lundi 28 août 2017

« Le cœur, porte de tous les mondes » & vidéos d’éveil





27 08 Le ciel encore rempli d’une brume fine mais très dense me donne envie de suivre seulement l’élan guidé par la joie intérieure quitte à ne rien faire du tout. Je suis tombée sur une vidéo de David Gilmour et David Bowie qui ont provoqué des vagues de frissons bien agréable. Chaque fois que j’écoute Pink Floyd, je me dis qu’ils avaient tout compris et le symbole du triangle traversé par un rayon laser qui passe du gris à l’arc en ciel, résume tout, ce dépouillement des masques, des rôles du triangle de Karpman. 
Comment en se positionnant au centre, dans la neutralité, on passe au-delà de ces rôles, on accède au potentiel créatif illimité. Les images symboliques et la simplicité de leurs mélodies ont touché tellement de personnes parce que c’est universel et compréhensible par tous, par effet de résonance.
Cette simplicité de la mélodie, c’est le symbole de la simplicité du processus de dépouillement et de la vie même. Leur album "The Wall" décrit l’illusion et les manipulations de ce monde avec une parfaite clarté. Puis quand je vois le chanteur, guitariste du groupe, je me dis qu’il vit ce qu’il propage au travers des sons.
Et ces prises de conscience provoquées par les hallucinogènes ont été vécues par cette génération de façon fulgurante. Il reste peu de survivants parce que c’est une façon très violente d’affronter la réalité. 
En ce sens, l’éveil des consciences n’est pas toujours une sinécure et ceux qui s’ouvrent en un éclair à la réalité crue, celle de la conscience Une ou de l’illusion de la séparation, peuvent rester déconnecté de la réalité matérielle toute leur vie. 
Le point de vue de la conscience humaine formatée et celui de la conscience éclairée semblent tellement opposés que cela peut être insupportable. 
Mais nous avons tous les outils nécessaires à la compréhension et l’intégration ou la réalisation de Qui nous sommes en vérité.


On enseigne depuis des siècles les mêmes vérités mais on a encore du mal à les comprendre vraiment. Les termes employés à l’époque correspondaient à la connaissance générale et les symboles permettaient justement à chacun d’y trouver sa propre vérité tout comme l’art qui touche le cœur, qui lui parle par cet effet de résonance vibratoire. 

Le langage du cœur, symbolique et sonore ou par fréquence, ondes, vibration se passe de mots cependant, ce qui est formidable à notre époque, c’est que le mental peut le capter et comprendre les sens des anciens enseignements à la lumière des connaissances actuelles. Les connaissances scientifiques nous éclairent grandement et au-delà, le mode d’apprentissage de la science nous montre comment connaitre vraiment. 

C’est en observant de façon neutre tout en sachant que le seul fait de voir, de focaliser l’attention sur un objet lui donne une forme particulière, que nous pouvons appréhender le monde, qui nous sommes, de façon objective, lucide. 
Il va sans dire que cette approche exige qu’on laisse de côté toute forme de jugement, de qualificatif. Observer sans les filtres du jugement, des croyances, des conditionnements offre une perspective nouvelle, élargie et beaucoup plus réaliste. 
J’ai envie de partager ces quelques vidéos qui m’ont dressé les poils.
« Comfortably Numb » David Gilmour David Bowie HD


 


Il y a plusieurs façons de méditer, de se sentir connecté à la source et cela ne consiste pas nécessairement à s’asseoir en tailleur mais juste de se tourner vers l’intérieur. Ou encore simplement se laisser porter par la musique, les sensations, et goûter ce plaisir. 
On sait maintenant que le plaisir est la conséquence de sécrétion hormonales spécifiques, qu’il y a cohérence entre les trois parties du cerveau, entre les trois cerveaux du corps humain, celui du ventre, celui du cœur et celui de la tête. Et comme le cœur nous connecte à la source, la joie est aussi l'émanation de l'être, l'essence de la Vie et de Qui nous sommes.
La fameuse trinité de la bible, le fait de transcender la dualité, d’aller vers l’unité intérieure, la réunion du masculin, du féminin, de l’enfant, au niveau énergétique, symbolique, psychologique et physiologique.

Cette autre vidéo explique bien comment cultiver l’intelligence émotionnelle et comment l’empathie, faculté du cœur, permet cette union des trois cerveaux, néocortex, limbique et reptilien.
Catherine Geguen « La bienveillance est fondamentale »



Ce qui est remarquable, c’est que chacun peut avoir accès à ces connaissances simplement en écoutant son cœur, sans connexion Internet, par la communion intérieure. 
Ces choses, je les sais depuis toujours et je ne dis pas ça pour le la péter mais simplement pour montrer que la connaissance accumulée par l’humanité, que ce soient dans la science, la spiritualité, la magie même, est accessible à l’intérieur. 
Le fait qu’il y ait une conscience collective, un inconscient collectif, la nature de l’énergie (lumière/photons/infos) les lois universelles et la capacité de pénétrer les dimensions selon la vibration qu’on émane, le phénomène de résonance en sont les facteurs.

La nature de l’énergie, la capacité de moduler sa fréquence vibratoire et le phénomène de résonance, d’attraction nous ouvrent les portes de tous les mondes, de toutes les connaissances. Certains produits ouvrent ces portes en les fracassant tout comme l’intention de manipuler l’énergie en force par la magie noire, ce sont des chemins où on peut s’égarer et souffrir intensément.

La seule porte légitime et l’intention de pacifier, d’unifier ce que nous sommes nous ouvre sur l’intelligence du cœur. A la fois l’intention qui émet une vibration et la résonance du cœur, nous donne accès à la sagesse. 
L’intention pure de connaitre non pas pour obtenir du pouvoir sur les autres mais bien pour savoir comment installer la paix, le bien-être en soi, nous font entrer dans la vibration du cœur. Le cœur qui est l’unificateur, l’harmonisateur, qui maintient la cohérence intérieure par nature.

Être empathique, ça se cultive d’abord en soi. Le maternage dont parle Catherine Guegen c’est cette capacité à accueillir les vagues émotionnelles, les pensées de l’enfant qui a imprimé tout ce qu’il n’a pas compris durant l’enfance, tout ce qu’il a vécu comme une injustice. C’est une façon de recréer du lien avec le passé de façon bienveillante et ainsi de restaurer l’unité intérieure, de guérir le passé, d'en extraire la substance, l'intelligence.

Choisir en conscience d’aborder l’enfant en soi avec bienveillance, c’est favoriser cette connexion intérieure entre les parties du cerveau mais aussi au niveau énergétique. 
C’est associer dans un désir commun les attributs du masculin, du féminin ce qui se traduit par la connexion entre les deux lobes du cerveau. On travaille alors dans la cohérence, dans un but commun de délivrance et de pacification. Les répercussions sont immenses bien qu’invisibles parce que la matière ou le geste est la conséquence ultime de cette révolution interne.

Cette approche est l’inverse de l’habitude instinctive où on fonde tout sur les apparences, tant notre compréhension du monde que notre comportement.
C’est au plus profond de nous-même, de notre inconscient, de nos gènes, des connexions neuronales, que tout commence et demande à être bouleversé, réformé, actualisé. 

Dans le quotidien, cela se traduit par des changements d’humeurs, des émotions refoulées qui émergent, des pensées de jugement qu’on va apprendre à envisager avec neutralité, avec détachement. 




Le cheminement spirituel ou le fait de prendre conscience que nous sommes plus qu’un corps, amènera nécessairement la personne à vouloir progresser, être meilleure et à vouloir changer la forme, les gestes. 
Il s’agit là d’abandonner le système de survie et pour ce faire de prendre conscience de son mode de fonctionnement, des structures, des stratégies qu’il implique. 

Ce n’est donc pas un chemin de progression mais de reconnaissance de ce qui est déjà là. Reconnaitre la perfection à travers l’imperfection ou ce que l’on juge comme tel. 
Voir en cela la dynamique des contraires, l’effet contraste, en douceur. 
Reconnaitre la puissance de l’amour sans conditions, de l’accueil qui en est l’expression féminine et de la clarté, de la lucidité, de la vision objective qui en est l’expression masculine.

Ce simple choix d’abandonner la lutte et la résistance révèle le masculin et le féminin dans leur capacités, attributs les plus nobles et leur capacité de s’associer en conscience.
La force de l’intention, c’est un attribut masculin et celle de l’acceptation est une qualité féminine. 
Se positionner au centre dans cette intention de pacification c’est sublimer le masculin et le féminin en soi. L’esprit et l’âme s’associent, la conscience en mouvement qui se dirige vers le cœur, dans le désir d’unité, nous place dans la cohérence, l’harmonie vibratoire.

Je suis certaine qu’un jour, la science pourra percevoir ces phénomènes énergétiques. 
Elle sait déjà beaucoup de choses et l’étude des cellules, des atomes, des gènes, des fonctions psycho-émotionnelles, les conséquences de la peur, de la culpabilité, du jugement, l’effet des pensées émotions dites négatives, leur impact sur l’organisme, sont autant de connaissances qui changent totalement notre vision de l’être, de la maladie, du bien-être…

Cette roue des émotions offerte par le site http://anti-deprime.com est à intégrer parce que c’est un outil qui permet de comprendre le sens des émotions, leurs messages, les besoins essentiels qui s’y attachent. Vous pouvez soit aller sur le site pour télécharger l'image en format pdf, soit cliquer dessus pour l'enregistrer dans votre bibliothèque afin de la faire apparaitre en grand format lisible. 



Là encore, dans l’écoute, la communion intérieure, en apprenant à accueillir les émotions, à écouter les pensées qui les accompagnent on saura quels besoins ne sont pas nourris. 
Et comme chacun est unique, c’est cette écoute attentive qui permet de définir ces préférences personnelles, les priorités. 
En bref, c’est une façon de se reconstruire selon sa propre vision, volonté et selon ses aspirations intimes et profondes, selon son moi véritable.

Le dépouillement des anciennes croyances et conditionnements par cette approche psycho-émotionnelle nous révèle le moi véritable, non formaté, déconditionné, libre. Et ça n'est pas un étranger, un être extraordinaire, c'est ce moi qu'on connait mais qu'on a tellement réprimé qu'on finit par le craindre.

L’influence extérieure a forgé notre personnalité alors même que nous ne nous connaissions pas puisque dès le départ, il nous a fallu nous conformer aux normes, aux attentes des parents, nourrir leurs besoins en oubliant les nôtres. 
Là encore l’éducation judéo-chrétienne fortement imprégnée dans l’inconscient et la conscience collective a crée des modèles et des lois complètement faussées.
On  nous a appris qu’il fallait honorer nos parents, leur obéir, mettre nos besoins de côté, aimer les autres, leur plaire, que s’aimer c’était faire preuve d’égoïsme.

La façon dont nous considérons l’amour est aussi totalement conditionnée par la peur, l’ignorance et les religions. Se faire passer en premier est encore perçu comme de l’égocentrisme alors que c’est au contraire un signe de responsabilisation. Une volonté de se prendre en charge affectivement et de se connaitre vraiment.

Quand on observe notre comportement on va voir qu’on agit la plupart du temps afin de plaire aux autres. Même si un des besoins fondamentaux de l’humain c’est l’appartenance à un groupe, la reconnaissance, cela commence et s’établit en soi.
Quand on observe les pensées de jugement, les émotions qui nous traversent, quand on reconnait en cela l’expression de l’inconscience individuelle et collective, on sait que cela ne nous appartient pas, que nous ne nous appartenons pas. 

Le besoin d’appartenance se nourrit dans la connexion à la source, la reconnaissance de cette connexion, le désir d’unité intérieure. Lorsqu’on est conscient de cette connexion, lorsqu’on est dans cette communion intime avec un ou plusieurs aspects de l’être, âme et esprit compris, ce besoin est nourrit tout comme l’amour inconditionnel qui rayonne dans ces moments là s’auto-alimente.

Le silence en haut me fait du bien et c’est le reflet parfait du silence intérieur ou de la paix qui vient de l’abandon à la source en soi. Le réflexe n’est pas encore automatique mais cela s’installe de plus en plus. Allier le cœur et le cerveau,  l’intuition et la raison, le masculin et le féminin, c’est être en harmonie avec la source et sentir sa présence. 

Le masculin et le féminin se sont courtisés pendant des siècles dans un esprit de séduction, de compétition, de part et d’autre, engendrant des comportements violents et déviés, des rapports d’objet à objet, chacun mettant en avant ses attributs spécifiques dans une rude compétition. On était dans une relation de conflit et au mieux dans l’échange équitable mais dans les deux cas, dans des jeux de rôles.

La communion intérieure révèle la parfaite relation intime où chacun participe à l’unité et à la paix intérieure. Ses bases sont celles de l’authenticité, de la fraternité, de l’amour sans conditions, la reconnaissance de la valeur de chacun des sujets. Même ces personnages superficiels apportent leur contribution énergétique et constituent la famille humaine dans son ensemble.




28 08 Le morceau de Pink Floyd m’est resté dans la tête toute la journée et une idée m’est venue à propos de mon positionnement dans le monde. La question de savoir comment présenter l’offre d’accompagnement, comment structurer la chose puisque les stratégies marketing sont trop démagogiques et limite manipulatrice à mon goût. 

Je suis fondamentalement "artiste" dans le sens où j’aime suggérer sans imposer. 
La musique est un mode de communication qui est au-delà des mots, le musicien propose sa vision, sa vibration sans se soucier de la façon dont ce sera perçu parce que son plaisir est dans le fait de créer, dans le fait de vibrer l'harmonie. Il est content lorsqu’il est reconnu mais son attitude ne repose pas là-dessus. 
C’est cet état d’esprit qu’il me faut amener dans mon projet. 
Je bloque sur la façon de présenter les choses et ne sait pas encore quel support utiliser pour diffuser les fréquences, les énergies aidantes. 
Les images, les photos de fleurs sont trop abstraites mais d’un autre côté, elles offrent à chacun la liberté de capter leur message spécifique. 

Et comme le but c’est d’aider les gens à reconnaitre leur propre guidance, à se fier à leur cœur, à reconnaitre la voix de leur âme, la sagesse qu’elle veut leur transmettre, cela peut être un bon support mais il manque un son, une parole, c’est trop fixe, figé, ça manque de mouvement. 
Le son est un support excellent et l’énergie, la vibration est autant portée par la voix que par la musique... 
Je laisse les idées venir et continue d’installer l’habitude de revenir au cœur en toutes circonstances. Parce que tant que ce réflexe n’a pas remplacé celui de la survie, les choses seront confuses. D’autant plus que le système de survie est viable.

J’ai fini par aller en courses un peu par obligation puisque le frigo était vide mais j’ai tout de même fait en sorte de bouger sur la fréquence de la joie. Bien que je n’aie pas pu arroser au jardin puisque le canal est fermé, je n’ai pas bloqué sur ce petit obstacle et en ce moment mon leitmotiv c’est « m’en fous ».
 
Le coup de fil hebdomadaire avec ma mère a été instructif et la détente, la confiance s’installent de plus en plus entre nous au point que l’idée d’aller habiter avec elle revient encore. Je lui en ai parlé tout en disant que ça me semblait utopique étant donné nos caractères, notre mode de vie et nos croyances si différentes mais sa réaction m’a étonnée. Je lui ai déjà dit que je la trouvais radicale sans pour autant le lui reprocher et elle m’a affirmée qu’elle était ouverte, qu’elle pouvait écouter les autres et changer d’avis. 
Elle a reçu la visite de ma sœur et celle de sa sœur avec son mari pendant l’été et leurs conversations ont été bénéfiques. 
Elles ont abordé le thème de l’inceste sans tabou, dans la confidence et l’écoute bienveillante ou pour le moins sans jugement. Et cela se ressent fortement dans la conversation que j’ai eue avec ma mère hier. 




Bon je ne m’étale pas sure des choses trop intimes bien qu’universelles. 
La seule chose à retenir c’est le parallèle entre l’ouverture à ses mondes intérieurs et la relation aux autres qui devient nécessairement plus authentique, plus simple aussi. 
Le fait de communiquer avec l’enfant en soi, de prendre en charge ses blessures, libère des rôles, des attentes, des relations dites toxiques. 

Et d’ailleurs quand on utilise ce terme, on oublie qu’une relation est faite de deux personnes et que chacun a sa part de responsabilité dans la qualité de la relation. 
On accuse toujours l’autre parce qu’on reste dans le rôle de la victime et là encore, le détachement, le recul, le positionnement neutre, révèlent bien des choses qui changent la perspective et la relation. On comprend en quoi on contribue à ce type de relation et ça rend humble ou pour le moins objectif.

J’ai aussi confié à ma mère comment j’avais moins été chamboulée par la vidéo témoignage de la victime de réseau pédophile vendue par ses parents. Puis le soir, en repensant à cela, je me suis dit que là encore, oser regarder les choses en face a un effet guérissant pour peu qu’on sache écouter l’enfant en soi ou accueillir les pensées émotions qu’il porte et qui nourrissent les croyances passées. 

Agir selon la guidance et prendre les choses comme elles viennent, en considérant chaque expérience comme une opportunité de libération psycho-émotionnelle, préserve de la peur, de l’appréhension, de l’anticipation, de l'isolement aussi. 
On apprend à accueillir, à être présent, à vivre au présent, on devient responsable de ses mondes intérieurs et ça change tout. On peut alors avancer en toute confiance.

Les échanges entre les femmes de la famille ont révélé que toutes (excepté ma mère qui a su dire "non"), ont été victimes d’inceste et avec ma mère, on observait la façon dont chacune avait construit sa vie selon ce drame si commun. Comment chacune a transformé cela et combien c’est handicapant lorsqu’on reste dans la position de victime. Comment les interactions ont été colorées par ce vécu, comment cela a prédéterminé le type de relation…

A travers ce même drame, ces parcours de vie si différents témoignent du caractère unique de chacun. Les personnalités sont différentes, les contextes et les générations aussi mais les clefs de la libération c’est toujours le fait de briser le secret et de prendre en charge ses propres blessures. 
Le fait de se confier mutuellement ces choses crée aussi un cercle d’empathie et mène à des relations authentiques. La compassion remplace la compétition qui place chacun sur la défensive. Le drame commun devient le moyen de fraterniser ou plutôt de sororiser. 
La compassion résulte de l’accueil bienveillant de l’enfant en soi et comme celui-ci se réalise dans l’abandon de toute forme de jugement, il devient impossible de juger l’autre.

Je sens que nous sommes en train d’intégrer collectivement la loi de permissivité. 
Une des lois nécessaires à la création délibérée. 
On parle beaucoup de la loi d’attraction parce qu’on y voit le caractère magique et surtout ce qu’on peut y gagner mais on oublie la loi de résonance et celle de la permissivité. 

La loi de résonance révèle l’effet miroir outil de connaissance profonde et intime de soi et la loi de permissivité qui s’intègre en apprenant à accueillir les pensées émotions de l’enfant en soi. 
La loi de résonance révèle aussi la reliance entre toute vie au point de vue énergétique ; nous sommes issus d’une seule et même conscience et nous sommes constamment en interaction plus ou moins marquée selon la vibration qu’on émane.  


  

Lorsqu’on reconnait les pensées générées par le mode jugement ou duel du mental inconscient, lorsqu’on comprend qu’on agit par instinct de survie et quand on décide de choisir ce qu’on veut vibrer, on vit ce processus tout en reconnaissant le caractère universel des systèmes de survie. 
La compassion qu’on a pour l’enfant en soi se déploie systématiquement envers les autres. On comprend qu’il y a différents degrés de conscience et que chacun fait toujours de son mieux selon ses connaissances, l’intensité de ses souffrances. 


Si vous souhaitez partager ce texte, merci d’en respecter l’intégralité, l’auteure et la source ; Lydia, du blog : « Journal de bord d’un humain divin comme tout le monde » ou http://lydiouze.blogspot.fr