Depuis mon réveil tardif ce matin, je savoure la chaleur du
poêle allumé depuis hier soir ! Il ne fait pas si froid dehors mais comme
il a pas mal plu, l’appart commençait à sentir l’humidité. Enfin, ça n’est pas
tout à fait l’odeur d’humidité mais un genre de relent désagréable que je ne saurais
définir. En tous cas, je prends cette odeur comme une invitation à chauffer l’appart.
La sensation de confort m’a permis de repousser la prise du premier bout de
cachet. Je ne l’ai pas calculé, ça s’est fait tout seul et c’est ce que j’aime,
ce qui m’encourage à poursuivre cette expérience de sevrage.
J’insiste sur l’aspect expérimentation de l’affaire parce que ça me situe sur une fréquence légère qui favorise l’acceptation de ce qui est, le lâcher prise et fait de ce sevrage un jeu comme un autre.
J’insiste sur l’aspect expérimentation de l’affaire parce que ça me situe sur une fréquence légère qui favorise l’acceptation de ce qui est, le lâcher prise et fait de ce sevrage un jeu comme un autre.
La volonté ici, est celle de l’authenticité et comme elle
est portée par l’énergie du cœur, elle est équilibrée et donc ne pousse pas à
performer, à forcer les choses.
Le chat a passé la moitié de la nuit avec moi
et m’a réveillée à deux heures du mat’ ! Je me suis levée pour lui ouvrir
la porte non sans lui faire remarquer qu’il abusait. Du coup, j’ai ravivé le
feu avant de me rendormir et c’est une bonne chose parce que ce matin, il y avait
encore des braises chaudes.
Malgré les moments assez difficiles, j’arrive mieux
à me recentrer et je peux en avoir la preuve par le fait que l’intellect
intervient de moins en moins dans le processus d’accueil de ce qui se manifeste
en dedans.
Savoir se satisfaire des petits progrès est essentiel et
participe aussi à l’amplification de l’amour vrai de soi. C’est très vivifiant
pour tous les corps et ce nouveau comportement réalise pas à pas, l’unité
intérieure. Enfin disons plutôt que c’est la conscience qui est maintenant en
mesure de percevoir cet état permanent d’unité.
La science quantique démontre
des vérités essentielles dont j’ai trouvé un résumé accessible. En voici le
copié-collé :
C'est vrai que nous sommes aux commandes...Nous sommes
LE TRÈS SAINT FILS DE DIEU, d'une puissance et d'un amour illimités. Comme le
disent les chercheurs en physique quantique:
-Quand notre attention n’est pas fixée, c’est une vague de possibilités, quand elle se fixe, c’est une particule de matière, d’expérience.
-Quand notre attention n’est pas fixée, c’est une vague de possibilités, quand elle se fixe, c’est une particule de matière, d’expérience.
Une particule qu’on s’imagine comme étant de la
matière solide, existe dans ce qu’on appelle une superposition, une ample vague
de positions possibles, elle est partout à la fois.
Au moment où on regarde, elle s’élance dans une des
positions.
La superposition quantique implique qu’une particule
peut-être simultanément à deux endroits où se présenter sous deux formes ; c’est
l’un des traits distinctifs du monde quantique.
Comment un objet (Ou un corps) peut-il être dans deux
endroits à la fois ?
C’est très simple: Il ne nous faut pas voir les choses
comme des choses ; nous pensons que tout ce qui nous entoure est séparé, existant
déjà, sans que nous intervenions ou choisissions.
Nous devons renoncer à cette conception du monde, et
plutôt accepter que le monde qui nous entoure ne soit rien d’autre que des
mouvements possibles de la conscience.
Parmi ces mouvements, je choisis un moment pour
manifester mon expérience que je crois réelle. C’est notre façon de penser
qu’il faut changer car nous voyons le monde comme une entité indépendante de
notre expérience, ce qui est faux.
La physique quantique le dit de façon explicite, et
Heisenberg dit lui-même que les atomes ne sont pas des choses mais des
possibilités de la conscience.
Des objets perceptibles à l’œil nu peuvent être perçus
à deux endroits simultanément et être photographiés. Pourtant, il ne s’agit pas
de deux choses mais d’une seule se situant à deux endroits. Alors, qui, ou
qu’est-ce qui choisit entre ces deux possibilités ou crée l’évènement ? Il est
immédiatement évident que la conscience doit jouer un rôle ; l’observateur ne
peut être ignoré.
Mais qui est-il ? C’est l’esprit dans la machine, la
conscience qui conduit le véhicule, qui observe l’environnement. Les quatre
couches du bio-body suit ont une foule de systèmes sensoriels qui captent des
signaux.
Les gens influent-ils sur la réalité qu’ils observent
? Et comment !
Chacun influe sur la réalité de ce qu’il croit voir, même s’il refuse de l’assumer et se pose en victime.
Chacun influe sur la réalité de ce qu’il croit voir, même s’il refuse de l’assumer et se pose en victime.
La pensée ou l’intention forme l’élément moteur de ce
qui fait notre réalité.
Nous ignorons comment cela influe exactement sur les
molécules, sauf sur celles de l’eau, ou cela est visible.
C’est d’autant plus fascinant quand on pense que le
corps est composé de 90% d’eau ! Ce fait donne à penser n’est-ce pas ? Car si
les pensées peuvent avoir des effets sur l’eau, qu’en est-il de notre corps ?
A méditer...
A méditer...
Réflexion écrite par « Legitimus », publiée sur : http://devantsoi.forumgratuit.org
La physique quantique commence à comprendre les phénomènes autrefois
réservés au monde spirituel, voire occulte et ça correspond vraiment à ce que
peut vivre un individu en chemin.
Abandonner les croyances d’autrefois pour avoir une vision
de soi et du monde beaucoup plus lucide, équivaut à se dépouiller littéralement
de tout ce que nous prenions avant pour acquis, pour vrai.
Le bouleversement atteint tout le monde et même les
personnes qui canalisent. J’ai lu un article d’une de ces personnes qui
recevait des messages censés être de Saint Germain, Sananda…Des messages
remplis de promesses jamais réalisées ce qui a mis la puce à l’oreille à cette
personne qui a décidé de ne plus délivrer les messages de ces êtres qu’elle
soupçonne d’appartenir au bas astral.
En ayant un tout petit peu de recul sur
les lectures, on peut voir que les promesses sont des besoins de l’ego, qu’elles
nous maintiennent dans l’illusion de l’impuissance, nourrissent l’idée d’un
sauveur extérieur et nous déresponsabilisent. L’idée même d’attendre nous
propulse en dehors du moment présent, de la réalité. Puis ce besoin d’être
béni, de recevoir des récompenses appartient à l’ancien monde où le besoin de
reconnaissance trahit le manque d’amour vrai de soi, l'ignorance de notre essence divine.
Plus ça va et plus je suis convaincue que nous sommes
intimement liés à ces êtres par le fait que nos sphères s’interpénètrent. Déjà,
selon ma foi, il ne s’agit pas d’êtres mais d’amas d’énergies spécifiques et
lorsqu’il y a vision, il s’agit plutôt de projections mentales.
Mais, il n’empêche que les infos reçues par ce biais, sont
valides. Enfin la plupart d’entre elles. On a trop tendance à avoir une vision
radicale des choses alors que c’est en général beaucoup plus subtil.
Il y a une
certitude, c’est le fait que la majorité des gens intéressés par l’ascension,
les phénomènes ésotériques, les sciences occultes, sont d’une part hypersensibles
et par ce fait, réceptif à l’invisible mais aussi dégoûtés par l’incarnation.
Celui
qui se satisfait de son quotidien, de sa vie, ne cherche pas à savoir ce qui se
passe ailleurs, dans d’autres mondes.
Le divin en soi ne force rien, il attend patiemment que
nous nous tournions vers notre cœur pour être capables de le percevoir, de le
ressentir. C'est par notre sagesse accumulée dans les nombreuses incarnations que nous choisissons de nous tourner vers l'intérieur.
Puisque ce qui existe peut être perçu uniquement si nous en
avons conscience, on peut supposer que les entités de l’astral sont des images
formées par notre inconscient en quête de sens et de cohérence. Ce que l‘on
perçoit au niveau énergétique, n’a pas de forme mais le mental a besoin d’interpréter,
de comprendre, d’imager, de se faire une idée alors il fabrique des supports à
sa foi.
Il est notable de faire le parallèle entre les croyances de
ceux qui canalisent et leurs visions. Une chose qu’on ignore, à laquelle on n’accorde
pas foi n’existe tout simplement par pour soi. Par exemple, les entités dites
négatives ou encore les démons, sont pour moi des projections de la peur qui
est caché en soi. Le mental interprète selon ses croyances et donne forme aux
énergies pour satisfaire son besoin de preuves.
Je suis reconnaissante pour les enseignements des êtres
invisibles, peu importe leur « forme », leur appartenance, leur origine, ce qui
compte le plus pour moi, c’est le contenu de leur message et le crédit que je
leur accorde vient du fait que ces infos m’aident à devenir plus aimante,
lucide, centrée, ancrée, et d’aller vers l’autonomie dans tous les domaines de
ma vie.
Je considère que tout est vibratoire, énergétique et que
pour guérir, changer, transformer son quotidien, il faut avant tout faire la
paix en soi, apprendre à rendre la circulation énergétique fluide intérieurement afin d’acquérir
la maitrise de notre monde intérieur qui se reflète, se manifeste, dans la vie
de tous les jours.
En commençant par équilibrer et harmoniser les énergies en
soi, tout le reste s’équilibre et s’harmonise.
"Cherchez premièrement le
royaume de Dieu et tout le reste vous sera donné de surcroit", est pour moi une
Vérité éternelle et intemporelle.
En toute chose, il y a la sagesse divine, qu’elle se
manifeste par contraste ou au travers d’une émotion pacifiée. Chacun peut être
éclairé, inspiré mais aussi abêti par ses peurs, son ignorance de ce qu’est l’amour
divin.
Les êtres de lumière, les extra-terrestres, les entités ou
énergies des mondes invisibles nous ont donné des clefs de compréhension qui
suffisent à notre épanouissement et surtout à nous rendre libres et autonomes.
Il s’agit maintenant d’appliquer ses connaissances, de les
vivre, les expérimenter.
La phase d’enseignement est terminée.
Également puisque
nous savons maintenant que la source d’amour est en soi, qu’il est vain de
chercher à l’extérieur, il nous faut apprendre à faire rayonner cette essence
primordiale qui nous constitue, depuis notre cœur vers tous nos corps et au-delà.
Dans la libération des fausses croyances, il est logique
que tout ce qui nourrit l’idée de la séparation se désagrège petit à petit à
petit. A mesure que nous découvrons notre vraie nature, l’illusion est reconnue
comme telle.
On comprend que l’attachement cause des souffrances et se base sur
l’idée que nous sommes incomplets, or en réunifiant, tous les aspects de l’être,
on expérimente la plénitude. Peu à peu, on prend conscience que nous avons tout
en nous pour être heureux, entier, intègre, souverain.
La voie du juste milieu permet de voir les choses sans les
étiqueter et ainsi de constater que la notion de bien et de mal, de division,
est une illusion, une création, une projection de notre mental.
C’est sa façon
de considérer les choses mais en l’éclairant, en l’associant au cœur, il amène ses
énergies qui viennent compléter celles du cœur.
Celui-ci ayant le pouvoir d’équilibrer
les énergies, il n’y a donc aucune raison de rejeter quoi que ce soit en soi
mais plutôt de le passer par le scanner du cœur pour y déceler la lumière.
Vous
pouvez diffuser ce texte à condition d’en respecter l’intégralité, de ne rien
modifier (sauf correction des fautes d'orthographe), de citer l’auteur :
Lydia Féliz, ainsi que la source : http://lydiouze.blogspot.fr et ces trois lignes. Merci