mercredi 31 mai 2017

« S’ancrer dans le désir d’abandonner la lutte »





28 05 Ce matin après une longue nuit de sommeil, je vois un peu plus clairement les choses au sujet des égrégores et de cette sensation qu'en étant centré dans la paix du cœur, ils se dissolvent ou au moins s'éloignent. Mais en fait de dissolution, c'est plutôt autre chose puisque l'énergie qu'on produit par les pensées et les émotions n'étant plus projetée vers l'extérieur, elle est harmonisée en soi et utilisée pour créer, pour agir. 

En ce sens et à long terme, la "dimension des égrégores" du bien et du mal, du conflit, de la lutte, est amenée à disparaitre et avec elle, la dualité conflictuelle, la notion de séparation, l'illusion d'impuissance... puisque le processus d'accueil, d'individualisation, le fait de prendre en charge ses pensées émotions et donc ses énergies, amène à l'unité intérieure et rend à l'individu son pouvoir de création, d'action, consciente et délibérée.

En continuant de découvrir les œuvres littéraires du siècle dit des lumières, je suis frappée de constater les points de vue de la conscience humaine dans sa façon de considérer les mondes subtils. Je n’ai pas reçu d’éducation religieuse et je n’ai donc pas d’images ou d’idées préconçues au sujet des anges, des démons, des mondes invisibles. 

Pendant quelques temps, j’étais frustrée de ne pas voir ce que d’autres voient mais à mesure que je prends conscience de ce phénomène, du fait que ce que nous voyons est la projection de notre mental, de notre inconscient, de nos émotions et que cela est donc prédéfini, préfabriqué, je me dis que ma perception de ces mondes est relativement juste puisque cela n’est pas le fruit d’un conditionnement. Enfin c’est juste de mon point de vue.

lundi 29 mai 2017

« L’amour, vibration de paix et d'unité »





26 05 Les choses évoluent rapidement lorsqu’on choisit de s’ouvrir et d’observer sans juger tout ce qui émerge dans ce désir de transparence. Cela se produit lorsqu’on comprend que la vision du mental est très limitée et quand ce constat n’est pas perçu comme une perte, une souffrance ou une limitation, un enfermement. Du moins quand on laisse ses pensées émotions s’exprimer et qu’en les offrant à la source, elles s’harmonisent et se transforment, offrant une vision élargie des faits ou simplement plus objective. Ce qui en soit est déjà une ouverture de conscience puisque notre vision est voilée par toutes sortes de croyances, de conditionnements, de préjugés.

Cette vision est d’abord une impression, la sensation d’épanouissement, de plénitude qui résulte du lâcher prise. C’est une sensation subtile, infime mais qui laisse confiant et c’est tout ce qui compte pour pouvoir persévérer dans le lâcher prise. Le terme est un peu contradictoire et faux parce qu’il n’y a aucun effort intellectuel à faire d’autre que de maintenir ce choix d’ouverture, d’abandon des anciennes références et donc des stratégies de résistance et de lutte.
Peu à peu on devient plus transparent, honnête envers soi, son âme, ses corps et une douce intimité s’installe à l’intérieur donnant confiance en la vie, en soi, alors même qu’on ne voit pas encore clairement où tout ça nous mène. 
D’ailleurs ça ne nous mène nulle part dans le sens de progression mais plutôt cela nous ancre dans la vibration source de l’amour et de la conscience éclairée. 
L’amour de soi, en soi, devient le point de référence qui guide nos choix, nos actes. 

Ceci dit, cela peut demander de dire ‘non’, de s’isoler, il ne s’agit pas de dire "amen" aux autres, de faire semblant d’aimer, d’être en paix, en joie. Cela, l’humain l’a fait pendant des siècles sous la contrainte, par devoir, par conditionnement et par peur de l’enfer, enfin de la mort et de la punition.

samedi 27 mai 2017

« Réincarnation et identification à la personne, à la matière »





24 05 Ce matin je me dis que la tristesse qui m’a envahie en début de semaine devait être liée aux attentats en Angleterre. J’ai déjà remarqué combien je suis sensible aux énergies ambiantes et c’est d’ailleurs pour cette raison que je tenais tant à ma carapace qui m’évitait de me sentir agressée par les mouvements de masse et les égrégores correspondants. 

C’est clair que lorsqu’on ne comprend pas que ce que nous ressentons est en nous-même, que l’extérieur ne fait qu’appuyer là où ça fait mal, on aura le réflexe de survie de vouloir se protéger coûte que coûte des énergies des autres. 
Puis en sachant que l’autre éveille ce qui en moi a besoin d’être entendu, le besoin de protection se dissout peu à peu, sans forcer, sans avoir besoin de recourir à de nouvelles stratégies de survie. Du moins en devenant de plus en plus conscient de ce qui se passe en soi et en accueillant ce qui demande à être considéré d’un point de vue neutre, dans le sens de bienveillant, d’ouverture, d’écoute, on prend l’habitude d’installer la paix en soi et le fait d’être tourné vers l’intérieur nous détache naturellement de l’extérieur qui alors n’a plus autant d’emprise sur nous. 
Simplement parce qu’on prend la responsabilité de ce que nous ressentons au lieu de projeter l’énergie des pensées émotions de jugement et d’accusation vers l’extérieur. 

On installe et on fortifie l’unité dans la communion avec les aspects de soi, le respect et la fraternité, l’équité en découle aussi. Je suis tellement centrée sur moi-même en ayant conscience que chaque aspect de ce que je suis ne m’appartient pas, qu’il s’agit plutôt d’une association de corps, d’éléments, de voix, d’énergie, que ce qui se passe autour ne me touche que dans l’empathie naturelle ou la capacité de ressentir les vibrations. Peut-être aussi la conscience de l’unité entre les multiples aspects de l’être, dans le fait de maintenir ce désir puissant en place et de le ressentir à l’intérieur, la communion avec tout ce qui me constitue, met en évidence l’unité avec l’extérieur.

mardi 23 mai 2017

« S’ouvrir au silence pour entendre les voix intérieures et profondes »





20 05 En ce moment, le sujet qui revient souvent c’est celui du couple, de la recherche, du besoin d’un partenaire qui vient tant de notre mémoire humaine, animale que de celle de l’âme, de la source. 
Au-delà de la morale catholique ou sociétale, ce besoin de fusionner, d’aimer et d’être aimé est l’expression même de la source, et reflète tant sa complétude que les pôles masculin et féminin qui sont dans la dynamique des complémentaires, le mouvement et l’essence. L’essence en mouvement et la manifestation de la création, de la matérialisation en est le résultat. C’est une vision un  peu simpliste des choses parce que c’est certainement plus complexe que cela mais ça donne une image de ce que nous sommes.
Et quand cette question du couple vient à la surface, c’est simplement un appel à l’unité intérieure. L'expression de l'âme, ce désir de retourner à la source, à l'unité que le mental perçoit d'abord comme un trouble intérieur puisque cela fait émerger les plus grandes peurs et suscite un mouvement de rejet.

Il semble que les mouvements extérieurs et la dynamique de la dualité amènent une fois de plus à sonder les profondeurs, à faire face à ce qui est caché ou à ses aspects de l’être qui se manifestent afin d’être entendus. 

23 05 La journée d’hier m’a plongée dans la tristesse et au lieu de la camoufler derrière des gestes habituels, des pensées positives, je l’ai observée dans le silence souhaitant simplement entendre et comprendre. Non pas une compréhension intellectuelle mais une position d’ouverture et d’accueil qui consiste à ne pas nier ce qui est puis à ne pas chercher absolument à trouver du sens, immédiatement.

vendredi 19 mai 2017

« Lâcher l’illusion sans sentiment de perte »



 

15 05 Les liens familiaux sont si spéciaux et l’affection si forte qu’il est bien difficile de s’en libérer sans drames ou encore de casser le cordon ombilical sans se sentir coupable. Pourtant en étant juste dans l’observation neutre, l’écoute attentive tant de nos pensées, nos paroles que de celles de nos parents, on va comprendre comment la peur dévie l’amour sans conditions de ses liens affectifs qui sont attachés jusque dans la mémoire émotionnelle, jusque dans les tripes. Nous sommes liés par les sentiments, mais aussi par les conditionnements et donc au niveau du mental et surtout de l'inconscient.
Le lien avec la mère est animal, viscéral autant que sentimental et on peut avoir l’impression de s’amputer d’une part de soi à l’idée de s’en détacher. Je parle d'impression parce que cette peur est souvent inconsciente ou niée.
Je peux voir à quel point l’influence de ma mère est forte malgré mes 52 ans et la conscience de ce que je suis, de mes origines ‘extra-terrestres’. 
Rien d’extraordinaire ou de monstrueux dans ce terme qui signifie seulement que la conscience est omniprésente ou qu’elle n’a aucune limite ou encore que je suis tout comme vous constituée de poussières d’étoiles. 

Quand on y pense, c’est prodigieux d’être composé de tous ces éléments, ces minéraux d’origine terrestre et céleste, puis d’être chacun un univers à part entière où on retrouve tous les éléments extérieurs en nous, dans l’infiniment petit.
Mon goût pour la liberté et la vérité me guident depuis fort longtemps et j’ai essayé de la trouver d’abord en m’échappant de mon enveloppe charnelle pendant mon enfance par le décollage mental puis ensuite par les drogues, la rêverie, en délaissant l’aspect matériel de la vie, en méprisant la chair…puis aujourd’hui, et depuis quelques années, c’est par la connaissance intérieure, intime de soi, l’introspection et la compréhension des mécanismes internes et surtout la connexion à la source intérieure, que je me libère de tout ce qui est de l’ordre du conditionnement. 

samedi 13 mai 2017

« Accueillir un choc émotionnel patiemment, en douceur »





12 05 Très souvent la spiritualité rime avec recherche de pouvoir. 
On voudrait contrôler la vie, nos émotions, nos pensées, notre futur, être capable de prévoir l’avenir, de lire dans les pensées des autres, de savoir la vérité sur toutes choses, parce que finalement lorsqu’on parle de dons spirituels, il y a ce besoin de sécurité, d’assurance, qui amène ces espérances.
On s’imagine qu’en développant nos dons extrasensoriels, on n’aura plus de peurs, de contraintes, de doute et de confusion, qu’on avancera avec certitude faisant toujours "le bon choix".
Dans un sens, c’est légitime et c’est en plus réalisable mais pas comme on le croit et c’est une vision qui vient de la peur et de l’ignorance.

Ce n’est pas en contrôlant nos pensées qu’on aura que des belles pensées ni en contrôlant nos émotions qu’on sentira la joie et la plénitude, éternellement. 
Ce n’est pas non plus en étant capable de prévoir l’avenir qu’on se sentira en sécurité, qu’on pourra faire les bons choix. Ni en étant dans la tête de l’autre qu’on pourra prévenir les risques de l’engagement amoureux.

On se plaint de vivre dans un monde injuste, barbare, insensé mais il est la création de nos attitudes conjointes, de ce besoin incessant de contrôle. 
Ceci dit, il ne s'agit pas non plus de s'attacher à la culpabilité que cette idée fait naitre puisque nous comprenons à peine comment fonctionnent les lois universelles et nourrir la peur comme la culpabilité nous maintient dans l'inconscience, amplifie la division, le rejet de soi, la souffrance. 
La culpabilité est le fruit de l'ignorance des mécanismes internes et de notre nature véritable. C'est encore une réaction à la peur et une vaine stratégie inconsciente basée sur les notions de mérite, de récompense, de punition.

mercredi 10 mai 2017

« Plus de foi, de légèreté, de joie de vivre, d’être » & dessin animé « The Croods »






Ce matin, c’est la fête ! Après avoir souffert d’une sciatique très douloureuse limite paralysante pendant 15 jours, je me suis enfin levée en ressentant une nette amélioration. 
Avec le recul maintenant, je peux voir que ce qui a augmenté la douleur, ce qui l’a prolongée, c’est la peur. 
La peur de souffrir, la vision négative au sujet de la maladie ou du symptôme qui est perçu inconsciemment comme une erreur de parcours. 
Et c’est tout à fait logique pour le corps physique et l’inconscient puisque ces derniers sont programmés pour maintenir la vie dans le corps. 

Je distingue ici la part mentale et la part instinctive de l’inconscient, ou le système de survie et ceux qui gèrent les fonctions vitales bien qu’en fait ils soient indivisibles. 
Ou en d’autre termes, les programmes internes naturels livrés avec un corps humain et ceux qui ont été ajoutés par les croyances, l’interprétation mentale, la compréhension de celui-ci à travers les siècles et qui ont été imprimés dans l’adn, la mémoire cellulaire. Ce sont ces derniers qu'il est bon de mettre à jour à la lumière de la conscience neutre.

C’est une vision personnelle des mécanismes internes, une déduction faite à partir de mon expérience et donc ça reste subjectif mais comme nous sommes tous faits de la même manière et comme nous partageons aussi la même conscience, le même inconscient, et comme l’observation neutre est une démarche proche de celle de la science, je me permets de la partager.  
Puis nous sommes aussi sous le même soleil, la même lune, nous recevons tous les mêmes vibrations, sommes traversés par les mêmes forces; énergies...et en ce moment, c'est intense!

lundi 8 mai 2017

« Un grand "Ouf", jusqu’à la prochaine vague » & témoignage François Breton "exploration de conscience"





Ceci dit, le "ouf" n'est pas comme on pourrait le croire, relatif au résultat du vote puisqu'il est sans surprise. En effet, on préfère la paix au chaos, on n'est pas non plus prêt à élire une femme en général et pour le coup, ce préjugé a été utile...

Quand on est sensible aux énergies, voire hypersensible, on peut être submergé par les conflits extérieurs au point de se sentir abattu et confus. On va vouloir se protéger en s’isolant, et on va accuser les évènements de nous déstabiliser.
C’est un réflex naturel de survie mais cela ne nous libère pas de ce qui est en nous et que cette situation extrême a éveillé.
Reconnaitre que ce qui nous trouble est intérieur, c’est déjà se détacher des mouvements chaotiques extérieurs. De cette façon on s’éloigne de la masse ou on se protège des égrégores en conflits. 
Le seul fait de ne pas accuser les autres ou l’extérieur, la situation, les évènements de notre mal-être intérieur nous en protège. 
La responsabilisation, le fait de reconnaitre que quelque chose en soi demande à être pacifié, nous ramène dans notre potentiel, la capacité d’alchimiser les énergies, de transcender toute situation, douleur, difficulté.

Comme notre système de survie est fait pour rejeter vers les autres ou refouler ce qui est difficile à vivre en soi, nous avons l’habitude de réagir en accusant les autres, en projetant notre mal-être sur ceux qui nous ont fait souffrir dans l’enfance ou qui jouent les bourreaux actuellement. 

Une émotion de colère sera projetée sur un bourreau ou encore une victime, quelqu’un de plus faible que nous. Généralement c’est plutôt vers les plus faibles qu’on se tourne par instinct de survie et quand on a été victime, connaissant les souffrances que ça implique, on sera plutôt dans l'accusation envers les "méchants", la demande de réparation qui tourne vite au désir de vengeance...cycle infernal que seul l'amour peut résoudre

jeudi 4 mai 2017

« La souffrance, une option, pas une obligation » & Interview de Magali par Carolame, au sujet des symptômes de l'évolution





Nous avons le choix dans la façon de considérer, d’aborder chaque situation de notre quotidien et faire que ça devienne soit un calvaire, soit une opportunité de s’ouvrir et de grandir. 
La plupart du temps, nous réagissons selon des croyances collectives qui se passent de générations en générations, comme des tares physiques qu’on croit inévitables. 
Oui nous portons des gènes, des programmes et sommes conditionnés par les croyances et conditionnements liés aux rôles, au genre, à l’âge, à la position sociale, mais ça n’est pas une fatalité.

L’humanité a évolué au fil des siècles en faisant plus de place à la joie, au bien-être, à la liberté, au fur et à mesure. Il a fallu aller dans l’excès pour comprendre la force de l’équilibre, de la paix, du juste milieu, de l’égalité et de la fraternité. 

On peut constater que cela s’est fait en abandonnant les dogmes et la morale fondée sur les religions culpabilisantes, ce qui est très éloigné du message christique, de sa pureté originelle.
Nous sommes imprégnés de croyances fondées sur la peur et celle-ci est considérée comme une ennemie à combattre. A mon avis, le problème ou ce qui nous enferme dans des croyances avilissantes, culpabilisantes, limitantes, dans la souffrance, c’est la vision qu’on a de la peur, des émotions dites négatives. 
On s’identifie à nos pensées en rejetant les émotions que le système de croyances a jugées mauvaises. 
Ainsi, on vit à l’intérieur dans une lutte perpétuelle entre les pensées et les émotions, entre le cœur et la tête, entre l’ego et l’âme, entre l’esprit et le corps. Dans cet état divisé il est naturel de ne pas sentir la paix, le bien être, la confiance en soi, l’amour ni la source ou ce qu’on appelle "dieu", l’âme, la présence.

mercredi 3 mai 2017

« Être à l’écoute des besoins et y répondre avec Amour »





2 05 J’ai encore envie d’écrire ce matin et même si en général, cette envie est le signe du trouble mental, de la difficulté à comprendre ce qui se passe et du besoin de donner du sens à tout cela, il y a aussi l’envie de partager ce que je ressens dans ces moments naturellement troublés, et bien sûr cette paix profonde qui vient du désir d'unité. 
Ils le sont tant par les évènements extérieurs, la situation politique que par ce qui se passe en soi et bien évidemment par l’élévation générale des consciences. 
Tout est relié et interdépendant, à tous les niveaux de l’être et il est clair que l’élévation du taux vibratoire de la planète, les énergies qu’on reçoit des sphères lumineuses, participe également à tout ce qui se passe en ce moment.

En observant ce qui se passe en soi et tout autour, en constatant que beaucoup de gens vivent des symptômes physiques, signe de blocage énergétique, d'ajustements intérieurs, d'alignement à la source, ce point de vue semble se vérifier. 
Je dis ‘semble’ parce que le point de vue individuel est subjectif et comme le mental n’est pas encore habitué à reconnaitre le langage de l’âme, l’interprétation des faits est aléatoire. 

Puis j’ai aussi envie de partager, de propager une vibration d’espérance et de soutien. Même si c’est un petit point lumineux dans cette période chaotique, le peu de personnes qui pourront le capter viendront amplifier cette fréquence et peut-être y trouver un certain réconfort.
L’espoir est nécessaire surtout quand on vit des moments de trouble et il ne s’agit pas d’espérer vivre du jour au lendemain dans un monde idéal ou encore amener le corps physique dans un état d’éternité mais tout au moins de pouvoir vivre la paix en soi et par ce processus, se laisser guider par la joie subtile qui en émane.

mardi 2 mai 2017

« Douceur, tendresse, souplesse, flexibilité, jusque dans les gestes »





1 05 Je ne reviendrais pas sur ce que j’ai écrit hier parce que tout se passe dans le présent mais il est clair que j’ai mal compris le message du corps physique au travers de la douleur dans le bas du dos. Et surtout, au lieu de lâcher prise, j’ai essayé de forcer la guérison en pensant que la compréhension intellectuelle était suffisant. Même si le mental émotionnel ont été apaisé, le message essentiel doit être appliqué en permanence: douceur, tendresse, souplesse, flexibilité jusque dans les gestes !

La douleur qui est revenue m’a ramenée à ces vérités essentielles et suffisantes :
Le corps physique est autonome et intelligent, tout à fait apte et d’ailleurs naturellement programmé pour s’auto-guérir, pour réguler les systèmes et maintenir la cohérence, l’harmonie, gage de santé.

L’inconscient qui est éclairé par la source ou le fait de prendre conscience des phénomènes internes, des stratégies, amène des ajustements pendant le sommeil où l’émotionnel évacue le trop plein, est où la conscience ‘divine’ ajuste les anciennes croyances à la nouvelle vision.

Les symptômes physiques sont des messages et surtout des appels à être présent à soi, afin de répondre aux besoins vitaux tels que le boire, le manger et le sommeil. 
Ces besoins ne sont pas les mêmes selon les ajustements qui se créent en soi.