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11 Il y a bien longtemps que je n’avais pas eu cette sensation de régresser, de
tourner en rond. Mais en regardant en arrière et en constatant que c’est à
chaque fois la même chose, le même processus, puis en me positionnant dans le cœur, la neutralité,
malgré l’apparente confusion, je trouve la paix et une confiance aveugle en
l’avenir.
Quand
on s’autorise à vivre les émotions sans les bloquer ni les retenir, on se
trouve dans une phase déroutante parce qu’on ne peut plus s’accrocher aux
croyances passées, on entre dans un monde inconnu, on perd nos repères
habituels. On ne peut plus s’identifier au personnage de surface et à ces
certitudes, aux croyances qu’ils l’ont formé et qui le nourrissent alors on a
la sensation d’être perdu, seul, impuissant.
On
ne sait plus comment être ni quoi faire et plus on essaie de contrôler les
choses plus elles nous échappent.
On est tellement habitué à agir de façon
automatique que le fait de suivre l’élan du moment, de vivre au jour le jour,
en accueillant ce qui émerge dans l’instant, peut effrayer.
Et
plus on résiste à ce qui arrive plus on se sent perdu. La panne de voiture et
le mécano qui promet de venir la réparer, c’est un scénario déjà vécu et la
seule différence avec le passé, c’est ma façon de réagir à cela.
Je
vois que l’énergie de la victime s’active, que les pensées de dévalorisation
s’enchaînent et que les émotions sont bloquées dès qu’elles se manifestent. Je
ne change rien à ma façon d’agir mais je ne me laisse pas berner par les
pensées automatiques.
Je viens d’improviser un soin, une médiation, non pas
comme une fuite face au ressenti ou aux pensées négatives mais après avoir
accepté le fait que la pluie qui tombe m’empêche de faire ce que j’avais prévu.
Cette situation ne serait pas perçue de façon négative si elle ne venait pas s’ajouter
à la panne et l’absence du mécano. De plus, le frigo est presque vide malgré le
fait que je sois allée en courses il y a peu, tout simplement parce qu’il n’y
avait pas les produits que je voulais. Là aussi des critiques ont émergé parce que je me suis dit que j'aurais pu simplement acheter d'autres produits plutôt que de ne rien prendre. Cela montre un manque de souplesse mais au lieu de ressasser, de me faire des reproches, j'ai confié toutes ces pensées à la source.
C’est le fait que tout s’enchaine et me
donne le sentiment d’être coincée qui me ramène dans une position de victime.
Une victime qui se sent aussi coupable puisque je sais qu’on attire ce qu’on
porte.
Alors
j’avais le choix de râler, de me dire que la vie s’acharne contre moi, que je
n’ai pas de chance, que tout me ramène vers le bas, de dramatiser ou de juste
me poser.
Les
pensées ont émergé d’elle-même mais la différence avec le passé, c’est que je
ne les ai pas crues ni nourries.
C’est vrai que le fait de ne plus s’attacher
aux croyances est perturbant parce qu’en fait, on est habitué à se rassurer mentalement
de cette façon et c’est ce qui créé les réactions en chaine, les pensées
négatives qui en attirent d’autres et qui mènent au doute, à la confusion tant
mentale qu’émotionnelle. En choisissant de juste observer, les pensées changent
au fur et à mesure, on dédramatise et la paix demeure.
Le
mal-être vient toujours du fait d’essayer de comprendre mentalement quelque
chose qui nous dépasse ou qui est hors contrôle. Les difficultés de la vie nous
semblent ainsi parce qu’elles viennent contrarier nos attentes, nos désirs, nos
croyances. Mais si on les voit comme des opportunités de croissance,
d’épanouissement, d’ouverture, ou tout simplement sans chercher à comprendre,
interpréter, ça change tout. Déjà, on ne s’enferme pas dans les vieux
raisonnements, on ne lutte pas contre ce qui est ni contre ce qui émerge en
soi.
C’est
normal et même sain de réagir à la douleur, aux obstacles, aux situations difficiles mais on
en rajoute, on résiste tellement que ça devient dramatique.
Pourtant,
si on laisse toutes ces réactions se manifester, si on confie tout à la source
en soi, toutes les pensées, les sensations d’injustice, l’incompréhension, le
sentiment d’échec, de lassitude, d’avoir l’impression de tourner en rond, le
soulagement va venir.
Quand on veut rassurer le mental en se raisonnant, en se
disant que tout va s’arranger, en se projetant vers un avenir meilleur, on se
leurre, on se ment parce qu’on ne sait pas de quoi demain sera fait.
Ce genre
d’apaisement est très précaire et il suffit d’une nouvelle contrariété pour que
tout s’écroule, pour que le moral retombe au plus bas.
On aura beau s’accrocher
à de nouvelles croyances, tant que ça reste de l’ordre de l’intellect, de la
persuasion, c’est encore le mental qui tente de répondre lui-même à ce qu’il
perçoit au départ comme un problème qu’il va tenter de résoudre en vain.
Ce qui
fausse les choses et entraine la série de questions réponses qui n’amène pas de
solutions, c’est de voir ce qui est comme un obstacle.
Si on considère que ce
mode de fonctionnement est naturel, que c’est le système de survie de l’humain
qui s’enclenche à partir d’une interprétation elle-même fondée sur des
croyances illusoires, on se détache du cycle infernal de la rumination mentale.
L’idée de base qui génère toutes sortes de croyances, c’est la croyance en la
mort comme la fin de la vie. Une hypothèse élaborée sur des faits qu’on
interprète selon le conditionnement culturel.
Mais si
on observe objectivement les faits, dans la nature, via le microscope et selon
la physique quantique et même selon la régénération cellulaire, le phénomène de
la mémoire, on constate que la mort est relative, que la vie est un mouvement
perpétuel.
C’est toujours la vision déformée de ce qui est puis
l’interprétation qui créent l’attachement et la souffrance. Quand on accepte
l’idée que notre passage sur terre est éphémère, on commence à se détendre et à
envisager les choses autrement.
En apprenant à observer les émotions, à ne pas
les retenir, on va constater que tout change en permanence, qu’une peur
initiale devient colère, tristesse et qu'elle peut même déboucher sur la joie.
Au-delà des émotions ou en
elles, il y a l’énergie qui a besoin d’être en mouvement.
Déjà quand on laisse
une émotion s’exprimer, quand on ne croit pas les pensées qui l’accompagnent et
qu’on se contente de laisser passer l’énergie, on va sentir la détente.
Le
débit des pensées se calme naturellement quand l’émotion s’exprime sans retenue, dans les deux sens du terme: ni blocage, ni rétention.
Mais on
fait exactement l’inverse, on bloque l’émotion et cela entraine encore plus de
pensées difficiles, conflictuelles, des pensées de plus en plus négatives
simplement parce que le mental tente de gérer l’émotion selon son propre mode
de fonctionnement, par des raisonnements logiques et son mode sélectif basé sur la notion de bien et de mal.
Le mental et l’émotionnel s’expriment différemment mais leur
point commun, c’est l’énergie qui les porte et qui a besoin de circuler
librement. On peut constater que plus on focalise sur une pensée ou sur une
émotion et plus elles amplifient. Elles génèrent des pensées émotions de même
type entrainant une dégringolade du taux vibratoire.
En les considérant d’un
point de vue énergétique, on comprend l’importance de ne pas s’y attacher et
d’être souple, ouvert, de laisser couler tant les pensées que les émotions.
Les
observer de façon neutre, ça ne veut pas dire de rester focalisé dessus mais
plutôt de prendre du recul, de ne pas interpréter ou tenter de comprendre.
Il
n’y a rien à comprendre dans ces pensées émotions qui émergent sans qu’on l’ait
voulu. Il y a juste à ne pas s’y attacher à ne pas les associer aux croyances.
Parce que dès qu’on essaie de comprendre, on lutte contre quelque chose de
naturel qui a besoin d’être extériorisé.
C’est comme si on cherchait à savoir
pourquoi la pluie tombe en pensant que le fait de comprendre l’arrêterait.
Quand on décide d’aborder le monde des émotions d’un point de vue neutre,
énergétique, ça n’arrête pas le système de survie qui consiste à refouler ou
sélectionner les émotions qu’on veut voir apparaitre ou maintenir en place.
C’est notre regard sur elles que nous devons d’abord changer et savoir comment
fonctionne le mode de survie afin de ne pas s’identifier aux pensées dites
négatives.
Quand on sait que c’est un réflexe naturel qui de plus a géré notre
mode de fonctionnement depuis l’enfance, on comprend que c’est au niveau des
pensées qu’il faut agir, ne pas s'identifier au système de pensée, qu’il nous faut intégrer le lâcher prise pour casser
le réflexe de refoulement ou de projection.
Le système de survie reconnait les
émotions douloureuses celles qui ont été vécues comme telles dans une situation
de l’enfance. Il imprime alors celles qui doivent être refoulées ou projetées
vers l’extérieur et il va donc continuer de refouler les émotions et de bloquer
l’énergie.
Elles seront soit bloquées à l’intérieur et donc projetées vers le
mental soit expulsées vers l’extérieur, mais dans les deux cas, elles se
manifestent sous forme d’accusation, de jugement, de critique envers soi-même
ou envers les autres et parfois simultanément. Quand je dis qu'on projette les émotions en direction du mental, ça veut dire qu'on donne au mental la responsabilité de gérer l'émotion mais comme il ne sait pas faire autrement que de tout refouler, il n'y a pas d'issue.
Quand on décide de juste
observer on va voir que les émotions continuent d’être bloquées, que le
mécanisme de survie s’enclenche automatiquement. Pouvoir repérer ce mode de
fonctionnement, c’est déjà s’en détacher et aussi comprendre que ce n’est pas
le mental qui peut changer les choses.
Le mode de pensée est spécifique, chaque
corps subtil fonctionne à sa manière et c’est si complexe que c’est ingérable
pour le mental. Seul le cœur a le pouvoir de les faire fonctionner de façon
harmonieuse et ce n’est qu’en le laissant le faire, en ne cherchant pas à
intellectualiser, à sélectionner que cela peut être vécu de façon fluide.
Le
monde des émotions est comparé à l’eau parce que comme elle, il ne peut être
contrôlé, il nous glisse entre les doigts et lorsqu’on dévie son courant, sa
créé des inondations, des crues. On peut être submergé par l’émotion s’y noyer
même mais on peut voir aussi qu’en faisant la planche, en se laissant porter
par le courant sans résistance, on va flotter et avancer.
La
souplesse d’esprit, la fluidité des émotions, donc des énergies nous guide vers
l’océan de tous les possibles. Cela se manifeste par de nouvelles idées, par
l’inspiration mais pour que cela émerge, il est nécessaire d’apprendre à se
détendre, à se décrisper physiquement et mentalement de façon à gagner en confiance.
Et c’est quand on sait se laisser porter en confiance qu’on peut apercevoir de
nouveaux rivages. Bon, je sens qu’il faut que je bouge.
24 11 J’ai
bien fait de lâcher prise, de faire confiance puisqu’une amie est venue me voir
hier soir et sa visite m’a fait le plus grand bien. On est connectées au niveau du cœur,
de l’âme et notre vision de la maladie, de leur origine émotionnelle, de la
spiritualité, de la voie de l’autoguérison, se rejoint.
Toutes les plaintes que
j’ai adressées à la source, le fait que je ne voie pas d’issue à ma situation,
la déception de vivre les mêmes schémas de la victime impuissante et la
sensation de tourner en rond avec ces scénarii lourds…a libéré l’énergie en
moi, allégé ma vision et cette âmie m’a non seulement confortée dans la
nécessité de lâcher prise, d’accueillir les émotions mais aussi rassurée sur un plan
matériel.
Je me plaignais auprès de mon âme d’être limitée financièrement, de
manquer, de vibrer encore sur cette fréquence et alors que je confiais cela à mon amie, elle m’a proposé de me ramener
des fringues.
Je n’ai pas mendié son aide et je ne me suis pas plainte auprès d’elle
puisque de toute façon, seule mon âme peut restaurer l’ordre intérieur et
consoler l’enfant mais j’ai juste été sincère, sans rien attendre de sa part.
J’ai
été agréablement surprise par sa réaction d’autant plus que je ne m’y attendais
pas.
Ce n’est pas tant le fait de trainer des vieilles loques depuis des années
mais plutôt la sensation d’être limitée, le fait d’être lassée de négliger
encore l’aspect matériel de la vie, de ne plus avoir le goût de plaire. Vouloir
plaire est important non pas pour séduire ou manipuler mais simplement par
amour pour qui on est.
J’ai tellement focalisé mon attention sur l’être
profond, véritable, les énergies, que j’ai méprisé le personnage de surface
alors qu’il fait partie de l’équipe.
Jusqu'à maintenant, l'apparence était secondaire et je me foutais du paraitre. Je bloquais sur les limites, le manque, les croyances qui dissocient le spirituel de l'aspect matériel des choses. La séduction était nécessairement négative et liée à la manipulation mais en accueillant les émotions qui émergent, la vision change, les choses s'équilibrent. Il ne s'agit plus de plaire mais d'apprendre à se valoriser, à se plaire. C'est aussi motivé par l'envie croissante d'aller vers les autres à mesure que l'énergie de vie circule plus librement.
Le
fait de pouvoir extérioriser les pensées de la victime auprès de l’âme, élève
le taux vibratoire et la confiance revient dans la paix qui se manifeste lors
de ses confidences.
Je ne savais pas du tout comment les choses allaient s’arranger
mais j’étais confiante et déjà bien contente d’avoir pu accueillir et libérer les
émotions de l’enfant en moi.
Quelques clics ponctuels sur le lien de la boite à
idées de Lulumineuse m’ont aussi confortée dans mes choix et nourrit la
confiance, l’espérance. Je ne cliquais pas dessus en désespoir de cause mais quand l'élan me conduisait sur le lien, après avoir retrouvé la paix intérieure.
Là aussi, j'ai senti que l'heure était venue de compter uniquement sur l'âme. De mettre en pratique cet accueil/offrande des pensées émotions plutôt que de les projeter vers l'extérieur, le mental.
C'est la clef de l'autonomie, de la guérison, de la libération et pour en être convaincu de tout son être, il faut en faire l'expérience en directe live.
Se tourner vers les messages des guides, des êtres de lumière est quelque chose qui rassure le mental mais en même temps, on s'accroche encore à lui, on lui donne la charge de gérer les émotions. C'est un projet totalement vain parce que ça n'est pas son job.
Je suis satisfaite d’avoir fait de cette situation une
occasion de changer ma façon de réagir à ce qui est, et ainsi d’avoir nettoyé
le mental émotionnel, d’en avoir vidé la charge énergétique, d'avoir senti le taux vibratoire s'élever. Puis de pouvoir vérifier dans la matière, les nouvelles situations du quotidien, la portée bénéfique de l'acceptation de ce qui est. Une acceptation totale et pas une forme de résignation. Et pour que ce soit le cas, il est nécessaire de lâcher les pensées, les émotions, de laisser l'énergie circuler, en restant focalisé sur le cœur, en étant connecté à son âme. En s'appuyant sur sa sagesse plutôt que sur les raisonnements intellectuels.
Avec le recul je vois la différence de vibration selon les attitudes, selon le positionnement, "l'action" au niveau de la pensée et de l'émotion.
Le fait de ne pas s'attacher aux pensées, de faire diversion en changeant ses pensées, en positivant tout comme le geste cachet, agit au niveau mental et physiologique mais cela ne libère pas l'émotionnel bien que ça aide à ne pas sombrer. Suivre l'élan qui vient du cœur est un pas vers la libération mais ce qui a vraiment fait la différence, changé la vibration, c'est l'accueil des émotions.
Le changement se réalise en profondeur et touche toutes les sphères de l'être simultanément mais on a peur de ne plus se reconnaitre lorsqu'on touche l'émotionnel. Peur de voir jaillir les vieux monstres, de se trouver face à un personnage inconnu, étranger, peur d'exploser, de sombrer dans l'excès. Pourtant, on a tout à gagner parce qu'on y trouve la paix, l'équilibre, l'harmonie et l'être véritable émerge dans son authenticité, son naturel, sa complétude.
On n’est jamais à
l’abri des difficultés mais tant qu’on résiste, tant qu’on interprète ce qui
est selon les anciennes croyances et même selon des nouvelles plus "positives", on ne sort pas de l’état de victime
impuissante. La façon d’aborder les aléas de la vie, de les voir et de les
interpréter change tout quand on cesse de confier la charge de notre mal-être au mental.
Le ciel s'est peu à peu dégagé alors je vais pouvoir aller faire les courses à vélo! Il y a eu des orages très violents hier soir et plutôt que d'anticiper, je suis restée dans le présent, la confiance et la joie d'avoir pu parler avec mon âmie. Joie que j'ai continué de nourrir en suivant l'élan de l'instant, en tricotant tout en écoutant les grosses têtes. L'équipe du jour était dans l'euphorie et comme le rire est communicatif, j'en ai bien profité.
Au réveil le ciel était encore très sombre mais j'ai lâché prise et me suis rappelée que le boucher livrait sa marchandise. Le fait de m'être sentie bloquée hier à cause de la pluie me donne l'élan d'aller en ville à vélo portée par l'enthousiasme.
L'effet contraste a du bon et je suis contente de pouvoir me débrouiller par mes propres moyens. Mon âmie m'a proposé de m'emmener faire des courses mais comme elle travaille et finit tard le soir, je ne voulais pas qu'elle se sente obligée de courir. D'autant plus qu'elle n'habite pas ici.
J'ai encore du mal à accepter d'être aidée mais au lieu de me le reprocher, j'ai confié cela à mon âme. Tant les pensées critiques telles que "c'est orgueilleux" que le fait que je veuille être autonome et que je m'en sente capable. C'est aussi cela qui crée beaucoup de frustration, de voir, de reconnaitre mon potentiel et en même temps les blocages. Et tant que cela s'affronte à l'intérieur, c'est le statu quo, rien ne peut changer.
C'est toujours au niveau émotionnel que ça bloque parce que lorsque la peur est refoulée, ça peut amener à la paralysie. On s'en veut encore plus de ne pas y arriver, on se colle la pression et on se retrouve avec des crises d'hypertension. Bon maintenant, il ne s'agit pas de courir, de se précipiter, mais de trouver le centre, la paix, afin d'agir depuis cet élan. Je sens la pression monter et peut voir comment tout s'enclenche. C'est déjà beaucoup parce que ça me permet de revenir au centre et ainsi de casser les réflexes basés sur la survie.
La peur a longtemps été un moteur mais non seulement ça fausse tout, on agit selon des stratégies de lutte mais en plus ça épuise et quand on connait l'impact de cette émotion sur le taux vibratoire, on aura tendance à la bloquer consciemment, à vouloir positiver.
C'est là qu'on se retrouve paralysé, dans le doute, la confusion.
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l’intégralité, l’auteure et la source ; Lydia, du blog :
« Journal de bord d’un humain divin comme tout le monde » ou http://lydiouze.blogspot.fr