Quel
est le regard des êtres de lumière sur le fait que certaines personnes en fin
de vie et souffrantes font le choix de quitter leur corps (suicide assisté) ?
La
vision des êtres de lumière, pourrait-on dire, n'inclut pas la souffrance car
la souffrance est une illusion. Cela ne répond pas à la question, n'est-ce
pas ? C'est pourtant la réalité de la vision des êtres de lumière. La
compassion n'est pas d'entrer dans ce plan qui accepte la souffrance. La
compassion est de répéter que la souffrance n'est qu'une illusion. Pourtant
vous jouez le jeu de cette autre fréquence. Quel jeu ? Ce n'est qu'un jeu.
Ce n'est qu'un jeu.
Ne
pas avoir eu la clarté de choisir différemment les injonctions de ces
égrégores. Ne pas avoir eu la clarté d'accepter que seule est l'infinie
vitalité pour la structure corporelle, et en arriver âgé et souffrant.
Cela
en soi est aberration. Au sein de l'aberration, quelques choix. Si le corps
semble à bout de route, l'on pourrait dire, pourquoi ne pas l'aider à arrêter
sa course ? Mais cela est aberration, car le choix peut être à chaque
moment de régénérer le corps. Rien ne l'empêche, et surtout pas l'âge.
Le
choix pourrait être d'aiguiser sa
passion de vivre et de régénérer le corps. Si le choix semble trop
exigeant, de par les autres choix, alors peu importent les choix qui restent
et, pourquoi pas, assister le corps.
Mais cela ne sera jamais la voie de l'inspiration de la fraternité.
Car comprenez-le, il
suffirait de moins de six mois, selon votre temps linéaire, d'une attention
tout offerte à la simplicité, à la régénération, pour que le corps rajeunisse
et retrouve l'éternelle jeunesse.
Simplement
qui osera cette intensité d'attention ? Qui osera cette intensité de
dévotion pour couper court à tous ces semblants de ficelles qui semblent
attacher le collectif à ces égrégores où il est inévitable de lutter, de
vieillir, où il est l'inconscient collectif et celui personnel ?
L'histoire collective et celle personnelle, les pollutions, et quoi
d'autre ?
Inévitable
soi-disant… Nous le disons "évitable" ! C'est cela la voix de la
fraternité.
Par compassion, par amour et par tendresse, nous ne pouvons
qu'exprimer la voix de la vérité.
Il
suffirait d'une intensité d'attention juste pour régénérer. Tous le savent en
fait.
Ils parlent quelquefois de rémission spontanée, et savent qu'en un clin
d'œil, un moment si court, le cours des maladies semble s'évanouir ou se
transformer et que jaillit la guérison.
Tous savent qu'il est des milliers de
croisements sur la route des hommes pour chaque incarnation, et que chacun dans
un moment d'éternité peut choisir la voie du simple bonheur, et régénérer et
sortir des complications, des complexités et des histoires et des
vieillissements et des décrépitudes. Tous le savent, même ceux enfermés dans
les croyances de la souffrance.
Alors
cette sœur, ce frère pourraient-ils entendre la voix du cœur, la voix de la
raison - car le cœur est la raison - et reprendre la route de la
régénération ?
Cela implique laver sa conscience des croyances de
l'inévitable du vieillissement ou de l'inévitable qu'une maladie ne peut
qu'empirer, qu'un corps décrépi ne peut que décrépir toujours plus.
Il
l'a dit, ce frère, "Lève-toi et marche". Il ne l'a pas dit à un homme
jeune et vital, il l'a dit à quelqu'un couché dans son grabat, incapable. Il a
dit "Lève-toi et marche", et par la vibration de l'intensité de cette
intention, l'homme se leva de son grabat, marcha et le suivit. Cette histoire
n'est pas gravée dans le passé de l'histoire des hommes car ce frère ne vit que
maintenant, et maintenant marche et dit à chaque grabataire "Lève-toi et
marche".
Qui
l'écoutera ? Qui peut comprendre ce que signifie l'énergie juste pour que,
quelle que soit la circonstance, je me lève et je marche ? C'est cela que
nous exprimons, la voie de la simplicité qui est la voie de la pleine audace,
qui est la voie du plein respect de cette structure cosmique qu'est le corps
qui n'est régi que par la pleine audace d'être simplicité.
Message
de St Germain reçu par Agnès Bos-Masseron le 16-6-17
Site
: http://anandamath.org
Nous
avons élaboré et même institué des croyances qui étaient sensées répondre à la
peur de la mort, de la maladie, du changement, de l’inconnu. Et nous nous
sommes enfermés dans ces stratégies d’évitement, de rejet et de refoulement.
La
vie est devenue une lutte, un combat, une course, une dépense constante d’énergie
qui met les batteries à plat et qui ne mène pas au bonheur. On spécule sur ce
concept de bonheur et tout le merchandising qui en découle espérant que demain
sera mieux qu’aujourd’hui. Cela entraine des attentes, des frustrations, nous
place dans l’urgence, le stress, le manque. Toutes ces fréquences qui
pourrissent la vie à chaque instant. Pas étonnant qu’en ces conditions on
finisse par se lasser tant psychologiquement que physiquement.
Je
me fie à la réalité, les cellules se régénèrent continuellement. Les cellules
communiquent entre elles et se conforment aux fréquences vibratoires à chaque
instant. En ce sens vibrer sur les fréquences de la joie, de l’unité, de la
paix et de l’harmonie est un gage de vitalité.
Ce que je retiens dans ce message, c’est cette réalité que l’expérience
et l’observation démontrent: la joie de vivre est le moteur et le sens, la direction.
Elle nait du détachement, de la fluidité intérieure, de la souplesse d'esprit.
Nous ne sommes pas ici pour souffrir, ni pour endurer, ou même pour durer, nous sommes ici pour être en toute simplicité
et pour incarner l’essence de la source en conscience. Enfin c’est mon point de
vue.
Il ne s’agit pas ici d’une joie feinte ou encore du résultat d’une action,
d’un raisonnement, d’une récompense mais de cette vibration qui émane
directement d’un cœur serein, apaisé. Il n’est pas question non plus de lutter
contre la mort, le vieillissement mais d’apprendre à aimer tout ce que nous
sommes afin de vibrer l’unité et la paix.
Et lorsqu’on est présent à soi, dans
l’instant, le passé, l’avenir ne comptent plus, on ne s’en soucie plus puisque
la vie nous porte d’élan en élan sur les fréquences légères du détachement.
Merci
de laisser les références, les liens, si vous souhaitez diffuser cet article
dans son intégralité et de mentionner aussi ce blog (http://lydiouze.blogspot.fr )
afin d’honorer l’expression unique de chacun.