mercredi 5 novembre 2014

« Le juste milieu libère de la dualité, de l'illusion »





Depuis mon réveil tardif ce matin, je savoure la chaleur du poêle allumé depuis hier soir ! Il ne fait pas si froid dehors mais comme il a pas mal plu, l’appart commençait à sentir l’humidité. Enfin, ça n’est pas tout à fait l’odeur d’humidité mais un genre de relent désagréable que je ne saurais définir. En tous cas, je prends cette odeur comme une invitation à chauffer l’appart. 
La sensation de confort m’a permis de repousser la prise du premier bout de cachet. Je ne l’ai pas calculé, ça s’est fait tout seul et c’est ce que j’aime, ce qui m’encourage à poursuivre cette expérience de sevrage. 
J’insiste sur l’aspect expérimentation de l’affaire parce que ça me situe sur une fréquence légère qui favorise l’acceptation de ce qui est, le lâcher prise et fait de ce sevrage un jeu comme un autre. 
La volonté ici, est celle de l’authenticité et comme elle est portée par l’énergie du cœur, elle est équilibrée et donc ne pousse pas à performer, à forcer les choses. 
Le chat a passé la moitié de la nuit avec moi et m’a réveillée à deux heures du mat’ ! Je me suis levée pour lui ouvrir la porte non sans lui faire remarquer qu’il abusait. Du coup, j’ai ravivé le feu avant de me rendormir et c’est une bonne chose parce que ce matin, il y avait encore des braises chaudes. 
Malgré les moments assez difficiles, j’arrive mieux à me recentrer et je peux en avoir la preuve par le fait que l’intellect intervient de moins en moins dans le processus d’accueil de ce qui se manifeste en dedans.


Savoir se satisfaire des petits progrès est essentiel et participe aussi à l’amplification de l’amour vrai de soi. C’est très vivifiant pour tous les corps et ce nouveau comportement réalise pas à pas, l’unité intérieure. Enfin disons plutôt que c’est la conscience qui est maintenant en mesure de percevoir cet état permanent d’unité. 

La science quantique démontre des vérités essentielles dont j’ai trouvé un résumé accessible. En voici le copié-collé :



« Nous sommes aux commandes »
C'est vrai que nous sommes aux commandes...Nous sommes LE TRÈS SAINT FILS DE DIEU, d'une puissance et d'un amour illimités. Comme le disent les chercheurs en physique quantique:

-Quand notre attention n’est pas fixée, c’est une vague de possibilités, quand elle se fixe, c’est une particule de matière, d’expérience.
Une particule qu’on s’imagine comme étant de la matière solide, existe dans ce qu’on appelle une superposition, une ample vague de positions possibles, elle est partout à la fois.
Au moment où on regarde, elle s’élance dans une des positions.
La superposition quantique implique qu’une particule peut-être simultanément à deux endroits où se présenter sous deux formes ; c’est l’un des traits distinctifs du monde quantique.
Comment un objet (Ou un corps) peut-il être dans deux endroits à la fois ?
C’est très simple: Il ne nous faut pas voir les choses comme des choses ; nous pensons que tout ce qui nous entoure est séparé, existant déjà, sans que nous intervenions ou choisissions.
Nous devons renoncer à cette conception du monde, et plutôt accepter que le monde qui nous entoure ne soit rien d’autre que des mouvements possibles de la conscience.
Parmi ces mouvements, je choisis un moment pour manifester mon expérience que je crois réelle. C’est notre façon de penser qu’il faut changer car nous voyons le monde comme une entité indépendante de notre expérience, ce qui est faux.
La physique quantique le dit de façon explicite, et Heisenberg dit lui-même que les atomes ne sont pas des choses mais des possibilités de la conscience.

Des objets perceptibles à l’œil nu peuvent être perçus à deux endroits simultanément et être photographiés. Pourtant, il ne s’agit pas de deux choses mais d’une seule se situant à deux endroits. Alors, qui, ou qu’est-ce qui choisit entre ces deux possibilités ou crée l’évènement ? Il est immédiatement évident que la conscience doit jouer un rôle ; l’observateur ne peut être ignoré.

Mais qui est-il ? C’est l’esprit dans la machine, la conscience qui conduit le véhicule, qui observe l’environnement. Les quatre couches du bio-body suit ont une foule de systèmes sensoriels qui captent des signaux.
Les gens influent-ils sur la réalité qu’ils observent ? Et comment !
Chacun influe sur la réalité de ce qu’il croit voir, même s’il refuse de l’assumer et se pose en victime.
La pensée ou l’intention forme l’élément moteur de ce qui fait notre réalité.
Nous ignorons comment cela influe exactement sur les molécules, sauf sur celles de l’eau, ou cela est visible.
C’est d’autant plus fascinant quand on pense que le corps est composé de 90% d’eau ! Ce fait donne à penser n’est-ce pas ? Car si les pensées peuvent avoir des effets sur l’eau, qu’en est-il de notre corps ?
A méditer...
Réflexion écrite par « Legitimus »,  publiée sur : http://devantsoi.forumgratuit.org  



La physique quantique commence à comprendre les phénomènes autrefois réservés au monde spirituel, voire occulte et ça correspond vraiment à ce que peut vivre un individu en chemin.
Abandonner les croyances d’autrefois pour avoir une vision de soi et du monde beaucoup plus lucide, équivaut à se dépouiller littéralement de tout ce que nous prenions avant pour acquis, pour vrai.

Le bouleversement atteint tout le monde et même les personnes qui canalisent. J’ai lu un article d’une de ces personnes qui recevait des messages censés être de Saint Germain, Sananda…Des messages remplis de promesses jamais réalisées ce qui a mis la puce à l’oreille à cette personne qui a décidé de ne plus délivrer les messages de ces êtres qu’elle soupçonne d’appartenir au bas astral. 

En ayant un tout petit peu de recul sur les lectures, on peut voir que les promesses sont des besoins de l’ego, qu’elles nous maintiennent dans l’illusion de l’impuissance, nourrissent l’idée d’un sauveur extérieur et nous déresponsabilisent. L’idée même d’attendre nous propulse en dehors du moment présent, de la réalité. Puis ce besoin d’être béni, de recevoir des récompenses appartient à l’ancien monde où le besoin de reconnaissance trahit le manque d’amour vrai de soi, l'ignorance de notre essence divine.

Plus ça va et plus je suis convaincue que nous sommes intimement liés à ces êtres par le fait que nos sphères s’interpénètrent. Déjà, selon ma foi, il ne s’agit pas d’êtres mais d’amas d’énergies spécifiques et lorsqu’il y a vision, il s’agit plutôt de projections mentales.

Mais, il n’empêche que les infos reçues par ce biais, sont valides. Enfin la plupart d’entre elles. On a trop tendance à avoir une vision radicale des choses alors que c’est en général beaucoup plus subtil. 
Il y a une certitude, c’est le fait que la majorité des gens intéressés par l’ascension, les phénomènes ésotériques, les sciences occultes, sont d’une part hypersensibles et par ce fait, réceptif à l’invisible mais aussi dégoûtés par l’incarnation. 
Celui qui se satisfait de son quotidien, de sa vie, ne cherche pas à savoir ce qui se passe ailleurs, dans d’autres mondes.

Le divin en soi ne force rien, il attend patiemment que nous nous tournions vers notre cœur pour être capables de le percevoir, de le ressentir. C'est par notre sagesse accumulée dans les nombreuses incarnations que nous choisissons de nous tourner vers l'intérieur.

Puisque ce qui existe peut être perçu uniquement si nous en avons conscience, on peut supposer que les entités de l’astral sont des images formées par notre inconscient en quête de sens et de cohérence. Ce que l‘on perçoit au niveau énergétique, n’a pas de forme mais le mental a besoin d’interpréter, de comprendre, d’imager, de se faire une idée alors il fabrique des supports à sa foi.

Il est notable de faire le parallèle entre les croyances de ceux qui canalisent et leurs visions. Une chose qu’on ignore, à laquelle on n’accorde pas foi n’existe tout simplement par pour soi. Par exemple, les entités dites négatives ou encore les démons, sont pour moi des projections de la peur qui est caché en soi. Le mental interprète selon ses croyances et donne forme aux énergies pour satisfaire son besoin de preuves.

Je suis reconnaissante pour les enseignements des êtres invisibles, peu importe leur « forme », leur appartenance, leur origine, ce qui compte le plus pour moi, c’est le contenu de leur message et le crédit que je leur accorde vient du fait que ces infos m’aident à devenir plus aimante, lucide, centrée, ancrée, et d’aller vers l’autonomie dans tous les domaines de ma vie. 




Je considère que tout est vibratoire, énergétique et que pour guérir, changer, transformer son quotidien, il faut avant tout faire la paix en soi, apprendre à rendre la circulation énergétique fluide intérieurement afin d’acquérir la maitrise de notre monde intérieur qui se reflète, se manifeste, dans la vie de tous les jours.

En commençant par équilibrer et harmoniser les énergies en soi, tout le reste s’équilibre et s’harmonise. 
"Cherchez premièrement le royaume de Dieu et tout le reste vous sera donné de surcroit", est pour moi une Vérité éternelle et intemporelle.

En toute chose, il y a la sagesse divine, qu’elle se manifeste par contraste ou au travers d’une émotion pacifiée. Chacun peut être éclairé, inspiré mais aussi abêti par ses peurs, son ignorance de ce qu’est l’amour divin.

Les êtres de lumière, les extra-terrestres, les entités ou énergies des mondes invisibles nous ont donné des clefs de compréhension qui suffisent à notre épanouissement et surtout à nous rendre libres et autonomes.

Il s’agit maintenant d’appliquer ses connaissances, de les vivre, les expérimenter. 
La phase d’enseignement est terminée. 
Également puisque nous savons maintenant que la source d’amour est en soi, qu’il est vain de chercher à l’extérieur, il nous faut apprendre à faire rayonner cette essence primordiale qui nous constitue, depuis notre cœur vers tous nos corps et au-delà.

Dans la libération des fausses croyances, il est logique que tout ce qui nourrit l’idée de la séparation se désagrège petit à petit à petit. A mesure que nous découvrons notre vraie nature, l’illusion est reconnue comme telle. 
On comprend que l’attachement cause des souffrances et se base sur l’idée que nous sommes incomplets, or en réunifiant, tous les aspects de l’être, on expérimente la plénitude. Peu à peu, on prend conscience que nous avons tout en nous pour être heureux, entier, intègre, souverain.

La voie du juste milieu permet de voir les choses sans les étiqueter et ainsi de constater que la notion de bien et de mal, de division, est une illusion, une création, une projection de notre mental. 
C’est sa façon de considérer les choses mais en l’éclairant, en l’associant au cœur, il amène ses énergies qui viennent compléter celles du cœur. 
Celui-ci ayant le pouvoir d’équilibrer les énergies, il n’y a donc aucune raison de rejeter quoi que ce soit en soi mais plutôt de le passer par le scanner du cœur pour y déceler la lumière.   


Vous pouvez diffuser ce texte à condition d’en respecter l’intégralité, de ne rien modifier (sauf correction des fautes d'orthographe), de citer l’auteur : Lydia Féliz, ainsi que la source : http://lydiouze.blogspot.fr  et ces trois lignes. Merci