Les
confidences entre les femmes de ma famille côté maternel continuent de me travailler en profondeur et porter
leurs fruits. Je sens qu’une guérison collective est en train de se produire
touchant toute la lignée familiale. Le féminin qui se réconcilie par ce cercle
de femmes qui se réunissent dans la compassion, c'est très libérateur. Dans
la semaine alors qu’elles étaient ensemble, par moments, je pensais à elles ou
du moins je me sentais connectée. Non plus dans la douleur mais par des
sentiments profonds.
C’est une sensation indescriptible et comme c’est de l’ordre
du ressenti, comme ce champs immense est encore inconnu ou méconnu, vouloir
interpréter c’est prendre le risque de s’égarer, de perdre la sensation et encore
d’enfermer l’énergie dans des cases.
Hier soir, alors que je parlais avec mon
âme lui demandant de diffuser ces énergies de guérison, de réconfort sur chaque
enfant intérieur de ma lignée familiale, autant les hommes que les femmes, de
grosses larmes chaudes ont coulé.
Je
ne peux pas décrire tout ce que j’ai ressenti tellement c’était immense et
puissant.
Déjà l’idée que la guérison des chakras du bas ouvre, si on peut dire,
ceux du haut, a été validée par la sensation de plénitude et de confiance vis-à-vis
de l’équipe céleste.
La certitude d’être accompagnée, soutenue depuis l’enfance
dans ce cheminement de recherche de vérité m’est apparue clairement et si mes
yeux n’étaient pas encore voilés par la peur de la mort, de l’inconnu, de l’invisible,
j’aurais certainement vu ces présences bienveillantes.
Non seulement la peur
bloque cette perception mais en plus, la nécessité de vivre l’expérience d’ici
et de maintenant en toute conscience, en présence, sans être déconcentrée, sans
se disperser, en restant focalisée sur cette incarnation et ses limitations m’est
apparue comme la condition si ne qua none.
Puis
tant que l’amour de soi n’est pas complet ou du moins tant qu’il reste des
jugements envers soi-même, des sentiments d’illégitimité, le risque de s’accrocher
à ces présences, de se croire privilégié et de tomber dans une nouvelle
dépendance affective peut fausser le processus d’individualisation, d’affirmation
de soi.
Les
symptômes physiques continuent de se manifester au travers de montée d’énergie,
de chaleur soudaine à la limite de la suffocation, d’extrême énervement sans raison, de
petites douleurs à peine localisée ou mouvantes. C'est puissant!
Je
suis tombée sur un article qui explique les bienfaits du contact direct avec
le sol, comment le fait de marcher pieds nus permet de capter les énergies de
la terre, les électrons négatifs, comment c’est bénéfique à plusieurs niveaux
mais je vous laisse découvrir cet article qui vient encore me montrer que l’instinct,
l’intuition, la sagesse et les connaissances permettant de prendre soin de son
corps physique, de ses corps, est accessible instantanément, puisque l’idée m’est venue spontanément.
Je cite une des nombreuses vertus de ce contact qui m’a frappé tant les
répercussions sont multiples : « le principal facteur régulant le système
endocrinien et nerveux ».
Cela
révèle autant le fait qu’on ait accès aux connaissances utiles dans cette
incarnation et ça répond à ma demande auprès de mon corps physique de m’apprendre
à prendre soin de lui de façon intelligente, en tenant compte des besoins de
tous les corps.
En effet, un nettoyage du corps mental est nécessaire tout
autant que l’harmonisation et l’épuration du corps émotionnel. Je peux
constater aussi la force psychique à travers le phénomène de somatisation et
combien l’impact des pensées est puissant. La force des croyances est
indéniable et la libération de celles qui sont basées sur l’ignorance ou la
dualité conflictuelle, l’idée de séparation, de lutte, de résistance, est fondamentale
et même primordiale.
Cela ne veut pas dire qu’il faille manger n’importe quoi non
plus mais ça bouleverse automatiquement notre vision de l’alimentation et d’ailleurs
ça n’est pas nouveau.
Le Christ en sont temps nous l’avait dit : « ce
n’est pas ce qui entre dans le corps qui est dangereux/mauvais mais ce qui en sort ».
Et ce qui en sort, ce sont les paroles, les pensées, les émotions, sous forme d’énergies.
Considérer les choses d’un point de vue vibratoire, énergétique, place le corps
physique "au bout de la chaîne". Il n’y a pas non plus de notion d’infériorité
mais plutôt d’ordre étant donné que tout est vibration, énergie, lumière, info.
En ce sens être attentif à nos pensées, nos émotions, maintenir le désir de
vérité en étant transparent, le désir de pureté en lâchant le jugement et la
résistance, le désir d’harmonie, d’unité, en laissant le cœur agir, tout cela est
essentiel et la santé en résulte.
Regarder en face la peur de la mort, de l’inconnu,
actualiser le point de vue à ce sujet est aussi nécessaire parce qu’en le
faisant on élargit considérablement son champs de conscience.
Les
vidéos suivantes de Ghis abordent des thèmes essentiels de façon scolaire mais
c’est tout à fait approprié puisque nous sommes des enfants immatures. Immatures
dans le sens où nous agissons de façon inconsciente, automatique. Mais nous
pouvons changer, devenir plus conscient et responsable. Et en plus nous avons
tout ce dont nous avons besoin pour ce faire, sur place, à l’intérieur.
« La mort, quelle mauvaise habitude ! » Ghis
Nous sommes mus et dirigés par le stress, tout doit aller vite, on veut tout savoir, comprendre, connaitre, tout de suite. Mais la connaissance intérieure, la connaissance de Qui nous sommes véritablement, par le fait que cet aspect est illimité, n'est pas régie par les mêmes cycles. De même que l'enfant en nous demande de l'attention et donc de la patience.
En prenant l'habitude de communier avec son âme ou d'habiter l'espace serein intérieur, la notion de temps change aussi. Il n'y a plus d'urgence et ce que nous devons savoir nous est communiqué dans l'instant, au moment opportun. C'est une autre dimension qu'on pénètre. Faire face à la peur de la mort nous libère aussi de la notion d'espace et de temps.
C’est
clair que ça met une grosse claque à l’ego lorsqu’on admet que l’enfant en nous
dirige notre vie puisque nos croyances, celles qu’on a adopté alors ont généré
des comportements et des attitudes qui datent de cette époque.
Nous n’avons pas
appris à aborder nos émotions de façon intelligente et nous nous sommes
attachés à nos croyances, identifiés à nos pensées en pensant être cela et en
défendant des opinions qui sont celles de l’inconscient et de la conscience
collective.
On
défend et on nourrit des croyances qu’on n’a même pas choisi pour la plupart.
On s’est conformé aux normes par instinct de survie, par besoin d’amour, de
reconnaissance et d’appartenance.
Je
suis tombée aussi par la guidance et la résonance, sur cet autre article qui
parle de la relation spécifique avec les arbres.
La
première idée qui m’est venue, c’est que l’arbre est notre parfait miroir. Nous
avons aussi ces facultés d’être connecté, à la terre via nos racines, notre
lignée familiale, nos gènes, notre constitution physique, connecté aussi au
ciel, c'est-à-dire à l’énergie de notre âme, aux mondes invisibles, aux
dimensions éthérées, à la source.
Nous sommes un canal tout comme l’arbre et
nous pouvons apprendre à canaliser les énergies de façon harmonieuse,
équilibrée en nous positionnant dans le cœur, en étant ouvert, de façon à recevoir et
à donner équitablement. Plus nous sommes solidement enracinés, (en paix avec notre passé, notre famille) et plus nous pouvons nous élever vers les hauteurs et ça n'est pas uniquement symbolique!
Nous
découvrons à peine toutes les facultés qui sont à notre portée et là encore,
reconnaitre la peur de l’inconnu, c’est s’ouvrir à ce potentiel. Plus nous
purifions nos pensées, plus les émotions peuvent circuler librement et plus
nous affinons nos sens, mieux nous pouvons percevoir le monde au-delà des
apparences.
On
peut me "reprocher" de parler davantage de la guérison des blessures, de ce
besoin de purifier les corps reliés aux chakras du bas et ainsi de délaisser
les mondes subtils mais tout est lié, interconnecté.
Ce nettoyage, ce
dépouillement, est indispensable si on veut pénétrer dans le nouveau monde, un
monde où on crée en conscience. Nous créons en permanence mais on peut dire que
nous mécréons ou nous créons sans le savoir.
Ce qui est formidable, c’est de
pouvoir créer son état d’être ou du moins de pouvoir entrer dans la paix du cœur,
dans cet espace de tous les possibles. Comme tout se crée par projection
vibratoire, projection de la pensée, de l’émotion, de l’énergie donc, installer
l’unité et la paix en soi, c’est apprendre à connaitre les outils de
créations et à choisir les fréquences, les énergies que nous voulons rayonner.
Nous
connaissons de mieux en mieux comment cela fonctionne et quelles sont les lois
qui sous-tendent le processus de
création. Je recommence à lire le dernier livre des rayons sacrés et à chaque
lecture, je trouve de nouvelles infos ou disons plutôt que je perçois les
choses avec plus d’objectivité, depuis une nouvelle perspective, plus large et
neutre.
Je ne suis pas encore prête à décréter de la façon dont c'est enseigné puisque de toute façon ça n’est
pas le mental qui agit mais là encore, cela demande de l’éclaircissement parce
que notre pouvoir ou notre libre arbitre s’exerce dans la façon dont nous
focalisons notre attention. Selon ce à quoi nous accordons du crédit et le
choix est toujours celui de la peur ou de l’amour, pour résumer.
La lecture de ces livres m'aide à m'ancrer dans ma nouvelle réalité, à lâcher les anciennes croyances et j'y apprends à utiliser la résonance intérieure, à discerner ce qui vibre en moi et ce qui est ressenti comme faisant partie de l'ancien monde ou l'ancien mode de fonctionnement. Puis ça me connecte aux énergies de l'âme, des guides, comme une façon de pénétrer ces mondes juste avant de m'endormir.
Ce
qui est fantastique et motivant dans le dépouillement des conditionnements et
croyances, c’est qu’on apprend à connaitre intimement l’âme, les guides, à
reconnaitre l’intuition, le langage du cœur, de l’amour. On prend conscience de
Tout ce que nous sommes et combien nous sommes immenses, sans limites, toujours relié, entouré, soutenu.
Lorsqu’on
décide d’abandonner toute forme de jugement, on s’élève déjà et notre
conscience, notre cœur, s’élargissent. Ensuite, maintenir se désir, cette
vibration demande de se rappeler simplement que tout se passe à l’intérieur. C’est
ce que je fais en ce moment. Chaque fois que je commence à regarder ou à juger
les autres, je me dis, « reviens à l’essence-ciel ». Et n’attends
rien parce que c’est un monde nouveau qui s’ouvre lorsqu’on lâche l’ancien.
En
repensant au coup de fil avec ma mère, je me souviens de l’impression de
légèreté que j’ai sentie dans la conversation. Comme si elle s’exprimait plus
librement et comme si sa voix avait rajeuni. L’idée d’aller vivre avec elle me
trotte de plus en plus dans la tête et plus j’y pense, plus je me dis que là
encore, une actualisation est nécessaire.
Je ne me sens pas encore prête à m’affirmer
sans entrer dans une lutte d’ego mais cela me motive à persévérer dans la
confidence avec l’âme. C’est là que la force et la confiance se trouvent, s’installent
et l’individualisation se créé dans le choix de se positionner dans le centre.
J’écoute
en ce moment un roman de Charles Dickens et je me régale parce qu’il est
question d’ouverture de cœur et de conscience. Le désir de transcender la
dualité ne date pas d’aujourd’hui et en lisant les romans du XIX et du XX
siècle, on peut constater la marche de progression en ce sens.
Puis
avec le recul des années on peut observer le cycle de renaissance qui passe
nécessairement par une destruction de l’ancien, des anciennes croyances et de l’abandon
de préjugés fortement ancrés.
Ce sont toujours les mêmes peurs qui limitent,
celle de l’inconnu et de la mort.
Ce thème est récurent en ce moment tout comme
celui de la réhabilitation de l’énergie féminine.
Nous sommes de plus en plus
nombreux à choisir d’accueillir plutôt que de lutter et cela créé une
amplification de l’énergie féminine, une purification de cette énergie qui se
déleste de ses attributs guerriers, défensifs.
Cette attitude d’ouverture, ce
choix de pacifier et d’unifier ce que nous sommes a d’immenses répercussions au
niveau énergétique et jusque dans la matière. Là encore, l’ordre s’installe ;
pensée, émotion, alignées sur le cœur, harmonisation et équilibre puis cela se
répercute dans la matière, les gestes.
L’article
qui parle des bienfaits de la connexion à la terre a fini par me persuader de
retirer les chaussettes. Je me lâche, lol ! Si j'avais des réticences à le faire avant, c'est simplement parce qu'avant, ça me faisait mal au ventre et j'ai gardé cette croyances alors que le contexte n'est plus du tout le même. C'est sûr qu'avec mes 42 kilos, j'étais très fragile et je vibrais tellement sur la peur que le moindre courant d'air provoquait un rhum...
Je
repensais aux enfants qui meurent en bas âge et aux projections psychiques qui
créent des égrégores et comme ces mondes ne sont pas séparés, cela créé une
vague d’énergie d’innocence, de joie, d’authenticité, qui soutient tous ceux qui
veulent guérir l’enfant en eux. De ce point de vue, les êtres qui passent le
voile continuent d’œuvrer pour l’ensemble.
Guérir les blessures de l’enfant en
soi ne veut pas dire de s’appesantir sur les souffrances passées mais plutôt de
voir et de sentir au-delà des drames.
C’est une renaissance qui s’offre à
chacun de nous, une individualisation dépourvue d’orgueil et donc de lutte d’ego,
de territoire. Comprendre que nous sommes reliés aux autres en permanence et
surtout à la source, que nous sommes la source, nous libère de tout sentiment
de petitesse sans diminuer qui que ce soit.
Plus
on libère l’espace intérieur des anciennes croyances et des anciens modes de
fonctionnement et plus on peut recevoir, intégrer les énergies de la source, des
mondes célestes dont nous faisons partie. Cela se révèle par effet miroir, par
effet de résonance et dans la connaissance de la nature de l’énergie, du fait
qu’il n’y ait aucune séparation dans ces niveaux de conscience.
Si
vous souhaitez partager ce texte, merci d’en respecter l’intégralité, l’auteure
et la source ; Lydia, du blog : « Journal de bord d’un humain
divin comme tout le monde » ou http://lydiouze.blogspot.fr