lundi 14 novembre 2016

« Il n’y a rien de plus important, de plus vrai, que l’Amour »






Ce matin, je suis en joie ! Pour plusieurs raisons, je sens que mon cœur s’expanse, je retrouve la sensation intense d’amour, de plénitude, que je connaissais lorsque je participais aux réunions de l’église et que je témoignais de l’amour divin.

J’ai vraiment passé un cap décisif sur le chemin de libération qui est le mien. 
Libération de l’être véritable que je suis, que j’ai toujours été mais que je n’osais pas exprimer au grand jour en toute simplicité. Évidemment, comme on dit « chassez le naturel et il revient au galop » mais quand on contraint des aspects entiers de soi, quand on bloque l’énergie de vie de peur d’être consumé, quand on sélectionne les émotions qu’on peut extérioriser, par peur d’être rejeté, ce vrai moi s’exprime dans la maladresse, l’excès et la douleur. C'est l'enfant en souffrance qui s'exprime.

Puis avec patience, en laissant l’enfant en soi exprimer tout ce qui a été refoulé, en accueillant sa détresse et en offrant tout cela à la source d’amour lumière en soi, tous les aspects de l’être s’harmonisent et l’être véritable émerge. 

Celui qui n’a pas peur ou honte d’aimer sans conditions simplement parce que c’est devenu son état naturel, son état d’être intérieur. 
C’est un parcours qui peut sembler laborieux tant qu’on ne fait pas la paix avec tout ce que nous sommes et portons, déjà au niveau mental. Tant qu’on ne comprend pas et qu’on ne vit pas des moments de paix et d’harmonie intérieure en choisissant d’écouter son cœur plutôt que la peur, on sera dans le doute, balloté de part et d’autre au gré de nos humeurs, des circonstances de la vie et des mouvements chaotiques du monde, du climat même.


Puis tant qu’on attend que le changement soit instantané, immédiat, que les résultats soient tout de suite visibles dans la matière, on ne percevra pas l’évolution, la libération qui s’opère. 
Très souvent on se rend compte seulement avec le recul qu’on a progressé vers plus d’amour, de clarté et de sagesse mais sur le moment, on est tellement frustré, rempli d’attentes, de croyances sur ce que devrait être le divin manifesté en soi, qu'on a l'impression de stagner, de ramer, de tourner en rond. 

Mais si on observe cela on va commencer à apprivoiser aussi le temps, ce temps qui passe et qui par les retours en arrière révèle son aspect bénéfique. 
La confiance en la source s’acquiert dans l’expérience, dans chaque choix en faveur de l’amour, de la paix, chaque fois qu’on se tourne vers l’intérieur au lieu de projeter son mal-être vers l’extérieur.

En ouvrant la bible pour y chercher le passage où on trouve ce qui suit « là ou est ton trésor, là aussi sera ton cœur » en voyant l’image que j'avais collée sur la couverture, d’une enfant bénie par des frères à la façon des Mormons qui posent leurs mains sur la tête de la personne qui a besoin d’être consolée, fortifiée, je me suis dit que ce geste avait guérit la relation aux autres, que cela y avait participé.
En effet, lorsqu’on vit quelque chose de traumatisant dans l'enfance, on est divisé intérieurement entre notre vision de la vie, de l’amour, de l’humain et la réalité. 

Notre cœur vibre l’amour, aspire à être aimé, soutenu, mais on ne trouve que la froideur et le tourment de parents, d’humains, en souffrance. Partagé entre ce que notre cœur nous souffle et ce que nos yeux nous montrent.
Mais même dans les pires moments, l’étincelle divine, la présence réconfortante de l’âme est perceptible. Le flot de la vie est si puissant et libre lorsqu’on est enfant qu’on ne craint pas d'être vivant parce qu’on est innocent, notre cœur nous guide pas à pas. 

Mais malgré tout, peu à peu, la morosité ambiante, les peurs, les jugements et les conditionnements de l’adulte nous font douter de qui nous sommes d’autant plus qu’on ne sait pas nommer ce qu’on ressent puisque c’est naturel. 
Souvent, à l’adolescence, lorsque le flot de la vie est puissant et surtout si notre enfance a été difficile, on entre en rébellion contre la société, le besoin de liberté nous porte. 
Puis les premières amours nous donneront la force d’y croire, de survivre, jusqu’au moment où le doute, le drame viendra nous éveiller. On remettra en question les projections de la société au sujet de l’amour, du couple, des rêves que vendent les médias à longueur de temps. Le prince charmant, la fortune, la gloire et les paillettes semblent totalement illusoires lorsqu’on est connecté à l’âme. 





Dans le monde, la vérité ou l’illusion apparaissent souvent par effet contraste, dans la douleur, mais la vérité de l’âme, de l’être est immuable. Quand on est connecté à cette vérité, on se sent de plus en plus seul, différent, et on va chercher à rencontrer des gens qui nous ressemblent, qui portent les mêmes idéaux. Il y a quarante ans, la spiritualité était limitée aux églises et ceux qui vivaient d’amour et d’eau fraiche étaient rares. Très souvent, il était plutôt question de peace, love ans drugs. Le monde apparaissait si injuste et insensé que la seule échappatoire était dans les psychotropes, les mondes éthérés et les seuls endroits où on trouvait des humains authentiques, c’était dans les bistrots vers 2h du matin quand l’alcool désinhibiteur avait fait son ouvrage ramenant tout le monde au même niveau. Beaucoup se sont perdus dans ces mondes illusoires de la nuit. 

Mais quand on est en quête de vérité, la vie place sur notre route des gens connectés à leur cœur. Après avoir partagé la souffrance des jeunes de ma génération et les excès des drogues je suis tombée sur des sœurs missionnaires d’une église construire autour de la foi au christ. J’ai été tellement touchée par cette rencontre que j’ai complètement changé de vie en quelques jours. Puis maintenant que j’ai pris conscience de la nécessité de se réconcilier avec le genre humain quand on a souffert de relations traumatisantes, je peux voir combien toutes les bénédictions que j’ai reçues à l’époque ont guéri ma relation aux autres. La souffrance était venue par les manipulations d’un homme et la guérison venait à travers les mains d’autres hommes connectés au christ intérieur. Une sorte de réparation par le geste et surtout la vibration du cœur qu’ils émanaient. On sait maintenant que la dépendance aux drogues s’installe chez les personnes qui sont coupés des autres pour x raisons. La souffrance vient de l'isolement, de ce sentiment de se sentir exclu, incompris. 

Quand on est blessé, rejeté pendant l’enfance, on va réagir soit en cherchant la reconnaissance extérieure, la gloire, soit en s’isolant du reste du monde. 
Dans un cas comme dans l’autre, on ne peut ni guérir ni être comblé durablement. 
La gloire est éphémère et la reconnaissance extérieure ne peut pas combler un être parce qu’on vibre dans la peur. La peur de perdre cette reconnaissance, la peur de la solitude et du rejet, obligent à vouloir plaire au plus grand nombre. Ce qui est totalement utopique et ne fait qu’éloigner de soi-même, du vrai moi, soi.

Le seul fait d’avoir affronté la peur et les émotions douloureuses qui ont surgis en situation de stress samedi dernier a ouvert encore plus mon cœur, amplifié l’amour et la paix intérieure. Comme je continue de diminuer les cachets sans forcer, je suis plus sensible à ce que mon cœur vibre. Et bien évidemment par l’offrande à la source des pensées émotions difficiles ou injustes, l’alchimie intérieure opérant, le mental émotionnel sont purifiés et je perçois beaucoup plus aisément la vibration de l’âme.
Tout ce que je sais intuitivement se manifeste maintenant dans ma réalité de façon instantanée. 

Quand on est hypersensible, on en souffre déjà parce qu’on n’est pas comme tout le monde et parce qu’on se sent en décalage avec les autres. On est relié à ce qui est le plus fort, vibrant en nous, et lorsqu’on est identifié aux blessures, à la victime, on reçoit en pleine face toutes les souffrances du monde. Les injustices nous transpercent le cœur et on rêve d’un monde meilleur tout en se désespérant que ça arrive un jour. 

Tant qu’on se focalise sur la misère du monde, on sera en souffrance parce qu’on nourrit cette vibration, on s’identifie jusque dans nos tripes, au personnage de la victime. 
Les souffrances de l’enfant et les stratégies qui visent à ne pas les ressentir nous manipulent, nous handicapent, la peur nous paralyse.

Aucune stratégie ne peut éveiller ou nourrir la joie véritable, celle qui rend puissant qui donne la foi de déplacer des montagnes, de changer, de réaliser ses rêves ou tout simplement d’être heureux ici et maintenant, bien dans sa peau, à chaque instant.

Je retrouve cette joie naturelle et sûrement que le fait d’en avoir été éloignée si longtemps la magnifie. Cette joie d’être soi, d’être vrai, entier, en paix avec soi, avec tout ce qu’on est, la joie d’être complet. 
Dans cet état d’esprit, cette plénitude intérieure, éveille à nouveau le goût d’aller à la rencontre de l’autre, dans la vraie vie. 
Non par besoin mais par envie parce que lorsqu’on est comblé à l’intérieur, c’est un mouvement naturel, spontané. 
Il n’y a pas de besoin, d’attente, il y juste la joie d’être et le goût de la rencontre. 

Mais elle n’est pas provoquée, calculée, ciblée. On est en  paix avec tous ceux qu’on rencontre parce qu’on perçoit le lien fraternel qui nous unit. Un lien filial qui se révèle dans la vibration du cœur et qui nous ramène à cet état d’esprit de l’enfant innocent qui voit en chacun un  ami potentiel.

J’ai pensé en riant au fait que je rabâche les mêmes choses depuis près de quatre ans parce qu’en fait, il n’y a rien de plus important, de plus vrai que l’amour. 
Cet amour universel, inconditionnel, impersonnel, capable d’embrasser toute vie, sans juger, sans attendre rien en retour parce que c’est juste un état d’être, la vibration originelle de la source de toute vie. 




Je pensais hier à l’énergie atomique et au fait que nous soyons composés d’atomes. C’est comme si l’amour était cette énergie entre l’atome et les molécules qui gravitent autour, ce mouvement perpétuel de la vie. Tout comme l’interaction entre les cellules manifestent la conscience, l’info véhiculée par le mouvement électrique, l’énergie en mouvement. 
On a limité l’amour idéal à la relation entre humain de sexe opposé, mais en fait, ce mouvement de la conscience, ce désir de fusion, est partout. 

Et ce qui est magique c’est quand le mouvement de l’énergie est parfaitement libre, lorsqu’il circule entre tous les corps, sans aucun blocage. Lorsque l’info circule, lorsque la communication s’effectue dans le respect mutuel, l’entente, le libre échange, les relations humaines sont sublimées. Le même principe se retrouve entre les particules, les cellules, la sphère atomique et les humains, qu’il y ait relation sexuelle ou non. 
Et à mon sens, l’amour rayonnant, manifesté, c’est quand tout en soi est aligné à la vibration source, quand cet amour circule en soi et avec l’extérieur sans aucune frontière, limite, jugement ou retenue et sans volonté. Quand il rayonne de la plus petite particule de l’être jusque dans la matière, dans l’interaction avec toute vie.
Et bien entendu ça demande de le vivre en soi, de le vibrer en soi, de le laisser émerger et rayonner vers tous les aspects de l’être.

Avec le recul, je peux relier plusieurs évènements qui viennent confirmer cette ouverture de cœur et de conscience; la lune pleine qui capte et reflète la lumière solaire et en même temps son magnétisme, a toujours un effet révélateur de ce qui est enfoui dans les profondeurs. 
Et si ce qu’on perçoit n’est pas refoulé, rejeté mais embrassé dans l’amour lumière, c’est à chaque fois un saut quantique qui est effectué, une meilleure compréhension, une sensibilité accrue, une vision plus claire, les sens affinés.

Ce contraste ombre lumière, lorsqu’il ne fait plus peur lorsqu’il amène à choisir le centre, l’unité et la paix, révèle sa beauté. Les sens affinés par l’attention sur son ressenti intérieur, permettent de mieux voir l’amour et la lumière en toutes choses, de reconnaitre la vibration de la source en soi, de voir les émotions comme les cordes d’une harpe, les couleurs de l’arc en ciel.

Je ne sais pas ce que je vais faire aujourd’hui mais je suis en joie et je me laisse guider par cette fréquence. Je me suis levée alors que je sentais encore de la fatigue et plutôt que de prendre un bout de cachet pour ne pas la sentir, j’ai branché une machine et me suis allongée juste pour me détendre et ressentir le moment où je serais suffisamment reposée pour me lever. 
Cette connexion silencieuse m’a placée sur ma bonne fréquence et m’assure de passer une bonne journée. Et même si quelque chose de difficile arrive, je l’aborderais avec le recul qu’offre le positionnement, l’ancrage, dans la paix du cœur. 

Le chat qui a passé toute la nuit de samedi à dimanche avec moi, sans me réveiller à ma demande, est aussi un signe que j’ai intégré de nouvelles énergies. 
J’ai encore du mal à décrire ce qui est sensoriel et intuitif parce qu’il y a toujours la peur de se tromper, d’induire les autres en erreur. 
Mais par-dessus tout, comme je sais que ce qu’on perçoit intuitivement est au-delà de la personne et comme le mental n’a pas les codes, comme c’est un langage qui lui est encore étranger, comme il ne sait pas encore traduire et interpréter les énergies, je préfère éviter de coller des étiquettes sur cela.

C’est à chacun de reconnaitre sa propre guidance, de trouver comment son âme lui parle et surtout de nettoyer les filtres, les outils de perception parce que c’est de cette façon que la foi grandit, qu’elle devient assurance, que l’âme devient présence. 
On parle d’intégrer l’âme mais j’ai plus l’impression qu’il s’agit de manifester sa vibration qui est toujours présente. 




Les signes et synchronicités sont autant de signes extérieurs qui reflètent cette présence de l’âme mais aussi des êtres, des énergies, qui l’entourent ou qui vibrent sur la même fréquence. 
Je sais cela intuitivement parce que je le ressens comme une évidence qui en plus est confirmée par le fait que nous soyons des êtres spirituels, énergétiques, constitués de particules et d’énergies en mouvement constant. 
Comme je le dis en commentaire sur le message des guides de l’unité, nous ne sommes pas séparés, ni de la source ni des autres, de toute vie, de tous les êtres, en et au-delà de l’espace et du temps. 
C‘est maintenant une certitude pour moi tout comme le fait que nous puissions interagir avec tout ce qui est. Ou sentir cette communion avec le vivant, la nature, les animaux, les végétaux, les pierres, les éléments, qui s’expriment chacun dans le "langage" qui leur est propre, un langage vibratoire. 

Je suis convaincue qu’en affinant mes sens, en continuant de purifier le mental, l’émotionnel et de vider l’inconscient de la surcharge énergétique, je pourrais entendre les voix de ces êtres. Je leur parle déjà mais pour le moment, je n’ai pas assez de patience, de capacité d’écoute pour comprendre leur fréquence, capter leurs ondes. 
J’évite de parler à leur place mais je m’ouvre à recevoir, à ressentir si les pensées qui émergent sont mentales ou "extra mentales". 

J’ai toujours aimé apprendre les langues étrangères à l’école parce que je savais intuitivement que c’était essentiel de pouvoir communiquer avec un maximum de personnes. Ou du moins de ne pas se limiter à un seul langage et être en mesure de se sentir à sa place partout, de pouvoir aller vers l’autre facilement, d'être ouvert.

Le langage de l’âme, du cœur, du vivant, passe par la vibration et on peut comprendre les messages par l’observation silencieuse. Quand on reconnait la vibration du cœur, de l’âme, on est alors en mesure de percevoir l’interconnexion entre toute vie, on s’ouvre à l’univers, à tous les mondes.

Ce désir de communication se développe de plus en plus à mesure que je me familiarise avec les émotions et j’en goûte maintenant l’aspect positif. Je regarde en ce moment, les rediffusions des émissions de Frédérique Lopez : « la parenthèse inattendue » et je me régale de pouvoir faire des rencontres avec des personnes derrière l’écran de l’ordinateur. 

J’ai vraiment la sensation d’être avec eux par le ressenti, les émotions qu’ils rayonnent et qui entrent en résonance, lorsqu’ils laissent parler leur cœur. Même si les caméras faussent un peu les choses, cet animateur à l’art de toucher les gens dans leur sensibilité, leur authenticité. Le cadre y participe par son aspect intime, serein et naturel. 

Chacun joue plus ou moins un personnage mais quand c’est le cœur qui parle, quand on se sent en confiance, dans la confidence, d’égal à égal, c’est l’enfant innocent en soi qui s’exprime. Le fait que chacun d’eux parlent de leur enfance dans le grenier est aussi symbolique et facilite l’authenticité, la simplicité. Le concept de l’émission est intelligent à mon sens parce qu’il pose le cadre qui permet à l’enfant intérieur en chacun de révéler ses rêves et comment il les a réalisés. 
En voyant le caractère universel, tant des blessures de l’humain que de ses aspirations, on peut aisément se reconnaitre en l’autre. Le personnage tombe les masques et le matin, chacun est connecté à son âme, on peut sentir au réveil cette énergie particulière. 

Malheureusement on s’enferme dans des rituels et on agit inconsciemment mais si on apprend à s’intérioriser, à être présent à soi, on perd le besoin de se protéger par les habitudes. On se créé sa propre prison simplement parce qu’on pense qu’on doit lutter, se protéger, mais quand on laisse l’amour rayonner sur tous les aspects de l’être, les murs et les masques tombent, on redevient vivant. 




Les autres nous révèlent à nous-même tant par les ressemblances que par les différences et la rencontre vient chambouler notre zone de confort. C’est plus ou moins enrichissant selon notre positionnement intérieur, notre capacité à être vrai, unifié et en paix. Et lorsque l'enfant en soi est guéri, lorsqu'on peut être vrai sans chercher à plaire, on se sent reliés aux autres par le cœur, dans la fraternité. Il n'y a pas de sensation de supériorité ou d'infériorité comme lorsque l'amour de soi est égotique, basé sur la sélection des aspects de soi qu'on perçoit comme supérieurs et qu'on met en évidence. 

Très souvent quand on croit être éveillé, on a tendance à voir les autres dans leurs blessures, leur blocages et leurs stratégies, leurs comportements inconscients et à se sentir au-dessus de la masse. On pense qu'on est mieux que les autres parce qu'on peut voir ces mécanismes de l'ego, ou encore les énergies, les mondes invisibles. Mais ça n'est que le reflet de notre propre ignorance, du rejet des parts internes qu'on considère encore comme inappropriées, inférieures ou peu spirituelles. Tant qu'on juge et qu'on rejette ce qu'on est, une part de soi ou ce qu'on porte, on est dans l'illusion de l'amour, l'ignorance de Qui nous sommes en vérité.

Les braises encore chaudes ce matin dans le poêle reflètent ce désir d’être et de faire qui grandit de jour en jour, la flamme de l’énergie de vie qui trouve enfin son chemin de l’intention à l’action, libérée des peurs et des croyances totalement obsolètes. 


Si vous souhaitez partager ce texte, merci d’en respecter l’intégralité, l’auteure et la source ; Lydia, du blog : « Journal de bord d’un humain divin comme tout le monde » ou http://lydiouze.blogspot.fr