En écrivant la date, je me dis tiens, aujourd’hui c’est le réveillon de Noël ! Je dois dire que depuis que je suis « connectée » à toutes mes dimensions, c’est tous les jours une renaissance christique.
Derrière ces mots compliqués, il y a juste le fait d’être conscient de ses pensées, de ses émotions, de son cœur et du petit plus qui réside en chacun, la petite étincelle qui éclaire chaque chose et fait du quotidien un délice de chaque instant.
Rien d’extraordinaire si ce n’est que d’être présent et heureux de l’être. Dans cet état, on accepte autant ses défauts que ceux des autres, on voit en eux la singularité de chacun...
Noël et
sa débauche de cadeaux, de bouffe, où chacun tente d’acheter l’amour de l’autre
et où la somme dépensée prouve la « quantité » de ce sentiment
totalement faussé. Je dis la bouffe parce que l’humain aime se gaver, voir sa
table déborder.
Il croit combler le vide intérieur en se remplissant d’une
nourriture industrielle, sans saveur, remplie d’ingrédients dont le nom fait
peur.
Pourtant, la nature généreuse nous offre ce qu’il y a de meilleur pour que l’humain en fasse selon son goût, quelque chose qui ravit ses papilles.
J’aime prendre le temps de cuisiner avec des produits de base, simples, authentiques. Faire de la pâtisserie, jouer avec la matière, les textures, les couleurs et les goûts.
Le côté créatif me remplit de joie, c’est de la chimie au
service du plaisir de manger.
Je privilégie la qualité et bien que disposant d’un petit budget, chaque repas est une fête, en honneur de mon corps, de cette incarnation, une offrande à mon âme.
Et puis
les cadeaux !
Le plus beau des cadeaux que l’on puisse faire, c’est d’être authentique et sincère. Il ne coûte rien mais nécessite que l’on ait se rapport avec soi-même. C’est ça être dans le cœur, rien de plus compliqué.
Le plus beau des cadeaux que l’on puisse faire, c’est d’être authentique et sincère. Il ne coûte rien mais nécessite que l’on ait se rapport avec soi-même. C’est ça être dans le cœur, rien de plus compliqué.
Cette transparence capte la lumière de notre être avec intensité.
Je tiens
à vous dire, lecteurs de cette presse, en chemin vers soi, que si je n’ai pas
mis de photo à la fin de mes textes, c’est tout simplement que je n’en ai pas
de récente.
De plus une image ne saurait exprimer ce qu’est une personne.
Elle
éveille le mental plutôt que le cœur et nous fait considérer, comparer,
imaginer, de manière inconsciente, qui se cache derrière cette façade.
Je ne suis
pas un monstre, je n’ai rien à cacher mais une image fige et je considère qu’on
a tort de tant s’y attacher.
Les images sont trop présentes et constituent un
moyen de manipulation que les médias ont bien compris. Notre vue bien souvent
nous éloigne du cœur.
Peut-être aussi que je n’ai pas encore tout à fait
accepté cette dimension de qui je suis. Comme d’habitude et en tout chose, je
fais comme je le sens, selon mon ressenti.
Je
remercie, au passage, ceux qui m’ont écrit, c’est toujours agréable de se sentir
compris. Je pense que dans l’échange, on grandit. C’est une occasion d’exprimer
sa singularité et aussi de constater ce qui nous réunit, nous rassemble.
De plus
maintenant, c’est ensemble que l’on construit cet avenir rêvé qu’il nous
revient de créer. Considérant que nous sommes égaux et tous issus de la même
source, chacun à sa manière, contribue à l’élévation de l’ensemble.
Celui qui écrit n’est pas au-dessus de celui qui lit. Chacun élève l’autre selon sa position.
Le dialogue permet d’effacer la distance et les mots exprimés appellent à l’échange.
Pour toutes ces raisons, merci de réagir et de me le
faire savoir. C’est toujours un plaisir de vous lire.
Je vais reprendre mon mode de communication privilégié qui est de m’adresser à mon être intérieur qui est aussi le vôtre puisqu’à ce niveau nous sommes UN, en laissant couler les mots sans penser que quelqu’un les lira.
Ainsi, c’est mon cœur qui
parle et non mon ego.
L’intérêt de ces textes, c’est de témoigner que le
langage du cœur, que l’authenticité rapproche de l’être, de la divinité.
Tenir un journal « intime » permet de se connaître, de sonder l’inconscient, de vider le mental tout autant qu’on exprime les mots venant du cœur.
En se relisant, on apprend à discerner lequel de nos corps s’est exprimé.
C’est un moyen de découvrir tout ce que nous sommes, de reconnaître les
nombreuses voix qui parlent en nous.
En plus, quand je doute de ma progression,
de ma foi, de ma voie, relire ce que j’ai écris un an auparavant, me montre que j’ai grandi et qu’il est bon
que je persévère.
D’ailleurs
avec le temps qui s’accélère, depuis cet été, où tout est bouleversé, où je
tombe du lit entre 3 et 4 heures du matin, je peux constater que même en une
semaine, j’ai totalement changé, je me suis expansée.
Internet
est une chose magnifique qui cependant éloigne de la vraie vie.
Il faut en
toute chose, trouver le juste milieu. Certes il efface la distance kilométrique
mais nous sommes aussi un corps qui a besoin de se mouvoir, de marcher,
d’entrer en interaction, dans la matière.
De rencontrer, de voir, de sentir, de
toucher, de se sentir vivant.
La focalisation sur le mental, nous a éloigné de nos sens, de notre cœur.
Nous
avons trop privilégié l’intellect et avons fait de cette société, une
compétition de tous les instants qui privilégie ceux qui comptent, calculent.
Les stratèges sont à l’honneur mais sont bien loin du cœur.
L’humain coupé de
ses émotions a perdu le contact avec ses passions.
Pas étonnant que les
laboratoires pharmaceutiques fleurissent sur la planète.
Pourtant, c’est au travers de nos émotions que nous parle notre âme.
Qu’elles soient agréables ou
pas, elles ont toujours un message à nous communiquer. Une fausse croyance à
nous faire libérer.
Je sais
de quoi je parle puisque ça fait trente ans que je me cache à moi-même en
anesthésiant ce corps si important, avec des médicaments.
Le mot parle de
lui-même : médica-ment, la médecine qui ment.
Nous n’avons pas à craindre nos émotions.
Quand on vit un trauma, que la souffrance est gravée en nous, on
hésite à sentir, à ressentir, on a peur de l’amour.
Heureusement, notre âme nous incite à oser, nous fait sentir que nous ne sommes pas qu’un corps à la merci de ses pensées et de ses émotions, que quelque chose de lumineux se cache en nous et n’attend que notre accord pour se révéler.
Maintenant que je sais qui je suis réellement, je laisse la carapace craqueler et ainsi libère la lumière intérieure qui apparaît et minimise mes ombres.
Je regarde mes
émotions en face, je les prends en charge.
Je ne tombe pas dans le piège du
jugement parce que je prends encore ces médicaments. J’ai essayé de plusieurs
manières de m’en défaire jusqu’à tomber sur un message d’Adamu, qui disait
d’être dans l’acceptation de ce qui est.
Au début, je me suis dit : mais
si j’accepte d’être dépendante de ce produit, comment je serais motivée pour
m’en débarrasser ?
Puis je me suis dit qu’une fois de plus, je devais oser
suivre mon cœur plutôt que mon raisonnement mental.
Que je devais faire
confiance à cette résonance ressentie en lisant les mots de cet être rempli de
sagesse. J’ai donc fait confiance et voulu tenter l’expérience.
Bon, le truc,
c’est donc d’accepter ce qui est, de capituler en quelque sorte, de ne plus
lutter. OK Adamu, je teste, je te fais confiance d’autant que ton raisonnement
tiens tout à fait la route.
Ce n’est pas en luttant qu’on se libère, on ne fait qu’amplifier le conflit intérieur. Ce n’est pas en forçant mais en faisant comme on le sent, sans culpabiliser ni juger, que l’on trouve la liberté qui naît de la fluidité.
Ce n’est pas en luttant qu’on se libère, on ne fait qu’amplifier le conflit intérieur. Ce n’est pas en forçant mais en faisant comme on le sent, sans culpabiliser ni juger, que l’on trouve la liberté qui naît de la fluidité.
Je veux faire les choses naturellement, guérir
définitivement, facilement.
Effectivement, c’est la voie la plus juste.
Elle
créé l’harmonie intérieure qui permet au cœur de montrer la voie de la
résolution du problème.
La clef est là, "accepter ce qui est".
Accepter tout ce
qui est, nos défauts, nos faiblesses, ces choses que notre mental juge,
critique, rejette.
Depuis que j’ai choisi de suivre cette voie, ma vie s’écoule tranquille, facile et je peux percevoir la lumière au bout de ce tunnel.
La solution
c’est l’amour inconditionnel, c’est la teneur des messages de Jeshua, d’Adamu,
des êtres de lumière canalisés par Monique Mathieu.
-Entre parenthèses, je vous conseille de cliquer sur "clefs de sagesse" sur la page d'accueil et le "hasard" qui n'est que synchronicité divine, vous amènera une pensée qui sera comme une réponse à un questionnement du moment. Je le fais souvent et à chaque fois je constate que c'est un moyen d'expression de mon âme, par l'intermédiaire des êtres de l'invisible qui nous soutiennent.-
Ces êtres qui touchent mon
cœur en profondeur.
Pour m’aider dans ce choix que seul mon ego remet en question, je m’aide en écoutant les sons de l’Aethos donnés par les Hators au travers de Tom Kenyon.
La paix
procurée par cette décision, m’a amenée à voir que de vouloir à tout prix me
défaire de ce geste, ne faisait que me coller la pression et amplifiait le problème en question.
Je notais chaque
bout de cachet pris et amplifiait ainsi le sentiment d’échec, de
dévalorisation, de culpabilité.
En bref, j’étais mon propre flic, juge et
censeur.
Je prends maintenant ces médocs, selon ce que je sens et me rends compte que non seulement je n’ai pas augmenté les doses mais qu’en plus, je les ai diminué sans même m’en rendre compte ni ressentir la moindre gêne ou sensation de manque.
Si on
croit en cet être supérieur en nous qui dit que tout est bien, que chaque chose
a sa raison d’être, il nous montre pourquoi il voit les choses ainsi.
Et en
effet, je me rends compte de l’utilité de ce geste. De ce qu’il cache et
comment en sortir en libérant les fausses croyances dont il est issu.
Celle du
manque, du vide, de la peur de la dépendance affective, la peur de ressentir, d’aimer
et d’être aimée, peur simplement de vivre.
Les
arguments du mental sont plutôt du genre :
Tu manques de courage, tu n’es
pas authentique.
Tu n’es pas toi-même, tu triches.
Tu n’aimes pas le divin en
toi…Il faut que, y’a qu’à…
Autant d’expression que j’ai viré de mon vocabulaire.
Tout ça
ne tient pas la route ! Manquer de courage, ça voudrait dire que nous
avons à lutter pour gagner, que nous devons mériter notre divinité ?
Or
nous sommes réellement des êtres de lumière incarnés, c’est un fait.
Il n’y a
qu’à le reconnaître, non à le mériter.
La notion de mérite est un sous produit
de la dualité, puisque le cœur accepte tout ce qui est.
Les messages de Jeshua où
il parle du passage de l’ego au cœur, explique parfaitement tout ça. On peut le
lire sur le site jeshua.net/fr, dans la série "les artisans de lumière"c’est offert librement.
Je me suis
fait le cadeau d’acheter les livres du site pour le plaisir de les toucher, de
les avoir près de moi et dans l’éventualité d’une coupure d’électricité, d’une
déconnexion Internet prolongée, de pouvoir avoir à portée de main cette sagesse
qui est la clé.
Le
changement qui s’est opéré en moi, en très peu de temps est
spectaculaire !
Dès qu’on lâche prise, qu’on cesse de se fixer des
objectifs, on est en capacité de recevoir. On n’est plus dans l’attente qui
manifeste un besoin, un manque.
Dans l’acceptation, on reconnaît tout ce que
l’on a déjà.
La gratitude ouvre le cœur qui lui-même ouvre la conscience qui
peut alors recevoir la lumière en abondance.
C’est un acte de foi qui montre la
confiance qu’on accorde à cette partie de nous qui sait tout, qui peut tout et
qui nous aime tel que nous sommes, d’un amour infini, inconditionnel.
Elle ne nous a pas créé juste pour vivoter.
Elle nous a crée pour apprendre
ce que c’est que d’aimer.
Pour que l’on cherche et trouve ce que nous sommes
vraiment, des êtres constitués d’amour et de lumière, des expressions uniques
de la conscience divine.
Des
êtres de lumière que seule la peur de l’ombre nous empêche de reconnaître.
Ce sont
nos ombres qui quand on les accepte, les aime et libère la peur qu’elles nous
inspirent, laissent la lumière et l’amour s’écouler librement en nous.
Pour
cette raison, elles sont une clef, une bénédiction.
A
l’échelle de l’humanité, c’est le même processus.
Nos ennemis, bien souvent,
sont ceux qui nous permettent de repérer en nous ce qui bloque, nous limite.
Ils sont des déclencheurs de lumière, tout autant que ceux qui se disent
travailleurs de lumière. Personnellement, je préfère « artisans de
lumière ».
Car c’est tout un art que de faire émerger cette lumière sacrée
issue de notre cœur.
L’art de regarder toute émotion qui nous montre qu’il nous
faut nous aimer, l’art de les reconnaître, de les aimer et de les libérer.
Déclencheurs de lumière ou catalyseurs, le résultat est le même.
Nous avons avancé dans la
dimension de la dualité, grâce à ceux de l’ombre. Maintenant que nous sommes
dans la dimension de l’amour inconditionnel, le seul fait de s’aimer et d’aimer
toute vie sans conditions, sans
limite ni restriction, suffit à nous qualifier, à s’y trouver.
Comme dit si
bien Inelia, la 5ème dimension n’est pas un lieu mais un état de
cœur et d’esprit.
Bon, il
est temps de vivre, de se mouvoir, de jouer à habiter un corps où l’amour
circule librement offrant ce qu’il est, à tous, tel un soleil qui brille et
rayonne sur toute vie, les « bons » comme les « méchants ».
J’ai
fini par écouter la demande de repos de mon corps. Je croyais m’endormir mais
j’ai voyagé dans le passé. Je suis allée embrasser l’enfant que j’étais, qui vit
encore en moi et je l’ai emmenée faire un tour en forêt.
Je lui ai raconté ce
que j’avais trouvé et je l’ai remerciée d’avoir tenu le coup et d’être ce qu’elle
est.
J’ai envoyé tout mon amour et ma lumière, ma reconnaissance et ma
compréhension, sur son petit corps.
Je lui ai promis qu’ensemble on irait vers
demain et que je l’accueillais dès aujourd’hui, dans ma vie.
Je lui ai dit que
je la laisserai s’exprimer librement en arrêtant les cachets.
En arrêtant de la
cacher. Parce que c’est elle qui sait le mieux ce que c’est que vivre, être et
aimer.
Nous avons fusionné, Je Suis enfin entière.
Vous
pouvez diffuser ce texte à condition d’en respecter l’intégralité, de ne rien
modifier (sauf correction des fautes d'orthographe), de citer l’auteur :
Lydia Féliz, ainsi que la source : http://lydiouze.blogspot.fr et ces trois lignes. Merci