mercredi 10 mai 2017

« Plus de foi, de légèreté, de joie de vivre, d’être » & dessin animé « The Croods »






Ce matin, c’est la fête ! Après avoir souffert d’une sciatique très douloureuse limite paralysante pendant 15 jours, je me suis enfin levée en ressentant une nette amélioration. 
Avec le recul maintenant, je peux voir que ce qui a augmenté la douleur, ce qui l’a prolongée, c’est la peur. 
La peur de souffrir, la vision négative au sujet de la maladie ou du symptôme qui est perçu inconsciemment comme une erreur de parcours. 
Et c’est tout à fait logique pour le corps physique et l’inconscient puisque ces derniers sont programmés pour maintenir la vie dans le corps. 

Je distingue ici la part mentale et la part instinctive de l’inconscient, ou le système de survie et ceux qui gèrent les fonctions vitales bien qu’en fait ils soient indivisibles. 
Ou en d’autre termes, les programmes internes naturels livrés avec un corps humain et ceux qui ont été ajoutés par les croyances, l’interprétation mentale, la compréhension de celui-ci à travers les siècles et qui ont été imprimés dans l’adn, la mémoire cellulaire. Ce sont ces derniers qu'il est bon de mettre à jour à la lumière de la conscience neutre.

C’est une vision personnelle des mécanismes internes, une déduction faite à partir de mon expérience et donc ça reste subjectif mais comme nous sommes tous faits de la même manière et comme nous partageons aussi la même conscience, le même inconscient, et comme l’observation neutre est une démarche proche de celle de la science, je me permets de la partager.  
Puis nous sommes aussi sous le même soleil, la même lune, nous recevons tous les mêmes vibrations, sommes traversés par les mêmes forces; énergies...et en ce moment, c'est intense!


La peur est une forme de résistance à ce qui advient et elle peut être utilisée comme moteur de recherche mais tant qu’on ne lâche pas prise, la vision est faussée parce que très souvent l’interprétation mentale de cette peur se fonde sur des croyances. Et la croyance est relative aux conditionnements, au passé. L'anticipation crée une résistance énergétique et nourrit les égrégores de la dualité conflictuelle, comme on a pu le sentir durant les élections. Et encore maintenant dans les spéculations qui même si elles peuvent avoir une part de vérité ne font qu'ajouter au malaise, à la peur, la confusion.

Pouvoir lâcher tous raisonnements du mental, toutes croyances, pour seulement observer objectivement, offre déjà une perspective plus large des faits et cela créé de l’espace afin de recevoir de nouvelles infos. 
Et dans ce lâcher prise, cette ouverture, on pourra entendre la voix de l’âme ou l’intuition qui amène des réponses toutes simples. 

Pour la sciatique, il a suffit que je me couche sur le côté où j’avais mal, pour que le nerf se décoince. Le dos et les reins sont encore endoloris mais c’est parce que les muscles ont forcé et parce que l’inflammation a duré près de 15 jours. Puis c'est clair que l'énergie de vie a dégagé avec puissance les énergies qui étaient cristallisées dans le chakra racine.

Le processus de libération des émotions m’a aidé à me détacher des croyances et préjugés au sujet de la douleur, de la maladie et le fait d’être obligée de faire attention à mes gestes, d’être en mode ralenti, m’a permis de mieux connaitre mon corps physique de l’intérieur. 

Et par-dessus tout, dans la transparence, la sincérité des propos, dans l’expression libre, sans jugement, de ce qui émergeait dans l’instant a favorisé la confiance et augmenté l’amour en moi. 
La confidence envers l’âme, l’attention aux besoins physiques immédiats, nourrit l’amour en soi. 
J’ai pu constater une fois de plus que plus je cogitais et plus cela démontrait que le mental paniquait. Puis à mesure que je lâchais prise, que je ne cherchais pas à trouver un sens immédiat, que j’arrêtais de me poser des questions, un espace intérieur se libérait. 

En même temps, j’étais moins en réaction vis-à-vis de l’extérieur puisque je n’accusais pas les autres de mon mal-être. Cependant, j’ai pu sentir et distinguer les égrégores auxquels mes peurs et croyances me rattachaient. C’était comme une masse environnante qui m’envahissait jusqu’à ce que je revienne au centre, à la neutralité, au silence. 
En cela, la méditation a été d’un grand secours.

J’ai pu constater aussi l’effet paralysant de la peur de la souffrir, comment le fait d'anticiper et de focaliser l’attention sur la douleur l’amplifiait et m’empêchait d’oser bouger.
Puis n’en pouvant plus de cet immobilité que je croyais nécessaire, j’ai senti que le fait d’aller au jardin, de cueillir les fraises qui sont pourtant à ras du sol et ça m’obligeait à me baisser, favorisait la souplesse, la fluidité. 

Comme la douleur se manifestait à chaque fois que je me baissais, j’étais obligée de faire attention à mes gestes et cela a nourrit la relation intime et tendre envers mon corps physique. J’étais passée du refus de la douleur à l’acceptation et l’écoute, l’attention. 
Cela a soulagé et encouragé le mental qui alors a cessé de se poser des questions et donc de chercher des solutions intellectuellement. 




Son questionnement commence toujours par rechercher la cause du problème et cela peut aller très loin quand on sait que nous avons un corps éthérique, que nous sommes des êtres vibratoires, que les égrégores nous environnent et que notre âme est reliée aux autres. 
La croyance en des vies antérieures ou simultanées peut nous éloigner de notre corps physique et donc de la solution, en nous maintenant dans les sphères du mental. 
Or la réponse n’est jamais dans le passé ou dans l’invisible même si ces mondes ou dimensions sont en nous.

Par exemple pour guérir d’un trauma de l’enfance, ça n’est pas en revenant dans le passé via le raisonnement ou la compréhension des causes qu’on peut s’en libérer. 
C’est en choisissant au présent de ne plus nourrir le rôle de victime, en choisissant de devenir responsable de nos pensées et de nos émotions. Ce qu’on appelle  ‘pardonner’. 

C’est un processus qui n’est pas seulement intellectuel même si la première étape consiste à prendre la décision, à vouloir passer à autre chose. La démarche intellectuelle doit être appliquée au quotidien, au niveau mental, on cesse d’accuser les autres, le passé, et on apprend à accueillir les émotions, à les laisser s’exprimer sans y ajouter de commentaires. 

Lise Bourbeau, dont je viens d’entendre une partie de son cd qui est dans la bibliothèque du lecteur (qui créé une liste aléatoire quand je clique sur play), les 5 blessures.. (même si je n'ai pas choisi de l'écouter, ça n'est pas un hasard que je tombe dessus puisque c’est la, partie ou elle parle de la blessure de rejet), affirme que cette blessure est vécue avec un parent du même sexe et surtout, que c’est en s’autorisant à avoir de la colère envers ce parent, en osant extérioriser tout ce qu’on a ressenti enfant, qu’on guérit cette blessure. 

Le principe est toujours le même et il n’est pas nécessaire de connaitre les détails, causes et conséquences de ces blessures pour pouvoir en guérir. Ce qu'il faut savoir c'est comment on s'en libère.
Même si c’est clair que la compréhension aide à prendre la décision c’est toujours en lâchant prise, en cessant de ruminer, d’être dans sa tête, que la guérison advient. 
C’est le fait de cogiter qui bloque l’énergie dans le corps mental et en même temps ça contient les émotions qui vont augmenter en intensité par cet enfermement et finir par exploser.

Comment ça fait du bien de ne pas souffrir au moindre geste ! La peur de souffrir, premier blocage, la peur de bouger qui s’en suit empire la situation parce que l’énergie ne circule plus de façon fluide. 
Là encore, après avoir accueilli la peur j’ai senti combien la douleur diminuait par le fait de bouger. Même si ça me demandait de faire attention à mes postures, le fait d’être dans l’action a débloqué le passage de l’énergie. 
Je l’ai senti par des bouffées de chaleur le soir et les signes habituels d’élévation du taux vibratoire. 
J’ai pris garde à ne pas revenir dans le mental, les questions, en évitant de lire des messages au sujet de l’ascension, des mouvements astrologiques et de l’effet de la lune rousse ou pleine lune. 
Là aussi, on dévie la circulation de l’énergie en se projetant dans le monde du mental, de l’imaginaire, de l'éthérique. Même si la lune, le mouvement des planètes, les égrégores…influencent notre état d’être, c’est l’âme qui le gère. 

Ce qui créé une sensation de vide, de manque, c’est le fait de se focaliser sur un seul aspect de l’être. Et le fait de se projeter dans l’imaginaire, l’astral, l’éther, est une fuite tout comme le fait de s’identifier uniquement au corps physique, d’être focalisé sur lui. Cette focalisation sur un seul aspect de l'être nourrit la sensation de séparation d’avec l’âme. 

Idem lorsqu’on pense que le secours viendra d’elle et qu’on reste dans l’attente d’une réponse à une prière. La réponse est donnée mais on ne sait pas écouter ni entendre. 
La connexion avec la source passe par l’alignement des corps, dans l’équilibre des forces, l’unité des corps et c’est bien sûr en se focalisant au centre de l’être ou encore en plongeant dans le vide, le silence, qu’on peut sentir sa présence. 

Les messages sont continuellement face à nous, sous nos yeux, que ce soit les reflets de nos blessures, de ce que nous avons enfoui dans l’inconscient, mais aussi la lumière de notre âme, la sagesse du cœur, à travers notre ressenti. 




Je n’en reviens pas de pouvoir bouger sans voir mal et en plus juste au moment où le jardin avait besoin d’eau. Là aussi j’ai senti le soutien de l’âme à travers la fluidité du quotidien, les synchronicités. En fait les réponses sont audibles ou la présence, la certitude du contact avec la source, l’âme, c’est toujours lié au taux vibratoire, aux fréquences de confiance, de sincérité et de gratitude.

Il est difficile d’être dans cet état de gratitude lorsqu’on souffre mais par le lâcher prise, lorsque le mental s’apaise, la paix qu’on ressent nourrit la confiance et moins on a d’attentes donc, plus on est à même d’entendre la voix de l’âme ou l’inspiration. 

Quand on est mal ou contrarié, toutes sortes de pensées émergent et j’ai pu voir les jeux de rôle avec ma mère, mieux comprendre en quoi on pouvait s’attacher à ceux-ci. 
Hier alors que j’avais mal à chaque changement de position, j’en arrivais à pousser des grognements à chaque douleur et j’ai remarqué que le fait de ne pas bloquer la réaction à la douleur fluidifiait l’énergie, apaisait la douleur. 
C’est toujours le même principe qui débloque l’énergie le fait de ne rien retenir et de ne pas s’attacher à ce qui émerge dans l’instant, pensée, émotions, réactions.

C’est une façon de reconnaitre ses limites, ses faiblesses, d’équilibrer l’ego qui aurait tendance à croire qu’il a du pouvoir sur la vie. Oui la pensée créé mais elle doit être alignée à l’émotion, l’intention et à notre nature véritable ou notre essence, au-delà de toute morale, conditionnements. 
Tant que nous refoulons les pensées, les émotions et donc l’énergie, ce que nous créons ou attirons vient de notre inconscient et de la résistance à ce qui est. C’est la vibration de lutte qui est la plus intense et donc qui attire des situations en conséquence.

Je suis contente d’arriver à cueillir toutes les fraises et à ne pas gaspiller. Je constate que le temps a été favorable tant par les pluies que par l’ensoleillement et le résultat est magnifique. Les quantités sont énormes mais je donne les trois quart de la récolte sans attendre quoi que ce soit en retour. 
Enfin maintenant parce qu’au début, j’ai senti que je donnais sur les fréquences du sauveur ou de la personne faussement généreuse. Je donnais pour ne pas gaspiller mais j’y mettais l’intention de recevoir de la considération, de montrer l’exemple du partage. 

Là encore, c’est en reconnaissant les motivations qui sous-tendaient le geste que l’équilibre s’est installé. Je me suis un peu agacée quand le boucher m’a ramené de la charcuterie en échange des fraises que je lui avais donné parce que je n'en achète plus et il le sait. C’est trop salé pour moi et ça fait plus d'un an que je n'en consomme plus parce que le goût ne me plait plus. Là aussi, je n'ai pas arrêté d'en consommer par peur de la maladie mais simplement parce que l'envie n'était plus là.

J’ai commencé par me dire que je m’étais encore fait avoir puis en allant en profondeur ou au moins en étant sincère avec moi-même, je me suis dit que je réagissais encore en victime. Peu à peu, l’équilibre s’est installé et j’ai pu voir qu’on agit toujours pour soi-même avant tout, quoi qu’on en dise. 
Mais comme on a du mal à le reconnaitre, à l’accepter, on vibre sur les fréquences des rôles ou des personnages fictifs, de la tricherie, on n'est pas authentique.

Accepter de s’occuper de soi, de se faire passer en premier n’est pas évident tant par les conditionnements que par les stratégies employées par le mental pour obtenir la reconnaissance extérieure. Tant qu’on n’est pas sincère avec soi, on joue un rôle et c’est notre mental-inconscient qui mène la barque.  

Ces quinze jours douloureux m’ont amenée à pouvoir maintenant apprécier le moindre geste, à me sentir en communion avec mon corps physique. J’ai la sensation d’avoir conquis de nombreux espaces en moi, de mieux les connaitre et donc de mieux les aimer. Et cet amour est sincère même si j’ai dû exprimer ma colère envers l’âme, le corps physique ou justement, c’est parce que tout a été vécu dans la transparence que l’amour, la confiance, se déploient de plus en plus.
Là encore ça ne peut pas s’exprimer avec des mots ou du moins les mots sont toujours en deçà de la réalité vécue. 




C’est clair que le mieux être physique n’est pas venu seulement par le fait d’avoir dormi sur le côté douloureux cette nuit. C’est le lâcher prise qui a amené la détente mentale puis une écoute plus attentive à chaque libération émotionnelle, une perception neutre de tous les mécanismes internes entrainant une détente générale, une confiance accrue. 
Tant envers les capacités naturelles du corps physique de se régénérer que vis-à-vis de l’âme qui gère les mondes invisibles, les énergies, les vibrations. 

Comme le disait Magali dans une de ses conférences, le corps physique possède une âme et lorsqu’on perçoit ou quand on reconnait cette intelligence formidable qui l’habite et gère tous les systèmes, on tombe en amour avec cet aspect magnifique de l’être. Magnifique et multiple, immense, intelligent jusque dans l’infiniment petit, le microscopique, l’atomique, le cellulaire et dans la vastitude de l’esprit qui en est le co-créateur et le compagnon. Même les systèmes de survie, les stratégies du mental-inconscient, sont intelligents et motivé par l’amour de la vie.

C’est ce qui est difficile voire impossible à concevoir pour le mental tellement c’est complexe, intelligent et vaste. Je ne suis pas certaine qu’on puisse en saisir l’immensité en une seule vie même si beaucoup de connaissances sont à notre portée. 

J’ai demandé à mon âme hier, de m’aider à affirmer ma vision et d’ailleurs cette fois-ci, je remarque que je ne me suis pratiquement pas tournée vers l’extérieur pour avoir des réponses. J’ai même senti qu’il était recommandé de ne pas chercher à trouver du sens à ce que je vivais en lisant des messages, ou des témoignages de personnes qui sentent aussi ce mouvement d’élévation générale et avec qui je me sens en résonance. 
Comme si mon âme me répétait, "les réponses sont en toi" et c’est en les écoutant, en prêtant attention à mes messages au travers des sens, du ressenti, des situations que tu pourras affirmer ton point de vue. C’est clair que nous canalisons tous mais il y a tant de voix en nous qu’il n’est pas facile de reconnaitre celle de la sagesse lorsqu’on est dans la confusion.

En voyant le halo de lumière orange autour de la lune hier, je lui ai témoigné spontanément ma gratitude pour sa présence et le fait qu’elle fasse émerger ce qui est caché en soi, dans l’inconscient. Elle symbolise aussi le féminin et en la saluant, j’ai invité cette énergie à prendre sa place en moi. J’ai apprécié ce moment de douceur alors que je sortais la chienne et que je ne voyais aucune lumière aux fenêtres des voisins. 

Le seul enfant du quartier qui est maintenant adolescent est venu me faire un bisou pour me remercier de lui avoir donné des fraises. J'ai senti la vibration sincère et spontanée à travers ce geste alors qu'il sait que je ne suis pas bisou et ça répond parfaitement à la vibration que je portais hier alors même que la douleur persistait. Mais le fait de l'avoir acceptée et de m'y être adaptée a changé considérablement la vibration. 

J’avais été frappé de ne recevoir aucun remerciement de la part des voisins de l’autre bâtiment lorsque j’avais laissé un paquet de fraises à chaque porte. 
D’un autre côté, je me suis dit que j’aurais dû au moins frapper à la porte pour leur donner mais comme je souffrais, j’ai fait au plus vite. Puis la peur du rejet remontant à la surface, j'ai préféré esquiver.

Comme avec le boucher, la première réaction a été celle de la victime puis le constat que j’avais généré les réactions des autres par ma propre attitude. Je sais que j’ai du mal à recevoir mais là encore, tout dépend de la façon de donner. Quand on sait qu’on joue le rôle de la victime, on s’en veut de le constater et on reste identifié au rôle parce qu’on bloque sur cet état de fait qui nous brouille la vision. 
En revenant au centre, à la neutralité mentale et émotionnelle, on voit que l’attitude et la fréquence qui portent le geste induisent les réactions extérieures. 

Mais très souvent on raisonne en victime puis on joue les bourreaux vis-à-vis de l’enfant intérieur qu’on voudrait éduquer en argumentant, en raisonnant. 
L’enfant en soi tous comme les enfants en général, ressentent avant de penser, son mode d’expression est émotionnel, intuitif, viscéral, avant d’être mental. 
C’est l’aspect animal, authentique et spontané de l’être, le monde émotionnel et sensitif. 

Quand on guérit les blessures d’enfance on guérit le corps émotionnel et on développe les sens. J’ai toujours senti que les corps reliés aux chakras du haut sont interconnectés avec ceux du bas et qu’en purifiant le mental, émotionnel et donc le corps physique, les facultés sensitives se révèlent. 
Tout simplement parce que le nettoyage de l’aspect humain permet d’affiner les sens, d’être ouvert et réceptif, plus attentif à ce qui se passe en soi. 




Nous cocréons continuellement mais plus on devient conscient de qui nous sommes, de notre potentiel créateur, plus on est dans l’abandon, la communion avec la source, la confiance et plus on crée selon nos aspirations profondes.

Je suis tellement ravie de pouvoir bouger que je ne trouve pas le temps de pouvoir publier cela malgré la joie qui me porte et que j’ai envie de partager.
C’est sûr que j’ai beaucoup appris pendant ces jours à côtoyer puis à embrasser la douleur et l’une d’entre elle, c’est la nécessité de ralentir. Je me sens tellement légère que tous les souvenirs douloureux sont effacés. Il ne reste que la joie d’être.

J’ai été inspirée à regarder ce dessin animé qui contient aussi pas mal de messages intéressants en accord avec ma vision actuelle et le thème des libérations émotionnelles, des modes de pensée obsolète. Celles du passé le sont mais elles contiennent aussi un fort potentiel énergétique, initiatique et l'unification intérieure permet de constater que rien n'est à jeter en soi...tout comme cette famille où chacun a sa place, sert l'ensemble par son unicité...

The Croods
  



Je ressors de cette expérience avec plus de foi, plus d’espoir, de légèreté et toujours ce goût de l’aventure, de la découverte et de la liberté ! 
L’image de l’âme comme une mémoire d’expérience individuelles assemblées en une échelle dont chaque individu forme un palier et qui monte vers la lumière apparait quand je m’interroge sur le sens de l’individualité. 
Il est clair que la conscience est éternelle, et qu’elle habite toute vie et l’âme semble être le lien entre ces individualités. Ou encore comme une succession de gamme qui montent. 

Il doit y avoir une nouvelle montée vibratoire parce que le mental est tout excité. 
C’est comme s’il sentait ces afflux d’énergie et qu’il essayait de les traduire au travers du rythme effréné, de ce sentiment d’urgence. Il est à lâcher mais il semble être la traduction mentale de ses montées d’énergie. Reste à apprendre à canaliser ces énergies ou disons plutôt que lorsque je sens cela, je peux aller m’allonger pour laisser le corps intégrer les nouvelles fréquences en douceur, sans interférences. Trois heures de méditation/relaxation comme hier et cette fois ci, un rêve à demi éveillé où je suis revenue à la réalité du présent juste avant de voir mon corps de lumière...ça sera pour la prochaine fois...


Si vous souhaitez partager ce texte, merci d’en respecter l’intégralité, l’auteure et la source ; Lydia, du blog : « Journal de bord d’un humain divin comme tout le monde » ou http://lydiouze.blogspot.fr