mardi 15 janvier 2013

Lundi 10 décembre





Tombée du lit à 4h, j’ai la patate dans ma tête ! Je viens de relire ce que j’ai écrit hier et ça m’a fait marrer ! C’est épatant de voir à quel point j’arrive à changer d’état d’esprit. D’ailleurs, que ce soit du positif au négatif, comme l’inverse. 

Jeshua dit que lorsque on arrive à un stade où on n’arrive plus à comprendre, qu’on est au bout de ses capacités psychologiques, on fini par jeter l’éponge et que c’est justement ça qui fait qu’on est éclairé. C’est tout à fait vrai, je le confirme pour l’avoir vécu ne serait-ce qu’hier.
Le fait de se dire, "bon là, je sature" amène à se positionner dans son cœur, à ne plus lutter et finalement à laisser le divin en soi, s’exprimer. Ce qu’il ne tarde pas de faire. 
Se positionner dans son cœur, c’est juste faire un truc qui rehausse le taux vibratoire, faire quelque chose que l’on aime, vider son sac en écrivant, en dialoguant avec le divin en soi. 

C’est dingue comme c’est simple et comment on se complique la vie. Le problème, ce sont les fausses croyances du style, "il faut en chier pour vivre", "il faut se sacrifier pour être digne d’entrer en contact avec Dieu"…
 
Déjà, Dieu n’est pas un être extérieur à soi, éloigné, il est en soi, intimement proche, puisque c’est la partie de nous-mêmes, toujours présente, disponible, intelligente constituée d’amour et de lumière, ce qui veut dire qu’elle aime inconditionnellement, ne juge pas, ne colle aucune pression puisqu’elle sait qu’on avance jamais dans la contrainte, dans la lutte. 
Elle est un mélange d’amour et de connaissance parfaite, disponible à chaque instant, une banque de donnée vivante qui nous permet d’accéder à tous les savoirs de l’univers. 

Pour ce qui est de se connaître intérieurement, nous sommes pourvus de corps qui nous permettent de le faire. Le corps émotionnel relié à l’âme, nous enseigne au sujet de ce qui se cache dans notre inconscient que notre corps mental peut rectifier en laissant l’amour du divin en nous, guérir ce qui doit l’être par sa présence d’amour et de lumière. 

C’est comme si on mettait une information à traiter dans le cœur, qui transmet à la banque de donnée pourvue d’un logiciel purificateur d’énergie et d’un logiciel éclaireur d’information qui restitue l’info de base, éclairée par la connaissance universelle. 
C’est quand même bien foutu ! 
Je suppose que le cœur libère déjà l’info des notions de bien et de mal et la restitue allégée à l’esprit. Du moins, elle la traite avec plus de neutralité que la personnalité humaine et la débarrasse des énergies lourdes de façon à atteindre la fréquence vibratoire qui permettra à l’info d’arriver jusqu’à la présence divine. 
Je précise ça parce qu’il semble obligatoire qu’une info ait une certaine fréquence pour arriver jusqu’au niveau du divin. 

En quelque sorte si on prie, ou si on demande au divin en soi de nous éclairer en ayant des pensées de basses vibrations, ça n’est pas qu’on est rejeté parce que jugé impur, mais plus que la demande ne s’élève pas suffisamment haut pour être audible par le divin. 

On ne peut pas tricher en essayant de feindre l’amour puisque c’est notre sincérité de cœur qui définit notre taux vibratoire. En bref, on ne peut pas demander quelque chose avec des mots flatteurs, fayoteurs, suppliant puisqu’ils sont porteurs de vibrations basses. 
De même que des mots sophistiqués ne garantissent pas du tout l’écoute du divin. 
Pour cette raison, un enfant sera plus facilement entendu, parce que sa demande sera sincère, appuyée par la bonne vibration, l’émotion porteuse de vibration élevée.

Mine de rien, la volonté d’être dans le cœur, commence à porter ses fruits pour peu que je ne retombe pas dans le doute, la peur, le jugement.
Il suffit de se faire confiance en totalité et d’affirmer : TOUT EST BIEN, pour changer son regard sur les choses. Comme si cette formule était magique. Évidemment puisqu’en elle-même, elle porte la vibration de lâcher-prise, de la confiance en soi et au divin qui nous habite, pourvu que ce soit sincère.

Il y aurait donc des mots porteurs de vibration élevée qui nous donnerait un accès direct au divin. Logique puisque le verbe est puissant.
Pour cette raison, certains sont à bannir du vocabulaire. Pas parce qu’ils sont mauvais mais simplement parce qu’ils sont lourds vibratoirement. Le tri ne se fait pas à travers des notions de bien et de mal mais par rapport à la fréquence. Il semble que ce soit le critère de sélection du cœur. Il reçoit une info, la trie et l’envoie au divin qui la reçoit selon la hauteur de la fréquence.

Les mots à bannir :
Souffrance, sacrifice, difficulté, combat, lutte, tout ce qui porte en soi une valeur duelle, tout ce qui abaisse, dévalorisation, jugement, critique. La liste est longue !

Les mots magiques :
Amour, joie, plaisir, bonheur, rire, sourire, épanouissement, soleil, chaleur, parfum, couleurs, appétit, musique, chants, mélodie, harmonie, équilibre, c’est équitable, la liste est longue ici, aussi !

Chaque mot porte en soi une vibration spécifique qui est accompagné d‘une émotion spécifique et la combinaison des deux, créée un état correspondant. 
L’un amplifiant le pouvoir de l’autre. C’est cette danse qui élève la vibration jusqu’au cœur puis au divin.
Alors, aujourd’hui, plus qu’hier, je vais m’aimer inconditionnellement, surveiller mon langage, mes pensées et utiliser les mots magiques. 
Inverser les mots merdiques en mots magiques histoire de changer la fréquence. 
Ce qui est en soi, une sorte de maîtrise du mental qui ne nécessite aucune contrainte, juste une certaine lucidité. 

Comme un mot est accompagné d’une émotion, le fait de rectifier à la source, la pensée, suffit à inverser la fréquence. Si le changement de mot ne suffit pas, c’est juste qu’il manque de sincérité, de pureté. Là, on peut revenir en son cœur qui changera la vibration par sa vision non duelle. Il épurera l’émotion et la reformulation sera effective.

Il est dit que la fréquence de l’amour divin, c’est 528 Hz. Celui ou celle dont la fréquence énergétique s’élève à cette hauteur, communique directement avec le divin. C’est mathématique ! Pour cette raison, un enfant parviendra plus facilement à ce niveau puisqu’il se place dans l’instant présent, où il n’y a aucune référence au passé ni à l’avenir, aucun jugement, aucune souffrance. 
Les simples d’esprit, sont aussi dans le moment présent, dans le non jugement, dans le simple mouvement de la vie, dans le cœur. Tout se recoupe. 

La répétition quasi quotidienne de ces principes de bases est en fait un moyen de reconditionner le mental pour qu’il finisse par changer son cadre de référence. 
Par cet acte répétitif, il finira par accepter les nouvelles règles du jeu. Car il s’agit réellement d’un jeu.
Celui de maintenir son taux vibratoire au plus haut. C’est cette vision qui est celle du cœur. 
Quand on sait comment ça fonctionne, ça facilite la vie et on comprend la vérité des lois universelles de résonance, d’attraction, de création par le verbe.

Tu vois, mon corps mental qu’il suffit de s’en remettre au cœur pour que la vision change et que le comportement s’y conforme. En même temps je sais que ta façon de faire, répond à ta volonté de m’éviter de souffrir et que tu croyais agir pour mon bien. 

Entre nous, ça n’est pas mieux, plus agréable d’envisager la vie comme un jeu plutôt que comme une lutte permanente pour survivre ? Notre cœur, c’est la porte du divin, par là, nous recevons des enseignements en directe de la source et ceux-ci nous permettent d’avoir un regard positif sur la vie ! 
Ne préfères-tu pas apprendre et comprendre facilement ? Je sais que tu es bienveillant et que tu ne demande qu’à apprendre, comprendre, alors continuons sur ce chemin qui chaque jour, nous offre des trésors de clarté, de vérité plus belles les unes que les autres. 

Les perspectives élargies, nous offrent plus de liberté, l’ouverture du cœur nous rapproche de la source en douceur mais avec certitude. N’est-ce pas plus agréable de se sentir soutenu, porté vers ce qui élève ?

Pour ce qui est des cachets, continuons de faire comme on le sent tout en essayant de rester dans le cœur et en contactant les émotions à petite dose. 
Le matin, nous sommes proches de l’âme et si on ne prend pas de cachets après manger, après la méditation, on est aussi au contact de nos émotions. 
Alors continuons de les visiter, de les libérer, ainsi, on allège notre taux vibratoire. 
Sans se coller de pression, sans compter les quantités, juste en ne culpabilisant pas et en se fixant le seul cadre dans le temps, pas avant d’avoir vidé notre sac ici, et pas après midi. 

Non pour se limiter, se restreindre, au contraire, pour élargir notre vision, la connaissance du corps émotionnel, de l’inconscient et pour être pus facilement, naturellement dans le cœur. On y arrive, mon ami, on y arrive. 
L’important, c’est de pouvoir le constater honnêtement chaque matin en se focalisant sur le progrès plutôt que sur les échecs qui en plus permettent bien souvent de comprendre et d’apprendre. 
Mais comme nous avons décidé de tomber le costume sado-maso, apprenons à rester dans le cœur qui est le garant d’un épanouissement en douceur, sans souffrance ni frustration.

Je viens de lire un article publié hier dans la presse galactique qui parle des arbres centenaires qui meurent en grande quantité. Plutôt que de m’alarmer, je me dis que c’est peut-être à l’humain de prendre le relais, d’être des canaux des nouvelles énergies et ainsi de « remplacer » les arbres dans leur rôle. 
D’autant plus, qu’ils sont peut-être aussi en train d’ascensionner, de s’élever à une conscience plus élevée. Il y a une photo que j’ai téléchargée, d’un chêne de 1700ans ! La folie ! Celui-ci, on peut dire qu’il aime la terre mère, l’humain, sa mission, pour être resté autant de temps, planté au même endroit, voyant défiler plus d’involution humaine que d’évolution ! 
1700 ans, c’est une bibliothèque vivante de l’espèce humaine ! Il a dû en bouffer du gaz carbonique, pour tout ce qu’il a fait pour l’humanité, respect mon ami, respect, soit béni, élevé au plus haut, reçoit tout mon amour et ma reconnaissance, qui sait peut-être avons-nous été en contact lors de ta longue existence sur terre ? 
Bon, deux heures de vidage du mental, de recentrage, de positionnement, je devrais dire parce que la nuit, mes voyages me portent jusqu’au cœur du Je Suis. D’ailleurs, je n’ai pas souvenir d’avoir discuté des formalités de mariage comme je l’ai demandé, hier ! 
Je rigole mais en même temps, je suis très sérieuse, c’est ce que je souhaite sincèrement  que d’épouser, de fusionner avec mon aspect divin !
Je suis arrivée à remplir 4 pages, le mental se lâche ! Allez, une petite image pour illustrer mon état intérieur. 


Vous pouvez diffuser ce texte à condition d’en respecter l’intégralité, de ne rien modifier (sauf correction des fautes d'orthographe), de citer l’auteur : Lydia Féliz, ainsi que la source : http://lydiouze.blogspot.fr  et ces trois lignes. Merci