mercredi 30 août 2017

« Pacification et dialogue intérieurs »





Quand on veut changer, évoluer, on a tendance à se fixer un programme, à prendre des résolutions, que ce soit pour évoluer spirituellement, se libérer d’une dépendance, maigrir ou pour cultiver certains talents. Et la plupart du temps, ça nous donne la sensation de régresser parce qu’on voit qu’on n’avance pas alors on s’en veut, on se fait des reproches et on se sent encore plus mal dans sa peau, minable, incapable.
Il est bon dans un premier temps de se demander pourquoi on veut changer. Et pour qui. Et plutôt que de vouloir contrôler les voix en soi qui luttent à longueur de temps juste les écouter par simple curiosité. 
Parce que ces voix ont beaucoup à nous apprendre à propos de nous-même, de qui nous sommes vraiment derrière les peurs et les conditionnements. Elles ont les clefs de notre liberté et celles qui ouvrent notre horizon, libèrent nos potentiels.

Interroger ses croyances nous permet de les actualiser simplement parce que cela génère des prises de conscience. Se demander ce que cache une croyance, c’est déjà prendre conscience d’un conditionnement, c’est porter la lumière de la conscience dans les replis de notre inconscient. 
Malheureusement trop souvent on le fait à travers le mode de jugement et on ajoute de la culpabilité, des critiques ce qui rend inefficace et difficile le processus d’actualisation. 

Notre cerveau est configuré pour évoluer, pour créer de nouvelles connexions neuronales en, libérant la mémoire du superflu. Hormis les traumas ou les évènements qui ont eu un impact intense sur le corps émotionnel, la mémoire est malléable et l’oubli est une des fonctions vitales. Pour le coup, le mode sélectif est ici tout à fait approprié.
Notre cerveau sélectionne ce qui est utile, d’actualité et quand il n’y a pas d’empreinte émotionnelle les infos obsolètes disparaissent naturellement.

mardi 29 août 2017

« Tout est donné au moment opportun »





Les confidences entre les femmes de ma famille côté maternel continuent de me travailler en profondeur et porter leurs fruits. Je sens qu’une guérison collective est en train de se produire touchant toute la lignée familiale. Le féminin qui se réconcilie par ce cercle de femmes qui se réunissent dans la compassion, c'est très libérateur. Dans la semaine alors qu’elles étaient ensemble, par moments, je pensais à elles ou du moins je me sentais connectée. Non plus dans la douleur mais par des sentiments profonds. 
C’est une sensation indescriptible et comme c’est de l’ordre du ressenti, comme ce champs immense est encore inconnu ou méconnu, vouloir interpréter c’est prendre le risque de s’égarer, de perdre la sensation et encore d’enfermer l’énergie dans des cases. 

Hier soir, alors que je parlais avec mon âme lui demandant de diffuser ces énergies de guérison, de réconfort sur chaque enfant intérieur de ma lignée familiale, autant les hommes que les femmes, de grosses larmes chaudes ont coulé.
Je ne peux pas décrire tout ce que j’ai ressenti tellement c’était immense et puissant. 

Déjà l’idée que la guérison des chakras du bas ouvre, si on peut dire, ceux du haut, a été validée par la sensation de plénitude et de confiance vis-à-vis de l’équipe céleste. 
La certitude d’être accompagnée, soutenue depuis l’enfance dans ce cheminement de recherche de vérité m’est apparue clairement et si mes yeux n’étaient pas encore voilés par la peur de la mort, de l’inconnu, de l’invisible, j’aurais certainement vu ces présences bienveillantes. 
Non seulement la peur bloque cette perception mais en plus, la nécessité de vivre l’expérience d’ici et de maintenant en toute conscience, en présence, sans être déconcentrée, sans se disperser, en restant focalisée sur cette incarnation et ses limitations m’est apparue comme la condition si ne qua none.

lundi 28 août 2017

« Le cœur, porte de tous les mondes » & vidéos d’éveil





27 08 Le ciel encore rempli d’une brume fine mais très dense me donne envie de suivre seulement l’élan guidé par la joie intérieure quitte à ne rien faire du tout. Je suis tombée sur une vidéo de David Gilmour et David Bowie qui ont provoqué des vagues de frissons bien agréable. Chaque fois que j’écoute Pink Floyd, je me dis qu’ils avaient tout compris et le symbole du triangle traversé par un rayon laser qui passe du gris à l’arc en ciel, résume tout, ce dépouillement des masques, des rôles du triangle de Karpman. 
Comment en se positionnant au centre, dans la neutralité, on passe au-delà de ces rôles, on accède au potentiel créatif illimité. Les images symboliques et la simplicité de leurs mélodies ont touché tellement de personnes parce que c’est universel et compréhensible par tous, par effet de résonance.
Cette simplicité de la mélodie, c’est le symbole de la simplicité du processus de dépouillement et de la vie même. Leur album "The Wall" décrit l’illusion et les manipulations de ce monde avec une parfaite clarté. Puis quand je vois le chanteur, guitariste du groupe, je me dis qu’il vit ce qu’il propage au travers des sons.
Et ces prises de conscience provoquées par les hallucinogènes ont été vécues par cette génération de façon fulgurante. Il reste peu de survivants parce que c’est une façon très violente d’affronter la réalité. 
En ce sens, l’éveil des consciences n’est pas toujours une sinécure et ceux qui s’ouvrent en un éclair à la réalité crue, celle de la conscience Une ou de l’illusion de la séparation, peuvent rester déconnecté de la réalité matérielle toute leur vie. 
Le point de vue de la conscience humaine formatée et celui de la conscience éclairée semblent tellement opposés que cela peut être insupportable. 
Mais nous avons tous les outils nécessaires à la compréhension et l’intégration ou la réalisation de Qui nous sommes en vérité.

dimanche 27 août 2017

« La vision silencieuse du cœur, dans la paix et l’unité intérieure »




25 08 Depuis hier, je suis face à des énergies lourdes et ce matin j’observe la tristesse profonde qui m’habite. Elle a été déclenchée par une légère douleur aux reins et les pensées sombres se sont enchainées. Le souvenir de la vidéo témoignage de la victime des réseaux pédophiles apparait subitement donnant corps à cette mélancolie qui ne semble venir de nulle part puisque cela m’a pris dès le réveil. Et c’est comme si cette sensation me poursuivait depuis hier. Je peux voir cet enchainement de pensées sombres qui se raccordent les unes aux autres et qui prennent de l’ampleur dans ce mouvement de résonance et d’attraction. 
Le fait de pouvoir l’observer m’en détache et cela vient nourrir ma foi, ma compréhension en ces lois universelles, ces phénomènes psycho-énergétiques. Ce qui créé un petit espace de gratitude, une petite ouverture. La douleur est maintenant partie sans que j’aie eu recours aux médicaments, juste en ne rejetant pas cette tristesse, en n’essayant pas de la nier, de susciter la joie.
La différence est très subtile puisque les processus mentaux, les stratégies d’évitement sont inconscients mais en étant juste l’observateur qui se contente de voir et sentir ce qui le traverse, le changement est flagrant. Je ne fais pas des bonds, la joie n’est pas encore revenue pas plus que l’envie d’agir mais déjà, je ne sens plus la chape de plomb de tout à l’heure.
En écoutant une chanson qui parle de Jésus, de la confiance en la source, quelques images symboliques sont apparues comme l’idée qu’il est le « roi des cieux » comme cela est proclamé dans la bible. En resituant les faits dans leur contexte et selon son choix constant de manifester l’amour, le pardon, il a ouvert ou tout au moins nourri abondamment ces égrégores d’amour sans conditions, qui sont l’opposé de la vengeance, de ce cycle où la violence se perpétue. Il a initié la loi de permissivité.

vendredi 25 août 2017

« Libération, téléchargement et harmonisation »




23 08 Je sens que mon mental et par conséquent mon cerveau, est en train de configurer ses systèmes afin d’intégrer complètement la notion d’énergie. Selon la science quantique, l’infiniment petit et l’information véhiculée par la lumière sous forme de photons, ces données essentielles demandent à trouver leur place en l’individu et pour ce faire, il est nécessaire de libérer de l’espace. Où simplement de focaliser l’attention sur cette dimension de l’énergie, de la vibration, d’en faire la référence première. 

En ce sens, lâcher les jugements, les stratégies de survie, les rôles, les croyances passées et les conditionnements est indispensable. Et comme cela affecte tous les niveaux de l’être de la plus petite cellule, de l’atome, aux organes, en passant par le système psycho-émotionnel, le monde éthérique, on comprend aisément l’ampleur du chantier. 

On peut aussi voir que le mental ne peut absolument pas gérer et encore moins contrôler ce qu’il ne voit pas, ce qu’il peut difficilement concevoir. En ce sens les intelligences multiples sont nécessaires et c’est leur association pacifique qui permet cette immense révolution.
On sait que nos pensées, nos émotions, sont des énergies, que chacune d’elle porte une fréquence particulière et que celle-ci attire ou résonne avec des fréquences similaires. 
Ces fréquences sont plus ou moins lourdes, plus ou moins intenses. 

D’autre part, les pensées et les émotions associées provoquent des réactions chimiques internes qui déterminent l’état d’être, la physiologie. Selon l’intensité de notre focalisation, ou selon le désir de vibrer telle ou telle fréquence, notre point de focalisation peut modifier la physiologie, les réactions chimiques et hormonales internes et donc la vibration, l’énergie.

mardi 22 août 2017

« Revenir au choix déterminant de ce que l’on veut sentir, vibrer en soi »





20 08 Le jugement est un mode d’appréciation, une façon de se situer qui nous limite mais d’un autre côté, c’est un bel outil de connaissance de soi quand on va au-delà de la première idée qui émane d’une des nombreuses croyances collectives.

Il est bon de se demander ce qui sous tend le jugement, pourquoi nous pensons avoir raison parce que cela nous indique un rêve, un besoin inassouvi.
En interrogeant notre pensée, on va entendre la voix de l’enfant en nous derrière la peur. Par exemple, lorsque je juge l’autre d’être injuste, je peux déjà me dire que ce jugement arbitraire est une pensée automatique, une forme de conditionnement. 
Puis en ressentant ce qui accompagne ce jugement, je vais constater qu’il est une stratégie, une façon de contourner la peur. Savoir quelle est exactement cette peur va me permettre de contacter l’enfant en moi, les aspirations véritables. 

La plupart du temps, le mental se fait des films, il projette la peur sur l’écran du mental envisageant les scenarii catastrophes par instinct de survie parce qu’alors il saura déclencher la réponse appropriée, soit l’agression, soit la fuite. 
Tout cela est le fonctionnement généré par l’instinct de survie et quand on revient au présent, à la sensation même de la peur, les films disparaissent, on rit même d’avoir eu autant d’imagination.
Ce processus d’imagination va nous servir à créer notre vie selon nos aspirations profondes. Le mental a des capacités très utiles et nombreuses que le manque de connaissance concernant les émotions, ce qu’elles sont en vérité, nous empêche d’utiliser à bon escient. 

dimanche 20 août 2017

« Au revoir Temps Linéaire – Le Retour à la Conscience d’Unité » Vera Ingeborg





Nous sommes au milieu de la bifurcation des lignes de temps et du changement de réalités. Les anciennes lignes de temps s’effondrent et il n’y a pas de retour possible. 
Alors que bon nombre des premiers avant-gardistes ressentent encore d’énormes changements bipolaires entre les deux réalités et entre l’amour et la peur, les premiers novateurs entrent de plus en plus dans un état énergétique de l’être appelé point-zéro. 

L’espace où nous ne faisons qu’observer, en permettant et en suivant le courant énergétique sans être entraîné par les drames, les histoires et les illusions de l’ancien paradigme. Nous entrons dans ce point peu avant les grands changements énergétiques – individuellement et collectivement.

Nous avons désormais atteint la masse critique grâce à la quantité de personnes qui se sont éveillées et qui se sont ancrées sur des niveaux de fréquence plus élevées. 
La masse critique provoque un effet d’entraînement qui provoque un grand réveil du collectif humain. L’évolution de la Conscience de Polarité vers la Conscience d’Unité.

La transition n’est pas facile. Transitionner signifie de lâcher beaucoup de choses et de personnes auxquelles nous nous étions attachés. Et pourtant, l’attachement n’est pas un état naturel d’être. C’est une construction de l’ego. Tout comme peut l’être le temps linéaire. Nous avons développé ces constructions afin d’expérimenter une vie déséquilibrée en allant aussi loin que possible.

samedi 19 août 2017

« Offrir à la puissance d’amour du cœur, les pensées/émotions excessives » & vidéo Tal Schaller : « Libérer la peur »





17 08 Une nuit agitée rend nerveux, fébrile et tout ce qui est encore en conflit en soi peut apparaitre plus facilement, pas moyen de feindre, de se cacher. Et d’ailleurs l’idée de prendre un  premier bout de médicament n’est même pas venue.

Toutes ces pensées, ces préjugés inhérents à l’humain apeuré en proie à ses scenarii que l’ignorance engendre, s’expriment en vrac. Maintenant, quand le mental s’emballe, je ne cherche plus à comprendre, je me pose et je laisse passer. 
J’accueille aussi les pensées de reproches telles que tu ne devrais plus avoir ce genre de préjugés ou encore celles de la victime impuissante. 
Tout se déroule sans même que ma volonté le décide et c’est bien le signe que ces raisonnements sont des automatismes inconscients qui ne m’appartiennent pas. 
Du moins que je ne suis pas obligée de suivre, auquel je ne peux plus accorder aucun crédit.  
C’est encore bien lourd, mouvementé et les chemtrails qui n’en finissent plus de se répandre jour et nuit ajoutent à cette ambiance électrique, plombée.

J’ai parlé à mon âme tellement les sensations de mal-être, d’ennui, de lassitude et de découragement se manifestaient avec intensité. C’est une sensation de lourdeur qui vient de nulle part ou du moins qui n’est pas déclenchée par une situation particulière. 
C’est plutôt une accumulation de petits riens et la fatigue physique due au manque de sommeil en permet l’expression. 
Chaque fois que je demande à mon âme de se manifester dans sa forme si on peut dire, je vois une roue, un mandala.

« Énergies de Maintenant » Kara Demonet





Bien que les éclipses soient puissantes pour le changement, j’en honore la Simplicité. 
Je n’adhère pas au battage médiatique et je vois qu’il y en a beaucoup. Je ne suis pas la foule… cependant, je respecte le choix de chacun. Dans cette Note d’Ascension, je ne passerai pas de temps à glorifier la prochaine éclipse solaire, mais je parlerai plutôt de l’énergie sous-jacente à celle-ci. 
Cette éclipse et les étiquettes que nous utilisons nuisent au message.
Chaque fois que nous utilisons des étiquettes – qu’il s’agisse de nous décrire ou de définir quelque chose – nous ne touchons que la surface, plutôt que d’approfondir.

Comme vous le savez, nous avons développé nos méthodes uniques afin de maintenir l’ancienne matrice 3D en nous accrochant aux anciennes croyances / schémas et autres moyens que nous pensions être vrais. Nous avons traversé les illusions en remettant tout en question. Il ne s’agit pas tant d’interrogations intellectuelles, mais plutôt d’un sentiment à propos de quelque chose qu’on nous a dit et où nous réalisons que c’est peut être un mensonge qui cache la vérité de quelque chose d’autre. Au fur et à mesure que notre Intuition se développe, nous voyons et ressentons chaque illusion afin de pouvoir nous libérer de l’ancienne matrice. Cela comprend l’histoire et les événements actuels, que ce soit en nous ou autour de nous.

Nous nous sommes également libérés dans notre corps physique. Pas amusant, mais nécessaire. Dans ma méditation, j’ai demandé si les nerfs ‘en feu’ sur le côté inférieur gauche de mon corps étaient une Transformation afin d’être cristallin. La réponse a été ‘oui’. C’est également la libération d’anciennes toxines à mesure que mon corps s’ajuste.

jeudi 17 août 2017

« La Lumière agit ! » les êtres de lumière via Monique Mathieu





« À l'époque actuelle, les peuples se déchirent. À l'époque actuelle, tout va de travers, et vous le voyez ! À l'époque actuelle, vous ne percevez que l'action de la lumière non-éclairée, car vous n'avez pas la conscience suffisamment éveillée pour voir les miracles de la vraie Lumière.

Soyez-en certains, Enfants de la Terre, elle agit ! Elle agit sur ce monde ! Il y a quelques années, nous vous avions dit qu'il y avait une grande dualité, bien au-delà de votre atmosphère, entre les forces de la Lumière et celles de la lumière non éclairée et que, petit à petit, elle se manifesterait sur votre monde de matière. Cette dualité est vécue entre les peuples de la Terre.

Nous aimerions vous dire ceci : en tant que tel, le mal n'existe pas ! C'est souvent vous qui lui donnez force et puissance ! C'est souvent vous qui l'alimentez en permanence par vos pensées, par vos comportements, par vos choix, par votre ignorance ! Il serait très facile de transformer, d'éradiquer ce que vous appelez le "mal", simplement en vous aimant davantage, en ayant toujours confiance en votre devenir et en celui de la Terre.

En ce moment, il est certain que votre Mère la Terre souffre. Sa souffrance n'est pas quantifiable. Elle a une réalité totalement différente de celle de la vie sur elle et en elle. La souffrance de la Mère-Terre est essentiellement une souffrance vibratoire, tout comme votre propre souffrance, et vous l'ignorez ! C'est une souffrance vibratoire et surtout une souffrance provoquée par un manque d'Amour. Tout être qui vit sur ce monde, comme toutes les sphères, ont le même moteur qui dirige leur vie, et ce moteur s'appelle "Amour". Si vous arrêtez ce moteur, non seulement vous stoppez l'évolution mais vous rendez les êtres vraiment malheureux.

mercredi 16 août 2017

« Perpétuel dépouillement...légèreté »





14 08 Dans ce désir de me dépouiller des illusions, des masques, stratégies, conditionnements et croyances, j’observe tout avec un regard neuf. Bien que j’aie été baptisée à l’âge de 31 ans, dans une église chrétienne, je ne connais pas les rites, dogmes, les croyances de l’église catholique. J’ai donc cherché dans le dico le sens du mot assomption puisqu’il semble que cela remue les égrégores actuellement. Je copie-colle la définition du Larousse en ligne:
·         Élévation et présence corporelle de la Vierge Marie au ciel après sa mort. (L'Assomption est un dogme de l'Église catholique, défini par Pie XII le 1er novembre 1950. Elle est célébrée le 15 août.)
·         Œuvre d'art représentant l'entrée de la Vierge dans la gloire céleste.
Je note que ce dogme a été institué en 1950 et je ne peux m’empêcher de faire le parallèle avec l’émancipation de la femme à peu près à la même époque. Les droits tels que celui d’avoir un compte bancaire à son nom par exemple ou l’arrivée des contraceptifs dans les plannings familiaux. C’est comme si le patriarcat reconnaissait la valeur de la femme afin de répondre aux attentes de la conscience collective, ou de l’inconscient collectif qui semblait prêt à lâcher son rôle de maitre tout puissant. 
La femme enfin libérée du joug de l’homme pouvait se libérer en même temps de ses stratagèmes séducteurs et être sur un pied d’égalité avec les hommes. Elle passait du statut d'objet à celui de sujet. Et ça change tout parce qu'alors, la valeur d'une femme ne se limite plus à sa capacité de devenir mère et d'être un objet de convoitise.

L’idée de la vierge est l’expression déviée de la réalité parce que ce qui est sacré, ça n’est pas la virginité, la pureté du corps, mais l’innocence reconnue et révérée en soi. 
La capacité à reconnaitre, à prendre en considération l’enfant en soi, la volonté de se dépouiller des conditionnements de l’enfance, des croyances du monde en élevant sa vision  au-delà des apparences, des préjugés, des rôles. La faculté d’écouter et de suivre son cœur comme l’enfant qui n’est pas soumis à la peur ni aux préjugés.

lundi 14 août 2017

« Rencontres au sommet »





La journée d’hier restera gravée dans ma mémoire un certain temps et surtout la réunion spontanée que j’ai eue en soirée avec les aspects multiples de ce que je suis.
Déjà le coup de téléphone hebdomadaire avec ma mère où je m’amuse à l’appeler à 18h tapante, a ramené mon attention vers l’intérieur, à l’écoute de mes réactions. 
Et je me suis contentée d’offrir à la source toutes les pensées qui font encore partie des rôles de victime, de bourreau et de sauveur. Tour à tour et selon les circonstances, nous endossons chacun de ces rôles, ça c’est maintenant une certitude, une évidence qui vient de l’observation neutre. Ces pensées qui entretiennent les relations d'interdépendance toxique se révèlent dans la transparence et l'ouverture.
Je n’ai pas cherché à comprendre, à raisonner, je laisse venir les choses et je me réjouis quand j’observe un schéma automatique parce que lorsque je l’ai vu et offert à l’amour lumière, un apaisement, une détente, un sentiment de liberté et de puissance se manifestent. 
Ce n’est pas tout à fait un sentiment de victoire parce que la dualité, le conflit ne sont plus les facteurs ‘de réussite’. Les forces en action ici, c’est la ferme décision de réaliser l’unité, la paix. C’est plutôt la sensation de sortir du brouillard et de retrouver l’innocence, la légèreté d’où peut-être la sensation de flottement puisque je pénètre un monde totalement nouveau. Un état d’être que je n’ai pas connu finalement puisque j’ai été plongée dès l’enfance dans les schémas de pensées et les émotions lourdes, compliquées, anxieuses et mélancoliques. 
Mais maintenant que je considère les émotions et les pensées comme des énergies qui veulent s’exprimer, qui portent un message, qui m’invitent à me tourner vers l’amour, à brandir la lumière de la conscience dans les ténèbres de la mémoire, des jeux de rôles, des schémas psychologiques universels et automatiques, l’idée de fuir ou de lutter se dissout naturellement et sans effort. 
Quand le mental voit son intérêt, quand il fait confiance à la source, observer avec neutralité lui donne une ampleur et une assurance sans pareil. Ce détachement le rend plus humble et tolérant, il apprend.

dimanche 13 août 2017

« La force tranquille »





9 08 C’est encore puissant en ce moment ! La nausée dès le matin, la sensation d’être fatiguée alors que j’ai dormi près de huit heures, des rêves nombreux dont il me reste quelques images fortes comme un magnifique arc en ciel, témoignent d’un travail de nettoyage en profondeur. 
J’évite de lire des messages spirituels et me plonge dans l’action spontanée, au gré des envies. Les prévisions énergétiques, les messages d’êtres de lumière tout cela maintient dans l’attente, dans la sphère du mental. 
Or la confiance en soi et le bien-être résultent de l’unité intérieure, de la capacité à être à l’écoute de son intuition, de son ressenti, aligné à ce désir de pacification et d’unification.

Je marche pied nu quand je reviens du jardin, depuis quelques jours, par instinct, comme si cela m’ancrait dans la réalité du moment et participait à l’équilibre. Et j’en ai bien besoin parce que je perds la notion du temps et j’ai la sensation d’être ailleurs. En ce sens, être présent à ce que je ressens et suivre l’élan du moment me ramène sur terre si on peut dire.
La sensation que tout s’accélère est visible au jardin où tout semble déjà en fin de cycle. 

Hier soir, en sortant la chienne vers minuit, j’ai entendu des râles suspects et j’ai éclaté de rire. Là encore, c’est le signe que j’ai lâché pas mal de croyances et conditionnements liés à la sexualité, que l’énergie n’est plus figée dans le carcan de la peur ou de la culpabilité. Avant, j’aurais été gênée, j’aurais fait semblant de ne pas entendre mais là, je n’ai pas pu m’empêcher de rire franchement.

vendredi 11 août 2017

« L’honnêteté » Magali Magdara





Il fut un temps pendant lequel nous pouvions nous mentir à nous-mêmes, travestir nos sentiments et nier nos ressentis. Ce fut le temps de la dualité. 
Cet état était nécessaire afin de mesurer nos avancées et nous protéger. 
Ainsi, nous avions la possibilité d'aller d'expérience en expérience avec un retour distendu, avec des conséquences éloignées dans le temps.
La loi de la grâce nous a ramené dans sa tendresse mais aussi nous a rappelés que nous étions responsables de notre vie, de ce karma nourri au fil des millénaires. Nous sommes aujourd'hui dans la loi de la Rectitude, c'est-à-dire de l'honnêteté : avec nous-mêmes et avec les autres.
 
Notre âme nous appelle à réintégrer notre intégrité, notre souveraineté. 
Pour cela, elle nous place dans les flux de la synchronicité afin que nous observions l'Amour qui sous-tend toute vie, toute présence. 
Chaque interaction avec un être ou un élément nous apporte une information qui nous parle d'évolution, de changement vers le meilleur. Et lorsque nous laissons la vie nous positionner au plus Juste, nous ouvrons notre être à notre cœur par le biais d'intuitions. Nous vivons au cœur des miracles.

mercredi 9 août 2017

« L’amour est ouverture, fluidité, abondance »



 

15 07 « Quand vous prenez du recul sur ce qui est, sur le temps, sur votre passé, vis-à-vis des apparences, vous pouvez voir que vous êtes dans un cadre spécifique où des limites ont été posées afin d’expérimenter dans la matière pour comprendre de l’intérieur ce que vous êtes éternellement, par la dynamique des contraires.
Un cadre limité tant au niveau de la durée que des personnages et rôles à incarner dans ce contexte particulier où l’idée de séparation a établi toutes sortes de croyances et donc de voies possibles en conséquence. 
Vous pouvez comprendre la portée de vos actes, de vos choix, de vos pensées et à travers cela comprendre la nature de l’énergie et ses lois. 

Quand vous vous positionnez dans le présent, dans la paix, le silence, vous comprenez que les limites ne sont qu’apparentes. Elles sont le fruit des croyances et à la fois le contexte préétabli à l’origine de la création de ce monde. 
Quand vous prenez conscience que vous êtes l’amour vous ne le cherchez plus à l’extérieur parce que vous comprenez que c’est une vibration complète comprenant les qualités qui magnifient un être, en font un humain cosmique, universel. 
Les limites volent en éclat dans l’observation de l’humain conditionné mais conscient de sa nature éternelle. Quand vous laissez l’amour harmoniser les pensées et les émotions émanant des croyances communes, vous percevez l’infini et le caractère universel tant de l’individu humain que de l’âme, de la conscience Une. »

Je ne sais pas pourquoi j’ai écris de cette façon mais ça me vient spontanément. Qui m’a soufflé cela, c’est probablement la conscience paisible qui se révèle de plus en plus…
La nature de l’énergie est telle qu’il n’y a pas de séparation ni de limites. C’est vertigineux mais on peut le sentir, le constater dans l’accueil des pensées émotions dites négatives.

mardi 8 août 2017

« Heureux les simples d’esprit »…« Heureux ceux dont le mental est apaisé »





4 08 Les températures extrêmes donnent la sensation qu’on va imploser et brûler de l’intérieur tellement les montées énergétiques sont puissantes. Mais comme je ne retiens plus rien, comme je confie tout à la source, non seulement ça passe tranquillement mais en plus l’énergie harmonisée donne à chaque fois l’élan d’agir avec assurance et détermination. 
En prenant l’habitude de suivre l’élan motivé par l’enthousiasme, sans se poser de questions, la confiance qui s’installe me donne la sensation que je peux enfin décider et agir en conséquence. 
Quand on est dans la peur, le déni ou simplement dans la résistance face à ce qui se manifeste en soi, on a la sensation d’être manipulé par des forces invisibles, d’être le jouet des mécanismes inconscients. Et c’est la vérité puisqu’on assiste impuissant à ces montées émotionnelles et on voit les stratégies employées pour les contenir. 

Mais en continuant de simplement observer ces phénomènes, en accueillant cela comme un fait actuel tout en sachant que rien n’est fixé ou immuable, on se détend déjà mentalement. Et c’est cette détente mentale qui élève notre vibration permettant d’accueillir sans crainte ces poussées émotionnelles. 

Le fait de pouvoir calmer le mental en ne s’attachant à aucune pensée est très reposant, revigorant même parce que l’énergie n’est plus employée dans la lutte. Quand on cesse de se demander pourquoi on ressent telle ou telle émotion et qu’on la laisse s’exprimer, circuler librement, cela démontre que le mental est pacifié, l’énergie ne reste plus enfermée en ce corps. Elle peut circuler en tous sens, en tous nos corps et un désir sera satisfait de la meilleure des façons, sans contrainte, avec fluidité et légèreté.

lundi 7 août 2017

« Reconnaître les peurs » les êtres de lumière via Monique Mathieu




« Nous aimerions que vous vous attardiez un peu sur vos peurs.
Nous avons entendu des personnes dire qu'elles n'avaient pas peur. Rien que le fait de dire que vous n'avez pas de peurs fait que ne pourrez jamais avancer ; si vous l'affirmez, c'est que vous êtes tellement écrasé par vos peurs que vous n'avez même pas la conscience de les voir.
Comment voulez-vous travailler ce que vous ne pouvez pas percevoir ? Comment voulez-vous vous délester des poids qui vous écrasent si vous ne les voyez pas ?

Il y a des peurs venant de la petite enfance, venant même d'avant l'incarnation présente ; il y a des peurs que vous créez chaque jour par vos comportements. Tout cela s'imprègne en vous. Les vibrations de haut niveau s'imprègnent en vous, et les vibrations de bas niveau s'imprègnent en vous de la même façon.

Vous êtes essentiellement énergie et vibrations, tout s'imprègne en vous, et ensuite il faut faire un travail pour nettoyer. A ce niveau-là, chacun, en fonction de ce qu'il est, a ses propres méthodes, valables ou non valables ; ce n'est pas à nous à juger si telle ou telle méthode est mieux qu'une autre.

Nous aimerions vous faire percevoir davantage vos peurs. Elles viennent aussi du fait que vous avez des difficultés à couper avec les expériences précédentes, c'est-à-dire avec tout ce vous avez pu vivre avant aujourd'hui. A partir de l'instant où vous vous remémorez des peurs et des souffrances et que vous en ressentez un mal-être, plus ou moins profond d'ailleurs, c'est que ces peurs sont encore imprégnées en vous. Il est absolument nécessaire de les nettoyer !

dimanche 6 août 2017

« Regard des êtres de lumière sur le suicide assisté ». St Germain via Agnès Bos-Masseron





Quel est le regard des êtres de lumière sur le fait que certaines personnes en fin de vie et souffrantes font le choix de quitter leur corps (suicide assisté) ?
La vision des êtres de lumière, pourrait-on dire, n'inclut pas la souffrance car la souffrance est une illusion. Cela ne répond pas à la question, n'est-ce pas ? C'est pourtant la réalité de la vision des êtres de lumière. La compassion n'est pas d'entrer dans ce plan qui accepte la souffrance. La compassion est de répéter que la souffrance n'est qu'une illusion. Pourtant vous jouez le jeu de cette autre fréquence. Quel jeu ? Ce n'est qu'un jeu. Ce n'est qu'un jeu.
Ne pas avoir eu la clarté de choisir différemment les injonctions de ces égrégores. Ne pas avoir eu la clarté d'accepter que seule est l'infinie vitalité pour la structure corporelle, et en arriver âgé et souffrant.
Cela en soi est aberration. Au sein de l'aberration, quelques choix. Si le corps semble à bout de route, l'on pourrait dire, pourquoi ne pas l'aider à arrêter sa course ? Mais cela est aberration, car le choix peut être à chaque moment de régénérer le corps. Rien ne l'empêche, et surtout pas l'âge.

Le choix pourrait être d'aiguiser sa passion de vivre et de régénérer le corps. Si le choix semble trop exigeant, de par les autres choix, alors peu importent les choix qui restent et, pourquoi pas, assister le corps. Mais cela ne sera jamais la voie de l'inspiration de la fraternité.

vendredi 4 août 2017

« Vivre au présent nous élève sur les fréquences de la gratitude »





2 08 Dans le désir de se libérer des croyances qui ne font plus sens, lorsqu’on prend en charge les blessures de l’enfant en soi, on se rend compte que la majorité d’entre elles sont infondées ou peu fiables, s’appuyant sur des semis vérités et des préjugés. 
Elles viennent de nos ancêtres et elles ont traversé les siècles formant et nourrissant à longueur de temps, des égrégores qui ont pris beaucoup d’ampleur et qui exercent leur influence sur chacun autant que sur le collectif. 
Entre croyance et préjugé, il n’y a qu’un pas et la majorité des croyances peut être classée dans la catégorie des superstitions, des illusions. Ces croyances qui ont établis les bases des sociétés de l’orient à l’occident se fondent sur l’idée de séparation, de lutte et de division, de mérite et de récompense. 

Elles sont élaborées de la même façon que celles que nous adoptons durant l’enfance et il n’est donc pas étonnant qu’elles fassent écho en nous. Dans ce constat on peut aisément se dire que les sociétés sont fondées sur des croyances d’un enfant de 6 ou 7 ans. 

Les mythes et légendes, les archétypes et les rôles du triangle de Karpman constituent autant les personnalités de base de la majorité que les modèles à poursuivre. 
On se construit selon nos préférences et on se créé un modèle idéal à atteindre choisi parmi les héros de notre enfance. Les médias nourrissent constamment ce schéma de modèle dont on vante les mérites et auquel on nous pousse à nous conformer. Il faut suivre un modèle et poursuivre ses objectifs afin d'être considéré comme un gagnant. 

Le processus d’individualisation d’un individu en ce monde, consiste à se conformer aux normes établies par la société dans laquelle il se trouve. Il s’agit davantage de correspondre aux attentes extérieures que de s’affirmer en tant qu’individu unique et souverain.