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08 Le ciel encore rempli d’une brume fine mais très dense me donne envie de
suivre seulement l’élan guidé par la joie intérieure quitte à ne rien faire du
tout. Je suis tombée sur une vidéo de David Gilmour et David Bowie qui ont
provoqué des vagues de frissons bien agréable. Chaque fois que j’écoute Pink
Floyd, je me dis qu’ils avaient tout compris et le symbole du triangle traversé
par un rayon laser qui passe du gris à l’arc en ciel, résume tout, ce dépouillement
des masques, des rôles du triangle de Karpman.
Comment en se positionnant au
centre, dans la neutralité, on passe au-delà de ces rôles, on accède au
potentiel créatif illimité. Les images symboliques et la simplicité de
leurs mélodies ont touché tellement de personnes parce que c’est universel et
compréhensible par tous, par effet de résonance.
Cette
simplicité de la mélodie, c’est le symbole de la simplicité du processus de
dépouillement et de la vie même. Leur album "The Wall" décrit l’illusion et les
manipulations de ce monde avec une parfaite clarté. Puis quand je vois le
chanteur, guitariste du groupe, je me dis qu’il vit ce qu’il propage au travers
des sons.
Et
ces prises de conscience provoquées par les hallucinogènes ont été vécues par
cette génération de façon fulgurante. Il reste peu de survivants parce que
c’est une façon très violente d’affronter la réalité.
En ce sens, l’éveil des
consciences n’est pas toujours une sinécure et ceux qui s’ouvrent en un éclair
à la réalité crue, celle de la conscience Une ou de l’illusion de la séparation,
peuvent rester déconnecté de la réalité matérielle toute leur vie.
Le
point de vue de la conscience humaine formatée et celui de la conscience
éclairée semblent tellement opposés que cela peut être insupportable.
Mais
nous avons tous les outils nécessaires à la compréhension et l’intégration ou
la réalisation de Qui nous sommes en vérité.
On
enseigne depuis des siècles les mêmes vérités mais on a encore du mal à les
comprendre vraiment. Les termes employés à l’époque correspondaient à la
connaissance générale et les symboles permettaient justement à chacun d’y
trouver sa propre vérité tout comme l’art qui touche le cœur, qui lui parle par
cet effet de résonance vibratoire.
Le langage du cœur, symbolique et sonore ou
par fréquence, ondes, vibration se passe de mots cependant, ce qui est
formidable à notre époque, c’est que le mental peut le capter et comprendre les
sens des anciens enseignements à la lumière des connaissances actuelles. Les
connaissances scientifiques nous éclairent grandement et au-delà, le mode
d’apprentissage de la science nous montre comment connaitre vraiment.
C’est en
observant de façon neutre tout en sachant que le seul fait de voir, de
focaliser l’attention sur un objet lui donne une forme particulière, que nous
pouvons appréhender le monde, qui nous sommes, de façon objective, lucide.
Il va
sans dire que cette approche exige qu’on laisse de côté toute forme de
jugement, de qualificatif. Observer sans les filtres du jugement, des
croyances, des conditionnements offre une perspective nouvelle, élargie et
beaucoup plus réaliste.
J’ai
envie de partager ces quelques vidéos qui m’ont dressé les poils.
« Comfortably Numb » David Gilmour David
Bowie HD
Il y a
plusieurs façons de méditer, de se sentir connecté à la source et cela ne consiste pas nécessairement à s’asseoir en tailleur
mais juste de se tourner vers l’intérieur. Ou encore simplement se laisser porter par
la musique, les sensations, et goûter ce plaisir.
On sait maintenant que le
plaisir est la conséquence de sécrétion hormonales spécifiques, qu’il y a
cohérence entre les trois parties du cerveau, entre les trois cerveaux du
corps humain, celui du ventre, celui du cœur et celui de la tête. Et comme le cœur nous connecte à la source, la joie est aussi l'émanation de l'être, l'essence de la Vie et de Qui nous sommes.
La fameuse
trinité de la bible, le fait de transcender la dualité, d’aller vers l’unité
intérieure, la réunion du masculin, du féminin, de l’enfant, au niveau énergétique,
symbolique, psychologique et physiologique.
Cette
autre vidéo explique bien comment cultiver l’intelligence émotionnelle et
comment l’empathie, faculté du cœur, permet cette union des trois cerveaux,
néocortex, limbique et reptilien.
Catherine Geguen « La bienveillance est
fondamentale »
Ce qui est remarquable, c’est que chacun peut avoir
accès à ces connaissances simplement en écoutant son cœur, sans connexion Internet, par la communion intérieure.
Ces choses, je les
sais depuis toujours et je ne dis pas ça pour le la péter mais simplement pour
montrer que la connaissance accumulée par l’humanité, que ce soient dans la
science, la spiritualité, la magie même, est accessible à l’intérieur.
Le fait
qu’il y ait une conscience collective, un inconscient collectif, la nature de
l’énergie (lumière/photons/infos) les lois universelles et la capacité de pénétrer les
dimensions selon la vibration qu’on émane, le phénomène de résonance en sont
les facteurs.
La nature de l’énergie, la capacité de moduler sa
fréquence vibratoire et le phénomène de résonance, d’attraction nous ouvrent
les portes de tous les mondes, de toutes les connaissances. Certains produits
ouvrent ces portes en les fracassant tout comme l’intention de manipuler
l’énergie en force par la magie noire, ce sont des chemins où on peut s’égarer
et souffrir intensément.
La seule porte légitime et l’intention de pacifier,
d’unifier ce que nous sommes nous ouvre sur l’intelligence du cœur. A la fois
l’intention qui émet une vibration et la résonance du cœur, nous donne accès à
la sagesse.
L’intention pure de connaitre non pas pour obtenir du pouvoir sur
les autres mais bien pour savoir comment installer la paix, le bien-être en
soi, nous font entrer dans la vibration du cœur. Le cœur qui est l’unificateur,
l’harmonisateur, qui maintient la cohérence intérieure par nature.
Être empathique, ça se cultive d’abord en soi. Le
maternage dont parle Catherine Guegen c’est cette capacité à accueillir les
vagues émotionnelles, les pensées de l’enfant qui a imprimé tout ce qu’il n’a
pas compris durant l’enfance, tout ce qu’il a vécu comme une injustice. C’est
une façon de recréer du lien avec le passé de façon bienveillante et ainsi de
restaurer l’unité intérieure, de guérir le passé, d'en extraire la substance, l'intelligence.
Choisir en conscience d’aborder l’enfant en soi avec
bienveillance, c’est favoriser cette connexion intérieure entre les parties du
cerveau mais aussi au niveau énergétique.
C’est associer dans un désir commun
les attributs du masculin, du féminin ce qui se traduit par la connexion entre
les deux lobes du cerveau. On travaille alors dans la cohérence, dans un but
commun de délivrance et de pacification. Les répercussions sont immenses bien
qu’invisibles parce que la matière ou le geste est la conséquence ultime de
cette révolution interne.
Cette approche est l’inverse de l’habitude
instinctive où on fonde tout sur les apparences, tant notre compréhension du
monde que notre comportement.
C’est au plus profond de nous-même, de notre
inconscient, de nos gènes, des connexions neuronales, que tout commence et
demande à être bouleversé, réformé, actualisé.
Dans le quotidien, cela se traduit par des
changements d’humeurs, des émotions refoulées qui émergent, des pensées de
jugement qu’on va apprendre à envisager avec neutralité, avec détachement.
Le cheminement spirituel ou le fait de prendre
conscience que nous sommes plus qu’un corps, amènera nécessairement la personne
à vouloir progresser, être meilleure et à vouloir changer la forme, les gestes.
Il s’agit là d’abandonner le système de survie et pour ce faire de prendre
conscience de son mode de fonctionnement, des structures, des stratégies qu’il
implique.
Ce n’est donc pas un chemin de progression mais de reconnaissance de
ce qui est déjà là. Reconnaitre la perfection à travers l’imperfection ou ce
que l’on juge comme tel.
Voir en cela la dynamique des contraires, l’effet
contraste, en douceur.
Reconnaitre la puissance de l’amour sans conditions, de
l’accueil qui en est l’expression féminine et de la clarté, de la lucidité, de
la vision objective qui en est l’expression masculine.
Ce simple choix d’abandonner la lutte et la
résistance révèle le masculin et le féminin dans leur capacités, attributs les
plus nobles et leur capacité de s’associer en conscience.
La force de l’intention, c’est un attribut masculin
et celle de l’acceptation est une qualité féminine.
Se positionner au centre
dans cette intention de pacification c’est sublimer le masculin et le féminin
en soi. L’esprit et l’âme s’associent, la conscience en mouvement qui se dirige
vers le cœur, dans le désir d’unité, nous place dans la cohérence, l’harmonie
vibratoire.
Je suis certaine qu’un jour, la science pourra
percevoir ces phénomènes énergétiques.
Elle sait déjà beaucoup de choses et
l’étude des cellules, des atomes, des gènes, des fonctions psycho-émotionnelles, les
conséquences de la peur, de la culpabilité, du jugement, l’effet des pensées
émotions dites négatives, leur impact sur l’organisme, sont autant de
connaissances qui changent totalement notre vision de l’être, de la maladie, du
bien-être…
Cette roue des émotions offerte par le site http://anti-deprime.com est à intégrer parce que c’est un outil qui permet de
comprendre le sens des émotions, leurs messages, les besoins essentiels qui s’y
attachent. Vous pouvez soit aller sur le site pour télécharger l'image en format pdf, soit cliquer dessus pour l'enregistrer dans votre bibliothèque afin de la faire apparaitre en grand format lisible.
Là encore, dans l’écoute, la communion intérieure, en apprenant à
accueillir les émotions, à écouter les pensées qui les accompagnent on saura
quels besoins ne sont pas nourris.
Et comme chacun est unique, c’est cette
écoute attentive qui permet de définir ces préférences personnelles, les
priorités.
En bref, c’est une façon de se reconstruire selon sa propre vision,
volonté et selon ses aspirations intimes et profondes, selon son moi véritable.
Le dépouillement des anciennes croyances et
conditionnements par cette approche psycho-émotionnelle nous révèle le moi
véritable, non formaté, déconditionné, libre. Et ça n'est pas un étranger, un être extraordinaire, c'est ce moi qu'on connait mais qu'on a tellement réprimé qu'on finit par le craindre.
L’influence extérieure a forgé notre personnalité
alors même que nous ne nous connaissions pas puisque dès le départ, il nous a
fallu nous conformer aux normes, aux attentes des parents, nourrir leurs
besoins en oubliant les nôtres.
Là encore l’éducation judéo-chrétienne
fortement imprégnée dans l’inconscient et la conscience collective a crée des
modèles et des lois complètement faussées.
On nous a appris qu’il fallait honorer nos parents,
leur obéir, mettre nos besoins de côté, aimer les autres, leur plaire, que
s’aimer c’était faire preuve d’égoïsme.
La
façon dont nous considérons l’amour est aussi totalement conditionnée par la
peur, l’ignorance et les religions. Se faire passer en premier est encore perçu
comme de l’égocentrisme alors que c’est au contraire un signe de
responsabilisation. Une volonté de se prendre en charge affectivement et de se
connaitre vraiment.
Quand
on observe notre comportement on va voir qu’on agit la plupart du temps afin de
plaire aux autres. Même si un des besoins fondamentaux de l’humain c’est
l’appartenance à un groupe, la reconnaissance, cela commence et s’établit en
soi.
Quand
on observe les pensées de jugement, les émotions qui nous traversent, quand on
reconnait en cela l’expression de l’inconscience individuelle et collective, on
sait que cela ne nous appartient pas, que nous ne nous appartenons pas.
Le
besoin d’appartenance se nourrit dans la connexion à la source, la reconnaissance de cette connexion, le désir
d’unité intérieure. Lorsqu’on est conscient de cette connexion, lorsqu’on est
dans cette communion intime avec un ou plusieurs aspects de l’être, âme et
esprit compris, ce besoin est nourrit tout comme l’amour inconditionnel qui
rayonne dans ces moments là s’auto-alimente.
Le
silence en haut me fait du bien et c’est le reflet parfait du silence intérieur
ou de la paix qui vient de l’abandon à la source en soi. Le réflexe n’est pas
encore automatique mais cela s’installe de plus en plus. Allier le cœur et le
cerveau, l’intuition et la raison, le
masculin et le féminin, c’est être en harmonie avec la source et sentir sa
présence.
Le masculin et le féminin se sont courtisés pendant des siècles dans
un esprit de séduction, de compétition, de part et d’autre, engendrant des comportements
violents et déviés, des rapports d’objet à objet, chacun mettant en avant ses
attributs spécifiques dans une rude compétition. On était dans une relation de conflit et au mieux dans
l’échange équitable mais dans les deux cas, dans des jeux de rôles.
La
communion intérieure révèle la parfaite relation intime où chacun participe à
l’unité et à la paix intérieure. Ses bases sont celles de l’authenticité, de la
fraternité, de l’amour sans conditions, la reconnaissance de la valeur de
chacun des sujets. Même ces personnages superficiels apportent leur
contribution énergétique et constituent la famille humaine dans son ensemble.
28 08 Le
morceau de Pink Floyd m’est resté dans la tête toute la journée et une idée m’est
venue à propos de mon positionnement dans le monde. La question de savoir
comment présenter l’offre d’accompagnement, comment structurer la chose puisque
les stratégies marketing sont trop démagogiques et limite manipulatrice à mon
goût.
Je suis fondamentalement "artiste" dans le sens où j’aime suggérer sans
imposer.
La musique est un mode de communication qui est au-delà des mots, le
musicien propose sa vision, sa vibration sans se soucier de la façon dont ce
sera perçu parce que son plaisir est dans le fait de créer, dans le fait de vibrer l'harmonie. Il est content
lorsqu’il est reconnu mais son attitude ne repose pas là-dessus.
C’est cet état
d’esprit qu’il me faut amener dans mon projet.
Je bloque sur la façon de présenter
les choses et ne sait pas encore quel support utiliser pour diffuser les
fréquences, les énergies aidantes.
Les images, les photos de fleurs sont trop
abstraites mais d’un autre côté, elles offrent à chacun la liberté de capter
leur message spécifique.
Et comme le but c’est d’aider les gens à reconnaitre
leur propre guidance, à se fier à leur cœur, à reconnaitre la voix de leur âme,
la sagesse qu’elle veut leur transmettre, cela peut être un bon support mais il
manque un son, une parole, c’est trop fixe, figé, ça manque de mouvement.
Le son
est un support excellent et l’énergie, la vibration est autant portée par la
voix que par la musique...
Je laisse les idées venir et continue d’installer l’habitude
de revenir au cœur en toutes circonstances. Parce que tant que ce réflexe n’a
pas remplacé celui de la survie, les choses seront confuses. D’autant plus que
le système de survie est viable.
J’ai
fini par aller en courses un peu par obligation puisque le frigo était vide
mais j’ai tout de même fait en sorte de bouger sur la fréquence de la joie.
Bien que je n’aie pas pu arroser au jardin puisque le canal est fermé, je n’ai
pas bloqué sur ce petit obstacle et en ce moment mon leitmotiv c’est « m’en
fous ».
Le coup de fil hebdomadaire avec ma mère a été instructif et la détente, la
confiance s’installent de plus en plus entre nous au point que l’idée d’aller
habiter avec elle revient encore. Je lui en ai parlé tout en disant que ça me
semblait utopique étant donné nos caractères, notre mode de vie et nos
croyances si différentes mais sa réaction m’a étonnée. Je lui ai déjà dit que
je la trouvais radicale sans pour autant le lui reprocher et elle m’a affirmée qu’elle
était ouverte, qu’elle pouvait écouter les autres et changer d’avis.
Elle a
reçu la visite de ma sœur et celle de sa sœur avec son mari pendant l’été et
leurs conversations ont été bénéfiques.
Elles ont abordé le thème de l’inceste
sans tabou, dans la confidence et l’écoute bienveillante ou pour le moins sans
jugement. Et cela se ressent fortement dans la conversation que j’ai eue avec
ma mère hier.
Bon je ne m’étale pas sure des choses trop intimes bien qu’universelles.
La seule chose à retenir c’est le parallèle entre l’ouverture à ses mondes
intérieurs et la relation aux autres qui devient nécessairement plus authentique,
plus simple aussi.
Le fait de communiquer avec l’enfant en soi, de prendre en
charge ses blessures, libère des rôles, des attentes, des relations dites
toxiques.
Et d’ailleurs quand on utilise ce terme, on oublie qu’une relation
est faite de deux personnes et que chacun a sa part de responsabilité dans la
qualité de la relation.
On accuse toujours l’autre parce qu’on reste dans le
rôle de la victime et là encore, le détachement, le recul, le positionnement
neutre, révèlent bien des choses qui changent la perspective et la relation. On
comprend en quoi on contribue à ce type de relation et ça rend humble ou pour
le moins objectif.
J’ai
aussi confié à ma mère comment j’avais moins été chamboulée par la vidéo
témoignage de la victime de réseau pédophile vendue par ses parents. Puis le
soir, en repensant à cela, je me suis dit que là encore, oser regarder les
choses en face a un effet guérissant pour peu qu’on sache écouter l’enfant en
soi ou accueillir les pensées émotions qu’il porte et qui nourrissent les
croyances passées.
Agir selon la guidance et prendre les choses comme elles
viennent, en considérant chaque expérience comme une opportunité de libération
psycho-émotionnelle, préserve de la peur, de l’appréhension, de l’anticipation, de l'isolement aussi.
On apprend à accueillir, à être présent, à vivre au présent, on devient
responsable de ses mondes intérieurs et ça change tout. On peut alors avancer en toute confiance.
Les échanges entre les
femmes de la famille ont révélé que toutes (excepté ma mère qui a su dire "non"), ont été victimes d’inceste et avec ma
mère, on observait la façon dont chacune avait construit sa vie selon ce drame
si commun. Comment chacune a transformé cela et combien c’est handicapant
lorsqu’on reste dans la position de victime. Comment les interactions ont été colorées
par ce vécu, comment cela a prédéterminé le type de relation…
A
travers ce même drame, ces parcours de vie si différents témoignent du
caractère unique de chacun. Les personnalités sont différentes, les contextes et
les générations aussi mais les clefs de la libération c’est toujours le fait de
briser le secret et de prendre en charge ses propres blessures.
Le fait de
se confier mutuellement ces choses crée aussi un cercle d’empathie et mène à des relations
authentiques. La compassion remplace la compétition qui place chacun sur la
défensive. Le drame commun devient le moyen de fraterniser ou plutôt de
sororiser.
La compassion résulte de l’accueil bienveillant de l’enfant en soi
et comme celui-ci se réalise dans l’abandon de toute forme de jugement, il
devient impossible de juger l’autre.
Je
sens que nous sommes en train d’intégrer collectivement la loi de permissivité.
Une des lois nécessaires à la création délibérée.
On parle beaucoup de la loi d’attraction
parce qu’on y voit le caractère magique et surtout ce qu’on peut y gagner mais
on oublie la loi de résonance et celle de la permissivité.
La loi de résonance
révèle l’effet miroir outil de connaissance profonde et intime de soi et la loi
de permissivité qui s’intègre en apprenant à accueillir les pensées émotions de
l’enfant en soi.
La loi de résonance révèle aussi la reliance entre toute vie
au point de vue énergétique ; nous sommes issus d’une seule et même
conscience et nous sommes constamment en interaction plus ou moins marquée selon
la vibration qu’on émane.
Lorsqu’on
reconnait les pensées générées par le mode jugement ou duel du mental
inconscient, lorsqu’on comprend qu’on agit par instinct de survie et quand on
décide de choisir ce qu’on veut vibrer, on vit ce processus tout en
reconnaissant le caractère universel des systèmes de survie.
La compassion qu’on
a pour l’enfant en soi se déploie systématiquement envers les autres. On
comprend qu’il y a différents degrés de conscience et que chacun fait toujours
de son mieux selon ses connaissances, l’intensité de ses souffrances.
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l’intégralité, l’auteure et la source ; Lydia, du blog :
« Journal de bord d’un humain divin comme tout le monde » ou http://lydiouze.blogspot.fr