Ce
matin, debout depuis 5h, je fais le ménage dans mes documents histoire de virer
ce qui est obsolète, qui appartient au passé. C’est un bon moyen d’effectuer
des mises à jour au niveau des croyances.
Je
m’habitue peu à peu à mon nouvel écran. Un ami doit venir effectuer quelques
réglages que je n’ai pas réussi à faire. Je suis contente de voir que je
délègue de plus en plus, accepte pus facilement l’aide de mes semblables...
C’est
une bonne chose d’être le plus autonome possible mais en même temps, donner aux
autres l’occasion d’exprimer leurs talents, de se sentir utiles, c’est une
façon de les reconnaître, de les aimer, de faire circuler l’énergie d’amour.
Il est question d’agir ensemble, une fois
qu’on a découvert que l’on est un être complet, multidimensionnel, l’étape
suivante consiste à se tourner vers l’extérieur.
On commence par faire circuler
l’énergie de l’amour par la connexion à son aspect divin et l’amour
inconditionnel envers tous les aspects de ce que nous sommes, pour ensuite,
rayonner cette même énergie vers l’extérieur.
Ainsi, elle s’amplifie par la loi
de résonance et d’attraction, s’expanse, se multiplie dans chaque interaction.
Enfin, c’est comme ça que je vois le symbole de la croix christique.
Aujourd’hui,
je vais cogiter à l’accueil de ma sœur pour fêter le réveillon.
Je mise sur
l’authenticité réciproque et plutôt que de faire des cadeaux chers, j’ai acheté
un cahier de travaux pratique dans le quel je vais témoigner de la valeur de la
connexion à son âme, à travers l’expression libre de son cœur, par l’écriture
d’un journal intime.
J’ai dessiné sur les feuilles prévues à cet effet, chaque
chakra, au crayon à papier pour qu’elle puisse les personnaliser à sa façon.
C’est aussi un beau moyen de se connaître de l’intérieur de façon ludique, par
la créativité et l’expression unique de notre personnalité.
J’avais fait cet
exercice en dessinant le chakra relié au jour, par exemple le lundi et le
chakra sacré.
Comme ce sont des symboles, l’inconscient et le cœur amènent une
compréhension plus profonde de chacun des corps.
Ce qui m’a permis de mieux
aimer mes aspects humains et de m’adresser à chacun de mes corps en leur
demandant de s’associer dans l’amour et le respect mutuel, pour vivre chaque
jour dans l’harmonie.
Pour que les conflits entre le mental et l’émotionnel,
s’apaisent, bref, pour être dans l’unité, la paix intérieure.
C’est simple mais
efficace.
Tout comme le fait de s’adresser à ses cellules, de les remercier
pour leur loyauté et leur capacité d’apporter la santé malgré mon ingérence
pendant plus de vingt ans.
La façon dont j’ai traité mon corps physique avec
violence et le fait qu’il soit malgré tout intègre et en bonne santé, me montre
à quel point non seulement les cellules sont autonomes mais en plus, elles sont
vraiment au service de notre conscience, de la vie éternelle.
Aujourd’hui
j’appellerais ma mère, comme tous les dimanches et lui souhaiterais son
anniversaire. C’était hier mais ce n’est pas à un jour prés.
Le plus important,
c’est qu’elle sache que je l’aime, que je suis heureuse qu’elle ait accepté, au
niveau de l’âme de me donner la vie.
Je ne lui dirais pas en ces termes
puisqu’elle est assez imperméable à tous ce qui est spirituel mais je
m’adresserais à son cœur.
La remerciant de m’avoir porté et de continuer à le
faire malgré qu’elle ne comprenne pas trop qui je suis.
Elle m’aime quand même
et me l’exprime à sa façon même si j’ai longtemps cru l’inverse parce que ça
façon de me le montrer ne correspondait pas à mes attentes.
Plus ma relation au
divin intérieur est intime et moins je suis en besoin de reconnaissance de sa
part. Ce qui a pour effet de changer totalement notre relation qui est passée
de mère à fille, à une relation d’amitié, de confidence réciproque.
Quand on
est dans l’attente de reconnaissance extérieure, on colle la pression sur les
épaules de l‘autre qui se croit responsable de notre bonheur.
On lui donne une
responsabilité, un rôle qui l’enferme, le privant d’être lui-même.
Voyons
quel cadeau, la vie me fera aujourd’hui. En n’oubliant pas que ce que je
pourrais qualifier de galère, dans un premier temps, est une opportunité
d’éveil, d’ouverture de cœur et de conscience.
J’appelle l’harmonie intérieure,
le désir d’accepter ce qui est, ce que la vie m’apporte qui est l’expression de
mes pensées intimes, inconscientes et l’occasion de mieux me connaître tant au
niveau humain que divin.
En route
pour l’aventure, action !
Je viens
de lire un texte écrit par Joéliah et je dois dire que je ne suis pas d’accord
avec ce qu’elle dit. Elle parle de complémentarité polaire, tant au niveau de
l’individu que du couple. Je ne pense pas qu’il s’agisse de complémentarité
parce que ça implique que l’un sans l’autre n’est pas complet.
Or il me semble
que ce soit l’unification des polarités, la fusion de celles-ci, qui amène à
transcender la dualité. Mais peut-être que je me plante.
Je considère que chaque individu homme ou femme, est
entier et n’a pas besoin de l’autre. Ce qui n’empêche pas l’union des deux mais
en conscience.
L’union, dans la volonté de partager un moment de sa vie, de faire venir une âme
en conscience, sur la terre.
Sans se croire obligé d’être ensemble pour la vie,
soit disant pour assurer l’équilibre de l’enfant. Encore une fois, cette vision
des choses nie l’entièreté de chacun, reproduit des schémas d’appartenance et
d’obligation.
L’amour n’a pas à être contrôlé ni soumis à des conditions.
L’amour
est une énergie libre qui circule, elle n’a pas à être figée, emprisonnée.
Tant
que celle-ci circule harmonieusement entre deux êtres, c’est suffisant à créer
le bonheur dans l’instant présent.
Tout comme sa libre circulation en chaque
individu créé la santé, il en est de même dans la relation de couple.
Joéliah parle de spécificité homme femme mais là encore, on est très près des rôles et
on nie le caractère unique de chacun.
Selon elle, l’homme serait naturellement
protecteur. Mais de quoi doit-il protéger ?
Dans un monde de confiance
réciproque, de liberté et d’égalité, la peur et le danger n’ont pas leurs
places.
Le concept de protection naît de celui de la peur.
Tout comme au niveau
de l’individu, celui qui est au-delà de la dualité, dans l’amour inconditionnel
pour toute vie, dans l’acceptation de ce qui est, n’a pas besoin de se
protéger.
D’autant qu’il aurait à se protéger de ses propres pensées puisque ce
sont celles-ci qui créent, attirent les scénarios qu’il va vivre.
Elle dit
aussi que l’homme est censé être un dirigeant de par sa nature.
C’est une vision issue du patriarcat.
Chacun est son propre maître, souverain de par sa
présence divine intérieure en se laissant guider par le divin qui l’habite
plutôt que par n’importe quel humain, qu’il soit un homme, une femme, une
autorité quelconque.
Même vis-à-vis des enfants, les parents doivent leur
apprendre de quoi est constitué un humain divin de façon à ce que l’enfant
suive sa propre voix et acquiert l’autonomie en toute chose. Certes les parents
se doivent de subvenir aux besoins de base de leur enfant mais ça ne rend pas
l’enfant dépendant ni redevable, (comme au Japon, la loi du « ON » qui fait qu'un enfant est redevable à vie. Voir les détails sur Wikipédia parce que là, je simplifie trop).
C’est
une chose naturelle que font aussi les animaux.
Ce qui nous différencie d’eux,
c’est que nous avons une âme individuelle.
C’est pour cela qu’il est essentiel qu’un
enfant apprenne de ces parents, qu'il est un être multidimensionnel, complet, et que ceux ci le fasse de la façon la plus parlante, par l’exemple.
De
son côté, l’enfant apporte à ses parents, l’énergie de l’amour inconditionnel,
la capacité à vivre dans le moment présent et l’authenticité naturelle.
L’acceptation
de ce qui est en vivant ses émotions, sans rien refouler de ce qu’il est.
Là,
les parents, ont en charge d‘apprendre à leur enfant la gestion de ses corps,
l’unité a créer à l’intérieur, entre chaque corps.
Par la maîtrise des pensées, des émotions et des paroles et des actes, toujours par l'expemple.
Ce que tout humain divin
conscient de ce qu’il, est censé connaître.
Les parents ne sont pas supérieurs à
leurs enfants, chacun apporte à l’autre selon ce qu’il est. Les parents ont
juste une certaine expérience terrestre.
Les enfants, eux, étant d’une nouvelle
génération, ont en leur ADN, quelque chose de plus neuf, de progressiste.
Dans toute
interaction, chacun est actif et apporte sa singularité.
Même dans la relation
parent enfant, un échange se fait où chacun apporte quelque chose de spécifique
à l’autre selon la loi du donner et du recevoir.
Tout comme dans la relation
malade/soignant, élève/enseignant, orateur/auditeur... Personne n’est jamais au dessus de l’autre,
chacun apporte sa contribution spécifique relative à sa « couleur »
énergétique.
Enfin, pour
ce qui est du message de Joéliah, dans son texte « le mariage
harmonieux des polarités pour la nouvelle ère », (cliquez sur le lien ci-dessous pour accéder au message de Joéliah dont je parle, vous arriverez sur son site, l'occasion pour ceux qui ne la connaissent pas de le faire. C'est elle qui m'a amené à trouver le Christ intérieur, je lui dois beaucoup.)
Le mariage harmonieux des polarités pour la nouvelle ère.
Cliquez sur le texte pour accéder au Jardin de Joéliah et lire le message
La façon dont chacun conçoit la vie relève du libre arbitre et il n’y a aucun jugement à avoir. Le fait d’exprimer sa propre compréhension des choses, permet par le dialogue, l’échange, de s’élever mutuellement.
Que se soit en confortant ses propres croyances par la différence ou par la ressemblance ou en les infirmant de la même façon.
Nous sommes ici pour apprendre et comprendre qui nous sommes, ce qu’est l’énergie d’amour et nous élever par l’ouverture du cœur et de la conscience en laissant l’énergie circuler librement en nous, dans l’interaction, entre l’humain et le divin et l’échange de points de vue entre humains.
Ceci est ma compréhension du plan de la source.
Nous avons l’opportunité de nous élever au-delà de la dualité pour justement retrouver l’état de conscience unifiée.
Tout ce qui est complémentarité, polarité, appartient à l’ancien monde. Encore une fois, il n’est plus question de distribuer des rôles selon le genre, l’âge, la couleur mais bien d’accepter tout ce qui est et de reconnaître la valeur spécifique de chacun par l’expression de sa singularité.
Sinon, nous serions restés dans la soupe cosmique, des âmes inconscientes de leur individualité.
Tout comme à l’échelle humaine, un individu se construit premièrement à partir de la division d’une cellule, et apprend peu à peu à reconnaître son individualité en commençant par sortir de l’utérus de sa mère puis en se dissociant d’elle à mesure qu’il grandit, se situant par rapport à sa famille puis la société.
Jusqu’à finir par comprendre qu’en fait bien qu’il soit individualisé, il est issu de la source commune à toute vie, qu’il n’est pas séparé, tant intérieurement qu’extérieurement.
Et qu’en créant volontairement l’harmonie intérieure en vivant à partir de son cœur, il retrouve l’état d’unité d’où il est né.
Jérôme me disait à ce propos : à quoi ça sert tout ça si c’est pour revenir à l’état de départ ?
Tout simplement, ça sert à grandir en sagesse, en compréhension de ce qu’est l’amour inconditionnel qui anime toute vie, de façon à pouvoir être créateur de monde à l’image de la source.
Je sais que c’est très résumé mais ce sont des réflexions faites librement pour avancer dans la compréhension par l’interaction.
Je pense que la meilleure façon de grandir, c’est de se poser des questions tel un enfant en sachant qu’en nous, se trouve la réponse.
Que celle-ci peut nous venir en tête tout comme à travers une phrase d’un inconnu, une image symbolique, un éclair de lucidité.
Pour qu’il y ait réponse, il faut qu’il y ait question. « Cherche et tu trouveras ». Evidemment, ça demande d’accepter l’inconnu, de libérer la peur du mystère en sachant que la source nous a créé pour que nous nous épanouissions tant dans la joie de vivre sur terre que dans les nombreuses découvertes, trésors de tout chercheur de lumière.
Il nous
faut lâcher nos croyances, nos certitudes qui ne sont que des réponses à des
peurs inconscientes.
Il nous faut délier toute attachement, libérer la peur du vide, du manque, du rejet, de l’abandon. La lecture du message de Jeshua, « la douleur de la naissance cosmique » résonne si fort en mon cœur que j’en suis venue à envisager la vie sous cet angle.
Il nous faut délier toute attachement, libérer la peur du vide, du manque, du rejet, de l’abandon. La lecture du message de Jeshua, « la douleur de la naissance cosmique » résonne si fort en mon cœur que j’en suis venue à envisager la vie sous cet angle.
La
guérison de l’enfant intérieur amène celui ci à s’exprimer rendant la vie
riche, épanouissante.
Chaque sensation, chaque chose vécue pleinement dans la joie d’être, de découvrir, de s’émerveiller. « Un enfant les guidera », c’est carrément ça !
Que ce soit l’enfant intérieur ou les enfants qui nous montrent ce que c’est que d’être vraiment, la voie est là, l’authenticité, l’expression de sa nature profonde et spécifique.
Quand on est enfant, on se frotte le bidon à l’idée de manger quelque chose qu’on aime, on se lèche les babines, on laisse chacun de nos corps s’exprimer sans restriction, sans honte, sans tabou ni culpabilité.
Dans la découverte de notre corps, par le toucher quand on est bébé.
Dans celle du corps de l’autre au moment de la pré-puberté ou même des fois avant, par des jeux entre cousins.
On est libre et on sait quand notre liberté empiète sur celle des autres enfants dès lors qu’ils le manifestent par des cris, des mots, des pleurs, ou toute émotion qui nous indique notre égoïsme, notre manque d’amour, de respect pour toute vie.
Chaque sensation, chaque chose vécue pleinement dans la joie d’être, de découvrir, de s’émerveiller. « Un enfant les guidera », c’est carrément ça !
Que ce soit l’enfant intérieur ou les enfants qui nous montrent ce que c’est que d’être vraiment, la voie est là, l’authenticité, l’expression de sa nature profonde et spécifique.
Quand on est enfant, on se frotte le bidon à l’idée de manger quelque chose qu’on aime, on se lèche les babines, on laisse chacun de nos corps s’exprimer sans restriction, sans honte, sans tabou ni culpabilité.
Dans la découverte de notre corps, par le toucher quand on est bébé.
Dans celle du corps de l’autre au moment de la pré-puberté ou même des fois avant, par des jeux entre cousins.
On est libre et on sait quand notre liberté empiète sur celle des autres enfants dès lors qu’ils le manifestent par des cris, des mots, des pleurs, ou toute émotion qui nous indique notre égoïsme, notre manque d’amour, de respect pour toute vie.
L’avantage d’être un adulte conscient de ce qu’il est et en même temps d’accueillir l’enfant intérieur, c’est d’allier spontanéité et sagesse.
Bon, l’heure tourne, il est plus que temps de vivre, de mettre mon corps en mouvement, dans l’unité de tout ce que je suis et goûter les magnifiques cadeaux de la loi d’attraction qu’amène le sentiment d’unité, de liberté et de joie.
Photo: trouvée dans https://www.facebook.com/TransLight (je n'arrive pas à l'associer, à créer un lien, désolée)
Vidéo: Qui illustre bien la façon de l'humain de voir l'amour.
"Carmen" de Bizet, interprété par cette femme dont je ne connais pas le nom, mais que j'ai choisie pour son interprétation dont le ton et la façon me plaisent. Espérant qu'à vous aussi, bonne écoute