Cette
nuit, à 00:57, heure de l'est des Amériques, je me suis éveillé en sursaut avec
une intuition, non une connaissance, que les États-Unis d'Amérique avaient élu
Donald Trump. Je ne vous cacherai pas que mon mental est tout de suite passé en
6e vitesse avec une quantité de scénarios et de peurs quant à l'avenir de notre
monde et une grande incompréhension face au fait qu'en 2016, après déjà 4 ans
de nouvelles énergies, comment était-il possible qu'un potentiel despote soit
élu à la tête d'un des pays les plus influents de la planète?
C'est
lorsque je me suis permis de rester dans la question, et de m'ouvrir
véritablement à recevoir la réponse que les Guides de l'Unité m'ont parlé (ou
plutôt c'est à ce moment, lorsque j'ai baissé mes barrières que j'ai pu les
entendre...).
Ils m'ont montré que oui, cette élection va amener le chaos à
plusieurs niveaux dans leur pays, mais aussi dans le monde, mais que le chaos,
contrairement à ce que la majorité de gens pense, le chaos c'est une bonne
chose!
Le
chaos accélère la destruction de l'ancien, car plus rien ne peut rester en
place comme il l'était. Cela force le changement, et c'est pour cela que les
gens ont voté! L'humanité en a assez de l'Ancien Monde et des anciennes
énergies, et ironiquement, la façon la plus rapide de s'en débarrasser c'est
d'aller une dernière fois dans l’extrême (je ne dis pas que cela ne peut pas se
produire aussi en France et dans d'autres pays qui ont des élections cette
année ou l'année prochaine :) ).
Ce
qui m'a fait me lever ce matin avec un grand sourire, rempli de gratitude pour
ce monde et ses humains prêts à passer à travers tout ce chaos, ces trépidations,
et même cette souffrance passagère pour certains, pour faire advenir un plus
haut niveau de conscience, c'est que les Guides de l'Unité m'ont montré que
même si le monde est en chaos total autour de nous, si nous sommes en
alignement avec notre Source, notre divinité, nous avancerons à une vitesse
encore plus grande dans notre éveil et nous aurons la possibilité de créer des
choses encore plus merveilleuses et les gens qui sont aussi en alignement vont
se rencontrer plus aisément, pour créer, en cohérence le Nouveau Monde que nous
désirons tous.
Mon
message ce matin à vous tous, particulièrement ceux qui sont sous le choc, est
le suivant: le monde entre dans une ère de chaos encore plus grand
qu'auparavant, et c'est une excellente chose et votre plus grande priorité est
de trouver et retrouver constamment votre alignement avec votre Source, avec
qui vous êtes, et la façon la plus simple est de porter attention à comment
vous vous sentez: si vous vous sentez en harmonie, vous êtes en alignement,
sinon, accueillez les parties de votre être qui vous tiennent à l'écart de
votre vibration pure d'Amour!
Avec
Amour,
Daniel
Desjardins, créateur de l’Alchimie du coeur et canal des Guides de l'Unité
http://www.AlchimieDuCoeur.com
PS: Avec ce texte je ne
tente pas de faire l'éloge des autres candidats qui étaient en liste, mais
simplement souligner que ce nouveau président rompt avec la lignée de
"politiciens" de formation et nous amène dans une ère plus
chaotique et que c'est très bien ainsi :)
Merci
de partager ou reproduire ce texte! SVP, en respecter l'intégralité.
Voilà
une affirmation qui pourrait être mal interprétée parce qu’elle est un peu
réductrice. Même si j’en partage le point de vue, ça demande de se positionner
dans le cœur, dans l’écoute silencieuse afin de voir au-delà des réactions.
Personnellement,
je ne m’intéresse pas ou plus du tout à la politique qui est un jeu de rôle où
les acteurs servent uniquement leur propre intérêt et pas celui des peuples,
des nations. Et je dirais même, comme tout le monde sauf qu’ils sont plus
ambitieux, plus avides, que la majorité des gens.
Chacun
agit pour lui-même avant tout, qu’il le reconnaisse ou non, qu’il l’accepte ou
pas, qu’il l’assume ou non.
Selon notre degré d’ouverture de cœur et de
conscience, selon qu’on s’identifie à la personnalité apeurée ou à la source, on
sera dans le respect de l’autre ou pas.
On pourrait se dire qu’il y a des
nuances, que les choses ne sont pas si radicales mais en fait, si on est
identifié à un des personnages de la victime, du bourreau ou du sauveur, on
agit toujours par intérêt, pour défendre sa peau et en manipulant les autres.
Ceci dit, la nuance existe tout de même parce qu’on ne passe pas de l’inconscience
à la pleine conscience du jour au lendemain et il faudra beaucoup d’attention
pour lâcher l’attachement au personnage.
Pour en revenir à la politique, comme
je considère que tout commence en soi, comme la notion de sauveur est pour moi
un leurre et même à l’intérieur parce que ça n'est pas le personnage qui agit, le politicien est à mon sens un acteur
convaincu par son rôle qui n’a pas le pouvoir d’améliorer mon état d’être.
Je
suis seule responsable de ce qui se vit en moi et surtout de la façon dont je
gère les mondes intérieurs selon mon environnement, selon les stimulii
extérieurs.
Au
niveau individuel, c’est rarement dans le train train quotidien, dans le
confort intérieur qu’on évolue. Le contexte de dualité et les croyances basées
sur l’idée de séparation font qu’on revient à la conscience de qui on est en
vérité, très souvent par un mouvement brusque, une contrariété, quelque chose
qui vient heurter notre sensibilité et qui par le fait révèle ce qui en nous a
besoin d’être éclairé, aimé ou lâché.
C’est quand on est bousculé, qu’on est
vraiment obligé de se centrer, de revenir à la paix du cœur, à la conscience de
l’être, qu’on retrouve effectivement cette sensation d’être, d’exister au-delà
des apparences et des mouvements chaotiques.
Quand on est conscient de l’importance
de se centrer et de la façon dont ça change notre état d’être, notre quotidien,
on va s’épargner la souffrance en devenant de plus en plus conscient de ce qui
se vit en nous et en laissant la source apaiser, équilibrer, harmoniser les
énergies qui nous traversent.
Ce
qui nous fait réagir nous donne l’occasion de lâcher les masques, les
conditionnements par ce retour au cœur, au centre, à la paix intérieure.
Même
si sur le moment ça n’est pas agréable, on en sort toujours grandit.
Grandit
dans le sens où on devient plus conscient de Qui on est, et de ce qu’on n’est
pas, plus en paix et proche de l’âme, plus conscient de l’essence qui nous
anime.
Puis
il y a aussi toute la propagande faite autour des personnages politiques, la
façon dont les médias, les grands groupes, présentent les faits, au-delà du
discours de ces personnes.
Il y a la réalité, ce à quoi on s’attend et en ce
sens, en nourrissant la peur, on participe au chaos, à l’illusion.
La politique
est une scène de théâtre où les acteurs se positionnent en sauveur en usant de
méthodes dignes des plus grands manipulateurs, des persécuteurs et en cela
répondent aux attentes des populations qui se croient impuissantes et qui
pensent avoir besoin d’un père, d’une autorité, d’un guide…
On
se trompe de cible en pensant qu’il faille se positionner d’un côté ou de l’autre
de la dualité, choisir d’élire un candidat ou l’autre alors qu’il est plutôt
question de choisir de confier sa vie, ses mondes intérieurs, à la source en
soi.
Mais pour faire ce choix, il faut y être poussé, pour choisir la paix, il
faut être fatigué du chaos, pour vouloir être vrai, il faut savoir qui on est, être
lassé du mensonge et des faux semblant, ne plus trouver de satisfaction à jouer
les victimes, les bourreaux ou les sauveurs.
Ce
qui se joue en politique est le reflet de la façon dont nous traitons les
différents aspects de nous-même. Le personnage caricatural du dictateur est le
reflet de l’ego apeuré qui tente de répondre à ses peurs existentielles en
voulant contrôler la vie, qui associe le pouvoir à la dominance, l’intelligence
à la capacité de manipuler l’autre, son environnement, la nature, sa nature.
Et
en tant qu’être humain, nous avons tous en nous ces personnages en latence, plus
ou moins virulents, présents et actifs et en les observant avec les yeux de la
source, en projetant l’amour et la lumière sur eux lorsqu’on les reconnait en
soi, leur énergie se stabilise, s’harmonise.
On
ne les rejette pas lorsqu’on les reconnait parce qu’on a compris qu’ils portent une
énergie utile à notre accomplissement. Ils se sont formés selon le système de
survie, dans l’ignorance de notre vraie nature, dans l’inconscience mais en les
amenant dans la paix du cœur, le masque tombe et seule l’énergie de vie
demeure, retrouve sa pureté.
Cette
énergie depuis l’enfance s’est "concentrée" dans différents personnages, elle a
été utilisée de façon à assurer notre survie, dans des comportements réflexes
et quand on cesse de l’utiliser de cette façon, en revenant à la neutralité, au
point zéro, elle trouve l’équilibre naturellement sous la guidance de l’amour
lumière.
Quand
on sait que tout commence et se résout en soi, on ne se fie plus à ce qui se
passe dans le monde, on focalise notre attention sur la façon dont on réagit
aux critiques, aux remarques de notre entourage.
Et en confiant toute réaction
à la source en soi, la paix et l’unité deviennent l’ancre, la fondation sûre, l’unique
référence.
Le principe même de l’élection
est aberrant non seulement parce que personne ne peut être responsable de nous-même
mais parce qu’en plus vouloir être représenté par un être aux yeux du monde est
une forme de déni de soi.
Moins
on se connait, moins on se fait confiance et plus on a besoin d’être représenté
par ceux qui nous semblent supérieurs et ces personnages politiques, ces
célébrités sont les représentants d’une société identifiée exclusivement à l’ego.
Plus
l’homme est sensé être intelligent, informé, et plus ses représentants sont
caricaturaux. On élit ceux à qui on veut ressembler et le fait qu’on place en
tête d’un pays, un être imbu de lui-même, milliardaire, qui prône l’auto-défense
en dit long sur l’état général des populations.
Mais il est inutile de se
révolter contre ça, la seule chose qu’on puisse faire d’efficace, c’est de
reconnaitre que nous portons ce genre de personnage en nous-même, que nous
sommes identifiés à la victime impuissante tout comme au bourreau et au
sauveur.
Reconnaitre ces schémas, ces rôles en soi, c’est déjà s’en dissocier
parce qu’on devient conscient de notre mode de fonctionnement tout en percevant
l’effet libérateur de ce processus interne.
On dissocie le mode de
fonctionnement de l’être, le faire de l’être par ce constat.
Alors on peut dire qu'effectivement, le chaos est notre ami puisqu'il nous oblige à être plus conscient de Qui nous sommes en vérité, tant des rôles que nous jouons que de l'essence qui nous anime au-delà des apparences. Ce processus est révélateur, le contexte même de la dualité qui permet de se trouver par l'effet contraste.
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