Totalement
décalée ! Je me suis couchée à 20h30 pensant juste faire une méditation
mais je me suis endormie et réveillé à 1h30 du matin. Comme je n’avais plus
envie de dormir, je suis restée debout.
Je
suis allée sur le site de Louis où j’ai copié collé des messages d’Adamu. Du
coup, ça m’a amené sur le site de Zingdad qui le canalise.
« Adamu - l'acceptation » canalisé par
Zingdad
Dans cette 8e présentation, Adamu poursuit en nous
expliquant comment nous pourrions atteindre l'Unité de Conscience. Il partage
avec nous la première des six étapes sacrées, appelée l'Acceptation.
Salutations mes amis
Nous continuons maintenant avec le débat sur les six étapes sacrées. S'il vous plaît, assurez-vous que vous avez déjà suivi les présentations précédentes de cette série intitulée « Adamu ». - Zingdad
Salutations mes amis
Nous continuons maintenant avec le débat sur les six étapes sacrées. S'il vous plaît, assurez-vous que vous avez déjà suivi les présentations précédentes de cette série intitulée « Adamu ». - Zingdad
L'Acceptation
La
première des six étapes sacrées s'appelle l'Acceptation mais elle est aussi
tellement plus qu'une simple étape. L'Acceptation est à la fois le portail et
le chemin.
Vous
voyez, l'Acceptation est l'étape qui vous emmènera, de ce côté-ci, de la
conscience de la dualité à la conscience de l'unité de l'autre côté. Entre la
victime consciente de ce côté et le créateur conscient de l'autre côté. Et
c'est pourquoi je dis que c'est un portail. Mais parce que vous aurez à
apprendre à VIVRE dans l'acceptation plutôt que de faire ce choix à l'occasion,
elle est beaucoup plus qu'un simple portail. Elle est également le chemin, qui
est d'une importance cruciale, si vous vous élevez au-dessus de la conscience
de la victime, vous vous élevez au-dessus des drames, et atteignez l'Unité de
Conscience, alors que vous découvrez l'acceptation en vous-même et que vous
apprenez à vivre à sa façon.
L'acceptation est une chose
incroyablement puissante...
Publié par le quotidien qui réunit - lapressegalactique.com samedi, septembre 15, 2012
Il est
4h24, je fini ma clope et vais me recoucher.
Le fait
de me coucher à n’importe quelle heure et de me lever dans la nuit, ne me
perturbe pas plus que ça. Je me dis que c’est une bonne chose que je vive seule
et en apprécie la liberté que ça m’offre. Je me suis fait de la crème
pâtissière pour finir les trois choux que je me suis enfilée sans scrupules. Je
ferais du vélo, de la danse pour perdre le surplus de poids. Là encore, je me
dis qu’en écoutant mon corps, ses appels et en y répondant, j’arriverais à
maigrir sans avoir besoin de suivre un régime vendu par quelqu’un d’autre
d’autant que chaque chose ayant un sens, le trouver, permet d’avancer, de mieux
se connaître.
Il est
vrai que ce qui me dérange dans cette prise de poids un peu trop soudaine,
c’est que je ne me reconnais plus. J’ai fait 42kg pendant 25ans et je dois dire
que ça n’est pas évident de changer à ce point. En même temps le fait de
vouloir maigrir correspond peut-être au dictat de la mode et au besoin d’être
reconnue, aimée.
Tout ceci est à voir de près. Je peux déjà commencer par bouger un peu plus en faisant du vélo. Je me suis habituée depuis cet automne à prendre la voiture au lieu de pédaler. Ce qui est stupide puisque le magasin est à 500 mètres à peine. La côte assez raide à monter me freine d’autant que c’est au début de mon parcours.
Là
encore, il faut choisir. Notre corps est constitué de manière à marcher, à nous
déplacer. Le temps que je passe devant l’ordinateur est un peu trop long, en ce
moment. Il faut encore trouver le juste milieu et ce surpoids est peut-être
tout simplement un appel à mieux respecter mon corps physique, à être plus dans
le mouvement que dans le mental.
Je suis
contente d’avoir trouvé une solution au problème d’étendage du linge, qui
revenait régulièrement. En effet, nous devons partager les quelques fils dehors
et chaque fois, je râlais de devoir attendre mon tour.
Entre celle qui fait
tourner une machine tous les 3 jours et celle qui laisse son linge sur le fil
pendant 3 jours, parce qu’elle travaille de nuit et a du mal à s’organiser pour
tout gérer, il était difficile de trouver ma place.
Plutôt que de continuer à râler, à me sentir victime et à ne pas savoir comment m’imposer, j’ai choisi une solution qui satisfait tout le monde.
Comme je
ne travaille pas et que je dispose de mon temps, j’ai proposé à la voisine de
lui rentrer son linge pour pouvoir mettre le mien. Elle va pouvoir dormir
tranquille et je ne me sentirais pas coupable de ne pas travailler. Après tout,
on peut très bien se sentir utile et intégré, en rendant service sans que ça
n’affecte l’ego.
D’autant que ça change la relation. J’hésitais à lui dire quelque chose comprenant que d’élever un enfant turbulent, seule, tout en allant bosser de nuit ne devait pas être évident.
Je pense
que même si c’est quelque chose d’insignifiant, des petits gestes concrets,
venant du cœur et de la compréhension que nous sommes UN, amènent à être plus
solidaire et tout en développant l’amour pour toute vie, sont les fondations de
la nouvelle terre.
Maintenant que nous avons vu qu’aucun extra terrestre n’est venu faire le boulot à notre place, il est temps de s’y mettre.
Chacun à sa
place, selon son environnement et selon ses moyens, peut agir pour le bien de
tous et de chacun, dans des changements de comportements, si petits soient-ils.
Si tout le monde s’y met, le monde tant rêvé peut surgir rapidement.
C’est nous
qui sommes sur la terre, dans la chair, la matière qui avons toutes les capacités pour le faire.
Sans compter que notre âme, notre présence divine, nous ont créé dans ce but.
Et comme elles sont avant tout, de l'énergie, de la lumière...
Vous
pouvez diffuser ce texte à condition d’en respecter l’intégralité, de ne rien
modifier (sauf correction des fautes d'orthographe), de citer l’auteur :
Lydia Féliz, ainsi que la source : http://lydiouze.blogspot.fr et ces trois lignes. Merci