17
08 Une nuit agitée rend nerveux, fébrile et tout ce qui est encore en conflit
en soi peut apparaitre plus facilement, pas moyen de feindre, de se cacher. Et
d’ailleurs l’idée de prendre un premier
bout de médicament n’est même pas venue.
Toutes
ces pensées, ces préjugés inhérents à l’humain apeuré en proie à ses scenarii
que l’ignorance engendre, s’expriment en vrac. Maintenant, quand le mental
s’emballe, je ne cherche plus à comprendre, je me pose et je laisse passer.
J’accueille
aussi les pensées de reproches telles que tu ne devrais plus avoir ce genre de
préjugés ou encore celles de la victime impuissante.
Tout se déroule sans même
que ma volonté le décide et c’est bien le signe que ces raisonnements sont des
automatismes inconscients qui ne m’appartiennent pas.
Du moins que je ne suis
pas obligée de suivre, auquel je ne peux plus accorder aucun crédit.
C’est
encore bien lourd, mouvementé et les chemtrails qui n’en finissent plus de se
répandre jour et nuit ajoutent à cette ambiance électrique, plombée.
J’ai
parlé à mon âme tellement les sensations de mal-être, d’ennui, de lassitude et
de découragement se manifestaient avec intensité. C’est une sensation de lourdeur qui vient de
nulle part ou du moins qui n’est pas déclenchée par une situation particulière.
C’est plutôt une accumulation de petits riens et la fatigue physique due au
manque de sommeil en permet l’expression.
Chaque fois que je demande à mon âme
de se manifester dans sa forme si on peut dire, je vois une roue, un mandala.
Bien que
j’imagine qu’elle soit plus un assemblage d’énergie qu’une entité, j’éprouve
instinctivement le besoin de personnifier cet aspect de l’être pour me sentir
plus proche d’elle. L’aspect intérieur qui s’en rapproche le plus, c’est celui
de l’enfant, de ses énergies et qualités mais comme tout est uni, ou rien n’est
vraiment séparé dans l’énergie, elle est aussi la mémoire et le féminin pour
ses qualités maternelles. Capable de ressentir, de se souvenir, elle est proche
du mental ou relié à la conscience humaine.
Quand
à l’esprit c’est la lucidité sans émotions, la conscience du présent ou la
lumière.
Le cœur unit ces deux aspects de l’être, il est la jonction.
Plus
simplement et sans jugement ou notion de comparaison, d’inférieur et supérieur,
l’âme et l’esprit sont les facteurs de la source en mouvement, de la conscience
en mouvement.
La conscience qui vit une expérience prédéfinie dans la matière.
Elle est prédéfinie simplement par les gènes et le contexte de naissance, le
lieu, le cadre familial, la position des planètes, qui amènent le type de
personnages ou d’archétypes en place, comme des possibles.
En
ce sens libérer les attaches, se dépouiller des rôles, des croyances, c’est
retrouver la conscience du présent, agir selon l’intuition, le cœur et non
selon les convenances et croyances.
Aligner
sa pensée à l’amour, la lumière, au désir d’unifier ce que nous sommes, demande
de lâcher tous les concepts du monde pour se fier à son ressenti, à ce qui se
manifeste au-delà des réflexes automatiques. Agissant par impulsion et
reconnaissant que tout est guidé d’en haut, que chaque expérience amène à
développer l’amour, en observant la peur, la culpabilité, tous les
sous-produits des conditionnements qui sont aussi les outils d’expérience et de
réalisation, d’ouverture de cœur et de conscience.
Ne s’attacher à rien même si
ça balance de tous côtés comme en ce moment !
Bon je retourne au lit,
c’est ce que j’ai de mieux à faire ! D’ailleurs, depuis trois jours, j’ai
repris les méditations et je suis toujours l’élan du moment sans plus me
soucier des habitudes passées. Même au jardin, je fais les choses seulement si
j’en ressens l’envie sans me soucier de quoi que ce soit. C’est facilité part
le fait que tout arrive en fin de cycle.
Non je vais prendre une douche plutôt
parce que les montées d’énergie me font transpirer, je colle. C’est comme les
bouffées de chaleur, ça va, ça vient. Je devais aller en ville mais je reporte
depuis 24 heures. Ce sera l’occasion de faire face aux émotions liées à la peur
du manque. Tout me lasse, me gave !
Je me demande dans quelle mesure le
tapage fait autour du portail du lion, de l'éclipse, ce genre de prévisions énergétiques,
interviennent dans la vibration
collective, comment cela crée de l’appréhension, de l’anticipation et je ne peux
m’empêcher d’en éprouver de la colère. On n’est pas loin de la manipulation de
masse mais je suppose qu’il faut passer par là pour comprendre comment
fonctionnent l’énergie, les égrégores, comment nous sommes interconnectés...
Il
est minuit passé et je ne ressens pas de fatigue malgré la nuit agité. J’ai
bien l’impression que la vibration a été élevée au point de
récupérer de l’énergie !
Il
a fallu lâcher encore et encore des peurs, des préjugés et j’ai été épatée
d’arriver à le faire avant d’être face à ceux qui avaient éveillé cela sans
être troublée et surtout sans avoir eu recours au geste cachet !
Le
nouveau voisin et son regard fuyant, son sourire de fou, ces amis envahissants
suscitent des réactions et il m’est difficile de faire la part des choses entre
préjugés et pressentiments.
Mais comme les préjugés sont injustes et comme le
pressentiment concerne l’avenir, comme c’est aussi une projection du mental, un
produit de la peur, cela me ramène au présent, à l’accueil de ces émotions,
l’abandon de ces pensées.
C’est
de plus en plus immédiat le changement de vibration selon que je reste
dans le mental ou que je me positionne
dans le cœur, le silence et surtout en situation !
Cerise sur le gâteau,
ce message (message de Vera Ingeborg à venir) vers lequel j’ai été guidée qui résonne fortement même si le
mental bloque sur le dernier quart du texte que je lirais demain. La journée a
été longue !
18
08 En voyant ce matin qu’il y a eu un
attentat à 250 km de chez moi, j’en suis à me dire que le malaise de ces
dernières 24h qui semblait démesuré par rapport à la situation vient
probablement des égrégores ou de l’émotionnel collectif.
Autant par
pressentiment selon la capacité du cœur à capter les ondes, les fréquences
avant même que les choses arrivent dans la matière que par le fait que la
résonance m’ait semblé disproportionnée.
C’est clair que ce que nous ressentons
est intérieur mais la résonance avec l’extérieur est plus ou moins forte selon l'état du collectif. J’ai
dû demander à la source de purifier l’astral plus d’une fois et comme ces
demandes sont spontanées, je suppose que c’était nécessaire.
Quand on laisse
passer une série de pensées de peur et que l’émotion est offerte à la source,
normalement, ça passe et la joie, la légèreté reviennent pour la journée.
Là,
c’était récurent, cela se manifestait par vagues, par ondulation.
C’est très
subtil ce monde de l’énergie et comme par nature l’énergie n’a pas de limites,
rester focalisé sur le désir de pacifier évite d’être envahit par les égrégores.
L’idée de participer à l’épuration de ces masses du collectif m’est venue
plusieurs fois hier mais je ne m’attache pas à ce genre de pensées.
Pourtant,
je ne peux pas nier ce qui semble en plus tout à fait logique d’un point de vue
énergétique. Mais c’est une vision qui peut maintenir dans le rôle de victime
et de sauveur.
La tentation d’accuser l’extérieur de ce qu’on ressent à
l’intérieur est forte et cela nous maintient dans l’impuissance, l’illusion.
Affirmer que l’autre est responsable de ce qu’on ressent, c’est lui donner tout
pouvoir sur nous. Que ce soit en positif ou en négatif. On voit ce phénomène
entre les ‘maitres spirituels’ et leurs disciples. Cette attitude mène au
fanatisme, entraine les plus vils comportements de soumission, de dévotion, qui
ne sont d’ailleurs que des tentatives de séductions, des moyens d’obtenir des
privilèges ou simplement l’attention du maitre ce qui aux yeux des autres
disciples est une marque de sainteté.
Avant ce genre de comportement de part et
d’autre me révoltait mais maintenant, j’y vois le reflet de ma défiance
vis-à-vis de ses parts en résonance en moi. La séduction n’est pas réservée aux
femmes et son champ d’action est large. Cela va du simple sourire
d’approbation, de connivence, au service apparemment désintéressé en passant
par la flatterie. On flatte ceux qu’on admire et on appelle cela de l’amour.
Mais ce genre d’amour est autant porté par l’envie, la jalousie que par
l’admiration.
J’écoute
en ce moment des récits d’Émile Gaboriau qui sont des enquêtes policières où les
personnages sont étudiés dans leur psychologie et c’est assez intéressant parce
que là encore, on relate des faits sans trop juger. Le lecteur y ajoute un ton
un peu trop engagé à mon goût parce que ça fausse le regard. Mais comme
j’utilise ces écoutes afin de ressentir ce qui se passe en moi et de prendre
l’habitude de lâcher prise, les réactions que les intonations suscitent me
servent à propos.
Je
suis encore toute molasse d’avoir dormi jusqu’à 8h30 ! Les allées et venues des
voisins durant la nuit ont perturbé mon sommeil mais sans me réveiller. Quand
je compare mes réactions avec celles de l’année dernière, par exemple, je peux
constater une nette amélioration dans cette capacité à lâcher prise.
Hier,
je me disais que ma méfiance instinctive était autant les traces de la mémoire
traumatique que la capacité intuitive de discerner. Là encore, c’est en
venant au centre, au point zéro que la vision s’épure mais déjà en considérant
les choses d’un point de vue purement énergétique on se détache des préjugés.
C’est
comme si je passais du monde limité des jugements à celui du cœur qui est
illimité, en quelques secondes. C’est pour cela que le message de Vera Ingeborg
m’a autant parlé même si elle utilise encore des termes connotés.
Là encore, le
poids des mots, au niveau énergétique, est indéniable.
Chaque mot, chaque
concept, porte en soi une vibration spécifique étant relié à un égrégore et par
le fait amplifié à loisir.
Le seul mot de Dieu englobe autant d’égrégores de
violence, de superstitions, de préjugés, croyances, conditionnements que
d’illusions de paix et de justice. Les nouveaux termes relatifs à l’ascension
sont encore imprégnés de ces énergies de dualité, de hiérarchie, de
comparaison, de supériorité.
Il
est 10h passées et je n’ai pas encore pris un bout de médicaments. Comme la
sensation d’être abêtie par ces produits chimiques se manifeste de plus en
plus, j’offre à la source toutes les pensées critiques, les reproches et je
sens que le détachement s’installe peu à peu. Cet argument me touche beaucoup
plus que ne peuvent le faire des notions de bien et de mal, de morale ou de
normalité.
Mais
là où je bloque généralement c’est au stade des reproches auxquels je
m’attache, m’identifie, alors que c’est en les reconnaissant et en les
considérant comme des réflexes conditionnés de l’ancien système de pensée, que
le détachement s’opère de lui-même.
Maintenant, j’observe les signes physiques
du manque enfin ce que je qualifie comme tels mais qui en fait sont des réactions
physiologiques que la vibration peut modifier.
Je n’en suis pas encore là, à
vouloir changer la vibration au moment où je sens les nerfs à vif mais déjà en
prenant l’habitude d’observer, de prendre conscience de ce qui se passe en moi,
je démystifie la peur et les croyances.
Le seul fait d’avoir écrit cela a
suscité une vague de frissons signe que j’ai identifié comme un clin d’œil de
l’âme ou un signe de sa présence, de son soutien.
Cette façon de considérer les choses est encore imprégnée
des vieilles croyances parce que l’âme est une présence, une vibration, un
assemblage de codes, de fréquences, ou un mandala. C’est ce qui m’a frappé dans
le message de Vera Ingeborg, cette synchronicité dans l’utilisation de ce
terme.
Bon
une bonne douche agrémentée de lumière et d’amour pour nettoyer les résidus
d’hier…
Le
folklore a continué jusqu’en fin de soirée ! J’ai dû accueillir la colère
envers les voisins qui ont laissé leur appartement, celui qui est au dessus du
mien à une famille avec deux jeunes enfants. Ce qui m’a mise en colère, c’est
le fait qu’ils m’aient honteusement menti puisqu’ils me disaient que cela
devait être un célibataire avec un ado.
Ce n’est pas tant le mensonge par
lui-même qui m’a agacée ni même le fait qu’il y ait des enfants au dessus mais
c’est cette ambiance lourde de la feinte et le besoin de manipuler, d’avoir du
pouvoir sur l’autre, qui est derrière.
Les
enfants qui courent sur un carrelage au dessus de la tête tout au long de la
journée, rien de tel pour mettre les nerfs en pelote. Alors au lieu de crier ou
de taper le plafond à coup de manche à balai, je me suis tournée vers l’intérieur.
Deux choses me retenaient de réagir en allant me plaindre au près de ces
nouveaux voisins, la première, c’est le caractère ridicule du reproche ;
demander à des enfants de taire leur joie, revient à leur interdire de vivre.
Et la deuxième, c’est que lorsqu’on se plaint auprès de quelqu’un, on tombe en son
pouvoir parce que dès lors qu’il sait qu’il a ce pouvoir de nous pourrir la
vie, il va en abuser allégrement.
Puis
l’effet de résonance me demandait de contacter l’enfant en moi ou plus
concrètement de faire face à la peur qui sous-tend les stratégies d’accusation,
de jugement. Ce n’est pas tant de savoir si j’ai raison et si l’autre à tort, s’il
devrait mieux éduquer ses enfants (3-4ans), les mettre au lit avant 22h par
exemple, le truc c’est de savoir ce que je veux nourrir en moi et donc vibrer.
J’ai
donc écouté les pensées automatiques de reproches vis-à-vis du mental, de cette
incapacité à être en paix malgré que je sache que c’est la voie. Je crois que
ce sont ces pensées qui sont les plus douloureuses et lourdes. Et les plus
stupides ou vaines parce que la paix du cœur émane du silence, du fait de ne
pas donner de poids à ces raisonnements de l’ancienne matrice.
Je n’aime pas
utiliser ce mot mais il me vient de plus en plus en tête parce qu’il souligne
le caractère quasi mécanique des processus de pensée basés sur l’idée de
séparation, le jugement et la peur.
J’ai
pu communier avec mes corps et retrouver la paix mais cette fois-ci, j’ai senti
que mon attitude devait aller au delà du raisonnement ou du moins que celui-ci
devait se limiter à se poser physiquement dans la paix du cœur. Je me suis
demandée si je ne ferais pas bien de retourner près de ma mère et bien que cela
me soit apparu comme une fuite, j’ai sérieusement envisagé la question.
Au début,
je voyais les côtés positifs comme le fait que j’aie plus d’amis dans ma région
natale qu'ici et comme je ne sens que peu d’affinités avec mon entourage,
comme parfois ça me pèse, cette idée semblait agréable.
Me rapprocher de ma
famille, puis de "ces amis de trente ans" (euh pas loin de 40 maintenant), pouvait effacer les inconvénients liés
au climat et à la végétation morne de la Beauce. On pourrait être dans l’entre
aide, l'échange équitable avec ma mère puisqu’elle n’est plus si alerte physiquement et sa maison demande un
entretien régulier quasi permanent encore plus le jardin. En ce sens on serait
sur un pied d’égalité, enfin au-delà des rôles mère fille.
Puis l’idée de
vivre chez ma mère, d’être obligée d’adopter son rythme de vie d’automate, d’entrer
nécessairement en conflit, m’a ramenée à la raison, tant que je ne suis pas en
mesure de maintenir ma vibration dans la paix, l’amour, l’harmonie, il est
essentiel de garder la liberté d’action au quotidien.
C’est vrai que le fait de
suivre l’élan du désir et de ne pas se soucier des horaires du monde qui
définissent comment vivre, comment organiser son temps, est un passage
provisoire permettant d’apprendre à suivre son cœur, la joie, à reconnaitre ses
propres valeurs, talents et désirs tout en se libérant des croyances communes,
d’apprendre à reconnaitre le système interne d’orientation ou gps émotionnel.
C’est
une façon de se couper des égrégores du collectif, d’affirmer sa détermination,
ses propres choix sans avoir à lutter contre les autres, contre soi-même.
Tant
que cette compréhension des lois et modes de fonctionnement internes n’est pas complètement
intégrée, appliquée à chaque instant, la bataille entre deux egos qui veulent
dominer l’autre afin de ne pas l’être me répugne.
C’est d’ailleurs une des
raisons majeures dans mon choix de vie de célibataire. Je sais trop ce que je
veux pour me laisser mener par qui que ce soit et je ne veux pas non plus
dominer l’autre, lui imposer ma vision de la vie, des lois universelles tellement
éloignées des croyances communes.
Cela
m’a fait du bien de juste observer ces pensées, de ne plus arrêter le flot de
raisonnement pour choisir un de ses arguments au détriment des autres.
On prend
des décisions selon un raisonnement où on lutte pour trouver la meilleure idée
alors qu’il suffit de libérer tout ce qui émerge jusqu’à retrouver la paix et
le moment présent.
Anticiper maintenant est encore prématuré puisque l’étape
actuelle décisive, c’est de suivre l’élan porté par la joie dans l’instant, de
façon à se maintenir sur les fréquences du cœur, de vivre sans stress, de
délaisser les stratégies de survie.
C’est cela qui permet d’élever sa fréquence
et de rester ancré. Apprendre à suivre l’intuition, se poser pour donner le
temps au mental de suivre le cœur sans douter, de se laisser guider en
confiance.
C’est seulement de cette façon qu’une nouvelle façon d’être s’établit,
que de nouveaux circuits neuronaux se créent, que les corps peuvent apprendre à
vivre à l’unisson.
La peur d’être submergée par l’extérieur a diminué à mesure
que j’ai écouté ces voix, ces pensées, sans m’y attacher, confiant à la source
les sensations en même temps.
Peu à peu le silence s’est fait à l’intérieur et
à l’extérieur.
L’écoute des romans policiers a suscité aussi des émotions face
à la misère humaine, ces combinaisons de l’ego manipulé par la peur, la
jalousie, l’envie. Cela me renvoie encore à l'intérieur.
Je
n’ai pas pu sortir de la journée mais je ne me suis pas inquiétée de ne pas
aller arroser le jardin et j’ai bien fait puisqu’une petite pluie s’est abattue
en fin de journée.
Ce
n’est pas l’aspect matériel qui prévaut, c’est la vibration, c’est cela la
priorité des priorités ! La vibration est malléable mais elle ne répond
pas aux lois humaines, celles que les rôles ont engendrées. Les notions de
récompense, de mérite, de devoir ou encore de séduction ne fonctionnent pas.
Seul le choix
déterminé et la focalisation sur celui-ci modifie la vibration.
On ne peut pas
corrompre la source mais on falsifie l’énergie, on la détourne de façon
inconsciente espérant contrôler les pulsions que seul l’amour inconditionnel et
la lumière (conscience de qui nous sommes au-delà de la forme) peuvent harmoniser,
équilibrer.
Par la nature même de l’énergie, et de son mode de fonctionnement,
la force ne fait que la contraindre et en ce sens, la volonté se situe
seulement dans le choix de vibrer délibérément la paix, de laisser le cœur agir.
Je viens de tomber sur cette vidéo qui m'a fait sourire tant par son contenu que par la synchronicité. Lâcher toute forme de résistance et faire face à ce qui au fond n'est que l'énergie de vie qui cherche à circuler. Une énergie qui de plus véhicule des infos...
Tal Schaller - La peur
19 08 Il semble que le calme
soit revenu ou peut-être que c’est simplement le fait de maintenir le désir de
vivre en paix qui rend les choses plus légères. Je ne prête plus attention aux
bruits extérieurs et je passe enfin à l’action. Enfin j’ai senti l’envie d’aller
faire des courses et en cela je reconnais le cycle : mouvements chaotiques
extérieurs qui amènent à se tourner vers l’intérieur, à chercher la paix du cœur
et passage à l’action déterminée, portée par la vibration de la joie.
L’idée que
ce que j’exprime ici est comme une petite voix dans le désert m’a fait sourire
parce que là encore, il y a plus de détachement, de légèreté dans l’action. Je publie ce que j'écris seulement quand le désir se manifeste spontanément.
J'ai délibérément laissé ce flot de pensées tel qu'il m'est apparu afin de montrer que le fait de vouloir instaurer la paix en soi, d'unifier les corps, est un processus qui n'efface pas les pensées de jugement. C'est un processus de conscientisation et de choix, de désidentification et de détachement qui s'applique à chaque instant.
Si vous souhaitez partager ce texte, merci d’en respecter
l’intégralité, l’auteure et la source ; Lydia, du blog :
« Journal de bord d’un humain divin comme tout le monde » ou http://lydiouze.blogspot.fr