Enfin, me voilà rendue en janvier, dans ce copié-collé commencé le 15!
Je peine un peu en revisitant le passé pourtant proche, puisqu'il me plonge, le temps de le lire, dans les énergies de ces moments. J'ai hâte d'écrire dans le moment présent, que mes mots soient en accord avec les pensées, les émotions et les énergies du moment. Je considère cet exercice comme l'occasion d'apprendre à ne pas s’identifier au passé, si proche soit-il, ni aux pensées un peu sombre.
Je peine un peu en revisitant le passé pourtant proche, puisqu'il me plonge, le temps de le lire, dans les énergies de ces moments. J'ai hâte d'écrire dans le moment présent, que mes mots soient en accord avec les pensées, les émotions et les énergies du moment. Je considère cet exercice comme l'occasion d'apprendre à ne pas s’identifier au passé, si proche soit-il, ni aux pensées un peu sombre.
Une nouvelle année commence !
Plus ça
va et plus je me dis que mon enfance m’a amené à être qui je suis aujourd’hui.
Le fait de ne pas supporter que l’on m’impose quoi que ce soit, est une force
qui découle de ce passé.
C’est presque viscéral et ça me permet de ne pas me laisser influencer par les médias, par exemple. Je me suis levée à 4h et bien que je me sois couchée à minuit, je n’ai pu résister à l’idée d’être dans le silence !
Bon moyen de se préparer à ne pas me laisser perturber par le bavardage incessant de ma sœur. Je crois quand même que je vais aller m’allonger. J’ai mal dormi et c’est le froid qui m’a réveillée.
C’est presque viscéral et ça me permet de ne pas me laisser influencer par les médias, par exemple. Je me suis levée à 4h et bien que je me sois couchée à minuit, je n’ai pu résister à l’idée d’être dans le silence !
Bon moyen de se préparer à ne pas me laisser perturber par le bavardage incessant de ma sœur. Je crois quand même que je vais aller m’allonger. J’ai mal dormi et c’est le froid qui m’a réveillée.
J’apprécie
d’avoir un ordi plus rapide et un programme Word, plus récent.
J’ai dû effectuer 29 mises à jour dont deux n’ont pas pu être installées.
Je verrais ça plus tard...
J’ai dû effectuer 29 mises à jour dont deux n’ont pas pu être installées.
Je verrais ça plus tard...
18h, enfin seule ! J’ai la tête pleine ! Elle m’a soulé à parler à longueur de temps pour raconter des détails insignifiants où tu es obligée de regarder ses gestes explicatifs, bref, l’intrusion totale. Des bricoles à elle, qui trainent par tout. Pas moyen de faire mon lit avant qu’elle n’aille à sa voiture fixer la contrebasse d’où elle n’a sorti aucun son.
Les trois quarts de la conversation portent sur ses bobos, une descente vibratoire permanente.
J’ai dû me blinder avec 2,7mg au lieu des 2,4 habituels.
Après
toutes ses plaintes, je lui propose des techniques, des idées de sortie du
tunnel, mais ça n’est jamais à sa convenance. Je suis soulagée qu’elle soit partie !
Vidée physiquement mais sereine.
Vidée physiquement mais sereine.
Je vais
lire quelques messages de la presse galactique.
Je me sens vidée et en même temps beaucoup d’idées me viennent en tête, en vrac.
Je ne vais pas prolonger le malaise en écrivant ce que j’ai ressenti de négatif, dans les détails.
Dans l’ensemble c’est sa façon de s’imposer, d’envahir l’espace qui m’a vidée énergétiquement. Le même scénario que celui de l’enfance et moi qui « m’écrase ».
Il faut dire que je vois ça qu’avec un certain recul.
Il est
21h et j’hésite à aller me coucher maintenant.
Pourtant, mon corps physique est en demande.
Je fini ma clope et j’y vais avant de me réveiller en me cognant le nez sur le bureau comme hier !
Pourtant, mon corps physique est en demande.
Je fini ma clope et j’y vais avant de me réveiller en me cognant le nez sur le bureau comme hier !
J’ai cliqué sur la liste des photos des amis de la presse galactique et j’ai eu la surprise d’y voir Sophie ! Je profiterais d’un prochain message à paraître pour lui glisser un petit clin d’œil et mes excuses pour l’accueil glacial que je lui ai réservé quand elle est venue à l’improviste au début de l’automne.
Je me
rends compte que je pique du nez tous les soirs, en ce moment.
Il faut dire aussi que j’ai augmenté les doses de cachetons. Il a suffit des tracas de la panne informatique, la visite de ma sœur...
Difficile d'être dans l’acceptation de ce qui est, j'ai du mal à lâcher la vision dramatique que j'ai de la dépendance aux médicaments. Je culpabilise encore si j'en prends plus que prévu. Il y a certainement la pression que je me colle à vouloir guérir vite.
Mais comme cette façon de se protéger de émotions, de se carapacer, de se blinder, date de l'adolescence...
Bon, dodo.
Photo de pensées du jardin au printemps dernier.
Il faut dire aussi que j’ai augmenté les doses de cachetons. Il a suffit des tracas de la panne informatique, la visite de ma sœur...
Difficile d'être dans l’acceptation de ce qui est, j'ai du mal à lâcher la vision dramatique que j'ai de la dépendance aux médicaments. Je culpabilise encore si j'en prends plus que prévu. Il y a certainement la pression que je me colle à vouloir guérir vite.
Mais comme cette façon de se protéger de émotions, de se carapacer, de se blinder, date de l'adolescence...
Bon, dodo.
Photo de pensées du jardin au printemps dernier.