération vient de l’abandon de toute forme de jugement, de la tendance à qualifier ce qui se manifeste en soi et à s’attacher aux croyances. 
Rien ne peut mieux rassurer l’individu que cette paix intérieure qui rend libre, libre du passé, des croyances et du besoin même d’avoir raison. 
L’assurance qui vient du ressenti intérieur n’a pas besoin d’être nommée, qualifiée, elle Est et ça suffit à Être. A ce propos, ça me rappelle le titre d’une vidéo récente de Darpan que je n’ai pas encore regardée mais il semble que ce soit le moment. Voyons...
DARPAN - Être soi-même




J’adhère totalement à son point de vue ! Concernant l’intellect et le fait qu’on associe à tort la capacité de mémoriser et régurgiter ce qui est appris par cœur, à l’intelligence. 
Ce n’est que du mimétisme, du conformisme. 

Cette simplicité, cette innocence de l’enfant, c’est ce que je redécouvre peu à peu et c’est vraiment magique. C’est exactement ce que j’ai voulu étouffer pour devenir un adulte tout en luttant contre cette idée qui m’apparaissait comme injuste ou fausse. Ces deux points de vue s'opposaient et amplifiaient les croyances basées sur l'idée de manque, de séparation. 
Le ressenti intérieur, quand il est parasité par des pensées émotions douloureuses est insupportable parce que tout se mélange et ce qui a été refoulé se manifeste avec force simplement pour qu’on y porte attention. 

Déjà quand on sait cela, la vision change, on ne craint plus de rencontrer l’enfant qu’on a été. C’est un immense premier pas vers la réconciliation avec soi-même, avec l’être pur, innocent, ouvert et réceptif que nous sommes originellement. 
Et ce qui est merveilleux, c’est qu’il est toujours vivant ! Il sait exprimer tout ce que nous avons refoulé, le bon comme le mauvais, la spontanéité est sa nature. Mais bien évidemment comme on a peur d’être submergé, englouti par son énergie, on étouffe comme on peut cet aspect de soi qui a pourtant les clefs de notre bonheur. 
Il porte à la fois les qualités féminines et masculines pures et quand on offre à la paix du cœur toutes ses revendications, ces deux forces s’associent harmonieusement. 

J’ai souri quand il parle de la recherche de pouvoir, de toutes sortes de pouvoirs, pouvoir intellectuel, psychique, parapsychologique…c'est en parfaite résonance avec ma pensée du moment, enfin avec ce que j'ai écrit. Merci mon âme pour cette synchronicité, résonance, signe de ta guidance, de ta présence constante et du désir du mental, de sa capacité à capter tes clins d’œil. Reconnaitre la guidance libère le mental des questions et des interprétations qui ne font que nourrir le peur et l'illusion. 
Après les douleurs au cœur, les sensations de pression sur le haut de la tête qui se manifestent maintenant m'amènent à penser que c'est le signe de l'ouverture de cœur et de conscience mais plutôt que de suivre ces pensées, je reviens à la paix et la confiance demeure. Vouloir spéculer sur l'invisible peut entrainer dans des raisonnements infinis et maintenir l'énergie dans le mental créant des blocages. C'est clair que se qui se passe en moi est une sorte de révolution mais je laisse le soin à la source de maintenir l'ordre et m'ouvre à recevoir. Ces pensées au sujet des symptômes peuvent être inspirées par l'âme mais ce qui importe le plus, c'est de revenir à la sensation de paix qui restaure l'équilibre et l'harmonie. La peur de la mort sous-jacente est accueillie dans l'amour lumière et cela me libère de l'attachement excessif à la matière.

Quand il dit que certains ont eu la chance de goûter le bonheur de l’enfance, ce n’est pas toujours un cadeau parce qu’on peut associer à tort, les circonstances extérieures à notre bien être alors que tout est en soi. 
Et même quand on a eu une enfance difficile, on n’a pas à craindre de ne pas retrouver en notre mémoire des souvenirs heureux, de ne pas avoir de références auxquelles s’accrocher puisque le bonheur est un état d’être inscrit dans l’âme, dans l’être, c'est l'expression même de la source. C’est l’essence originelle, celle de l’amour, de l’unité et de l’harmonie inscrite dans nos gènes, dans nos cellules, c’est la vie éternelle ou le mouvement perpétuel de la vie. 




S’ancrer en cette vibration, c’est se laisser porter en conscience et en confiance par le mouvement de la vie, c’est Être pleinement Vivant. 
L’écoute de cette vidéo me ramène à l’intelligence émotionnelle et au fait que tout comme pour la pensée, lorsqu’elle trouve son origine dans la paix du cœur, lorsqu’elle exprime le désir de vivre, elle apporte sa richesse, son potentiel créatif, épanouissant. Elle vient exprimer l’intelligence du cœur, de l’âme, l’amour et la lumière que nous sommes. 
Elle se manifeste par la joie et la faim, l’envie d’embrasser la vie, la soif d’être ! 

Quand j’en arrive à me dire, j’ai faim, je peux être sure que la vie circule librement en moi !
Cette faim que je négligeais ou voulais contrôler, c’était une façon de refuser l’incarnation, de fuir mon corps physique qui portant à tant à m’apporter. 
Vouloir enfin habiter mon corps physique en conscience et par choix, c’est renaitre à la Vie !

Plus besoin de fuir, ni dans la pensée, ni dans les mondes éthérés, plus besoin de se cacher à soi-même, aux autres, juste Être entièrement et agir. 
Dans cet élan de vie la gratitude vient comme une évidence et me donne envie de vous dire merci. Merci d'être en quête de sens et d'oser regarder en vous-même parce qu'il y a tant, Tout à découvrir. Et si ce que j'écris peut vous donner cette envie, ce désir de réaliser cette rencontre intérieure essencielle et bien j'en suis ravie. 
C'est ce que je vous souhaite de tout cœur.


Si vous souhaitez partager ce texte, merci d’en respecter l’intégralité, l’auteure et la source ; Lydia, du blog : « Journal de bord d’un humain divin comme tout le monde » ou http://lydiouze.blogspot.fr