mardi 15 janvier 2013

L'enfant intérieur




Je considère, tout comme Jeshua, que nos peurs, nos doutes, notre colère, peuvent être symbolisés par un enfant qui demande de l’attention. Voir le message reçu par Pamela Kribbe sur le site jeshua.net/fr : « La peur ».
Cette enfant intérieur souffre depuis la naissance cosmique. 

Au moment où chacun est devenu une âme individualisée, séparée du tout. Nous étions comme dans un bain d’amour, totalement UN avec la source père/mère et pour évoluer, grandir, devenir à notre tour des dieux/déesses, nous avons entrepris de vivre une aventure extraordinaire s’étalant sur des millénaires... 

J' ai compris ce processus, en lisant les messages de Jeshua mais aussi ceux du collectif Ashtar, canalisés par Simon Leclerc. Vous trouverez le message qui parle de ce voyage, : "L'obstacle originel", sur le site: Psychologie de l'âme en cliquant sur "messages offerts",dans la page d'accueil.



La séparation d'avec la source a engendré de la peur et de l'incompréhension. Un sentiment d'indignité, de rejet, d'abandon, de culpabilité, d'isolement. 
Ces traumatismes ont été imprimés profondément en notre âme et appellent à être reconnus, aimés, guéris, dans cette période de révélation, d'éveil, de retour à la source, appelée "ascension".

Jeshua explique cela entre autre dans le message suivant : « La douleur de la naissance cosmique » sur le site: jeshua.net/fr

Un des facteurs essentiels nécessaire à notre apprentissage fut de passer à travers le voile de l’oubli, afin de retrouver notre origine divine, de comprendre ce qu'est l'amour inconditionnel, divin. Mais l'étincelle divine demeure en chacun en ne demande qu'à se révéler, à briller.

Nous avons tous en nous, un enfant perdu en attente de reconnaissance. 
Il s’exprime plus ou moins violemment selon notre degré d’estime personnelle et notre vécu. C'est la part fragile de notre âme qui a besoin d'amour et de lumière, d'attention et de compréhension.

Il est important de ne pas le faire taire et de l'écouter. 
Il a beaucoup à nous apporter. 
Il est aussi notre spontanéité, notre joie de vivre, notre créativité. 
Il sait aimer sans conditions.

Dans la dimension de la dualité, où les contraires sont considérés comme ennemis, le bien et le mal, le masculin et le féminin, il est un moyen de trouver la paix intérieur. En écoutant son cœur, son intuition, on peut entendre notre âme nous appeler à suivre la voie du juste milieu, en aimant sans conditions, tout ce que nous sommes, tout ce qui vit en nous.

En considérant que ces contraires sont issus de la même source divine, que nos ombres sont en fait des messagères qui nous montrent que nous manquons d’amour et de tendresse envers tout ce que nous sommes, en aimant cette ombre pour ce qu’elle est, en étant reconnaissant pour tout ce qu’elle nous permet de comprendre, nous pouvons fusionner le tout et nous élever au-delà de la dualité. 

Ces ombres qui bien souvent nous effraient, nous permettent d’évoluer. 
Quand j’appelle mon être divin à éclairer ma personnalité humaine, ce sont premièrement toutes mes pensées « négatives », mes peurs qui font surface puisque leur charge émotionnelle est plus lourde. C’est au travers de situations désagréables qui vont faire sortir ce qui est caché dans l’inconscient, que je peux voir où en sont mes croyances et ainsi les rectifier.

La part la plus éclairée, la plus lumineuse qui est en nous est éternelle, omnisciente, omnipotente. Ce Dieu intérieur, peut nous amener à guérir de tout, à créer un quotidien heureux, à être capable d'accepter ce qui est, à vivre dans la paix.

Il est une part de ce que nous sommes et en élevant nos vibrations, en choisissant de nous aimer inconditionnellement et d'aimer toute vie de la même façon, nous pouvons fusionner tout ce que nous sommes, personnalité humaine et divine, masculin et féminin...devenir UN comme la source père mère.

C'est ce parcours de progression, d éveil, que je partage avec vous, en toute humilité, en toute sincérité...



Vous pouvez diffuser ce texte à condition d’en respecter l’intégralité, de ne rien modifier (sauf correction des fautes d'orthographe), de citer l’auteur : Lydia Féliz, ainsi que la source : http://lydiouze.blogspot.fr  et ces trois lignes. Merci