Ce matin, je me suis réveillée irritée, en colère contre les voisins qui me font chier.
Depuis que j’ai écouté les méditations d’ouverture du cœur de Tom Kenyon, (que vous pouvez lire dans La presse galactique) je suis bougon. Couchée à onze heures, réveillée à minuit par les voisins, levée à cinq heures et la simple vue de la voiture de l’autre larbin de la grosse aux deux fils gras et envahissants, satisfaits d’eux-mêmes, égoïstes, narcissiques, sans gêne…Je fais exprès de dresser la liste de tout ce qui me dérange chez eux de façon à voir ce qui cloche en moi.
En
effet, je me disais que ça faisait bien longtemps que je m’étais réveillée en
colère, à ressasser des pensées négatives et je viens juste de faire le lien
avec les méditations d’hier. Tom précise que l’ouverture de chakra amenant plus
de lumière, automatiquement, ça éclaire l’ombre intérieure ce qui permet de
voir encore plus profondément ce qui n’est pas en accord avec le cœur, et qui
se loge au niveau inconscient de la personne, de manière à pouvoir libérer,
purifier encore plus la personnalité. Vu sous cet angle, ça change tout !
Ce qui
pourrait être perçu comme une erreur, comme un signe que les méditations ne
servent à rien ou sont de source peu certaine, est au contraire un apport
supplémentaire de lumière qui prouve l’efficacité de l’outil et du processus.
Ce qui aurait pu semer le doute, en fait, me donne plus de foi en mon chemin, me montre que j’avance et que suivre mon intuition est Ma vérité. Chaque découverte, chaque émergence d’un « défaut », issu de l’inconscient, est un pas vers la libération, la responsabilisation, qui est aussi la puissance qui s’accroît.
Par l’opportunité de pouvoir libérer ce qui est inapproprié en soi, la personnalité se purifie amenant à engranger encore plus de lumière, de connaissance et en libérant, à s’emplir encore plus d’amour par la circulation énergétique de cette énergie guérissante.
Voyons ce qui est positif, dans tout ça. Le fait de ne pas avoir cédé à la tentation de l’innocence en prenant un bout de cachet pour ne pas sentir ces émotions de colère, est en soi, un énorme progrès ! Maintenant, je vais libérer la colère à la façon d'Inelia. Le sentiment d’injustice, j’ai aussi remercié ma personnalité humaine, mon ego, d’avoir cédé aux appels du cœur, d’avoir répondu à la demande de libération de l’ancien. On va y arriver mes corps, pourvu que l’on écoute et suive le cœur.
Bien que je sois heureuse d’avoir eu le bon comportement dans la gestion des émotions, le fait de me les approprier, j’ai quand même pris un bout de cachet pour soulager mon bidon. Se regarder en face, oui, mais pas en souffrant excessivement. Je veux y arriver pas à pas, en douceur et me contente de ce pas en avant vers la libération par la prise en charge de mes émotions.
Je lâche aussi le jugement de l’autre, la critique. L’auto-jugement et l’auto critique par la libération et la prise du cachet qui constitue le signe de l’acceptation de mes faiblesses aussi.
Il n’est pas question d’être dans la lutte, la performance, il n’y a rien à prouver, juste à être de plus en plus consciente de ce que je suis, tant au niveau humain, que divin.
Je me suis mise la bande de laine autour du bidon pour réchauffer les muscles et les détendre. J’ai encore mal mais ça va en s’améliorant. Je vais peut-être aller me recoucher, maintenant que le feu est ravivé.
Présence divine, je viens de faire ma part en prenant en charge mes émotions, à toi d’agir pour que cesse la douleur au bide ! Bien que ça soit moins violent, je souffre encore.
Ce qui suit, est un copié collé du bout d’une interview de Gitta Allasz, femme, artiste qui a vécu la guerre 39-45 et a vu des anges, avec trois compagnons à elle. Ce qu’elle a appelé anges était son Moi universel
"L'Ange,
je l'ai ressenti comme notre complément essentiel, comme notre pareil de
lumière. Il est notre moitié vivante, et nous sommes sa moitié vivifiée. Il est
notre préfiguration invisible, et nous, sa figuration dans le visible. Il est
notre pareil intemporel, nous sommes son pareil limité par le temps. Il est
notre moitié intuitive dans l'esprit, et nous sommes sa moitié exécutive dans
la matière. Un jour, lorsque nous serons consciemment unis à lui, nous vivrons
ces deux moitiés de vie simultanément. Ce sera la vie UNE". Lu dans lapressegalactique.com
Ce qui
suit est tiré d’un message de Michel Erena
"En
suivant le chemin pavé d'amour et en ne le quittant pas, vous avez pris la
décision d'accepter la vie telle qu'elle se présente à vous, sachant que tout
ce qui arrive résulte d'une planification sage faite avant de vous incarner, et
que tout répond a un but divin que vous avez volontairement choisi". Lu
dans lapressegalactique.com
Tout, ça veut dire aussi le fait de prendre des cachets, pour mon cas précis.
Oui, je sais, tant que je focalise là-dessus, je suis encore dans l’auto critique !
Alors je dis et répète que je m’aime, en totalité, d’un amour inconditionnel et sincère.
Que les blocages que je me créé sont dus aux attentes, à la pression que je me colle à vouloir forcer les étapes. Alors ACCEPTATION, nous avons l’éternité pour nous libérer.
Et puis, c’est une infime partie de ce que je suis qui se sent prisonnière de l’incarnation. Ce n’est pas une prison, c’est un lieu d’expérimentation !
Je
libère donc, ce sentiment
d’isolement, de séparation et appelle la fusion de tous mes corps. La
guidance de mon cœur et la reddition de mon ego à ce cœur, à cette présence
divine omnisciente, omnipotente et omniprésente.
Deuxième trait, trait d’union, geste d’acceptation. Et si mon âme avait choisi ce moyen pour me faire grandir dans le confort physique ? Puisque tout est bien, pourquoi se poser des questions inutiles ? Puisque tout est bien, TOUT, alors soyons, sans plus chercher à modifier ce qui est, sans vouloir. Vouloir l’approbation.
Plaçons nous dans la confiance que tout est bien.
Je viens
de mettre une machine à tourner et la voisine étale son linge ! Fais chier
ce truc du linge ! Bon, j’envoie une vague énorme d’amour divin sur cette
situation.
Qu’est-ce que ça m’enseigne au-delà de la difficulté de cohabiter ? La difficulté à nettoyer quand on est entouré ? Le fait de se soucier des autres pour ce faire ? J’avoue que je n’y vois pas trop claire. La difficulté à se situer, à s’imposer ? Tout comme dans le problème de parking. Il semble qu’il y ait derrière ça, la difficulté à s’affirmer sans gueuler, sans violence.
Une mauvaise compréhension de l’énergie divine, de l’autorité, du respect, de la force, de l’image du père, de ce qui est au dessus.
Le sentiment d’être rejetée, exclue, non respectée ? Qui me renverrait mon manque d’amour pour moi, ma difficulté à m’accepter en totalité ? Le sentiment d’isolement ? L’idée de séparation ?
Puisque là encore, c’est surtout les films que je me fais qui foutent la merde. La difficulté à partager, en l’occurrence, l’espace ?
Il y a certainement assez de place sur les fils pour que je puisse étaler mon linge d’autant plus que j’ai celui du jardin. Alors, ça serait l’idée que je ne peux être libre d’agir parce que je suis entourée ? Puisque c’est souvent dans ces situations que j’aspire à déménager.
Ma volonté de contrôler les autres ? De changer l’extérieur pour être bien dedans ? Présence divine, à toi d’agir parce que là, je sature, il semble que les limites de ma personnalité humaine, m’empêchent de voir la solution.
Comme je sais théoriquement, quoi faire, je vais envoyer de l’amour et de la lumière sur la situation et laisser venir la solution, en confiance.
Je réitère mon souhait de vivre facilement, de grandir dans la joie, la douceur, la tendresse pour tout ce que je suis, dans l’acceptation de ce qui est. Avec foi, patience et bonne volonté, simplement. Je jette l’éponge sur ce coup là ! A ti te toca présence divine !
Qu’est-ce que ça m’enseigne au-delà de la difficulté de cohabiter ? La difficulté à nettoyer quand on est entouré ? Le fait de se soucier des autres pour ce faire ? J’avoue que je n’y vois pas trop claire. La difficulté à se situer, à s’imposer ? Tout comme dans le problème de parking. Il semble qu’il y ait derrière ça, la difficulté à s’affirmer sans gueuler, sans violence.
Une mauvaise compréhension de l’énergie divine, de l’autorité, du respect, de la force, de l’image du père, de ce qui est au dessus.
Le sentiment d’être rejetée, exclue, non respectée ? Qui me renverrait mon manque d’amour pour moi, ma difficulté à m’accepter en totalité ? Le sentiment d’isolement ? L’idée de séparation ?
Puisque là encore, c’est surtout les films que je me fais qui foutent la merde. La difficulté à partager, en l’occurrence, l’espace ?
Il y a certainement assez de place sur les fils pour que je puisse étaler mon linge d’autant plus que j’ai celui du jardin. Alors, ça serait l’idée que je ne peux être libre d’agir parce que je suis entourée ? Puisque c’est souvent dans ces situations que j’aspire à déménager.
Ma volonté de contrôler les autres ? De changer l’extérieur pour être bien dedans ? Présence divine, à toi d’agir parce que là, je sature, il semble que les limites de ma personnalité humaine, m’empêchent de voir la solution.
Comme je sais théoriquement, quoi faire, je vais envoyer de l’amour et de la lumière sur la situation et laisser venir la solution, en confiance.
Je réitère mon souhait de vivre facilement, de grandir dans la joie, la douceur, la tendresse pour tout ce que je suis, dans l’acceptation de ce qui est. Avec foi, patience et bonne volonté, simplement. Je jette l’éponge sur ce coup là ! A ti te toca présence divine !
Un peu de
lecture et méditation d’ouverture du cœur, suivie de celle de l’Aethos et le
minimum de question, juste de l’action.
Alors, s’il te plait, corps mental, corps physique, conscience, inconscient, corps émotionnel, cœur, âme, bref, tout ce qui me constitue, que l’union se fasse, qu’elle soit vivante, réelle, palpable et que la paix et l’harmonie en découle, amen et amen !
Alors, s’il te plait, corps mental, corps physique, conscience, inconscient, corps émotionnel, cœur, âme, bref, tout ce qui me constitue, que l’union se fasse, qu’elle soit vivante, réelle, palpable et que la paix et l’harmonie en découle, amen et amen !
J’ai
pris conscience d’un truc, hier, c’est le fait que je me sens lésée de ne pas
me sentir mieux que les autres, par les connaissances que j’aie et le
« travail » que je fais sur mes émotions.
Même si c’est un raisonnement mesquin de troisième dimension, je me rends compte que j’ai ça en moi. Sentiment qui réveille celui de subir l’injustice. De se croire victime d’injustice simplement parce que ça se réfère à mon enfance, ce qui me montre que malgré le pardon sincère à mon père, à ma mère et à ma sœur, ça n’est pas si net. Je me prends tous mes défauts, faiblesses carences, en pleine poire !
En même temps, le fait que ça sorte signifie que c’est libéré, reconnu, passé de l’inconscient au conscient, donc là encore, tout est bien.
C’est le processus normal de libération qui s’effectue en profondeur. La seule chose à faire, c’est de s’en réjouir, rien de plus !
Et même si en disant ça, j’espère, au fond de moi, une forme de récompense, je l’accepte comme un fonctionnement logique de ma personnalité humaine, habituée à l’idée de récompense, de punition…
Même si c’est un raisonnement mesquin de troisième dimension, je me rends compte que j’ai ça en moi. Sentiment qui réveille celui de subir l’injustice. De se croire victime d’injustice simplement parce que ça se réfère à mon enfance, ce qui me montre que malgré le pardon sincère à mon père, à ma mère et à ma sœur, ça n’est pas si net. Je me prends tous mes défauts, faiblesses carences, en pleine poire !
En même temps, le fait que ça sorte signifie que c’est libéré, reconnu, passé de l’inconscient au conscient, donc là encore, tout est bien.
C’est le processus normal de libération qui s’effectue en profondeur. La seule chose à faire, c’est de s’en réjouir, rien de plus !
Et même si en disant ça, j’espère, au fond de moi, une forme de récompense, je l’accepte comme un fonctionnement logique de ma personnalité humaine, habituée à l’idée de récompense, de punition…
Bon je vais essayer d’ouvrir mon cœur à l’amour divin, simplement d’accueillir ce qui vient, gros challenge ! Parce que si j’applique la technique de libération des fausses croyances, la liste est si longue, que je n’aurais pas assez de la journée pour y arriver !
L’erreur, concernant l’ouverture du cœur, c’est de croire que l’on va se sentir transporté dans l’extase. Bien que ce soit possible, ça demande avant tout de virer ce qui n’est pas amour, en soi, pour laisser s’écouler cette énergie librement. En fait, elle est toujours présente, ce sont les barrages que l’on se créé qui nous empêchent de la sentir. Bon, je m’y colle en essayant de ne pas trop appréhender.
Autre chose, le fait de garder « secret » ce que l’on vit intérieurement est un moyen de se protéger de ses propres doutes. Par effet miroir, l’autre peut les mettre en évidence et les amplifier. En plus, c’est entretenir une relation intime, proche avec soi-même, plus d’amour, de respect.
Trois
quarts d’heure de relaxation m’ont fait du bien. Des couleurs, de la douceur,
de la chaleur, tout ce qui me fallait pour récupérer de l’énergie. Je vais
aller faire un tour au jardin avec la
Cra, la chienne qui partage mes jours.
Pour
commencer, parvenez à l’essence vibratoire de votre désir — et alors, à travers
la ligne de moindre résistance, la manifestation vous sera envoyée... Travaillez
sur l’essence du sentiment de liberté ; travaillez sur l’essence du
sentiment d’avoir les pleins pouvoirs ; travaillez sur l’essence du
sentiment de Bien-Être... Et comment ferez-vous ? Vous pouvez imaginer
que c’est déjà arrivé et mimer ce que vous ressentirez alors. Ou bien, vous
pouvez chercher des choses qui sont déjà comme ça dans votre vie et focaliser
votre attention dessus jusqu’à ce que cela occupe une part plus importante du
signal vibratoire qui émane de vous.
Abraham,
publié dans lapressegalactique.com
Bon, ça
fait plusieurs fois que je m’endors sur l’écran, je vais me coucher malgré
qu’il ne soit que 19h ! J’ai coupé du bois, ce matin et malgré que j’ai
fait une méditation assez longue cet après midi et que je me sois recouchée, ce
matin, je pique du nez. Inutile d’insister ! Je n’ai même pas faim.
Je me
suis secouée, j’ai mangé léger puis suis allée me coucher à 21h30. Pour ne pas
me réveiller trop tôt demain.
Belle
journée dans l’ensemble, la paix, le sentiment d’avoir avancé, la joie.
Vous
pouvez diffuser ce texte à condition d’en respecter l’intégralité, de ne rien
modifier (sauf correction des fautes d'orthographe), de citer l’auteur :
Lydia Féliz, ainsi que la source : http://lydiouze.blogspot.fr et ces trois lignes. Merci