Réveillée
à 5h toute étonnée de ce qui m’est arrivé dans la nuit. En effet, j’ai été
réveillée à minuit avec des crampes dans le bas ventre, d’une violence rare.
J’ai passé près d’une heure à envoyer de l’amour sur toute la ceinture abdominale,
sans que la douleur ne cesse.
Il me semblait que ça se promenait des reins au chakra racine en passant par le bas du ventre.
Ce qui m’a surprise, c’est le fait que ça vienne brusquement sans aucune raison logique. J’ai supposé que c’était quelque chose que je libérais. Puis, j’ai fini par me dire, peut-être qu’il faut que j’appelle le toubib.
Il me semblait que ça se promenait des reins au chakra racine en passant par le bas du ventre.
Ce qui m’a surprise, c’est le fait que ça vienne brusquement sans aucune raison logique. J’ai supposé que c’était quelque chose que je libérais. Puis, j’ai fini par me dire, peut-être qu’il faut que j’appelle le toubib.
Quand
j’ai imaginé le faire, je me suis dit qu’il me donnerait un médoc, voire me
ferait une piqûre. J’ai donc décidé de prendre un bout de cachet. Bien qu’un
peu dégoûtée d’avoir le sentiment de baisser les bras, de céder à quelque
chose.
Puis des idées du style : merde, j’ai le moyen de ne plus souffrir, autant me soulager. Le résultat a été presque immédiat !
Jusqu’à ce que je lise ce que j’ai copié collé plus bas. Là, en lisant ça, j’ai compris que je libérais quelque chose de « génétique ». Que je portais en moi, des traumatismes liés à ma famille, aux femmes, en particulier. Le viol de ma mère, ma grand-mère enceinte du châtelain du coin, laissée seule avec son enfant et que sais-je encore !
Les larmes qui sont montées pendant que je lisais, ont fini de me confirmer ça.
Cette nuit j’étais désappointée par le fait de ne pas comprendre ce qui m’arrivait, j’avais beau chercher, je ne trouvais pas. Le seul réflexe qui m’est venu d’envoyer de l’amour et bien que ça ne m’ait pas soulagée, j’ai persisté. Je pense qu’une fois de plus, j’ai bien fait. C’était réellement ce qu’il fallait faire. Le retour dans mon enfance effectué l’après midi pendant la méditation, m’a montré que je ne portais plus de séquelles de cet épisode de ma vie puisque j’ai pu y retourner sans aucune peine, sans aucune émotion et que j’ai envoyé beaucoup d’amour sur l’enfant que j’étais. J’ai eu des questions que je poserais à ma mère concernant des moments, des situations que je m’explique mal. Il va falloir que je les note pour les lui poser, dimanche. Non seulement ça me permettra d’éclairer ma compréhension mais ce sera peut-être aussi l’occasion pour elle, de libérer des événements du passé.
Puis des idées du style : merde, j’ai le moyen de ne plus souffrir, autant me soulager. Le résultat a été presque immédiat !
Jusqu’à ce que je lise ce que j’ai copié collé plus bas. Là, en lisant ça, j’ai compris que je libérais quelque chose de « génétique ». Que je portais en moi, des traumatismes liés à ma famille, aux femmes, en particulier. Le viol de ma mère, ma grand-mère enceinte du châtelain du coin, laissée seule avec son enfant et que sais-je encore !
Les larmes qui sont montées pendant que je lisais, ont fini de me confirmer ça.
Cette nuit j’étais désappointée par le fait de ne pas comprendre ce qui m’arrivait, j’avais beau chercher, je ne trouvais pas. Le seul réflexe qui m’est venu d’envoyer de l’amour et bien que ça ne m’ait pas soulagée, j’ai persisté. Je pense qu’une fois de plus, j’ai bien fait. C’était réellement ce qu’il fallait faire. Le retour dans mon enfance effectué l’après midi pendant la méditation, m’a montré que je ne portais plus de séquelles de cet épisode de ma vie puisque j’ai pu y retourner sans aucune peine, sans aucune émotion et que j’ai envoyé beaucoup d’amour sur l’enfant que j’étais. J’ai eu des questions que je poserais à ma mère concernant des moments, des situations que je m’explique mal. Il va falloir que je les note pour les lui poser, dimanche. Non seulement ça me permettra d’éclairer ma compréhension mais ce sera peut-être aussi l’occasion pour elle, de libérer des événements du passé.
Ce qui
m’a frappé, dans ce qui suit, c’est le passage où il est question de chirurgie
esthétique et le fait que l’on puisse guérir, modifier les programmes
génétiques, en élevant le taux vibratoire.
Je me rends compte, d’une part, que je porte quelque chose qui ne m’appartient pas ou du moins, qui est antérieur à mon enfance et d’autre part, que le fait que je prenne des cachets, ressemble à une forme de chirurgie esthétique que je ferais, au niveau du corps émotionnel. La façon dont le mini bout de cachet m’a soulagée, est significatif.
Je vais effectuer une libération de mon corps émotionnel, du programme de souffrance féminine lié aux abus sexuels en tout genre. Je porte ses souffrances spécifiques, des deux côtés de mes parents. Mon père aussi a été victime de ce genre d’abus. J’ai toujours eu le sentiment de devoir casser le cycle et je me disais que le fait de ne pas avoir d’enfant, découlait de ça. Bien que je me disais que je faisais les choses à moitié, maintenant que je sais comment libérer les émotions, je me dis que oui, c’est réellement ce que je suis venue faire dans cette vie et que la façon dont je le fais est réellement la bonne. Les larmes veulent sortir mais ont du mal.
Je sens
que dans cette libération, non seulement je me guéri mais qu’en plus, je guéri
ma famille, les femmes et mon père.
Tout ceci m’amène encore plus à accepter le fait de prendre des cachets qui sont en fait un soutien pour libérer ce programme, sans souffrir et ainsi, rehausser le taux vibratoire, facilement. Car comme le poids de ce que je porte, est énorme puisqu’il est question ici, des souffrances véhiculées de générations en générations, il est évident que n’étant pas sauveur mais juste catalyseur d’amour afin d’inverser le processus de non amour qu’entraîne ce genre de traumatisme et que la charge émotionnelle est immense, bien que ma présence divine soit toute puissante, l’aide qu’apporte les médicaments, est destinée à aider ma personnalité humaine, mes corps liés au chakra du bas, à guérir facilement, du moins sans douleur.
Déjà, il y a peu, il m’est venu l’idée que si j’avais la possibilité de prendre des cachets qui soulagent ma douleur, me permettent de prendre du recul au niveau émotionnel et ainsi de pouvoir réfléchir sereinement à comment guérir, ce serait stupide de ne pas en profiter.
Alors, une bonne fois pour
toutes, je continue de prendre des cachets tant que mon corps émotionnel, mon inconscient en ont
besoin.
Je continue de libérer ce corps,
énergétiquement sans aucune culpabilité en remerciant le fait de pouvoir le
faire sans souffrir et ainsi élever mon taux vibratoire facilement.
J’écoute mon âme qui m’inspire et
arrive à le faire malgré ou grâce à ces cachets.
J’accepte ce rôle de libératrice
des émotions et de leur charge énergétique, pour moi-même et pour ma famille.
Je reconnais en cela, ma mission
de vie, le choix de mon âme.
Je continue d’accepter ce qui est
et ainsi, de vivre à partir de mon cœur.
Je viens
de lire la lettre de Joéliah que je reçois depuis 2006, je crois, j’en copie
colle un extrait :
« Et pourtant, là encore, cet héritage n'est pas dû au hasard. Il n'y a pas un méchant lutin qui choisit à qui ira la tare familiale... mais le taux vibratoire de l'âme qui attire automatiquement les expériences possibles à vivre dans le but de les libérer.
Les
programmes emmagasinés dans l'Adn font la différence.
C'est là
que se trouve le code cosmique divin. Le codage de la vie.
Et heureusement, ce codage peut changer ! Car le but est d'être rayonnant d'amour authentique et neutre.
Tout comme des programmes informatiques qui peuvent être ajoutés ou retirés, améliorés ou modifiés, tout est possible.
Parfois, le travail d'un chirurgien esthétique peut aider à supprimer un défaut physique qui dérange et si la personne s'aime enfin avec une nouvelle forme, le programme peut se libérer grâce à l'élévation du taux vibratoire. Ainsi, elle peut modifier les données dans l'Adn et ne pas reproduire ce schéma chez les prochains héritiers.
Mais si malgré une transformation apportée par l'extérieur, la personne ne modifie pas son taux vibratoire intérieur par un ajout d'amour, rien ne change dans les données.
Elle
peut même se déplaire encore plus et transmettre ce désamour aux suivants...
car l'information, le codage n'est pas libéré.
La meilleure guérison possible de l'héritage génétique est de remercier et bénir pour tout ce qui est donné, de libérer en conscience ce que nous ne désirons pas poursuivre comme programme et d'apporter un plein d'amour à tous ses corps et à toute sa famille !
Par exemple, répéter avec un vrai ressenti de paix, de puissance et de foi jusqu'à ce que ce soit bien évident ; 'même si elle n'est pas comme je l'aurai rêvée, j'aime ma famille comme elle est et j'en suis totalement libre' permet d'ajuster les programmes dérangeants et de neutraliser les programmes défaillants et ça aide toute la famille !
Il est
possible de faire un traitement EFT en même temps.
'J'aime la vie et je me libère de tout programme familial et génétique restrictif' peut aider aussi à la libération familiale de toute l'humanité et de transmettre un héritage plus sain.
C'est ainsi, qu'unis à notre divine source d'essence spirituelle, nous pouvons vivre dans la substance de la matière de manière harmonieuse et libre.
Merci mon âme de m’avoir éclairée et guidée dans cette importante libération à faire. Merci la douleur, de m’avoir révélé ma mission, le choix de mon âme, mon choix. Merci à mon corps mental d’accepter de suivre le cœur. Merci, mon corps émotionnel de t’exprimer malgré ou grâce aux cachets. Tout est parfait.
Le fait de me dire que je participe à cette importante libération, me fait aimer encore plus ma famille et de savoir que j’ai peut-être participé à la création de ce programme destructeur, me libère de me croire « sauveur » me permettant de tenir ce rôle de déprogrammatrice en toute humilité. Les cachets me permettant de le faire dans la facilité, sans souffrance et dans la joie.
Alors,
le programme du jour, mes corps, c’est de libérer dans la joie, d’élever le
taux vibratoire dans l’harmonie, dans l’unité de tout ce que Je Suis, de ce que
nous sommes.
Tout
coïncide, tout se met en place pour que je comprenne plus et mieux alors merci
ma vie.
Je
libère définitivement le sentiment de culpabilité, d’illégitimité, d’indignité.
Je
remercie ma douleur pour le trésor de connaissance qu’elle m’a offert, je
libère cette douleur avec gratitude et l’autorise à retourner à la source père
mère.
J’honore cette incarnation,
chacun de mes gestes qui sont la réponse physique aux appels de mon âme. TOUS
mes gestes.
Plus que jamais, je fais comme je
le sens !
Je remercie tous mes corps pour
leur rôle décisif respectif et pour l’harmonie créée, l’unité retrouvée. Mon
cœur est rempli de tendresse et de respect pour tout ce que je suis. Je m’aime
d’un amour sincère et reconnais la valeur de ma route, son caractère
exceptionnel, unique ! Merci aussi à mes cellules !
J’ai
pris un gros bout de cachet en plus, histoire d‘être cohérente avec moi-même.
Tant que je ne trouve pas le bien-être intérieur, que j’ai des libérations à
faire, je continue ! Un truc qu’il faut aussi que je vire de mon
inconscient, c’est l’idée qu’il faille souffrir mais aussi l’idée d’accepter le
plaisir comme quelque chose de légitime et qu’il n’y a aucune culpabilité à
entretenir à ce sujet.
Une chose importante, c’est que tant que cette foutue date du 21 décembre n’est pas passée, il va falloir inverser la tendance générale, à dramatiser.
L’inconscient
collectif est chargé de tout un tas de trucs dont la liste est longue :
Les
peurs : peur de la fin du monde, peur du jugement dernier. Tout ceci
entraîne la culpabilité, le renforcement des notions de bien et de mal,
l’auto-critique, le jugement, la recherche d’un coupable extérieur, d’un bouc
émissaire, d’un sauveur…
Il semble logique que tout ça soit amplifié. Comme je suis très intéressée par l’ascension et que finalement, je me considère comme travailleuse de lumière même si jusqu’ici, je ne me le suis jamais réellement dit clairement, plutôt que d’en subir les conséquences, de me sentir happée par les émotions des autres et donc par les miennes, je choisi délibérément, d’être une travailleuse de lumière active et appelle toute l’aide possible du monde invisible pour ce faire.
Je me suis rarement engagée sauf le jour de mon baptême et ne le fais que pour quelque chose qui me tient réellement à cœur. Il va sans dire que la majorité de mes pensées, de mes centres d’intérêt, se tourne vers tout ce qui est spirituel, la foi en l’humain divin, la progression spirituelle dans le sens de la reconnaissance de ce que je suis en vérité.
Bien que je sois loin d’être une sainte, j’aspire cependant à arriver à aimer tout ce qui est, du même amour, d’un amour inconditionnel. Ce mot revient très régulièrement dans ce que j’écris et comme il n’y a pas de hasard, je considère que c’est mon but principal, essentiel.
Cet amour inconditionnel, je veux le vivre premièrement vis-à-vis de moi-même.
Je
considère, à partir d’aujourd’hui, que je m’engage dans la voie du cœur, de
l’acceptation de tout ce qui est. Il n’est pas question, parce que je n’en suis
pas encore capable, de tout gober, sans réagir, mais plutôt de me tourner vers
mon cœur, vers cet objectif choisi, l’amour inconditionnel de TOUT CE QUE JE
SUIS. J’ai bien dit tout.
Alors, le saboteur intérieur qui n’est autre que mes pesées restrictives, limitatives, motivées par la peur, le conditionnement du mental, je te libère dans l’amour et la lumière de mon être, j’annule tout programme de sabotage intérieur, tout ce qui m’empêche de m’accepter telle que je suis maintenant. Avec mes défauts, mes qualités, mes peurs et me espoirs. Je peux, cependant, libérer énergétiquement tout ce qui ne convient pas à mon nouveau cadre de références.
Alors, le saboteur intérieur qui n’est autre que mes pesées restrictives, limitatives, motivées par la peur, le conditionnement du mental, je te libère dans l’amour et la lumière de mon être, j’annule tout programme de sabotage intérieur, tout ce qui m’empêche de m’accepter telle que je suis maintenant. Avec mes défauts, mes qualités, mes peurs et me espoirs. Je peux, cependant, libérer énergétiquement tout ce qui ne convient pas à mon nouveau cadre de références.
Je
choisi de laisser mon être intérieur, me guider vers ce qu’il y a de meilleur,
de me guider sur la voie de l’acceptation de tout ce que je suis. Maintenant
que j’ai compris que sa volonté, c’est que je m’aime inconditionnellement, je
place ma confiance en lui et décide de ne plus rien vouloir d’autre que d’être
ce que je suis, dans l'instant.
Vous
pouvez diffuser ce texte à condition d’en respecter l’intégralité, de ne rien
modifier (sauf correction des fautes d'orthographe), de citer l’auteur :
Lydia Féliz, ainsi que la source : http://lydiouze.blogspot.fr et ces trois lignes. Merci