mardi 2 mai 2017

« Douceur, tendresse, souplesse, flexibilité, jusque dans les gestes »





1 05 Je ne reviendrais pas sur ce que j’ai écrit hier parce que tout se passe dans le présent mais il est clair que j’ai mal compris le message du corps physique au travers de la douleur dans le bas du dos. Et surtout, au lieu de lâcher prise, j’ai essayé de forcer la guérison en pensant que la compréhension intellectuelle était suffisant. Même si le mental émotionnel ont été apaisé, le message essentiel doit être appliqué en permanence: douceur, tendresse, souplesse, flexibilité jusque dans les gestes !

La douleur qui est revenue m’a ramenée à ces vérités essentielles et suffisantes :
Le corps physique est autonome et intelligent, tout à fait apte et d’ailleurs naturellement programmé pour s’auto-guérir, pour réguler les systèmes et maintenir la cohérence, l’harmonie, gage de santé.

L’inconscient qui est éclairé par la source ou le fait de prendre conscience des phénomènes internes, des stratégies, amène des ajustements pendant le sommeil où l’émotionnel évacue le trop plein, est où la conscience ‘divine’ ajuste les anciennes croyances à la nouvelle vision.

Les symptômes physiques sont des messages et surtout des appels à être présent à soi, afin de répondre aux besoins vitaux tels que le boire, le manger et le sommeil. 
Ces besoins ne sont pas les mêmes selon les ajustements qui se créent en soi.

Puis ce qui est à retenir ici, c’est que le fait d’entendre et de répondre à ces besoins, c’est une façon de manifester de l’amour pour cet aspect de l’humain, d'accompagner le mouvement ascensionnel, le retour à l'unité, en douceur. De considérer le corps physique comme un aspect intelligent et bienveillant de l’être. 

Les religions ont nié et rejeté la chair créant ainsi des croyances et conditionnement fortement ancrés qui ont nourri la division intérieure, le non amour, le jugement et le rejet de forces diabolisées. 
On a fait croire aux gens que l’intelligence, le raisonnement, le mental suffirait, qu’il serait capable de rendre l’individu meilleur à force de privation, de sacrifice, d’abnégation. 
Cela a engendré beaucoup de violence, de luttes, d’injustice tant à l’intérieur qu’à l’extérieur.

On minimise l’intelligence du corps physique et de ces systèmes internes, inconscients, on les diabolise même mais connaissant l’importance du sommeil puisque les ajustements s’effectuent entre les corps subtils, les différents aspects de la conscience : le mental, l’âme, l’inconscient, le subconscient, ces moments de repos sont extrêmement importants. 

On voit que tous les aspects internes fonctionnent de façon harmonieuse, que les corps et les aspects de la psyché, s’harmonisent, s’ajustent naturellement et cela se fait sans que le mental n’intervienne. 
En ce sens, la raison n’est pas nécessaire au bon fonctionnement de l’ensemble. 
On peut en déduire que le trouble physique, c’est le signe que le mental s’affole, qu’il veut prendre en charge la guérison ou la gestion de l’ensemble alors que c’est seulement le fait de lâcher prise qui permet l’harmonisation des corps.

Être à l’écoute de ces besoins dont les plus essentiels sont l’harmonie, l’amour, l’unité, la paix, c’est juste se rappeler de revenir au centre, à la neutralité, au lâcher prise, à la confiance envers l'intelligence qui anime les corps physique et subtils, qui les harmonise.

C’est un véritable challenge pour le mental parce que lorsqu’il comprend les mécanismes internes de survie, il pense qu’il est capable de changer les stratégies par sa compréhension, sa force de volonté. Mais là encore, c’est un leurre et cela entraine des interférences, puis ça colle une pression au niveau du mental qui se répercute sur le corps physique.

Le symptôme physique montre à la fois, un bouleversement ou un blocage émotionnel, un trouble au niveau mental qui va alors enclencher des réactions causant des interférences et en même temps l’ajustement qui se réalise afin de maintenir l’harmonie intérieure. 

Les corps sont programmés pour maintenir cette harmonie intérieure et ils le font sous la guidance de l’âme et de la conscience ou de la vibration de la source. 
L’énergie de vie, les forces complémentaires s’adaptent à la conscience de l’individu, elles circulent plus ou moins facilement selon les croyances qui sont activées et l’inconscient se conforme à cela, il répond précisément aux programmes internes que la personne nourrit, ceux auxquels elle croit. Il n’est donc pas un ennemi mais un mécanisme qui répond aux programmes nourris par la personne. 




Puis quand on réalise la force des croyances, de la psyché, des blessures qui génèrent les croyances et du fait que cela modèle notre vie, on va vouloir changer nos croyances. 
Mais on ne comprend pas encore suffisamment comment cela fonctionne puis comme on a pris l’habitude de croire que notre mental est ce que nous sommes et qu’il doit gérer notre vie, notre comportement à lui tout seul, on va essayer de changer en force. 

On tente de comprendre ce que nous sommes par l’intellect qui va se servir de ses références et croyances pour interpréter les faits. On va se tourner vers les autres pour connaitre leur point de vue, leur vision et ainsi nourrir nos croyances mais la conscience ou la sagesse innée est intérieure et elle ne dépend pas du mental. 
La compréhension intellectuelle est une façon d’interpréter l’intuition qui est très aléatoire puisqu’elle se réfère à des croyances elles-mêmes basées sur des conventions collectives. Elles se fondent sur une façon de considérer l’individu et la vie qui est très superficielle, partielle et donc incomplète, faussée.

On commence à mieux comprendre de quoi nous sommes faits physiquement et psychiquement, comment les systèmes internes fonctionnent, leur complexité et leur interdépendance, la façon dont ils sont reliés, et comment ils œuvrent ensemble à maintenir l’harmonie, la cohérence. 
Il y a sans aucun doute une intelligence supérieure qui gère tous ces systèmes hypercomplexes et interdépendants. 
De la cellule aux organes, ils communiquent par des impulsions électriques, des connexions entre les synapses, des réactions chimiques, hormonales, puis l’aspect énergétique et vibratoire y participent aussi. 

Et ce qui est extraordinaire c’est que chaque système fonctionne de façon à la fois autonome et en même temps en cohérence avec l’ensemble. 
Notre mental est subjugué par tout cela et il n’est pas nécessaire qu’il comprenne pour que tous ces systèmes fonctionnent de façon coordonnée, cohérente.

Lui qui a cru devoir gérer les émotions, les croyances simplement pour être intégré dans la famille, la société, pour être considéré comme responsable, adulte, continue de croire qu’il doit lutter, contrôler les mouvements internes. C’est devenu un automatisme et tout naturellement il croit devoir contrôler la vie de l’individu.

Là encore, il n’y a pas à lui en vouloir, à le maltraiter, à le rejeter mais juste à comprendre qu’il agit par devoir, par amour et selon son degré de conscience. Le malheur c’est qu’il s’est cru seul, obligé d’assumer la survie de l’individu.

Quand on se libère des conditionnements on se rend compte de toute la passion du mental à vouloir chercher le bien-être, le plaisir, l’amour, la paix, la réussite. 
La seule donnée qu’il lui manquait c’est que cela se trouve et se manifeste à l’intérieur mais ça, l’inconscient le sait. 
Toutes les stratégies inconscientes visent à obtenir du plaisir, à satisfaire la pulsion de vie qui se manifeste par le désir et l’assouvissement de celui-ci. 

Les jugements que nous avons au sujet de la sexualité et par le fait de ranger toute pulsion de vie dans des cases négatives ou inférieurs crée la disharmonie. 
Plus on rejette un aspect de soi par ignorance et par peur, plus on  va en bloquer le cours naturel et se priver d’entendre la voix de la sagesse. 

La vie est ainsi faite que ce sont les expériences qui vont nous amener à prendre conscience de la valeur des choses, à faire des choix conscients mais dès l’enfance, on bride cette énergie de vie, de désir, par des jugements, des conditionnements et croyances qui faussent tout. 
On sélectionne les pensées émotions en définissant ce qui est bien et ce qui est mal et peu à peu, le mental "remplace" la conscience. 
On a associé la maturité au fait d’être capable de contrôler ses impulsions mais ça n’est pas de la sagesse. La sagesse est intérieure et l’expérience  l’accueil, l’acceptation, l’observation neutre des faits, la révèle et en même temps permettent de la manifester jusque dans les choix et es gestes




Plus on contraint un individu et plus il va lutter pour exister et il le fera par la violence, l’excès, la force ou la ruse. On voit bien que l’interdiction engendre l’excès et les frustrations mais d’un autre côté, l’ultralibéralisme conditionné amène au même résultat. 

Dans les relations à deux, on peut voir que très souvent c’est le jeu de séduction qui a été le plus plaisant parce que le fait de séduire nourrit le besoin d’être aimé. 
Les stratégies des rôles sont basées sur ce pouvoir de séduction, de manipulation et c’est ainsi qu’on croit se remplir d’amour. 

Alors que l’amour est ce que nous sommes fondamentalement au travers de ce désir d’être, de cette pulsion de vie qui nous anime et nous guide. La conscience ou l’intelligence innée ce sont les façons de canaliser, d’exprimer cette pulsion de vie et cela se réalise de façon harmonieuse même dans les croyances dites négatives.

L’individu agit selon ses convictions, sa vision et les mécanismes internes suivent cela selon des programmations spécifiques. Toutes les stratégies visent à nourrir les besoins fondamentaux dont celui d’être aimé. 
Pour que cela se fasse dans le respect de soi et des autres, il faut être à l’écoute de la sagesse innée, de la voix du cœur et aligner les corps, le mental à cette vibration.

Mais comme on associe la sagesse au contrôle, on rompt l’harmonie naturelle et on tombe dans l’excès, la division intérieure, la souffrance. 
On se croit manipulé par les stratégies internes et plus on veut agir selon la raison qui se fonde sur des croyances selon les modes de survie, l’idée qu’on se fait de l’amour et de l’intelligence, plus on lutte contre soi, contre la capacité naturelle d’harmonisation des corps.
On prend peur lorsque des émotions refoulées se manifestent, on veut les réprimer et on souffre encore plus par le seul fait d’y résister. On les nourrit par cette résistance, par les jugements et les interprétations qu’on fait des sensations désagréables.

En ne luttant pas contre ce qui se manifeste, on favorise l’harmonisation naturelle entre les systèmes internes qui s’ajustent aux fréquences de la source. Ce qui est difficile c’est de ne pas s’attacher aux raisonnements, aux interprétations, à la recherche de réponse immédiate. 

Reconnaitre les ajustements internes et laisser faire, nourrit a confiance en l’amour ou la capacité d’harmonisation des corps, des forces et systèmes internes. 
La peur émerge naturellement et en ne luttant pas contre elle, on facilite l’équilibre émotionnel. Puis on peut savoir aussi quand c’est le mental qui tente de résoudre ce qu’il ne peut pas résoudre, par les symptômes physiques qui apparaissent. 
La peur se manifeste par des raisonnements excessifs parce que lorsque le trouble émotionnel apparait, entrainant des douleurs physiques, le mental s’affole, il cogite essayant de trouver du sens.

Même si une certaine compréhension de la constitution des corps peut le rassurer et si la foi en l’amour peut le calmer, cela nourrit l’idée qu’il doive agir. 
Comme son mode d’action c’est le contrôle il va essayer de changer les croyances en bidouillant les pensées, en pensant positif. 
Il essaiera de trouver un sens à ce qui se passe dans le corps, au niveau énergétique, sachant que la pensée créé, il s’attachera aux réponses données par les anges, les guides, les mondes invisibles. 
Il recherche un responsable du mal-être, du symptôme et s’empêtre dans les explications. C’est sa fonction mais cela nous rend encore plus confus. 
Le fait d’agir peut le calmer et c’est surtout l’insouciance, la confiance en la vie qui faciliteront l’ajustement interne.

Je me contente de repérer quand le mental s’emballe et de lâcher prise. Le fait d’écrire est l’’expression de sa peur tout comme le besoin de trouver du sens qui tourne vite au besoin de contrôler la Vie, l'énergie.
Sachant la complexité des systèmes internes, vouloir comprendre intellectuellement, c’est se mettre un fardeau immense sur les épaules. Il peut en résulter des douleurs aux épaules, au dos et de la tension. 
Le stress limite les capacités naturelles des corps de s’harmoniser, de vibrer l’unité et la paix.

J’ai failli me lever au premier réveil estimant que 6 heures de sommeil étaient suffisantes mais la douleur au dos m’a ramenée à l’évidence. La guérison de ce genre de douleur musculaire ne demande qu’une bonne nuit de sommeil. Alors je me suis recouchée et au bout de deux heures, la douleur était moins intense. 
Puis en cherchant comment j’avais pu me faire mal, j’ai vu que j’agissais encore dans la précipitation, l’urgence, la peur. 
Comme il y a pas mal de choses à faire au jardin, j’avais tendance à courir, à forcer et à faire les choses dans l’urgence. 
Puis la douleur et la pluie qui est tombée m’empêchant d’aller cueillir les fraises une fois par jour m’a ramenée à l’évidence que cette cueillette peut être faite tous les deux jours. 




Comme c’est un apport financier ponctuel, j’agissais selon la peur du manque et ce repos forcé m’a révélé tant la stratégie motivée par la peur du manque que son inutilité. 
Cette peur du manque que la prise de cachet résout de façon chimique a besoin d’être déracinée en cessant de la nourrir dans le comportement au quotidien pour des choses anodines. 
Parce que ça n’est pas la dépendance qui pose problème si on peut dire. 
Elle révèle à la fois la peur du manque et la stratégie qui vise à y répondre. 

C’est le système lui-même qui a besoin d’être désactivé. En agissant avec plus de calme et de respect pour le corps physique dans les petites choses apparemment anodine, la vibration sur laquelle j’agis n’est plus la même.

C’est sûr que c’est difficile à admettre parce que les croyances basées sur la notion de bien et de mal, sur le manque d’amour et de confiance en soi, l'idée qu'il faille souffrir, peiner pour exister, sont bien ancrées et continuellement nourries.

Ce que ces douleurs m’apprennent c’est d’être plus douce avec moi-même, plus à l’écoute du besoin de sommeil et l’importance de la fréquence qui guide mes actes. 
Avec plus d’objectivité, je peux considérer les vertiges comme l’expression d’une carence en sucre, une forme d’hypoglycémie du fait de ne rien manger de la matinée. 
Il existe une dépendance au sucre puisque cela excite la zone du plaisir dans le cerveau. 
J’ai d’ailleurs été inspirée à retenir une vidéo à ce sujet. 

Là encore, revisiter les croyances au sujet de la dépendance en intégrant de nouvelles infos au sujet des mécanismes inconscients, hormonaux, révèle à la fois l’intelligence des systèmes internes, libérant la culpabilité et le regard négatif au sujet de ces stratégies de survie. 
Je peux voir que le jugement est toujours élaboré dans l’ignorance et le rejet de soi. 

Le remède, c’est de devenir conscient de l’amour et de la lumière en soi, de ces systèmes guidés par l’intelligence du vivant, l’amour pour la vie, la personne. 
Puis quand je pensais à ces stratégies de survie, je sentais que la vision négative à leur sujet était injuste. 
Petit à petit, j’ai tendance à les qualifier de stratégie de vie. Bien que la différence puisse sembler anodine, elle a son importance parce que la fréquence n’est pas la même. 

Il y a une notion de mépris à désigner ces façons d’obtenir du plaisir, ce système interne qui consiste à assouvir le désir de façon animale ou irréfléchie, impulsive. 
La fréquence de ces pensées est celle du rejet, alors qu’en considérant ce système comme la manifestation de l’intelligence du vivant, le désir d’exister et d’être heureux, la fréquence s’élève. 

Dans un sens tout le monde cherche le bonheur et on peut voir que ce qui diffère, ce sont les stratégies employées. Elles sont plus ou moins conscientes, respectueuses, violentes et on sait qu’on ne résout pas la violence par la violence. 
Seuls l’amour et la connaissance permettent d’évoluer dans le respect mutuel.

Il en est de même à l’intérieur, c’est dans la reconnaissance de l’amour et de la lumière qui anime tout ce que nous sommes que celle-ci nous ouvrant le cœur et l’esprit, rayonne plus librement et abondamment.

Alors plutôt que de cogiter, j’appelle la source à soutenir le mental, à le rassurer, à l’éclairer et je réitère mon désir d’unité et de paix. 
Quelques larmes ont peiné à couler mais déjà je sens moins de résistance intérieure. 
C’est normal de se sentir perdu quand on ressent des douleurs et encore plus quand on croit au pouvoir de guérison. 

La douleur physique nous oblige à lâcher prise, à faire une pause et à aller à l’essentiel. 
Elle nous pousse dans nos retranchements, nous oblige à voir nos peurs existentielles en face. Et le fait de savoir que la conscience est éternelle créé une résistance face à la peur de la mort physique. La peur est naturelle, humaine et en l’accueillant dans le cœur, elle révèle notre désir de vivre ici et maintenant, elle éveille notre joie d’être.




J’appelle la source à faciliter l’intégration de l’amour lumière ou de cette conscience qui réalise que l’unité intérieure est permanente, que c’est la vie même, la manifestation de la source en toute vie, tout élément de celle-ci.

Je crois que la journée va être employée à être attentive au besoin de repos. Pas de pression, pas d’obligation et toujours suivre la joie, sans la forcer, sans la créer artificiellement en changeant les pensées mais en offrant à la source tout ce qui n’est pas amour et joie. 
Laisser sortir ce qui a besoin de l’être et prendre soin du corps physique, de l’état intérieur focalisé sur ce désir de paix et d’unité. 

Si déjà j’arrive à pleurer, ce sera une bonne chose parce que je sens que ça coince. 
Cette détente naturelle est très bénéfique lors des ajustements internes parce qu’elle régule l’énergie, libère les tensions et adoucit le cœur. 

Le meilleur remède à la peur et la violence, c’est toujours la tendresse, le non jugement, l’accueil. On peut en voir les effets bénéfiques dans les relations humaines lorsqu’on communique de cœur à cœur, en toute sincérité. 
Je parle de temps en temps de la communication non violente sans trop insister sur le sujet parce que ce langage du cœur est naturel mais il est vrai qu’on a besoin de réapprendre à communiquer de cette façon. Dans la relation à soi avant tout. 

Je n’ai pas hésité à confier à la source, tout ce que j’avais sur le cœur et à chaque fois, ces confidences sincères et spontanées même si ça s’exprime de façon violente ou grossière, quand ça vient du cœur, c'est-à-dire quand c’est sincère, l’effet apaisant est immédiat. 

Là encore, c’est la vibration qui agit ou qui compte, au-delà de la forme. L’âme est réceptive à la fréquence vibratoire, au-delà des mots et les émotions associées aux pensées exprimées de façon vraie sont portées dans la transparence. 

2 05 J'ai dormi pendant 9 heures! Chose qui n'arrive jamais et même si la douleur est encore présente, elle me rappelle d'agir avec douceur, avec tendresse. 
L'idée me vient de temps en temps que l'énergie de vie, ce que certains appellent la kundalini, essaie de se frayer un  chemin et comme le chakra racine (j'avais écrit sacré par erreur puisque j'ai tendance à les confondre) est en phase de nettoyage, les blocages se font et sont ressentis au niveau du dos, des reins. 
Je laisse venir l'inspiration et surtout les idées qui viennent comme boire de l'eau à jeun et lors de mes réveils nocturnes. 

C'est encore bien mouvementé mais déjà en cessant de chercher un sens à tout ça et en étant présente, attentive à ce que je veux vibrer, nourrir et aux soins du corps, la fluidité facilite l'intégration de ces nouvelles fréquences. Il y avait bien longtemps que de telles secousses n'étaient apparues! 
La peur de l'inconnu émerge naturellement mais comme l'accueil amène toujours à s'élever et à s'ancrer dans le cœur, et maintenant dans le corps physique selon cette fréquence, on ne peut qu'aller vers le meilleur. 
Puis je remarque que malgré tous ces mouvements, je n'ai pas augmenté les doses, je n'y ai même pas pensé! Cela me confirme la force de l'amour qui permet de changer jusque dans les profondeurs de l'inconscient alors confiance!

Si vous souhaitez partager ce texte, merci d’en respecter l’intégralité, l’auteure et la source ; Lydia, du blog : « Journal de bord d’un humain divin comme tout le monde » ou http://lydiouze.blogspot.fr