dimanche 30 novembre 2014

« Lâchez tout sentiment de culpabilité ou de honte » Saul, transmis par John Smallman





L'Unicité de TOUT ce qui existe est la Vérité dont tous doivent devenir conscients, et cette vérité (« v » minuscule, car actuellement elle a tendance à être une sorte de conscience scientifique, une conscience logique découverte par un effort intellectuel, et pas encore une connaissance qui vient de votre cœur, bien que cette connaissance soit toujours disponible pour vous parce qu’elle réside éternellement en vous.) commence à circuler dans la conscience collective. 
C’est comme si un glacier avait commencé à fondre, et qu’en fondant son contenu s’étale partout, trempant tout sur son passage. Et, bien sûr, vous êtes tous sur son passage. La conscience s’écoule et grandit partout dans le monde, elle ne peut rester plus longtemps inconnue, elle peut seulement être niée.
En raison des souffrances et des trahisons que vous avez vécues depuis des âges — souffrances et trahisons bien trop douloureuses pour que vous puissiez les admettre et vous en souvenir — vous avez presque tous à résoudre des problèmes que vous aviez niés depuis très longtemps. Et pour beaucoup d'entre vous ces problèmes vous font sentir très intensément leur présence en ce moment. Subitement vous fondez en larmes, et souvent sans aucune raison identifiable. Laissez couler les larmes ! C’est une forme de libération nécessaire et très efficace.

« Ne rien faire quand ça remue en dedans »







Près de 48 heures de pluie et ça continue ! De temps en temps, l’idée que les chemtrails sont à l’origine du dérèglement climatique, fait son apparition, mais comme j’ai décidé de cesser de juger, même si c’est folie pour l’ego, ça passe tout seul quand je reviens au cœur. 
Je sais aussi combien il est facile de nourrir la peur en laissant le mental développer toute une série d’arguments qui sont logiques en apparence mais qui n’ont pas de sens lorsqu’on ne doute pas de ses origines divines et de la puissance de l'amour. 
Non seulement le fait de juger, de critiquer, me sort de mon cœur mais si je suis le fil tricoté par l’ego, je me retrouve prisonnière de son raisonnement, de la peur, de la culpabilité et du découragement.
Repérer les moments où je me laisse manipuler par la peur me permet de comprendre ce qui reste encore dans l’ombre et en appelant la source divine en moi, en lui demandant d’équilibrer les forces internes, déjà, la paix revient et je ne tombe pas dans l’auto-accusation, la dévalorisation, le déni. Ce qui est, n’est pas à remettre en question mais c’est la façon d’interpréter et surtout de rejeter qui créé des barrières et bloque le flux de l’énergie de vie.

vendredi 28 novembre 2014

« Le soleil est toujours là, malgré les nuages, la nuit même »





Depuis hier soir, le temps est à l’orage, il faisait 18° vers 23h, quand j‘ai sorti la chienne ! J’ai eu la bonne idée de faire tourner une machine à 5h30 alors qu’il tombe des cordes ! Voilà le problème du jour ! Comparé aux problèmes du monde, ça n’est rien du tout et je peux remercier mon âme pour son choix d’incarnation. Plus je vieilli et plus je me rends compte de la correspondance entre mes conditions de vie et ce que je suis profondément. 

Il m’apparait de plus en plus clairement que la phase qui précède l’incarnation est une étape où l’âme étudie les potentialités et combine ses acquis avec ses besoins. Comme elle est capable d’avoir des sentiments, des émotions, elle peut définir avec l’aide de l’esprit, ce qui favorisera le retour à la source, sera le plus porteur d’épanouissement et de guérison. Son point de vue élargit et sensible ajouté à celui de la présence divine permet de manifester un corps de chair dotés de tous les attributs nécessaires pour développer l’amour et la lumière intérieurs. 
Je suppose qu’elles fusionnent, se logent dans l’ADN et s’incarnent dans une cellule mère qui se divise et se multiplie. Ce n’est pas le fait de savoir à quel moment précisément l’âme s’incarne mais le principe de division/multiplication qui m’intéresse ici. Je laisse le sujet aux polémistes religieux qui tentent de déterminer si l’avortement est criminel ou non.

jeudi 27 novembre 2014

« Accepter ce qui est, oui, mais la douleur ? »






Libérer, libérer, libérer………….
Se libérer parce que finalement, nous avons tout pouvoir sur notre monde intérieur. 
Mais comment l'exerçons nous ? 
Nous sommes le scénariste de notre vie et en tant que spectateur, nous révisons continuellement le film. 
La vie nous présente des images que nous allons interpréter selon notre degré d’ouverture et comme nous regardons au travers de l’ego qui divise, nous louchons continuellement. 

Nous voyons tout ce qui est de façon partielle et jugeons à partir de ce postulat. 
Il semble alors logique que notre vision soit déformée, tronquée. 

Face à ce constat, on se dit qu’il serait bon d’élargir sa vision alors on le fait en révisant ses croyances, en faisant des choix qui vont amplifier l’amour.

Nous menons tous des combats internes et chacun se construit ses propres ennemis intérieurs en se focalisant sur « le problème », sur la chose qui nous cause le plus de difficultés. 
La première erreur est là puisque nous amplifions ce sur quoi nous focalisons notre conscience. 
Paradoxalement, plus on va vouloir se libérer de quelque chose qui nous dérange, plus on va y penser et plus cet aspect de soi va devenir monstrueux puisque nous le nourrissons continuellement.

« L'appel actuel est au détachement » & lien webconférence de Caroline Blanco





Comme c’est reposant de ne plus se prendre la tête, d’oser faire totalement confiance à sa propre lumière ! 
L’abandon du jugement fait peur parce qu’on s’imagine qu’on va perdre le sens de la mesure. 
Mais c’est oublier qui nous sommes en vérité, oublier les nombreuses incarnations qui nous ont permis d’évoluer, d’arriver à comprendre ce que sont l’amour, la sagesse et le pouvoir.

Il suffit de considérer l’évolution des mentalités pour constater qu’effectivement, l’humanité progresse à grands pas. Dans ce chaos naturel, on se focalise sur ce qui est destructeur, sur ce continue d’être bancale, faussé et vicié mais on oublie de voir les choses constructives, ce qui évolue vers plus de paix, de fraternité, de conscience.

Les révélations des scandales sont une opportunité de se tourner vers l’intérieur et d’expérimenter le pouvoir de l’amour, la connexion au divin, une invitation à expérimenter le pouvoir d’aimer sans conditions, sans objet. 

C’est le moment idéal pour trouver l’équilibre et se délester de tout ce qui empêche l’amour divin de circuler en soi. La lumière éclaire l’ombre et peut enfin l’embrasser. 
Cette réunification renforce l’amour en soi et la lumière dévoile peu à peu tous les aspects de l’être.

mardi 25 novembre 2014

« Faire avec, accompagner en douceur »






Dans ce monde de dualité, tout peut basculer d’une minute à l’autre, la mort est au bout du chemin et on ne sait pas quand elle nous tombera dessus. 
Voilà le contexte dans lequel nous arrivons lorsque nous venons expérimenter l'incarnation. 
Nous entrons dans un monde où les énergies sont polarisées, étirées à l’extrême. 
Notre propre constitution en tant qu’humain divin est complexe et contradictoire.

Tout nous montre, à travers nos sens, la société, que nous sommes individualisés et séparés de l’extérieur. 
L’autre est un ennemi potentiel dont il faut nous protéger. 
Toute la société est organisée selon ce principe d’insécurité, de division et de hiérarchie. 

Tout naturellement, quand nous grandissons, nous rentrons dans le cadre afin d’être intégré. Malgré tout, malgré le confort matériel, malgré notre compréhension accrue de l’humain et le fait que nous rangions tout par catégories selon des critères de valeur définies par nos croyances, notre cœur nous crie qu’il souffre et qu’il a besoin d’amour

lundi 24 novembre 2014

« Le cœur foyer de la paix, de l’unité, de l'équilibre »





Drôle de nuit, drôle de réveil ! J’aime casser la routine bien que les repères soient utiles et rassurants. C’est encore une contradiction interne qui s’équilibre d’elle-même tout comme l’envie de fumer. Le choix de faire avec, d’accepter cet aspect intérieur qui galère à gérer le quotidien me permet de voir les choses de façon neutre et de nouvelles idées émergent.

C’est vraiment la seule façon de changer son regard et donc son attitude
Plus on lutte contre quelque chose et plus on lui donne corps. 
En libérant la notion de jugement je prends le risque de l’excès mais je constate déjà les bienfaits de ce choix. Non seulement l’envie a fortement diminuée mais des mécanismes se mettent en place naturellement afin d’être dans l’équilibre.

L’acceptation de ce qui est, ramène les énergies au point zéro et crée une détente intérieure qui favorise la libre circulation de l’énergie. L'énergie de rébellion a été absorbée par l'acceptation, freinant le geste compulsif et permettant l'observation neutre. 
La sciatique a pratiquement disparu et je me suis réveillée sans aucune douleur. 
Si j’observe ce que j’ai modifié dans mon quotidien, je peux constater que c’est le fait de m’être autorisée à lâcher prise, à neutraliser mon regard au niveau de la dépendance et des élans compulsifs qui a créé une détente intérieure et pas l'usage du produit
La détente s'effectue lorsque je dis oui, avant même d'agir.

« Cours de préparation pour le futur » Les êtres de lumière via Monique Mathieu







« Ce qui, pour vous, est illusion aujourd’hui, sera réalité demain parce que vous aurez totalement changé de perceptions, de plan de conscience et de fréquence vibratoire.
Nous vous donnons un exemple : nous sommes auprès de vous. Nous vous certifions qu’auprès de vous il y a beaucoup plus d’êtres que vous le supposez. 

Il y a nous, vos frères de Lumière, il y a vos guides respectifs et aussi ceux qui ont l’autorisation de venir en ce lieu et qui vous ont aimés, mais qui ne se manifestent pas tout le temps pour ne pas perturber ce que nous avons à vous dire. 
Si, dans la seconde, vos perceptions changeaient et que vous puissiez nous voir, cela occasionnerait beaucoup plus de dégâts que de profits pour votre évolution. Lorsque votre centre de force émotionnel sera suffisamment stable, les choses seront différentes pour vous.
Pour arriver à cette stabilité émotionnelle, il faut acquérir la maîtrise 
Ce que nous vous conseillons surtout, car c’est maintenant possible, c’est de demander de l’aide à l’Être extraordinaire que vous êtes, l’Être de Lumière, l’Être Divin lorsque vous êtes déstabilisés au niveau de l’émotionnel. 
Soyez certains que plus vous lui parlerez, plus il vous répondra et plus il vous aidera.

dimanche 23 novembre 2014

« Amour » ?





Je ne regrette pas d’avoir suivi l’envie folle à priori, de dire "Oui" à l’élan, quel qu’il soit. Non seulement ça créé une détente psychologique mais en plus physiquement, c’est beaucoup plus calme. 
Je ne me reconnais plus du tout, je change à plusieurs niveaux et mon corps physique est en pleine mutation. Il y a l’âge, le cycle de la préménopause, le sevrage, mais quelque chose d’autre semble participer à ce processus.  J’ai lu que le corps dans son évolution passait d’une structure carbonique (ou carbone, je ne sais plus) à une autre plus raffinée, cristalline.

Cela semble logique puisque le « travail » actuel consiste à nettoyer, épurer, rendre transparents les filtres que constituent le mental, l’émotionnel. Il semble que j’intègre l’amour universel, impersonnel et paradoxalement, ça se réalise par l’acceptation de tout ce que je suis.
Je dis paradoxalement parce que l’amour vrai de soi suppose un retournement, un centrage, une focalisation sur les pensées, le comportement, une introspection et on pourrait penser que c’est une forme de nombrilisme. 
En fait, en libérant l’amour de tout ce que la personnalité croyait qu’il était, en abandonnant le jugement, il devient une énergie sereine, sans émotions.   

samedi 22 novembre 2014

« Tu te mets trop la pression » !





J’ai commencé la journée par une séance de relaxation pour diminuer la gêne occasionnée par la sciatique. Ce n’est pas franchement douloureux mais ça tiraille tout le temps depuis une semaine. C’est aussi ce qui a motivé mon choix de faciliter le sevrage en fumant de l’herbe. C’est vrai que ça aide à lâcher prise mais le risque c'est de se foutre de tout. Puis comme ça nuit à la concentration, ça m’oblige à être encore plus attentive. Du coup, je fais les choses une par une au lieu d’attaquer plusieurs chantiers à la fois. La gestion du quotidien est plus facile mais ça met en évidence le besoin de récompense ou peut  être tout simplement d’équilibre. Comme si j’avais besoin d’une carotte pour avancer.
Le fait d’avoir reconnu et accepté d’être arrivée à la limite du supportable m’a libéré d’un poids immense. 
Quand on veut se libérer d’une habitude, d’un comportement destructeur, on a tendance à faire du contrôle. On pense que la force de volonté suffira mais comme pour toute réalisation, il est nécessaire d’activer les vertus associées de l’amour inconditionnel, de la sagesse et de la volonté pour changer.

vendredi 21 novembre 2014

« Lâcher la notion de jugement face aux stratégies de l’ego »






Après avoir pas mal culpabilisé et cogité, j’ai cédé à l’envie de fumer de l’herbe. J’ai aussi hésité à en parler ici pour plusieurs raisons et le seul fait d’en faire la liste m’a montré ce qui devait être encore libéré.
Mon objectif étant de tomber les masques, j’ai résisté à l’envie en me disant que j’ajouterais encore un filtre déformant, que c’était une fuite…
Puis, en revenant au cœur, j’ai laissé parler toutes les voix et une fois le brouhaha apaisé, j’ai vu les choses d’un tout autre œil. La tentation de calmer le mental l’a emporté sur le jugement et les peurs de mal faire. Comme j’en suis à lâcher le jugement, voir ce « problème » à partir du cœur pourrait m’aider à m’en détacher. Bien que la démarche soit une folie pour le mental, je fais confiance au cœur, à l’amour.
Il est logique de vouloir compenser puisque je diminue les doses de médicaments. Puis, j’ai appliqué le raisonnement qui m’aide à relativiser les choses dans la recherche de pureté au niveau alimentaire et environnemental. 
Rien n’est plus vraiment naturel, l’eau, l’air, la terre, les sources, tout est pollué sans parler de la nourriture falsifiée et trafiquée. Face à ce constat, que faire ? Minimiser l’effet poison en choisissant des produits les plus purs possibles. Appeler les énergies de la source à purifier tout ce que l’on consomme et puis garder à l’esprit que cette vie est éphémère, que nous finirons tous par mourir. 

mercredi 19 novembre 2014

« Besoin d’ancrage, d'être présente »






Je suis réveillée depuis deux heures et des petits signes de début de sciatique se font sentir. J’ai lu ce que dit Lise Bourbeau à ce sujet et ça semble coller. C’est une peur quant à l’avenir, une culpabilité d’être attaché aux biens matériels et la peur de manquer. Je n’ai pas envie de chercher la cause réelle de cette douleur naissante parce que je doute de plus en plus de la valeur des interprétations. Je me contenterais d’essayer d’être présente, attentive à ce qui se manifeste en dedans. Les interprétations sont subjectives et elles naissent à partir de croyances. Voyant comment celles-ci peuvent être changeantes, je me dis que c’est encore une illusion de plus que de s’accrocher à l’une d’entre elles. Je ressens un changement profond immense mais pour le moment tout semble chercher à s’harmoniser à l’intérieur, à s’équilibrer.
Le détachement semble être le programme actuel à intégrer. Au niveau de la personnalité, il y a des peurs récurrentes et naturelles qui surgissent et comme tout s’écroule, comme les anciennes croyances ne font plus sens, même celles qui envisagent le corps physique comme multidimensionnel sont encore trop associées à des images, des concepts, qui faussent l'interprétation, ça créé un sentiment de perte et de confusion. 
Du coup, à 10h, je n’ai toujours pas pris de médicaments. Je ne sais pas si c’est le fait de l’écrire mais une bouffée de chaleur monte doucement mais sûrement. Là, le lien semble évident entre bouffée et angoisse. Je n’ai même pas la force de réagir et même si c’est une « bonne » chose selon mon désir de lâcher prise, c’est plus une forme de lassitude générale qui en est à l’origine.

mardi 18 novembre 2014

« Vouloir contenir la Vie, c’est un projet insensé, impossible ! »






Les jours se suivent et ne se ressemblent pas ! Voilà le constat du jour qui n’est pas pour me déplaire. Réveillée à 6h par la chaleur et certainement le besoin de produit puisque j’ai encore diminué les doses hier. J’apprécie grandement de ressentir à nouveau les émotions parce que ça ne me revient plus avec violence et parce que ça n’est pas non plus à longueur de journée. Je ne me dis plus que mon bonheur dépend de cette libération à la dépendance puisque celle-ci a son sens. Elle manifeste les croyances de séparation et d’enfermement que je libère peu à peu en accueillant les émotions qui leurs sont associées. 
Ce processus n‘a pas pour objectif de me séparer de la douleur mais plutôt de m’aider à ne pas la rejeter systématiquement ce qui a pour effet de l’amplifier.
C’est une première étape qui nécessite d’agir progressivement et patiemment et le sevrage est en fait un excellent moyen de réintégrer mon corps physique, d’accueillir le vivant, de libérer mon âme de ses blessures, en me familiarisant avec mes émotions, tout en douceur.

lundi 17 novembre 2014

« Se libérer du drame »





Record de sommeil battu ; près de neuf heures ! Féliz, le chat m’a bercée et s’est allongé contre les parties de mon corps qui étaient tendues. Je commence à voir quand une tension se manifeste et à en deviner la cause. Je n’interprète pas mais me contente de faire le rapprochement, de repérer les signes, le moment où une émotion se manifeste et la façon dont le corps physique y réagit. Idem pour les bouffées de chaleur que je traite de la même façon qu’une émotion ou une pensée « négative » ; par l’accueil sans jugement ni commentaire. 
Il est clair que ça n’arrête pas la montée énergétique qui semble liée à un blocage. 
C’est comme si l’énergie se trouvait coincée et par le fait grossissait au point d’exploser. 
Je n’en fais pas une vérité mais une piste de compréhension, une hypothèse à vérifier. J’essaie simplement d’écouter les pensées au moment où les gouttes de sueur commencent à perler. 
Très souvent, il y a une tension en même temps c’est pour cette raison que je pense à un blocage énergétique.
En fait, la pensée « négative » créé une tension qui manifeste une résistance intérieure, une difficulté à laisser faire ou encore une focalisation excessive ou injustifiée.

dimanche 16 novembre 2014

« Intégrer l’énergie de l’unité »






J’ai été réveillée ce matin, par des couinements de chien. Cra, c’est son nom, a les boyaux en vrac depuis hier après midi à cause de sa boulimie scatologique et je dois la sortir toutes les trois heures. Elle s’appelle de cette façon parce qu’elle est crado, enfin selon mon point de vue. Elle adore manger les crottes de chat, elle s’en délecte mais ça la rend malade. Elle ne s’est jamais baignée pourtant la rivière est proche et accessible. Au départ, je l’avais appelée crapaude sans trop y réfléchir, juste parce que ces sons m’étaient venus puis c’est devenu Cra tout court. Quand les gens me demandent son nom, ils restent perplexes et ça me plait bien de casser les clichés. 

Les gens choisissent des noms à leurs chiens pour se valoriser à travers eux tout comme la « marque », la race. On aime s’entourer de belles personnes, de beaux animaux mais aussi de beaux objets, d’une belle maison, d’une grosse voiture comme pour prouver sa valeur mais c’est complètement bidon. Non seulement on ne fait que nourrir l’image mais en plus on s’éloigne de l’être essentiel.
L’apparence, la surface, sont des manifestations de ce que l’on est en dedans mais très souvent pour ne pas dire toujours, on s’identifie uniquement à l’enveloppe au lieu de la considérer comme une interface, un moyen de manifester notre essence et de communiquer avec l’extérieur.

samedi 15 novembre 2014

« Accepter ce qui se manifeste en soi jusqu’où, combien de fois ? »





Une longue nuit de sommeil réparateur me donne de l’enthousiasme. Je n’ai rien planifié pour la journée mais déjà, j’ai de l’énergie, je me sens bien dans mon corps physique. Plutôt en paix et relativement confiante quant à ma capacité d’oser regarder mes ombres en face. 
A propos d’ombre, j’ai entendu un certain être, le "malin" s’adresser à moi en ces termes : « alors, tu ne crois pas en moi ? » Ce à quoi j’ai répondu « si mais je ne te considère pas comme un ennemi ». Comme il n’y avait pas de peur dans mes propos et que j’ai dit ce que je pensais réellement, la voix ne s’est plus fait entendre. Je n’ai pas cherché non plus à la faire taire mais comme je ne suis pas entrée en réaction, le dialogue s’est arrêté de lui-même.
On en fait des tonnes au sujet du diable et de Dieu mais en fait nous portons ces deux vibrations en nous. Quand on est enfermé dans le monde de l’image, quand on est totalement identifié à la personnalité seule et que l’amour de soi repose sur l’apparence, on est très sensible aux icônes et on va nourrir les fantasmes qui nous éloignent encore plus de l’être. 
S’identifier à une seule part de soi-même nourrit l’esprit de division et revient à vivre dans un monde irréaliste.

vendredi 14 novembre 2014

« De la croyance à la certitude, pas à pas »





J’ai vraiment la sensation d’être quelqu’un d’autre depuis quelques temps et encore plus depuis le 12 novembre. Déjà, la paix qui devient un état d’être quasi permanent change non seulement mon quotidien mais en plus, la légèreté s’invite dans mes pensées et mes gestes. Il reste encore des choses à libérer mais je ne le vois plus comme un challenge. 

L’idée même de devoir guérir s’estompe à mesure que j’intègre l’acceptation dans ma vie. C’est un concept, une philosophie qui n’est pas facile à comprendre mais son application démontre que c'est le chemin de la paix intérieure.
Bien que je lise encore quelques articles ou messages qui parlent de l’ascension, ça n’est plus un objectif ou encore une espérance nécessaire à mon bien-être. Plus je suis ancrée, présente et moins je m’accroche aux illusions, aux croyances. Le sentiment d’être bienvenue sur terre croit à chaque connexion à la terre mère et m’aide à voir au-delà des apparences. 
J’ai enfin eu le goût de cuisiner et j’ai été étonnée de constater que même ma façon de manger avait changé, sans que je l’ai voulu ou cherché. J’ai mastiqué longuement la nourriture et pour une fois je ne me suis pas limitée à un seul plat. J’ai carrément pris du plaisir à me nourrir !  

jeudi 13 novembre 2014

« Chercher l’équilibre entre accepter et agir »





Et bien ce matin, j’espère que la journée sera meilleure que celle d’hier ! Pas évident d’appliquer les connaissances que je transmets ici, quand tout semble partir en cacahuète en dedans ! Je me suis renfermée dans ma coquille et n’ai rien fait de la journée. C’est assez logique de vivre ça puisque je tente de libérer le masque que je porte depuis mon adolescence. C’est dingue de constater combien quelques milligrammes en moins peuvent chambouler mon rythme. Je n’avais aucune motivation à agir et même le seul fait de cuisiner m’a beaucoup coûté. Le menu se compose d’un plat de spaghetti depuis plus de cinq jours ! Derrière cela, il y a comme une grande lassitude à vivre, à assumer le quotidien, le corps physique et ses nombreux besoins.  
Quand le chaos se faisait sentir, j’essayais de revenir au cœur, de focaliser mon attention sur ce centre, sans y parvenir. Le mental tournait en boucle sans que je puisse l’arrêter ou même le calmer. Et même si je sais que je ne suis pas seulement mes pensées, j'ai eu bien du mal à prendre du recul.
Voyons si je peux gérer mon temps de façon à ne pas sentir l’ennui, la pesanteur de l’incarnation. Et surtout si j’arrive à ne pas me laisser envahir par les pensées morbides, le découragement. Le seul truc qui me calmait, c’était de me dire ; « c’est normal, ça passera »

mardi 11 novembre 2014

« Intégrer l’arc en ciel dans l’écran de notre mental », & un message de Nicky Hamid puis un article de Frédéric Baylot





Ce matin, c’est encore la patate ! La musique à fond, je me laisse porter par les notes et les paroles m’invitent à chanter. Je peux voir à travers la musique, comment j’évolue, comment mon monde intérieur se pacifie grandement depuis que j’ai décidé d’abandonner la notion de jugement, de bien et de mal. Quand j’étais membre de l’église de Jésus christ des saints des derniers jours, je ne pouvais plus écouter certains morceaux qui me faisaient culpabiliser tellement j’étais engluée dans la dualité ; Les règles étaient si strictes que je devais ignorer tout un pan de ma personnalité, tout ce qui ne reflétait pas l’image d’un bon chrétien ! Mon côté original et un peu excentrique, était jugé inadéquat et je devais m’amputer de ce qui fait pourtant mon unicité.

On ne peut occulter une part de soi sans en subir des conséquences, sans se sentir divisé, incomplet et frustré. Et comme les frustrations entrainent des déviances, des perversions, ça n’est vraiment pas un chemin qui peut mener à l’équilibre ni au bonheur. Plus on veut occulter quelque chose en soi et plus on sera déséquilibré.

lundi 10 novembre 2014

« Oser être soi, entièrement »





J’ai une belle pêche ce matin ! C’est la conséquence directe de l’affirmation de soi, de ses vrais besoins. Les fruits de l’amour vrai de soi, qui vivifie toutes les dimensions de l’être. Nous portons tous des blessures mais aussi le moyen de les guérir. Nous disposons de plusieurs outils internes et externes pour ce faire, dans la relation à soi et aux autres. 
Dans l’interaction, nous pouvons affirmer ce que nous sommes et en utilisant la technique du miroir, reconnaitre nos vrais besoins afin de les exprimer sans complexes.

Bien que le principe soit relativement simple, nous nous heurtons souvent à la difficulté de faire la part des choses. Le souci de justice, d’équité, fait trop souvent pencher la balance en faveur de l’autre, nous avons tendance lorsque nous connaissons la réalité de l’humain divin et entreprenons un travail de développement personnel, à nous positionner en modèle.
Comme nous recherchons à nous améliorer, nous nous fixons un modèle qui devient notre jauge. Or, ça n’est pas du tout de cette façon qu’on peut évoluer, on continue de se juger au travers de ce que l’autre nous renvoie alors que le reflet est censé nous amener à nous aimer davantage en reconnaissant et en osant affirmer nos besoins.

dimanche 9 novembre 2014

« Apaisez les turbulences de votre mental grâce à la Focalisation » par le Dr Véronique Baudoux





Votre cerveau surchauffe à force de faire des heures supplémentaires ?
Vous aimeriez pouvoir débrancher sur commande vos neurones hyperactifs ?
Vous ressassez, vous ruminez… ? Vos questions tournent en boucle et vos pensées tournent en rond ?
Faire le vide dans votre tête vous semble aussi accessible que d’escalader l’Everest à mains nues ?
Il est possible de calmer votre brouhaha intérieur et de découvrir les bienfaits d’un mental apaisé…
Apprendre à mettre le mental en mode « pause », à calmer le brouhaha de vos pensées est le premier pas à franchir pour retrouver l’accès à votre Être et donc à vos véritables pouvoirs…
Car vos pensées se basent sur vos fausses croyances et déterminent votre réalité sur des fondations qui sont parfois (souvent) erronées.

« Une émotion qui se manifeste, se libère ! »





On dirait que le calme est revenu dans ma tête depuis hier soir et que la nuit a été plus sereine. J’ai dormi d’une seule traite, de 22h à 6h, ça change tout! C’est un créneau horaire qui me convient parfaitement. Seul bémol, je me suis réveillée avec une double poche sous l’œil gauche !
J’ai eu l’impression d’être retombée en enfance hier ! Comme par hasard, ma sœur m’a envoyé un SMS très court où elle ne parle pas de la visite de ma mère. Je lui ai répondu que j‘aurais aimé qu’on se concerte avant qu'elle décide de l’inviter. Comme nous sommes éloignées de 800km et qu'elle nous visite en même temps, j'étais agacée qu'elle décide les choses sans me demander mon avis. Je n’étais pas trop en colère pour ce fait mais j’ai tout de même ressassé à ce sujet. J'ai bien senti que ma colère venait de très loin et qu'il me fallait tempérer les choses pour m'exprimer sans en rajouter. 
J’ai beaucoup de mal avec les gens qui veulent diriger les autres, décider pour tout le monde et qui sont égoïstes. Avec qui on est toujours obligé de mettre des limites…

Bon là, j’ai un aperçu de ce qui demeure en mon inconscient. Même si je peux dire que je le savais plus ou moins, je sais maintenant que tout ceci a besoin d’être extériorisé, que c’est en moi et que ma sœur me renvoie ce reflet depuis l’enfance. J’ai donc appliqué l’accueil des émotions et comme je n’en pouvais plus parce que ce qui rend le sevrage difficile, c’est d’une part de ne pas être habitué à ressentir les émotions « normalement » puisque par l’effet des médicaments, le corps est un peu anesthésié et d’autre part, d’avoir eu l’habitude de refouler systématiquement tout ce qui faisait des vagues en dedans. Comme je diminue les doses, il y a un effet amplificateur de la sensation émotionnelle qui limite ma capacité à prendre du recul. Du coup, j’ai bien du mal à ne pas m’identifier à l’enfant intérieur.

samedi 8 novembre 2014

« Cessons de Lutter » par Emmanuel Dagher





Mes Amis Magnifiques,
Comment allez-vous? Merci de prendre le temps de vous connecter à moi de cette façon. Pour moi, c’est vraiment l’un des points forts de chaque mois que j’attends toujours avec impatience.
Je vous suis profondément reconnaissant de permettre à notre amitié de continuer à s’épanouir.
Énergétiquement parlant, quelle a été votre expérience pendant ce mois d’Octobre? 
Si elle a été un challenge, alors vous n’êtes certainement pas seul.

Les événements célestes d’Octobre comportaient deux éclipses, parmi d’autres alignements astrologiques comme un Mercure rétrograde ainsi que les plus importantes éruptions solaires enregistrées depuis des décennies. Je crois que nous pouvons affirmer que ce mois a été celui d’une immense expansion.

« RESPIRE »





J’ai la sensation d’intégrer tant bien que mal, une grosse vague d’énergie en provenance de la source, en ce moment. Je réfléchissais pour essayer de déterminer depuis quand exactement ça bousculait sérieusement en dedans mais en fait, depuis 2012, nous sommes passés à la vitesse supérieure en matière d’intégration et nous sommes bombardés constamment par ces énergies révolutionnaires!
Et malgré les apparences, nous avançons réellement à grand pas dans l’œuvre de renaissance intérieure. Comme toute éclosion suppose une germination, celle-ci se réalise dans le silence et la noirceur des profondeurs de la Terre. C’est en embrassant nos ombres que la magie de l’alchimie s’opère et avec la patience d’une mère en attente de l’heureux évènement, que le processus délicat se réalise avec fluidité.
Attendre des résultats visibles amène des frustrations puisque tout se passe premièrement au niveau subtil de l’être. Ce qui rend inconfortable cette expérience c’est le fait de devoir réformer toutes nos croyances basées sur la peur et comme tous nos comportements y trouvent leur origine, ça demande de faire le vide avant de pouvoir restructurer le mental. La période où nous lâchons une croyance donne l’impression de flotter dans le vide parce que ce qui s’en vient est totalement inconnu et ce que nous voulons lâcher est incrusté en profondeur. J’ai des moments d’absence, la sensation de ne plus pouvoir réfléchir par moments !

« Comment être libre véritablement » par Lise Bourbeau





Si vous croyez que vous êtes libre parce que vous vivez seul, parce que vous avez atteint une liberté financière ou parce que vos enfants ont quitté votre maison, sachez que tout ceci n’a rien à voir avec la vraie liberté.   
La liberté véritable ne peut venir que de l’intérieur de vous. 

La plupart des gens confondent être libre avec être libéré de contraintes. Il va de soi qu’avoir moins de contraintes vous donne plus de liberté mais c’est rarement une liberté réelle. 
Prenons l’exemple d’une personne qui se croit libre parce qu’elle a décidé de vivre seule. Cette personne peut quand même vivre des moments de solitude ou avoir des problèmes financiers. Elle a des contraintes qui l’empêchent d’être totalement libre. 
C’est la même chose pour quelqu’un qui se croit libre parce que sa situation financière est très agréable. Cette situation peut lui causer des problèmes relationnels tels des désaccords au plan financier avec son conjoint et ses enfants. Elle peut aussi avoir peur de n’être aimé que pour son argent et vivre de la frustration en pensant qu’on profite d’elle ou avoir peur de perdre son argent. La vraie liberté ne peut pas être atteinte lorsque seul le plan matériel est satisfait. 

vendredi 7 novembre 2014

« Face à la folie du monde » & une courte vidéo d'Etienne Chouard





J’ai bien l’impression que les doses homéopathiques pour limiter les bouffées de chaleur, font effet seulement la journée. Le toubib m’a prescris des doses hebdomadaires dont la première prise a été très efficace le premier jour puisque je n’ai pas bouilli de l’intérieur avant le milieu de la nuit. Je me contente d’observer le phénomène pour essayer de le comprendre. 
Je pars du principe que chaque cycle de la vie apporte son lot de nouvelles expériences avec des leçons de sagesse à la clef. Déjà, ça aide à accepter ce qui est, puis au lieu de subir, ça donne l’impression d’accompagner le truc. 
Il semble que ça corresponde à des montées d’énergie parce qu’à chaque fois, je sens comme un trop plein, quelque chose qui pourrait ressembler à de la colère mais qui se vit sans agressivité, sans emportement.
Je suis retombée sur un article qui parle de la plainte portée par un père contre Jacques Lang et cette fois-ci, je l’ai lu intégralement et j’ai regardé les vidéos. Je n’ai pas pu aller au bout parce que les émotions suscitées par les témoignages ont dû être traitées. 
J’ai pu constater dans cet exercice, que j’avais effectivement allégé la charge énergétique puisque la gestion émotionnelle fait partie de mon quotidien.

jeudi 6 novembre 2014

« On ne peut pas en même temps être victime et responsable »





Pas évident de faire de l’accueil émotionnel, un réflexe premier ! Je constate que j’ai libéré pas mal de peur ou du moins de sa charge énergétique et pourtant il semble qu’elle continue de diriger ma vie, du moins d’être active. Son emprise est fortement diminuée mais elle continue de manipuler plus ou moins mon état d’être. 
Déjà, libérer la peur de la peur peut constituer un jeu délicat. Je choisis volontairement ce terme pour ne pas nourrir les schémas duels, pour ne pas créer des fantômes, donner corps à la peur et toutes ses créations.
On peut constater que chaque état d’être produit des fruits dans l’instant et à long terme. On peut sentir combien l’amour nous libère de tous les schémas de prédation et peut donner à la peur une toute autre apparence. 
Toutes les hypothèses à propos des extra-terrestres manipulateurs généticiens me semblent encore être le fruit de notre difficulté à regarder nos peurs en face. 
C’est aussi la conséquence de notre incompréhension face à la dualité, à ce caractère double que  nous portons. L'incompréhension crée une barrière, une forme de résistance.

mercredi 5 novembre 2014

« Métamorphose » par Joanna





Métamorphose, un mot soufflé à mon oreille par Malek à qui je racontais ces deux derniers mois de transformation.

Comment toucher avec les mots la subtilité d'un changement intérieur si ténu que je n'arrive pas moi-même à en comprendre la substance ?

Septembre, octobre, la routine. Les gadins habituels, les joies et hasards du quotidien mais ce jeu de dominos là, cet alignement particulier d'événements à ouvert mon cœur comme jamais auparavant.

N'essaye-t-on pas tous de changer, de modifier notre environnement pour être heureux ? Ne met-on pas du relief sur les manquements des autres pour lustrer notre auréole ? "Bien sûr que non" me direz-vous car vous avez conscience que tout est en vous, que tout part de vous. Moi aussi j'en avais conscience, enfin je le croyais.

« Le juste milieu libère de la dualité, de l'illusion »





Depuis mon réveil tardif ce matin, je savoure la chaleur du poêle allumé depuis hier soir ! Il ne fait pas si froid dehors mais comme il a pas mal plu, l’appart commençait à sentir l’humidité. Enfin, ça n’est pas tout à fait l’odeur d’humidité mais un genre de relent désagréable que je ne saurais définir. En tous cas, je prends cette odeur comme une invitation à chauffer l’appart. 
La sensation de confort m’a permis de repousser la prise du premier bout de cachet. Je ne l’ai pas calculé, ça s’est fait tout seul et c’est ce que j’aime, ce qui m’encourage à poursuivre cette expérience de sevrage. 
J’insiste sur l’aspect expérimentation de l’affaire parce que ça me situe sur une fréquence légère qui favorise l’acceptation de ce qui est, le lâcher prise et fait de ce sevrage un jeu comme un autre. 
La volonté ici, est celle de l’authenticité et comme elle est portée par l’énergie du cœur, elle est équilibrée et donc ne pousse pas à performer, à forcer les choses. 
Le chat a passé la moitié de la nuit avec moi et m’a réveillée à deux heures du mat’ ! Je me suis levée pour lui ouvrir la porte non sans lui faire remarquer qu’il abusait. Du coup, j’ai ravivé le feu avant de me rendormir et c’est une bonne chose parce que ce matin, il y avait encore des braises chaudes. 
Malgré les moments assez difficiles, j’arrive mieux à me recentrer et je peux en avoir la preuve par le fait que l’intellect intervient de moins en moins dans le processus d’accueil de ce qui se manifeste en dedans.

mardi 4 novembre 2014

« Libérer le mental par l’écriture »





Je suis profondément touchée par la lecture de l'article qui parle de la circoncision. C’est une info à laquelle je n’avais prêté aucune attention jusqu’à aujourd’hui mais elle vient d’ouvrir un peu plus mon cœur et ma conscience à propos du masculin, de l’énergie mais surtout de l’homme. 
Si on considère que la majorité de l’humanité est blessée intimement et profondément dès son enfance, on peut comprendre la raison des souffrances de ce monde. 
La négation de l’enfant intérieur devient plus évidente tout autant que la certitude que cet être fragile est le sauveur de l’humain.

Puisque tout commence par le déni et le rejet, puisque la souffrance de l’humain vient de l’enfance, la guérison dépend totalement de la façon dont on va prendre en compte les appels de l’enfant que nous avons été et qui demeure en soi.

Tant qu’on n’admet pas l’existence de cet aspect intérieur, on ignore sa vraie nature et l’amour en soi s’étiole. L’enfant intérieur, c’est cet être que nous avons été, qui porte les rêves de notre âme, mais aussi nos plus grandes souffrances.

Nous avons vécu des millénaires en projetant nos besoins sur le monde, en essayant de manifester notre essence primordiale, nos énergies, au travers du couple, de la famille, dans l’espoir inconscient de réparer la blessure originelle. Mais en cela, nous nous sommes décentrés, nous avons perdu le sens de notre vie, de notre raison d’être, de qui nous sommes en réalité. L’expérience nous a permis de comprendre que tout ce que nous attendions, tout ce que nous cherchions, est en nous et l’a toujours été.

« Se libérer de la peur » par Mirena





Dans la peur, nous avons la capacité de conscientiser la Vérité. 
Avec elle, nous pouvons grandir. Pourquoi cela ? 
Parce que la peur est issue d’un passé accompli et grâce à ce vécu toujours présent dans notre corps et dans notre aura par les mémoires qui le représentent, nous pouvons accéder à la forme simple du pardon.

Mais me direz-vous, qu’est-ce que le pardon vient faire dans le cas précis des peurs en soi ? Le pardon est salvateur de bien des maux
Grâce à lui, nous avons la capacité de lâcher prise sur les peurs ainsi que sur tous les sentiments négatifs qui assombrissent nos énergies. 
Grâce à lui, nous accédons au changement.

Le pardon nous permet d’accéder aux différentes étapes de la conscience individuelle. Il s’agit là du pardon de soi qui coupe les liens avec les actes du passé lorsqu’ils sont reconnus de notre propre création.

Car en nous tout est inscrit ; dans notre ADN, dans nos centres énergétiques du corps, dans nos organes, dans nos tissus, dans notre aura. 

En nous pardonnant pour les peurs ressenties, nous nous pardonnons également pour les actes du passé, qu’ils soient conscients ou non. Nous accédons ainsi à la libération des peurs en nous. Dans ce positionnement, nous nous reconnaissons responsables de tout ce qui vient à nous.

« Retrouver son intégrité en cassant le cycle de la vengeance »





J’ai bien du mal à concevoir comment quelques milligrammes de médicaments en moins peuvent me perturber à ce point ! J’ai dû prendre un petit bout hier soir pour arrêter le vacarme et les sensations de vertiges pire même, l’impression de devenir folle. Ce n’était pas un défilé de pensées insensées mais la confusion et carrément une forte sensation de sombrer, de glisser vers le néant ou la mort. Comme je ne suis pas masochiste, j’ai calmé le jeu par la prise de 0,01mg de produit ! L’équilibre intérieur tient à peu de choses !

Pour couronner le tout, je viens de lire un article à propos de la circoncision* ! 
Je n’avais jamais vraiment réfléchi à la question mais il se pourrait bien qu’on ait ici une des causes des difficultés dans la relation homme femme. 

Il est expliqué à quel point cette opération représente un traumatisme pour l’enfant, tant au niveau de la douleur physique qu’au niveau psychologique. 

Déjà, la naissance par elle-même est d’une rare violence puisque le bébé passe de l’oxygénation via le sang de sa mère à la respiration pulmonaire. Il nait dans un bain de sang, torturé par la douleur, quand il n’y a pas en plus quelques excréments expulsés lorsque le nouveau né appuie sur les intestins. 

On peut rêver mieux comme arrivée sur cette planète ! Il ne faut pas s’étonner que l’amour soit aussi distorsionné si à l’âge de huit jours, un bébé subit une des pires choses qui existe pour un humain, la mutilation et à travers elle, le déni, l’humiliation, le sentiment d’abandon, de trahison même, d’injustice, la rupture de confiance vis-à-vis des parents qui entraine un déni, un rejet de soi et brise la confiance en soi.

lundi 3 novembre 2014

« Ça avance malgré les apparences »





Je dois aller voir le toubib pour mon rendez-vous mensuel et je pensais y aller à vélo pour éviter d’utiliser la voiture qui fait beaucoup de bruit à cause du pot d’échappement qui est déboité mais avec le vent qui souffle en fortes rafales, je prends le risque de la prune. Après tout, le bruit du pot ne met pas la vie des autres en danger, ni la mienne d’ailleurs. 
Il est bon de ne pas agir par peur, par obligation mais de voir les choses objectivement et d’agir selon la logique. 
Bizarrement plus le monde a accès à la connaissance et plus les gens de pouvoir veulent limiter les libertés. En fait c’est d’une logique navrante, il ne faut pas oublier qu’il n’y a que quelques années que les infos ne sont plus l’exclusivité des médias traditionnels. 

Il y a deux cent ans, les connaissances se basaient exclusivement sur la bible qui était en latin. Celui qui voulait comprendre les mystères de la vie, devait appartenir à des groupes occultes, des loges, des partis politiques…il devait être initié, recevoir la connaissance de ses pères et se contenter de cela. 
La contestation n’était surtout pas à l’ordre du jour parce que le plus important était de conserver ses privilèges, d’être accepté et reconnu, validé, dans ces cercles très privés. Le savoir bien que limité était réservé à l’élite qui pouvait ainsi manipuler les populations à loisir. 
Le phénomène est aujourd’hui inversé, on reçoit des infos du monde entier dont il est difficile de connaitre l’origine, la source. Il ne s’agit plus d’être intégré au cercle très fermé des initiés mais de faire résonner les infos reçues, en son propre cœur, afin de déterminer ce qui est valable pour soi, ce qui permet de grandir en sagesse, en amour, en lucidité et en confiance en soi.