dimanche 20 janvier 2013

Lundi 31décembre,



 
Debout à 4h40, couchée à 23h avec piquage de nez de 22 à 23, mon compte est bon ! J’ai commencé à trier le journal, y’a du boulot mais ça commence à être plus clair. 

Une nouvelle année commence demain, 
je nous la souhaite remplie de joie, de créativité,
 d’échange, d’amour inconditionnel pour toute vie, 
et avant tout pour la sienne, 
la plus grande et la seule responsabilité que nous ayons sur terre, ici, maintenant...
Quand mon mental commence à papoter à propos des autres, je le ramène à la raison en lui disant : "dis donc, on n’a pas assez à faire entre nous ?" 
Notre but, notre mission c’est d’être dans l’unité, le respect mutuel, dans l’équilibre, la voie du juste milieu alors s’il te plait, laisse tomber ce que disent ou font les autres, chacun sa vie, ses choix…

Comme chacun est un canal énergétique, nous recevons tous les énergies correspondantes à nos pensées et les émettons obligatoirement, alors faisons en sorte de capter les fréquences les plus élevées de façon à émettre le meilleur de nous-mêmes.
Il y a encore beaucoup à libérer, à nettoyer pour ne pas déformer ce que nous recevons par le filtre de l’ego encrassé.

Plus ça va et plus je me dis que chaque corps est « divisé » en plusieurs parties, celles conscientes, celles inconscientes et celles actives dans le moment présent. Peu importe, ce qui compte, c’est l’unité que le cœur peut réaliser avec l’éclairage de la lumière de notre présence divine.

Aujourd’hui, je suis contente que ma sœur vienne. Préparer ce qu’il faut pour l’accueillir dans les meilleures conditions et faire confiance à la lumière en chacune pour que nous ne tombions pas dans le piège du passé, des victimes. Je vais continuer de libérer ce qui doit l’être, au fur et à mesure, comme ça vient, confiante dans l’inspiration de cet aspect de moi qui sait ce qui est nécessaire dans le moment présent. 
Je m’étouffe en buvant mon thé ! J’ai fait le rapprochement avec le besoin de rassurer mon ego. Cette part de moi qui se souvient de la souffrance vécue dans l’enfance et qui craint de voir les vieux schémas répétés. 
Rassure toi mon ami, n’enclenche pas les stratégies de repli sur soi, je suis là pour te protéger de toute agression. 
Nous sommes aujourd’hui, maintenant et nous avons le soutien inconditionnel de notre présence divine pour être capable de dire : stop ! 
Pour ne plus se laisser dominer par nos propres peurs que je vais libérer tout de suite. Mais avant, je vais déjà aller libérer hier, pour être dans le moment présent, en allant sur le trône, remercier la terre mère pour la nourriture.

Pour une fois, j’ai mis la musique assez tôt, en réglant le volume de façon à ne pas gêner l’entourage.

17h Le technicien en informatique est venu et m’a installé quelques programmes pour rendre l’ordi plus performant. Je lui avais juste demandé de faire quelques réglages mais comme ça ramait, il m’a partitionné le disque dur de façon à ce que ça aille plus vite. Résultat, l’ordi bloqué pendant plus d’une heure et je n’ai pas pu me mettre aux fourneaux avant 17h ! 
Je lui ai quand même dit que j’étais stressée par la venue de ma sœur et que je me serais passée de son intervention « surprise ».

Ma sœur qui devait venir à 18h, s’est pointée à 19h, résultat, elle n’a pas arrêté de jacter pendant que je cuisinais et m’a obligé à redoubler d’attention et de concentration. 
Du coup, je me suis emmêlé les pinceaux. J’ai oublié de sortir la viande du congélo et on a mangé à 20h. 
J’aurais dû lui dire qu’elle me soulait et lui proposer de regarder un film ou je ne sais quoi. Elle a amené sa basse, un truc énorme qu’on n’a pas su où mettre et qu’il a fallu rentrer de suite…
Bref, elle s’est imposée, ne respectant pas ce qui était convenu. Si je lui avais fait une réflexion, elle aurait été capable de faire la gueule et comme je ne voulais pas pourrir la soirée, je me suis tu. Quand on a enfin pu manger, elle continuait de jacasser et je ne lui répondais pas ou juste par oui, non. 
Elle m’a demandé, "qu’est-ce qu’il y a?", genre tu fais la gueule ? 
Je lui ai juste dit, je mange. Je n’aime pas parler en mangeant et en plus quand on est ensemble, on a tendance à coincer au niveau de l’œsophage, problèmes de déglutition. 
Il y a sûrement un lien avec le passé dans ce symptôme. 

J’ai posté le livre de Lise Bourbeau, hier et du coup comme celui que j’ai commandé n’est pas arrivé…
Je suppose que c’est lié au fait de ne pas accepter une situation, d’être stressé. 
La déglutition ramène à un problème de bébé, je crois. 
Il me semble me souvenir que c’est quelque chose à surveiller chez les nouveaux nés. Il faut qu’il puisse faire leur rôt. Une histoire de clapet…Ce qui pourrait correspondre à la difficulté à gérer des souffrances, des émotions reliées à l’âme.
Toujours est-il que j’ai pu m’imposer sans écraser, en choisissant le silence pour manger sans problème plutôt que de répondre à ses questions la plupart du temps, banales ou inintéressantes. Plutôt que de lui dire tais-toi.
On a réussi à décongeler la viande en la mettant au four. Il a fallu que notre père lui téléphone, bourré ! Je me doutais qu’il replongerait au moment des fêtes. Puisque c’est sa période fragile, habituellement et qu’en plus, il se retrouvait seul, sa compagne étant dans le Berry.
Elle l’a envoyé balader en étant ferme. J’ai senti que le fait que je sois là avait influencé son comportement et qu’en même temps, le fait qu’il la joigne avant moi, lui procurait un genre de satisfaction. 
Quand mon téléphone a sonné, j’ai supposé que c’était lui et je n’ai pas répondu. 
Je lui ai déjà longuement expliqué que je ne voulais pas qu’il m’appelle dans cet état, autant oralement que par écrit. Je l’ai fait il y a quelques temps, sans agressivité, mais fermement.
Je peux constater que ma sœur est encore dans la rivalité, la comparaison et qu’elle a besoin de se sentir valorisée. Tout comme quand je m’étais embrouillée avec ma mère et qu’elle faisait le tampon entre nous deux.
Je peux voir que je ne suis plus dans l’attente de reconnaissance vis-à-vis de mes parents. 
Je demande si ma sœur serait venue une heure plus tôt, chez sa copine Christine ? Je vais lui poser la question. Peut-être plutôt par écrit.
Dans l’ensemble, je ne me suis pas sentie plus affectée que ça par l’intrusion téléphonique de mon père bien que je me sois dit : Il faut qu’il continue à foutre son grain de sel, à s’interposer entre nous deux. J’ai quand même pris un petit bout de cachet. 
D’un autre côté, comme je sais que ce que je vis est voulu par mon âme…
Je n’incrimine personne et cherche plutôt à y voir des messages, des trucs à libérer, à comprendre. 
C’est sûr que j’y vois plus clair dans les comportements de manipulation et bien que ma frangine ait eu le même comportement de vouloir s’imposer comme quand on était gamine, je considère que ça ne m’a pas déstabilisée plus que ça. Que je n’ai pas « marché » à son jeu.
Même si j’aurais préférer ne pas prendre de bout de cachet, je me dis que ça n’est pas si mal, qu’il y a tout de même du progrès. D’ailleurs, ce soir, je suis allée faire un tour sur la presse galactique et suis tombée sur la pensée du jour :

Vous êtes toujours en train de vous façonner vous-mêmes en quelque chose qui vous fait vous sentir mieux. Et vous n’aurez jamais fini. Ça ne sera jamais complètement fini. Ça ne sera jamais absolument parfait. Vous aurez toujours certaines pensées dominantes qui ne seront pas en accord vibratoire avec votre désir tout neuf. Parce que c’est ça votre travail, toujours. Il est donc temps pour vous de commencer à simplement vous détendre à ce propos, de ne pas en faire une question de courage personnel, ou de valeur personnelle, ou d’intégrité personnelle. Autrement dit, demandez-vous simplement : combien de fois ai-je eu cette pensée ?
Abraham,
Traduction AD
Page d’origine : http://www.abraham-hicks.com/lawofattractionsource/index.php
lapressegalactique.com

Voilà une illustration de ce que je vis, qui me conforte dans ma foi.
Il est clair que je me suis fais plusieurs fois la réflexion : tu te colles la pression inutilement ! Ce qui m’a permis de ne pas trop appréhender. 
Même si par moment, je me suis aussi dit que je pensais avoir surmonté certains schémas, et libéré ce que ça sous tendait. 
Mais, comme il s’agit de guérir les blessures de l’âme et que celles-ci ont été vécues maintes et maintes fois, au cours de nos nombreuses vies, même si nous guérissons le passé de cette vie là, il semble évident que nous devions aussi guérir les autres incarnations dont la mémoire reste affectée et l’énergie bloquée.

Pour toutes ses raisons, je vais rester centrée dans mon cœur, le plus possible, demain. 23h45, je me couche.
Photo: Fleurs du jardin