lundi 31 juillet 2017

« Observation neutre et détachement = LIBERTE »





Il est vrai que ça n’est pas évident de changer de perspective parce qu’il est plus confortable d’agir par habitude, par automatisme plutôt que d’être conscient et présent à ce que l’on ressent. D’autant plus quand on s’est créé toutes sortes de rituels afin de ne pas ressentir ce qui nous dérange. Notre intellect et notre inconscient ont élaboré des stratégies qui modèlent notre quotidien et qui naturellement nous donnent l’impression d’être impuissant, manipulé, dirigé par des forces qui nous semblent hostiles.

Si on observe notre quotidien, la façon dont les actes s’enchainent, on va voir que la plupart de ceux-ci sont des stratégies d’évitement, des actes qui nous évitent de faire face aux émotions excessives ou négatives, qui nous donnent l’illusion de vivre dans le confort, dans une forme de sécurité et de paix relative. 
De la même façon si on observe les réactions en chaine lorsqu’on est contrarié, on va constater toutes les stratégies mises en place afin de retrouver cette sécurité précaire. L’intensité avec laquelle une contrariété nous perturbe révèle la force et en même temps la fragilité de ces stratégies.

Pourtant en choisissant d’être l’observateur neutre de ce qui se vit en soi, des pensées, des émotions quelles qu’elles soient, on va commencer à sentir ce qu’est véritablement la paix. 

Le mental aura besoin de constater plus d’une fois combien le fait de juger, d’accuser, de lutter, de résister, créé de la souffrance, nous emprisonne et comment l’abandon, le lâcher prise mènent à la paix, pour oser abandonner ces façons d’être et de réagir. Sans même parler de foi ou de spiritualité, chacun peut constater comment l’abandon de la lutte créé une détente psychologique et physique.

samedi 29 juillet 2017

« Essayer vs. Permettre – Comment suivre le Courant » Vera Ingeborg





Oh mon dieu … ces derniers temps sont vraiment quelque chose. Il est difficile d’exprimer en mots ce qui se passe car tout va tellement vite et change si vite. 
Le concept de temps linéaire se dissout de plus en plus et nous vivons de moment en moment. Nous réalisons que les réponses ne peuvent pas être trouvées à l’extérieur, mais seulement à l’intérieur et que nous devons nous approprier notre processus, au lieu de devenir dépendants d’autres personnes. 
Et – il devient clair que nous NE transcendons pas le corps physique lorsque nous ascensionnons. NON, nous modifions les anciens schémas et nous transformons notre corps physique pour incarner pleinement ce qui veut être exprimé et créé à travers nous. 

Nous trouvons maintenant notre chemin en ayant un véritable alignement de l’âme, du mental et du corps afin de vivre selon le rythme des énergies universelles. Lorsque nous sommes en plein alignement / intégration, nous sommes complètement dans le courant.

Alors qu’est-ce que cela signifie? La meilleure façon de comprendre le changement que nous traversons – quel que soit le niveau ou quelle que soit la situation – c’est de comprendre la différence entre essayer et permettre
Dans notre ancien paradigme basé sur le manque, la méfiance et la peur, on nous enseigne que nous devons essayer de faire plus, que nous devons nous battre pour les choses, que nous devons faire des efforts pour atteindre les objectifs, que nous devons contrôler et manipuler les personnes, les situations et les processus pour atteindre un certain résultat. Nous sommes conditionnels. NOUS ESSAYONS.

mercredi 26 juillet 2017

« S’ouvrir pour ne plus souffrir »





Suite du texte précédent du 24 07... J’ai coupé en deux ce que j’ai écris lundi parce que cette situation qui me replonge dans les rôles du passé dans la relation familiale demande de poser les choses en toute transparence et sans aucune censure. C’est l’occasion idéale pour se libérer du passé par la compréhension et l’ouverture, puisque je me retrouve dans le contexte de l’enfance, capable maintenant d’observer objectivement ce qui est, tant au niveau émotionnel que des schémas de pensées et des rôles, et l’écriture spontanée est donc tout à fait appropriée.

La période des vacances est à la fois l’occasion de respirer, de prendre son temps, de le gérer selon son envie mais c’est aussi celle des retrouvailles en famille. Bien évidemment cela réactive les vieilles blessures et les rancœurs, on se retrouve dans les places, les rôles qu’on avait autrefois. On revient à cette période qui a été forte émotionnellement et où on a endossé une personnalité, un des personnages du triangle de Karpman. 
On peut le sentir dans l’air, dans l’énergie et les coups d’éclats de l’orage, ce temps si changeant en est l’expression. 
On est partagé entre la joie que procurent les bons souvenirs, celle qui vient du laisser aller et en même temps ces vieux schémas de l’enfance que le contact avec la famille remet sur le devant de la scène. 
Chacun retrouve sa place de père, de mère, d’enfant, exactement comme dans l’enfance malgré que tous soient adultes. Pouvoir observer cela sans s’y attacher, sans lutter contre cela, sans se forcer à jouer l’adulte sage, sans s’identifier au rôle, à la position au sein de la famille, est un bon moyen de savoir où on en est dans la libération des croyances et conditionnements, dans le processus d’individualisation, depuis l'essence de l'être.

« Seuls l’amour et la lumière libèrent et guérissent »





24 07 Vous allez me dire que je me répète encore mais les circonstances m’ont amenées à le constater une fois de plus. Et c’est clair qu’on a bien du mal à sortir des croyances, des conditionnements et des systèmes de prédation où on s’affirme en démolissant l’autre, celui qu’on considère comme notre bourreau.
Ainsi, très souvent, pour ne pas dire tout le temps, lorsqu’on est victime en tant qu’adulte, déjà, ça nous renvoie systématiquement à l’enfance, à l’état d’impuissance et l’ignorance d’alors, on croit qu’en accusant et en condamnant le bourreau, on sera sauvé. 
Ce schéma est celui de la prédation, ou de la loi édictée dans l’ancien testament : « œil pour œil, dent pour dent » ; Un cycle perpétuel de vengeance nait de ce point de vue ne libérant ni la victime, ni le bourreau. Un cycle où la victime, le bourreau et le sauveur répètent à l’infini les mêmes souffrances et la même violence, en restant enfermé dans les limites de ces rôles. Passant tour à tour de victime à bourreau, de bourreau à sauveur, de victime à sauveur...

Nous avons joué tous ces rôles, toutes les combinaisons possibles sans pour autant trouver la paix, le bonheur. Tout au contraire, on reste enfermé dans la souffrance et conditionné par les réflexes de nos cerveaux archaïques, formaté pour réagir de façon automatique selon le système de survie, de prédation.

Je redonne ma définition de l’amour et de la lumière. La lumière : la compréhension des mécanismes internes, la connaissance des lois de l’amour en tant que vibration, essence de l’être et celle de la nature de l’énergie. Et l’amour le détachement de tout ces mécanismes de survie, l’identification à l’essence.

mardi 25 juillet 2017

« Apprendre à ne pas fuir les émotions » Nos pensées.fr





Les émotions ont une voix, elles nous parlent et nous racontent la manière dont nous nous sentons. Les émotions nous montrent ce dont nous avons besoin à tout moment. Que se passe-t-il si nous ne leur faisons pas cas ? Si nous les ignorons ? Nous pouvons certes éteindre leurs voix mais pas leurs besoins.

Nous vivons entouré-e de personnes pressées, d’injonctions qui nous demandent de tout faire rapidement, de « Ne t’inquiète pas, tu dois faire ça… », « N’écoute pas, oublie cela », « Essaie de ne pas y penser »… Toutes les émotions ont une fonction adaptative, si nous ne les écoutons pas, elles se mettent de côté et ressortent avec plus de force une fois qu’elles ne peuvent plus être contenues. Et souvent aux moments les moins opportuns.
Par exemple, la tristesse nous dit que nous devons nous arrêter, que nous devons rester avec nous-même et pour cela, nul besoin de sortir et d’être avec des gens. La joie, à l’inverse, nous encourage à sortir à l’extérieur et à nous socialiser. Le dégoût nous avertit des possibles dangers pour notre organisme. La peur nous maintient alerte et nous protège.
Si nous apprenons à les écouter et à ne pas les fuir, nous pourrons alors comprendre ce qu’elles veulent nous dire. Ainsi, les écouter permet de découvrir des parties de nous-même, cachées jusqu’à présent ou des besoins que nous n’avons pas encore satisfaits.

dimanche 23 juillet 2017

« Lâcher le besoin de perfection… »





21 07 La journée d’hier a été longue et ennuyeuse. Je suis allée m’allonger l’après midi dans le silence et le soir, j’ai écouté la voix de l’enfant en moi. Cet enfant qui se demande ce qu’il fout là, qui ne comprend pas l’humain, sa folie. Évidemment, ça me renvoie à ma propre ingérence, au fait de fumer, mais là encore au lieu de ruminer cela, j’ai offert ces confidences sincères à la source. 
Il n’y avait pas de souffrance mais plutôt de la lassitude et toujours cette question qu’est-ce que je fais là ? Je dis cela parce qu’à bien des niveaux, je ne trouve pas de résonance ou de sujet d’intérêt commun  avec mes semblables. Depuis l’enfance, je me sens décalée, leurs jeux de pouvoir ne m’amusent pas, et ceux de la séduction non plus. Même si je ne souffre plus autant qu’avant des injustices, maintenant c’est la bêtise qui m’affecte le plus. 

Je me dis que ça vient de moi, de mon vécu traumatisant, du fait de n’avoir rien fait de spécial dans ma vie, de ne pas avoir eu d’enfant non plus mais en fait, je reviens toujours à ce constat ; je m’ennuie avec les gens. 
Cela peut sembler très prétentieux et ça me renvoie aussi nécessairement au mépris que j’ai encore pour les aspects humains internes, pour les pulsions incontrôlées. 
Le besoin d’être parfait pour échapper à la masse grouillante et abêtie, avide et égoïste, qui ne sait dire que « moi », « moi », « moi ». 
Là encore ça peut sembler paradoxal de dire cela pour quelqu'un qui témoigne d'un parcours de façon si intime mais il s'agit ici de reconnaitre le moi conditionné et de s'identifier au vrai moi, de retrouver et d'incarner sa vraie nature.

samedi 22 juillet 2017

« Reconnaitre et accepter que le mental continue de bloquer l’émotion refoulée »





20 07 Il y a deux façons de nourrir le besoin d’amour, soit en faisant tout pour le recevoir de l’extérieur, soit en le cultivant en soi. Puis il y a la voie de la conscience de soi qui révèle l’essence de l’être et nous place dans le juste équilibre, entre l’intérieur et l’extérieur, entre donner et recevoir. 
L’image qu’on a de soi se fonde sur le mode comparatif qui commence dès l’enfance dans le cadre familial. Les parents mettent en avant les qualités de chaque enfant et les comparent les uns aux autres selon le modèle de perfection décrété tant par la société que par chaque individu, tous deux fortement influencés par les religions. 
On construit sa personnalité selon nos préférences, par attraction et par rejet et on choisit un modèle idéal à suivre, auquel correspondre, toujours sur le mode comparatif et selon des critères de sélections relatives aux valeurs de chaque individu. Valeurs qui sont elles-mêmes insufflées par l’inconscient et la conscience collective. 

Ainsi, on a définit un modèle idéal féminin et un modèle idéal masculin. L’homme idéal est héroïque, fort, combatif, gagnant, beau, mais pour plaire à ces dames, il doit aussi être tendre et affectueux, défendre les plus faibles. 
Nos modes sélectifs sont les mêmes que ceux des animaux à la base, ils sont archaïques et répondent à la chimie interne, aux sens et à l’instinct de survie. Mais en tant que race dotée d’un cœur et conscient de nous-mêmes, on y a ajouté la tendresse, l’amour, les sentiments. On demande à la femme d’être belle, douce, maternelle, généreuse et soumise. 

Même si cela semble être caricatural et dépassé, on est encore inconsciemment fortement influencé par ces conditionnements, ces projections et attentes. 
Dans une société où il semble qu’on ait acquit la liberté individuelle, l’égalité des droits et où le capitalisme; la possibilité de s’enrichir, montre ses limites, chacun cherche à comprendre où est l’erreur, pourquoi cela ne mène pas au bonheur.

jeudi 20 juillet 2017

Extrait du "Livre du voyage", de Bernard Werber (auteur du livre: "Les Fourmis"):





« Il est cubique, titanesque, froid.
Il est doté de chenilles qui écrasent tout.
C’est le système social dans lequel tu es inséré.
Sur ses tours tu reconnais plusieurs têtes. Il y a celles de tes professeurs, de tes chefs hiérarchiques, des policiers, des militaires, des prêtres, des politiciens, des fonctionnaires, des médecins, qui sont censés toujours te dire si tu as agi bien ou mal.
Et le comportement que tu dois adopter pour rester dans le troupeau.
C’est le Système.
Contre lui ton épée ne peut rien.
Quand tu le frappes, le Système te bombarde de feuilles :
carnets de notes, P.V., formulaires de Sécurité sociale à compléter si tu veux être remboursé, feuilles d’impôts majorés pour cause de retard de paiement,
formulaires de licenciement, déclarations de fin de droit au chômage,
quittances de loyer, charges locatives, électricité, téléphone, eau, impôts locaux, impôts fonciers, redevance, avis de saisie d’huissier, menace de fichage à la Banque de France, convocations pour éclaircir ta situation familiale, réclamations de fiche d’état civil datée de moins de deux mois…

mardi 18 juillet 2017

« Reconnaitre et lâcher les schémas du passé »





16 07 Depuis trois jours, j’écris régulièrement sans avoir l’élan ou l’envie de publier. Je consacre la matinée au jardin et en revenant, j'ai plutôt envie de m'intérioriser, de me poser. La plongée dans les profondeurs, le face à face avec les aspects autrefois cachés ou rejetés de soi s’effectue dans la transparence et demande une totale intimité afin que les voix puissent d’exprimer librement, sans peur et sans contrainte.
Le thème récurent est celui de la dépendance et bien évidemment la peur du manque qui est lié puis les critiques et jugements que cela entraine. Dans la dynamique des contraires, des associations se créent, associations d’idées qui forment des préjugés, interprétations des faits qui forment les croyances, associations de pensées récurrentes et d’émotions refoulées en conséquence. 

La libération des croyances est comme un nœud de fils entremêlés qu’il nous faut démêler patiemment afin de remonter à l’origine et de comprendre ce que nous sommes. Une fois qu'on voit le schéma des stratégies visant à minimiser les blessures, sans avoir besoin de comprendre en détail, c'est comme si la boucle était bouclée. Les questions et la recherche de réponses cessent puisque le mental a "vu". 
On est ébahi face à tant d’intelligence dans ces systèmes internes même si les stratégies qui visent à nourrir les besoins fondamentaux n’amènent pas au bonheur, à la liberté. Cependant, dans l’observation neutre et l’abandon du jugement, on relativise, on tempère, on harmonise, on comprend que tout n’est pas ou tout noir ou tout blanc, et que malgré les apparences, nos systèmes internes maintiennent l’équilibre nécessaire à la vie.

« Le sens caché des dépendances » par Olivier Soulier





Avant d’être vécue comme une difficulté, la dépendance constitue en premier lieu une phase physiologique normale du développement de l’être humain
L’œuf nouvellement fécondé, l’embryon, puis le petit enfant ne pourraient survivre si l’extérieur ne lui prêtait des moyens matériels, alimentaires et affectifs. Nous utilisons ces aides pour nous constituer.
La dépendance est donc au départ une nécessité et une bonne chose. L’extérieur pallie notre absence de moyens. Nous sommes donc au départ, dépendants, par la force des choses !

Le chemin de notre vie sera longtemps un chemin d’autonomie. C’est-à-dire un chemin pour apprendre à trouver en nous ce qui au départ nous venait de l’extérieur. 
Passer d’une dépendance nécessaire à une autonomie voulue et gagnée sur la vie : l’histoire fait fondamentalement partie de notre chemin d’apprentissage.

Tout au long de ce chemin vont se présenter de nombreux écueils parmi lesquels nous trouvons les drogues. Elles sont le plus souvent des substituts ou des déplacements à des dépendances non résolues.
En explorant le chemin de nos dépendances, nous visiterons les phases mal ou incomplètement vécues de notre existence. Quitter nos dépendances, c’est se libérer pour trouver pleinement le sens et les moyens de notre vie.

lundi 17 juillet 2017

« Ressentir l’énergie » Dr Luc Bodin





11 07 Comme j’en ai parlé hier ou avant-hier, je m’amuse à essayer de ressentir les énergies. Je parle d’amusement parce que c’est un exercice ludique de découverte de soi. 
Il ne s’agit pas de chercher à obtenir du pouvoir, à vouloir contrôler l’énergie en soi mais d’apprendre à se connaitre en profondeur, afin de pouvoir cocréer en conscience, en connaissance de cause puis d’augmenter aussi l’amour de soi, en soi. 
Une synchronicité venue comme un clin d’œil m’a ramenée à cet ‘exercice’ mais déjà comme l’effet des médicaments brouille l’écoute, le mental constate une fois de plus comment l’usage de ce produit est limitant. Et comme il n’aime pas cela, comme il agit toujours pour le mieux-être selon son point de vue, ce nouvel argument vient s’ajouter dans la balance avantages/inconvénients en penchant de plus en plus du côté des inconvénients.
Plus il remarquera de bénéfices à arrêter d’utiliser cette camisole chimique et plus ce sera facile de prendre une décision avec détermination parce qu'il sera convaincu que c'est le meilleur choix à faire. Cette force de conviction sera un atout majeur.

L’effort, la force de volonté ou la contrainte ne marchent pas dans mon mode de fonctionnement. Je l’ai remarqué plus d’une fois mais la conscience des avantages à faire certains choix plutôt que d’autres, ça, c’est toujours efficace. 
L’effet contraste qui découle du contexte de la dualité, offre une vision élargie qui permet de faire les choix qui nous correspondent vraiment, c'est-à-dire des choix qui nourrissent les besoins de tous nos corps et qui sont alignés à l'amour lumière intérieurs. 

jeudi 13 juillet 2017

« Les répercussions des pensées sur le corps » les Êtres de lumière via Monique Mathieu





« Dans un temps plus proche que vous ne le supposez, il y aura des écoles de formation pour apprendre aux élèves, entre autres, combien il est important de bien penser, car une mauvaise pensée ou une pensée qui n'est pas harmonieuse a un impact important sur votre vie et sur votre corps.

Il ne s'agit pas d'écoles de pensée telles qu'il en existe en ce moment sur votre planète, mais d'écoles totalement reliées à la spiritualité, à un niveau spirituel supérieur de celui qui est le votre actuellement. Cela n'aura rien à voir avec les religions ! Il s'agira de la connaissance de ce que sont les êtres, grâce à la pratique d'une élévation vibratoire, à la concentration et à la façon dont ils formuleront leurs pensées.

La médecine telle que vous la concevez actuellement n'existera plus parce que les êtres auront compris que toute nuisance dans leur corps physique commence dans leurs corps subtils et dans leur psychisme, qu'ensuite il y a somatisation dans leur corps de matière.
C'est à la fois bien plus compliqué et bien plus facile à comprendre ; il s'agit d'un déséquilibre vibratoire qui provoque des nuisances entre le corps physique et les corps subtils.

lundi 10 juillet 2017

« Pourquoi “ne rien faire” est en fait vital pour la santé » vidéo





9 07 Quand on est détaché de ce qui est, du corps physique, des évènements, des situations, des attentes, des pensées et des émotions, des réactions premières, la vie s’écoule avec aisance. 
Quand je compare ma vision actuelle et surtout mon état d’être général, avec ce que je vivais il y a un an ou même six mois, je peux mesurer l’immense différence qui tient juste à la capacité de lâcher prise. 
J’ai eu l’idée de poser ma main au niveau des chakras hier soir alors que je contemplais leur image affichée verticalement sur le mur de la chambre. Pour la première fois, je me suis dit, c’est ce que je suis. Avant je contemplais ces dessins comme si c’était extérieur à moi, comme si c’était une vague représentation de l’être mais hier soir, j’ai pris conscience subitement que ces portes sont en mon corps ou à quelques centimètres autour. 

Peu importe l’emplacement précis, ce qui m’a attiré, c’est de voir si je pouvais les sentir. Si je pouvais en ressentir la vibration et interagir avec eux. Déjà j’ai commencé par me dire  que je ne connaissais pas ceux du haut mais peu à peu, j’ai reconnu que seule mon ancienne vision me faisait croire cela. 
En fait, chaque chakra ou centre énergétique est relié aux autres et il semble qu’ils soient associés plus précisément en paires. 
Le chakra racine et le coronal, c’est l’être dans sa polarisation terre/ciel ou corps et esprit. Plus précisément, l’esprit c’est le soleil et ses astres, les énergies célestes, sans images. 
Puis du point de vue humain, cela se figure en archétypes zodiacaux, en archanges et en anges. 

samedi 8 juillet 2017

« Penser en termes d’énergie et élargir son champs de vision » & vidéo Magali « Le masculin sacré »






05 07 Depuis le réveil, je me sens dans un espace immense de liberté. Tout s’écoule de façon fluide et je sens que cela vient du face à face de ces derniers jours avec le critique intérieur. 
L’écoute attentive, objective de cette voix et la libération des émotions associées ; colère, tristesse, sentiment de culpabilité, ont favorisé la libre circulation de l’énergie de vie, de l’énergie du désir. Alors tout naturellement, la confiance en soi et la détermination me propulsent dans l’action. Je me sens pousser des ailes, lol ! 
J’ai laissé le critique intérieur s’exprimer librement même dans la mauvaise foi juste pour que ces énergies puissent s’extérioriser, être en mouvement, sans chercher à ce qu'elle s'en aille, sans les fuir ou les faire taire. 
Le piège, c’est toujours de croire ces voix internes qui font écho à la conscience et l’inconscient collectifs. Savoir reconnaitre les voix en soi et ne pas s’y attacher, c’est être libre. 
C’est tout le propos de l’introspection, de l’écoute attentive des diverses voix internes qui mène à la connaissance de soi, à la reconnaissance de l’essence, de la présence silencieuse qui observe sans juger. Le vrai moi s’exprime au-delà de toutes ces paroles automatiques, il est unique et multiple à la fois.

C’est fascinant de pouvoir observer ce que nous sommes et comment les mécanismes internes, les énergies, sont vivants, mouvants et intelligents.
Tout comme un ordinateur demande des mises à jour et un nettoyage des poussières, notre corps, l’ensemble de nos corps a besoin d’un entretien régulier.

jeudi 6 juillet 2017

« La fraternité a imprimé l'étape initiatique pour que l'humanité se rappelle » St Germain reçu par Agnès Bos-Masseron





Avec quelle intensité êtes-vous présence ? La phrase en soi peut être initiation.
Nous n'invitons pas les personnes à se hisser par quelque effort surhumain dans une intensité inconnue de présence. 
Cela serait comparable peut-être à ces héros qui, enfermés dans la fosse aux lions, essayaient de se hisser le long d'un mur lisse, mus peut-être par la peur du rugissement ou la peur de l'anéantissement. Cela c'était sans doute au début de cette ère que l'on nomme chrétienne, cette ère qui a marqué le temps, car le temps semble avoir commencé au début de cette ère, le temps que vous comptez. 
Et maintenant peut-être, le début d'une autre ère ou la sortie des ères et le retour à cette évidence que Je Suis la présence que Je Suis.

Vous vous souvenez, nous vous l'avons dit et vous le redisons encore et toujours, à qui vous identifiez vous ? Et là encore, l'art est d'écouter et d'entendre, non depuis la personne qui voudrait se hisser au statut de l'Être au prix de quelque effort surhumain. Rassembler l'énergie n'est pas austérité, rassembler l'énergie est le fait de l'être qui se sait l'Être lumière.
Nous l'avons dit et l'avons redit, nous invitons à changer de paradigme. 
Comprenez bien, même si l'on veut parler depuis l'intérieur de la fosse aux lions, quels que soient les lions, l'ego lion peut-être, le mental lion peut-être, les émotions lions peut-être, même si l'on veut parler de l'intérieur de cette fosse, il n'est pas d'autre issue. 
Car comprenez-le, cette fosse est un rêve, une illusion.

mardi 4 juillet 2017

« Quand l’obstacle devient l’outil de connaissance, de libération et de réalisation »





2 03 Le contexte de ce monde où tout est polarisé nous permet de connaitre, de savoir qui nous sommes, de sentir les émotions, la portée et la puissance des pensées, la force de l’amour, de la paix, de l’unité. Quand on connait les fonctions des corps subtils et leurs facultés on peut alors les utiliser à bon escient.
Le mental qui peut se projeter dans le passé, dans l’avenir et dont les pensées ont une valeur, une intensité énergétique tout comme les émotions, peut créer l’enfer ou le paradis. Ces termes empruntés aux religions sont des images pour montrer le potentiel du mental-émotionnel et en même temps le principe de polarisation.
Dans l’observation neutre, on perçoit les facultés du mental, l’impact des pensées et des émotions sur notre état d’être, on apprend à reconnaitre le pouvoir de manifestation, de création.
Quand on passe ces moments sombres où les émotions difficiles ressurgissent, en gardant à l’esprit que cela nous enseigne les lois de la création et les outils de manifestation à notre disposition, on aborde avec plus de légèreté ces mouvements internes. 
Ce qui est difficile, c’est la vision qu’on a de soi et l’ignorance face à ce qui arrive parce qu’on interprète les faits selon les vieilles croyances. 
Dans cette perspective, il y a de quoi avoir peur et désespérer mais en prenant un peu de recul, on se place en observateur, en élève de la vie. 
On voit que la connaissance est à l’intérieur et que la communication avec l’âme est possible, réelle et permanente. 
On peut tout lui confier et la considérer comme une amie, comme notre meilleure amie, comme l’aspect de nous qui est au-dessus des mouvements chaotiques. Qui peut être en empathie par sa capacité à ressentir. C’est notre double sensitif et énergétique, l’aspect sensible, extrasensible dont le cœur est le siège, la voix. Une vibration qui se ressent dans le ventre tout autant que dans le cœur.

dimanche 2 juillet 2017

« La paix du cœur, une ancre nécessaire en ces temps de chaos »





1 07 Tout ce que j’ai écrit ces derniers jours peut donner l’impression que la libération des anciennes croyances et des rôles, l'harmonisation des émotions, est un processus interminable voire impossible mais il n’en est rien. 
Comme ce processus affecte toutes les couches subtiles de l’être jusqu’au corps physique et puisque tout est lié, ces ajustements sont progressifs et nécessairement de plus en plus profonds. 
La matière qui nous permet de faire ce processus est toujours la même : le trauma qui créé les blessures ou qui les active, est le déclencheur de croyances et de stratégies, il reste le même et il faut le revisiter sous tous les angles pour le transformer en lumière et en amour. Ressentir chaque émotion pleinement et sans attache, sans l'enfermer dans de nouvelles croyances afin que l'équilibre s'installe. 

Les pensées récurrentes de la victime, du bourreau et du sauveur sont entendues un nombre considérable de fois et ce qui nous en libère, c’est le détachement progressif qui s’opère pas à pas. 
On passe de la peur à la consternation, à la colère, la tristesse, le découragement et chaque fois que ces émotions sont accueillies, leur pendant est intégré puis peu à peu l’équilibre et l’harmonie s’installent. 
Le fait d’entendre toujours les mêmes pensées de victime alors qu’on veut lâcher ce rôle nous fait passer par tous les états émotionnels et c’est précisément là l’opportunité de changer la relation à soi, à ses corps subtils et donc de s’élever vibratoirement. L'occasion de lâcher tout, de ne plus s'attacher à ces mouvements internes.

samedi 1 juillet 2017

« Quel est le sens de la maladie ? » vidéo Daniel Miron





Quand je parle de changement intérieur, c’est clair que cela se réalise à des niveaux très profonds et comme le dit Daniel Miron dans la vidéo suivante, c’est dans le subconscient que ce changement s’effectue. 
Je distinguais mal la différence entre l’inconscient et le subconscient, disons que je ne voyais pas trop l’intérêt de savoir cela. Du moins, je vais à l’essentiel, au processus de libération qui passe par l’observation neutre et l’accueil de l’émotion associée à la croyance, à la blessure.
J’ai dormi trois heures d’affilée hier après midi alors que j'avais "fait ma nuit" et je suppose que c’est la conséquence du changement vibratoire. Je note déjà que mes rêves n’ont pas évoqué l’enfance dans le sens où les personnages familiaux n’apparaissaient pas mais à bien y regarder, la peur d’être manipulée, abusée se manifestait tout de même. Je croyais avoir été volée mais ça n’était pas le cas. Il y avait toute l’apparence d’un vol, porte d’entrée enfoncée mais il ne manquait rien à l’intérieur. 

Cela est significatif et rejoint la pensée de Daniel Miron dans le sens où ce qui nous poursuit de notre enfance et crée des maladies, c’est l’interprétation des faits d’alors. La projection de la croyance et plus celle du trauma. 
Ce qui a été mis en scène dans ces deux rêves où à chaque fois la peur d’être volée s’exprimait, c’est justement le mode de pensée, la croyance élaborée sur l’interprétation des faits et les stratégies employées pour se préserver. En l’occurrence l’accusation et le repli sur soi. 
Concernant la différence entre l’inconscient et le subconscient, il semble que ce dernier soit la mémoire émotionnelle des faits, et les croyances qui ont été élaborée alors. L'un est universel et l'autre subjectif.