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05 Je ne reviendrais pas sur ce que j’ai écrit hier parce que tout se passe
dans le présent mais il est clair que j’ai mal compris le message du corps
physique au travers de la douleur dans le bas du dos. Et surtout, au lieu de
lâcher prise, j’ai essayé de forcer la guérison en pensant que la compréhension
intellectuelle était suffisant. Même si le mental émotionnel ont été apaisé, le
message essentiel doit être appliqué en permanence: douceur, tendresse, souplesse, flexibilité
jusque dans les gestes !
La
douleur qui est revenue m’a ramenée à ces vérités essentielles et
suffisantes :
Le
corps physique est autonome et intelligent, tout à fait apte et d’ailleurs
naturellement programmé pour s’auto-guérir, pour réguler les systèmes et
maintenir la cohérence, l’harmonie, gage de santé.
L’inconscient
qui est éclairé par la source ou le fait de prendre conscience des phénomènes
internes, des stratégies, amène des ajustements pendant le sommeil où
l’émotionnel évacue le trop plein, est où la conscience ‘divine’ ajuste les
anciennes croyances à la nouvelle vision.
Les
symptômes physiques sont des messages et surtout des appels à être présent à
soi, afin de répondre aux besoins vitaux tels que le boire, le manger et le
sommeil.
Ces besoins ne sont pas les mêmes selon les ajustements qui se créent
en soi.
Puis ce qui est à retenir ici, c’est que le fait d’entendre et de
répondre à ces besoins, c’est une façon de manifester de l’amour pour cet
aspect de l’humain, d'accompagner le mouvement ascensionnel, le retour à l'unité, en douceur. De considérer le corps physique comme un aspect intelligent et
bienveillant de l’être.
Les religions ont nié et rejeté la chair créant ainsi
des croyances et conditionnement fortement ancrés qui ont nourri la division
intérieure, le non amour, le jugement et le rejet de forces diabolisées.
On a
fait croire aux gens que l’intelligence, le raisonnement, le mental suffirait,
qu’il serait capable de rendre l’individu meilleur à force de privation, de
sacrifice, d’abnégation.
Cela a engendré beaucoup de violence, de luttes,
d’injustice tant à l’intérieur qu’à l’extérieur.
On
minimise l’intelligence du corps physique et de ces systèmes internes,
inconscients, on les diabolise même mais connaissant l’importance du sommeil
puisque les ajustements s’effectuent entre les corps subtils, les différents
aspects de la conscience : le mental, l’âme, l’inconscient, le
subconscient, ces moments de repos sont extrêmement importants.
On voit que tous
les aspects internes fonctionnent de façon harmonieuse, que les corps et les
aspects de la psyché, s’harmonisent, s’ajustent naturellement et cela se fait
sans que le mental n’intervienne.
En ce sens, la raison n’est pas nécessaire au
bon fonctionnement de l’ensemble.
On peut en déduire que le trouble physique,
c’est le signe que le mental s’affole, qu’il veut prendre en charge la guérison
ou la gestion de l’ensemble alors que c’est seulement le fait de lâcher prise
qui permet l’harmonisation des corps.
Être à l’écoute de ces besoins dont les plus essentiels sont l’harmonie, l’amour,
l’unité, la paix, c’est juste se rappeler de revenir au centre, à la neutralité, au lâcher prise, à la confiance envers l'intelligence qui anime les corps physique et subtils, qui les harmonise.
C’est
un véritable challenge pour le mental parce que lorsqu’il comprend les
mécanismes internes de survie, il pense qu’il est capable de changer les stratégies
par sa compréhension, sa force de volonté. Mais là encore, c’est un leurre et cela entraine des
interférences, puis ça colle une pression au niveau du mental qui se répercute
sur le corps physique.
Le
symptôme physique montre à la fois, un bouleversement ou un blocage émotionnel,
un trouble au niveau mental qui va alors enclencher des réactions causant des
interférences et en même temps l’ajustement qui se réalise afin de maintenir
l’harmonie intérieure.
Les corps sont programmés pour maintenir cette harmonie
intérieure et ils le font sous la guidance de l’âme et de la conscience ou de
la vibration de la source.
L’énergie de vie, les forces complémentaires
s’adaptent à la conscience de l’individu, elles circulent plus ou moins
facilement selon les croyances qui sont activées et l’inconscient se conforme à
cela, il répond précisément aux programmes internes que la personne nourrit,
ceux auxquels elle croit. Il n’est donc pas un ennemi mais un mécanisme qui
répond aux programmes nourris par la personne.
Puis
quand on réalise la force des croyances, de la psyché, des blessures qui
génèrent les croyances et du fait que cela modèle notre vie, on va vouloir
changer nos croyances.
Mais on ne comprend pas encore suffisamment comment cela
fonctionne puis comme on a pris l’habitude de croire que notre mental est ce
que nous sommes et qu’il doit gérer notre vie, notre comportement à lui tout
seul, on va essayer de changer en force.
On tente de comprendre ce que nous sommes par
l’intellect qui va se servir de ses références et croyances pour interpréter
les faits. On va se tourner vers les autres pour connaitre leur point de vue,
leur vision et ainsi nourrir nos croyances mais la conscience ou la sagesse
innée est intérieure et elle ne dépend pas du mental.
La compréhension
intellectuelle est une façon d’interpréter l’intuition qui est très aléatoire
puisqu’elle se réfère à des croyances elles-mêmes basées sur des conventions
collectives. Elles se fondent sur une façon de considérer l’individu et la vie
qui est très superficielle, partielle et donc incomplète, faussée.
On
commence à mieux comprendre de quoi nous sommes faits physiquement et
psychiquement, comment les systèmes internes fonctionnent, leur complexité et
leur interdépendance, la façon dont ils sont reliés, et comment ils œuvrent
ensemble à maintenir l’harmonie, la cohérence.
Il y a sans aucun doute une
intelligence supérieure qui gère tous ces systèmes hypercomplexes et
interdépendants.
De la cellule aux organes, ils communiquent par des impulsions
électriques, des connexions entre les synapses, des réactions chimiques, hormonales, puis
l’aspect énergétique et vibratoire y participent aussi.
Et ce qui est
extraordinaire c’est que chaque système fonctionne de façon à la fois autonome
et en même temps en cohérence avec l’ensemble.
Notre mental est subjugué par
tout cela et il n’est pas nécessaire qu’il comprenne pour que tous ces systèmes
fonctionnent de façon coordonnée, cohérente.
Lui
qui a cru devoir gérer les émotions, les croyances simplement pour être intégré
dans la famille, la société, pour être considéré comme responsable, adulte,
continue de croire qu’il doit lutter, contrôler les mouvements internes. C’est
devenu un automatisme et tout naturellement il croit devoir contrôler la vie de
l’individu.
Là
encore, il n’y a pas à lui en vouloir, à le maltraiter, à le rejeter mais juste
à comprendre qu’il agit par devoir, par amour et selon son degré de conscience.
Le malheur c’est qu’il s’est cru seul, obligé d’assumer la survie de
l’individu.
Quand
on se libère des conditionnements on se rend compte de toute la passion du
mental à vouloir chercher le bien-être, le plaisir, l’amour, la paix, la
réussite.
La seule donnée qu’il lui manquait c’est que cela se trouve et se
manifeste à l’intérieur mais ça, l’inconscient le sait.
Toutes les stratégies
inconscientes visent à obtenir du plaisir, à satisfaire la pulsion de vie qui
se manifeste par le désir et l’assouvissement de celui-ci.
Les jugements que
nous avons au sujet de la sexualité et par le fait de ranger toute pulsion de
vie dans des cases négatives ou inférieurs crée la disharmonie.
Plus on rejette
un aspect de soi par ignorance et par peur, plus on va en bloquer le cours naturel et se priver
d’entendre la voix de la sagesse.
La vie est ainsi faite que ce sont les
expériences qui vont nous amener à prendre conscience de la valeur des choses,
à faire des choix conscients mais dès l’enfance, on bride cette énergie de vie,
de désir, par des jugements, des conditionnements et croyances qui faussent
tout.
On sélectionne les pensées émotions en définissant ce qui est bien et ce
qui est mal et peu à peu, le mental "remplace" la conscience.
On a associé la
maturité au fait d’être capable de contrôler ses impulsions mais ça n’est pas
de la sagesse. La sagesse est intérieure et l’expérience l’accueil,
l’acceptation, l’observation neutre des faits, la révèle et en même temps permettent de la manifester jusque dans les choix et es gestes.
Plus
on contraint un individu et plus il va lutter pour exister et il le fera par la
violence, l’excès, la force ou la ruse. On voit bien que l’interdiction
engendre l’excès et les frustrations mais d’un autre côté, l’ultralibéralisme
conditionné amène au même résultat.
Dans les relations à deux, on peut voir que
très souvent c’est le jeu de séduction qui a été le plus plaisant parce que le
fait de séduire nourrit le besoin d’être aimé.
Les stratégies des rôles sont
basées sur ce pouvoir de séduction, de manipulation et c’est ainsi qu’on croit
se remplir d’amour.
Alors que l’amour est ce que nous sommes fondamentalement
au travers de ce désir d’être, de cette pulsion de vie qui nous anime et nous
guide. La conscience ou l’intelligence innée ce sont les façons de canaliser,
d’exprimer cette pulsion de vie et cela se réalise de façon harmonieuse même
dans les croyances dites négatives.
L’individu
agit selon ses convictions, sa vision et les mécanismes internes suivent cela
selon des programmations spécifiques. Toutes les stratégies visent à nourrir
les besoins fondamentaux dont celui d’être aimé.
Pour que cela se fasse dans le
respect de soi et des autres, il faut être à l’écoute de la sagesse innée, de la
voix du cœur et aligner les corps, le mental à cette vibration.
Mais
comme on associe la sagesse au contrôle, on rompt l’harmonie naturelle et on
tombe dans l’excès, la division intérieure, la souffrance.
On se croit manipulé
par les stratégies internes et plus on veut agir selon la raison qui se fonde
sur des croyances selon les modes de survie, l’idée qu’on se fait de l’amour et
de l’intelligence, plus on lutte contre soi, contre la capacité naturelle
d’harmonisation des corps.
On
prend peur lorsque des émotions refoulées se manifestent, on veut les réprimer
et on souffre encore plus par le seul fait d’y résister. On les nourrit par
cette résistance, par les jugements et les interprétations qu’on fait des
sensations désagréables.
En
ne luttant pas contre ce qui se manifeste, on favorise l’harmonisation
naturelle entre les systèmes internes qui s’ajustent aux fréquences de la
source. Ce qui est difficile c’est de ne pas s’attacher aux raisonnements, aux
interprétations, à la recherche de réponse immédiate.
Reconnaitre
les ajustements internes et laisser faire, nourrit a confiance en l’amour ou la
capacité d’harmonisation des corps, des forces et systèmes internes.
La peur
émerge naturellement et en ne luttant pas contre elle, on facilite l’équilibre
émotionnel. Puis on peut savoir aussi quand c’est le mental qui tente de
résoudre ce qu’il ne peut pas résoudre, par les symptômes physiques qui
apparaissent.
La peur se manifeste par des raisonnements excessifs parce que
lorsque le trouble émotionnel apparait, entrainant des douleurs physiques, le
mental s’affole, il cogite essayant de trouver du sens.
Même
si une certaine compréhension de la constitution des corps peut le rassurer et
si la foi en l’amour peut le calmer, cela nourrit l’idée qu’il doive agir.
Comme son mode d’action c’est le contrôle il va essayer de changer les
croyances en bidouillant les pensées, en pensant positif.
Il essaiera de
trouver un sens à ce qui se passe dans le corps, au niveau énergétique, sachant
que la pensée créé, il s’attachera aux réponses données par les anges, les
guides, les mondes invisibles.
Il recherche un responsable du mal-être, du
symptôme et s’empêtre dans les explications. C’est sa fonction mais cela nous
rend encore plus confus.
Le fait d’agir peut le calmer et c’est surtout
l’insouciance, la confiance en la vie qui faciliteront l’ajustement interne.
Je
me contente de repérer quand le mental s’emballe et de lâcher prise. Le fait
d’écrire est l’’expression de sa peur tout comme le besoin de trouver du sens qui tourne vite au besoin de contrôler la Vie, l'énergie.
Sachant
la complexité des systèmes internes, vouloir comprendre intellectuellement,
c’est se mettre un fardeau immense sur les épaules. Il peut en résulter des
douleurs aux épaules, au dos et de la tension.
Le stress limite les capacités
naturelles des corps de s’harmoniser, de vibrer l’unité et la paix.
J’ai
failli me lever au premier réveil estimant que 6 heures de sommeil étaient
suffisantes mais la douleur au dos m’a ramenée à l’évidence. La guérison de ce
genre de douleur musculaire ne demande qu’une bonne nuit de sommeil. Alors je
me suis recouchée et au bout de deux heures, la douleur était moins intense.
Puis en cherchant comment j’avais pu me faire mal, j’ai vu que j’agissais
encore dans la précipitation, l’urgence, la peur.
Comme il y a pas mal de
choses à faire au jardin, j’avais tendance à courir, à forcer et à faire les
choses dans l’urgence.
Puis la douleur et la pluie qui est tombée m’empêchant
d’aller cueillir les fraises une fois par jour m’a ramenée à l’évidence que
cette cueillette peut être faite tous les deux jours.
Comme c’est un apport
financier ponctuel, j’agissais selon la peur du manque et ce repos forcé m’a
révélé tant la stratégie motivée par la peur du manque que son inutilité.
Cette
peur du manque que la prise de cachet résout de façon chimique a besoin d’être
déracinée en cessant de la nourrir dans le comportement au quotidien pour des
choses anodines.
Parce que ça n’est pas la dépendance qui pose problème si on
peut dire.
Elle révèle à la fois la peur du manque et la stratégie qui vise à y
répondre.
C’est le système lui-même qui a besoin d’être désactivé. En agissant
avec plus de calme et de respect pour le corps physique dans les petites choses
apparemment anodine, la vibration sur laquelle j’agis n’est plus la même.
C’est
sûr que c’est difficile à admettre parce que les croyances basées sur la notion
de bien et de mal, sur le manque d’amour et de confiance en soi, l'idée qu'il faille souffrir, peiner pour exister, sont bien
ancrées et continuellement nourries.
Ce
que ces douleurs m’apprennent c’est d’être plus douce avec moi-même, plus à
l’écoute du besoin de sommeil et l’importance de la fréquence qui guide mes
actes.
Avec plus d’objectivité, je peux considérer les vertiges comme
l’expression d’une carence en sucre, une forme d’hypoglycémie du fait de ne
rien manger de la matinée.
Il existe une dépendance au sucre puisque cela
excite la zone du plaisir dans le cerveau.
J’ai d’ailleurs été inspirée à
retenir une vidéo à ce sujet.
Là encore, revisiter les croyances au sujet de la
dépendance en intégrant de nouvelles infos au sujet des mécanismes
inconscients, hormonaux, révèle à la fois l’intelligence des systèmes internes,
libérant la culpabilité et le regard négatif au sujet de ces stratégies de
survie.
Je peux voir que le jugement est toujours élaboré dans l’ignorance et
le rejet de soi.
Le remède, c’est de devenir conscient de l’amour et de la
lumière en soi, de ces systèmes guidés par l’intelligence du vivant, l’amour
pour la vie, la personne.
Puis quand je pensais à ces stratégies de survie, je
sentais que la vision négative à leur sujet était injuste.
Petit à petit, j’ai
tendance à les qualifier de stratégie de vie. Bien que la différence puisse
sembler anodine, elle a son importance parce que la fréquence n’est pas la
même.
Il y a une notion de mépris à désigner ces façons d’obtenir du plaisir,
ce système interne qui consiste à assouvir le désir de façon animale ou
irréfléchie, impulsive.
La fréquence de ces pensées est celle du rejet, alors qu’en
considérant ce système comme la manifestation de l’intelligence du vivant, le
désir d’exister et d’être heureux, la fréquence s’élève.
Dans un sens tout le
monde cherche le bonheur et on peut voir que ce qui diffère, ce sont les
stratégies employées. Elles sont plus ou moins conscientes, respectueuses,
violentes et on sait qu’on ne résout pas la violence par la violence.
Seuls
l’amour et la connaissance permettent d’évoluer dans le respect mutuel.
Il
en est de même à l’intérieur, c’est dans la reconnaissance de l’amour et de la
lumière qui anime tout ce que nous sommes que celle-ci nous ouvrant le cœur et
l’esprit, rayonne plus librement et abondamment.
Alors
plutôt que de cogiter, j’appelle la source à soutenir le mental, à le rassurer,
à l’éclairer et je réitère mon désir d’unité et de paix.
Quelques larmes ont
peiné à couler mais déjà je sens moins de résistance intérieure.
C’est normal
de se sentir perdu quand on ressent des douleurs et encore plus quand on croit
au pouvoir de guérison.
La douleur physique nous oblige à lâcher prise, à faire
une pause et à aller à l’essentiel.
Elle nous pousse dans nos retranchements,
nous oblige à voir nos peurs existentielles en face. Et le fait de savoir que
la conscience est éternelle créé une résistance face à la peur de la mort
physique. La peur est naturelle, humaine et en l’accueillant dans le cœur, elle
révèle notre désir de vivre ici et maintenant, elle éveille notre joie d’être.
J’appelle
la source à faciliter l’intégration de l’amour lumière ou de cette conscience
qui réalise que l’unité intérieure est permanente, que c’est la vie même, la
manifestation de la source en toute vie, tout élément de celle-ci.
Je
crois que la journée va être employée à être attentive au besoin de repos. Pas
de pression, pas d’obligation et toujours suivre la joie, sans la forcer, sans
la créer artificiellement en changeant les pensées mais en offrant à la source
tout ce qui n’est pas amour et joie.
Laisser sortir ce qui a besoin de l’être
et prendre soin du corps physique, de l’état intérieur focalisé sur ce désir de
paix et d’unité.
Si déjà j’arrive à pleurer, ce sera une bonne chose parce que
je sens que ça coince.
Cette détente naturelle est très bénéfique lors des
ajustements internes parce qu’elle régule l’énergie, libère les tensions et
adoucit le cœur.
Le meilleur remède à la peur et la violence, c’est toujours la
tendresse, le non jugement, l’accueil. On peut en voir les effets bénéfiques
dans les relations humaines lorsqu’on communique de cœur à cœur, en toute
sincérité.
Je parle de temps en temps de la communication non violente sans
trop insister sur le sujet parce que ce langage du cœur est naturel mais il est
vrai qu’on a besoin de réapprendre à communiquer de cette façon. Dans la
relation à soi avant tout.
Je n’ai pas hésité à confier à la source, tout ce
que j’avais sur le cœur et à chaque fois, ces confidences sincères et
spontanées même si ça s’exprime de façon violente ou grossière, quand ça vient
du cœur, c'est-à-dire quand c’est sincère, l’effet apaisant est immédiat.
Là
encore, c’est la vibration qui agit ou qui compte, au-delà de la forme. L’âme
est réceptive à la fréquence vibratoire, au-delà des mots et les émotions
associées aux pensées exprimées de façon vraie sont portées dans la
transparence.
2 05 J'ai dormi pendant 9 heures! Chose qui n'arrive jamais et même si la douleur est encore présente, elle me rappelle d'agir avec douceur, avec tendresse.
L'idée me vient de temps en temps que l'énergie de vie, ce que certains appellent la kundalini, essaie de se frayer un chemin et comme le chakra racine (j'avais écrit sacré par erreur puisque j'ai tendance à les confondre) est en phase de nettoyage, les blocages se font et sont ressentis au niveau du dos, des reins.
Je laisse venir l'inspiration et surtout les idées qui viennent comme boire de l'eau à jeun et lors de mes réveils nocturnes.
C'est encore bien mouvementé mais déjà en cessant de chercher un sens à tout ça et en étant présente, attentive à ce que je veux vibrer, nourrir et aux soins du corps, la fluidité facilite l'intégration de ces nouvelles fréquences. Il y avait bien longtemps que de telles secousses n'étaient apparues!
La peur de l'inconnu émerge naturellement mais comme l'accueil amène toujours à s'élever et à s'ancrer dans le cœur, et maintenant dans le corps physique selon cette fréquence, on ne peut qu'aller vers le meilleur.
Puis je remarque que malgré tous ces mouvements, je n'ai pas augmenté les doses, je n'y ai même pas pensé! Cela me confirme la force de l'amour qui permet de changer jusque dans les profondeurs de l'inconscient alors confiance!
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