Samedi 8 décembre 2012

Je repense à ce que j’ai lu, hier soir et je me dis que le point de vue des femmes concernant l’ascension, est beaucoup plus réaliste, responsable et intimiste que celui des hommes ! Que ce soit, Inelia, Michèle Erena ou Carmelle Amara, (que vous pouvez lire sur la presse Galactique, à la rubrique "chroniqueurs"), on est dans la même vision de l’humain qui s’est interrogé de façon personnelle. Les hommes, eux, reçoivent des messages de Sirius, des Pléiadiens, d’extra-terrestres qui parlent de l’aspect économique, planétaire, de l’ascension.

Soit c’est leur propre idée qui filtre les messages, ils attirent des êtres de l’astral par effet de résonance, selon leur vision de ce que devrait être l’ascension. 
Remarque il est vrai que si il doit y avoir un changement planétaire à une date précise, une intervention extérieure semble nécessaire, vu l’état du monde. 

Je pencherais plutôt pour ce que dit Inelia, à savoir que ce sont les humains qui vont changer le monde, par leur éveil, qui correspond à la façon de se voir, et la découverte de la vérité de l’humain divin, qui ne peut que faire que les choses changent mais progressivement, par effet de résonance, d’inter reliance. 
Le 21 décembre qui correspond à l’alignement de certaines planètes, aura une influence sur tout le monde, mais de là à provoquer un changement radical, j’ai des doutes. 

Évidemment, si un nombre important de gens se maintient dans la peur, l’effet risque d’être violent ! Pour cette raison, il est utile qu’un maximum de gens se rende compte dans un premier temps, de la manipulation de masse effectuée par les dirigeants, les médias, pour justement amplifier le doute et la peur. Les méditations mondiales ont aussi leur utilité. Un truc qui représente un signe d’ouverture de conscience planétaire, c’est la création de l’état de la Palestine ! Depuis le temps que perdurait l’injustice ! 

Les mouvements écolos, les mouvements citoyens, les sites d’éveil, de croissance personnelle, en fait, tous ont leur utilité dans la mesure où ils aident l’humain à prendre conscience du monde qui l’entoure et à se responsabiliser. Puis, il y a tout les gens comme moi, qui se fient à leur voix intérieure sans forcément en parler mais qui vivent une ouverture de cœur et de conscience lentement, mais sûrement. La voix intérieure étant amplifiée par celle des channels, des gens qui partagent leur inspiration. Personnellement, le moment de mettre ce journal en ligne, n’est pas encore venu. 

Il ne viendra peut-être jamais ! Comme j’ai décidé de ne rien changer d’ici au 21 décembre, et à moins de toucher une somme d’argent suffisante pour le faire, ça n’est pas prévu.

Il semble qu’en atteignant le seuil critique de 144 000 « éveillés », l’humanité entière ouvrirait son cœur et sa conscience à l’humain divin, à la notion d’unité plutôt qu’à celle de la dualité.

Si je fais le bilan de ces deux années où j’ai quotidiennement déversé mon âme dans ce journal, je peux voir que l’ouverture de la conscience procède en plusieurs étapes qui se répètent, en forme de spirale. 
Tout commence par l’ouverture du cœur qui peut arriver par le pardon envers les autres ou toute forme d’amour qui va amplifier l’énergie d’amour lumière en la personne. 
Cet apport va élargir la conscience qui va elle-même ouvrir un peu plus le cœur, qui ouvrira plus la conscience…
Là où souvent ça coince, c’est qu’inévitablement, ces ouvertures successives amènent à plus de lucidité sur tout ce qui est en la personne au niveau du conscient et de l’inconscient. Au moment où le corps émotionnel se lâche et que ce qui était caché, refoulé, ressort. Là, on peut être submergé par les peurs au point de s’y sur identifier et de rebrousser chemin en doutant de soi, en s’auto-critiquant.

Ce qui ferme le cœur qui a sont tour, verrouille la conscience.

Le principe d’évolution d’un être est relativement simple, ce qui l’est moins, c’est de faire face à ses « démons ». Les religions ont tellement amplifié les notions de bien et de mal que l’inconscient humain en est imprégné au point de croire au diable et de s’imaginer que par la culpabilité, le « pêché originel », il va découvrir en lui, un horrible monstre qui n’est en fait qu’une ombre sans consistance. 
Bien que les peurs puissent sembler très réelles et immenses, si on les considère comme de simples messagères divines, de l’âme, non seulement, elles perdent leur consistance mais en plus, elles délivrent leur trésor de compréhension. 

Alors je me dis que d’oser les regarder en face, vaut vraiment la peine  et ne comporte absolument aucun risque! Je sais, je dis ça lors qu’il me faut une certaine dose de cachet pour y arriver. Mais à mesure que la confiance en soi s’installe et où je comprends le processus, je m’en libère psychologiquement. Et l’humain ou du moins, je suis ainsi faite qu’une fois que quelque chose est accepté par le corps mental, les autres corps suivent. 
Et même s’il m’arrive encore d’avoir des peurs, de la tristesse et du doute, je me laisse beaucoup moins embarquer par eux. Je m’y identifie de moins en moins. 

C’est là où la patience et la confiance en soi entre en jeu ! Chaque humain possède en lui tous les outils pour sa progression, la découverte de ce qu’il est vraiment. Cette connaissance amène la responsabilisation qui aboutit à la souveraineté, l’autonomie dans tous les domaines. C’est ça le pouvoir divin, en chacun. 
La capacité à se voir tel que l’on est qui amène à ne pas avoir peur tant de ses ombres que de sa lumière. Bien que le fait de libérer les émotions ne soit pas toujours spectaculaire, c’est d’une grande efficacité, merci Inelia de partager cette connaissance.

Depuis longtemps, je sais que le cœur est la porte, la solution et je suis heureuse de l’expérimenter chaque jour un peu plus. Comme disais Jésus, la première loi, c’est d’aimer dieu et son prochain comme soi-même, et il a ajouté le truc c’est qu’il te connaisse Dieu, ou quelque chose comme ça. C’est un raccourci qui veut dire qu’en s’aimant premièrement, on accède à la connaissance de qui on est en vérité, un humain divin omniscient, omnipotent et omniprésent. 
Et plus on s’aime inconditionnellement et plus le regard qu’on porte sur soi est neutre et plus la lumière grandit. Plus l’intelligence nous éclaire. Mieux on comprend comment on fonctionne, de quoi on est constitué et plus on arrive à s’aimer. Plus on s’aime et plus on entend la voix de son âme. Là est l’effet spirale ascendante.

Je suis tombée du lit à 3h45, ce matin. Un mélange d’empressement à être éveillée et la peur de ce qui vient. Tant que la peur du 21 est dominante, je continue de ne pas l’amplifier par la prise de cachets. Plus je libère mes peurs, mes doutes, tout ce qui est inscrit dans la mémoire cellulaire, dans l’inconscient, et plus je m’allège énergétiquement, plus je prends d’assurance et devient apte à m’élever au-delà de la dualité. 

La notion d’unité s’installe peu à peu à travers l’harmonisation de mes corps, la cohérence qui en résulte m’amène à être plus dans le cœur d’où la perspective sereine permet un regard neutre sur tout évènement et amène à me dire « tout est bien ». 

Reconnaître ce principe équivaut à reconnaître le divin en soi. Et la reconnaissance de qui on est en vérité, libère des limitations de la personnalité, ouvre les portes de l’éternité. 
On trouve le divin en soi, en écoutant son ressenti, sa voix intérieure. 
Il faut pour cela, apprendre à se faire confiance. 
En ayant du recul sur sa vie, en étant objectif, on peut voir que tout s’est déroulé à la perfection et que seules, les émotions que l’on a projeté alors, sur les événements, les ont rendu désagréables. 
Tout ce que l’on a jugé « négativement » au moment où on l’a vécu, s’est avéré être un déclencheur d’ouverture de cœur ou de conscience, une marche montée vers la connaissance, une expérience enrichissante.

Si on regarde sa vie, au moment présent, avec confiance, sachant que chaque événement qui pourrait être perçu comme dérangeant, désagréable est en fait le moteur qui propulse vers plus d’amour de soi, de confiance et plus de compréhension, on devrait s’en réjouir ! C’est là que ça n’est pas évident mais tout à fait réalisable. Sachant que plus d’amour et de confiance en soi amène à mieux comprendre et nous place dans la spirale ascendante, on peut alors sincèrement se dire : TOUT EST BIEN !

Je sens que je me rapproche chaque jour un peu plus, de ma guérison, de ma délivrance de toute dépendance. Celle des cachetons est en fait la moindre comparée à la dépendance à mes propres peurs, mon passé et son cortège de fausses croyances. 

Pour cette raison, libérer les émotions, qui révèlent les fausses croyances, permet l’épuration intérieure, le grand nettoyage qui laisse émerger la vérité de l’humain divin, de l’être divin caché en chacun. 
Le truc, ça n’est pas d’éliminer un des deux aspects mais de les faire cohabiter amoureusement. 
D’assumer autant l’un que l’autre, aimer autant sa puissance que ses faiblesses. 
Pour ça, il faut avoir libéré la peur qui y est rattachée. Peur de son aspect humain, de faire les mauvais choix, peur de la mort, de la maladie, de la souffrance…Peur de son aspect divin, peur de sa puissance, peur d’être soi-même…

Mon estomac me titille ! Mon corps mental, j’apprécie énormément que tu fasses de plus en plus confiance à notre cœur, ne t’effraie pas et n’oublie pas ce que je t’ai demandé hier, comme une grande mission, de changer ton cadre de références et de voir à travers la vérité que « tout est bien ». 
Je ne te colle pas la pression et te demande toujours ta participation active dans la libération des peurs et des fausses croyances. Ton rôle étant de localiser l’énergie bloquée et de formuler l’amour et la lumière qu’on lui apporte. 
Ce qui te demande une phase d’écoute et d’attention, de silence. 

Je sais que c’est difficile pour toi mais c’est indispensable à la réussite du processus. Tu as pu constater par toi-même, l’efficacité du truc ! Allez, je t’invite à libérer la peur de la puissance divine.

J’ai choppé le réflexe de chatouiller la terre mère avec les racines de mes pieds, quand je suis sur le trône et cette fois-ci, j’ai fait un hug à mon soi futur, en passant par la couronne. Je suis contente de m’en rapprocher de plus en plus ! Dis donc, soi futur, je suppose que tu sais comment soulager le mal au bide, comment déclencher un déversement d’endorphines dans cette partie du corps ; peux-tu me le dire. 

Honnêtement, si je pouvais le faire, ça m’éviterait d’être poussée à prendre un bout de cachet. Parce que même si je sais que c’est en acceptant ce geste que je le désacraliserai, je m’impatiente d’en être capable, j’ai envie d’être totalement moi-même. Patience Lydiouze ! Ce surnom est celui que j’avais gamine. Certainement parce que j’avais le blues ! Il est vrai que je n’ai pas souvenir d’avoir été une enfant gaie, extravertie. C'est d'ailleurs l'adresse de ce blog. J'en ai eu marre de voir toujours le même message, "déjà pris", quand j'inscrivais un nom de domaine.

Vous pouvez diffuser ce texte à condition d’en respecter l’intégralité, (photo comprise) de ne rien modifier (sauf correction des fautes d'orthographe), de citer l’auteur : Lydia Féliz, ainsi que la source : http://lydiouze.blogspot.fr  et ces trois lignes. Merci