Petite sieste, enfin méditation. Là encore, j’ai toujours du mal à déterminer ce que je fais réellement. J’appelle une sieste, un moment de repos où je m’endors et méditation, un moment de repos où je calme ma respiration sans roupiller.
De plus en plus souvent, je vois ces belles couleurs violettes, fushia, doré parfois, blanc lumineux, défiler devant mes yeux fermés. Parfois c’est des traits lumineux enchevêtrés. Bien que je n’y comprenne rien, c’est joli et comme je suis relaxée, tout est bien.
Allons faire un tour sur la presse galactique du jour...
« Vous
vous dites peut-être : « Comment puis-je savoir si je suis en mode de réception
ou non ? » À quoi nous répondons que vous vous sentez toujours bien
quand vous êtes dans un mode de réception. Quand quelqu'un vous fait un
compliment, le recevez-vous, ou avez-vous tendance à tout simplement
l’ignorer ? Il y a une croyance très répandue selon laquelle vous devez
justifier votre existence par vos efforts, ou par votre persévérance, ou par
votre lutte. Beaucoup d'entre vous ne sont donc simplement pas entraînés au
mode de réception ».
Abraham, Extrait de La Presse Galactique, pensée du jour.
En
plein dans le mille ! Je dois dire que je progresse aussi à ce niveau là.
C’est un bon moyen de mesurer sa propre estime. Sans pour autant tomber dans le
piège de « se la péter » ! Même si l’ego s’émoustille un peu, ça
dure l’espace du compliment. On se sent tellement illégitime que même un
compliment nous paraît suspect !
Depuis
que j’ai libéré un bon paquet de croyances qui ne faisaient que me pourrir la
vie et dont l’origine ne m’appartenait pas, je respire !
Une
fois de plus, merci Inelia ! Je comprends mieux l’insistance de Louis à mettre
la « pub » pour les cours qu’elle propose. J’ai regardé une vidéo
d’elle sur You tube, hier et je dois dire que ça simplicité pour expliquer des
choses pourtant extraordinaires et même folles pour la plupart des gens, me
touche toujours.
Comme
quand j’avais visionné la vidéo où elle parle de son enfance et de sa mission.
Je conseille vraiment à tout le monde d’aller voir sur You tube ou Daily
Motion, ses vidéos. Le seul hic, c’est qu’elle parle en anglais et que peu de
vidéos sont traduites en français mais on en trouve quand même. Sinon, il y en
a aussi en espagnol. Rien de tel que de voir, d’entendre, pour se faire une
idée.
Il
est vrai que ces techniques peuvent paraître trop simplistes pour être
efficaces mais en fait c’est logique puisque le divin est là, en nous, tout le
temps.
Quand
on comprend, même sommairement, comment on fonctionne au niveau énergétique et
qu’on croit à cette présence divine intérieure, on se dit que ça ne peut pas
être plus compliqué.
D’autant
que pour ceux qui comme moi, ont peu de moyens, elle offre la technique de base
pour retrouver la paix intérieure, celle qui permet de libérer les peurs.
La
peur et la colère sont des barrages immenses, dont on peut heureusement se
libérer facilement*.
Plus
les journées passent et plus les choses me semblent faciles. J’ai bien eu
quelques émotions par-ci, par-là mais rien qui n’accroche suffisamment mon
attention pour me sortit de la paix intérieure.
J’hésite
encore par rapport au site. Le pro de l’informatique ne m’a pas contacté,
Gilles n’a pas répondu, Annick non plus, il faut dire que je dois être une des
rares personnes à ne pas courir dans tous les sens pour préparer Noël !
Quelle
folie ! Toutes ces dépenses pour se remplir la panse. Tout cet argent pour
acheter des cadeaux pour qu’à l’école les mômes puissent montrer aux copains à
quel point leurs parents les aiment puisqu’ils leur ont payé le jouet dernier
cri !
Des
parents qui ont gratté sur tout pour s’offrir cette assurance d’être considérés
comme des bons parents et qui du coup, donnent à leur chers enfants, une
nourriture industrielle faite de conserves gavées de sucre, de colorants et de
trucs aux noms barbares, de desserts du même style et de bonbons à base de
gélatine de porc.
Et
le bon vieux gâteau fait par la maman ou le père qui prend le temps de faire y
mettant tout son cœur ? Ben non, c’est plus vite fait d’ouvrir un paquet
entouré de plastique ou là encore, la liste des ingrédients fait peur.
Et
puis gagner du temps pour quoi faire ? Mater la télé, fuir sa réalité,
celle de choix non assumés.
Être
en couple pour ne pas être seul, pour faire comme tout le monde, se sentir
normal, accepté, reconnu.
Puis
faire des enfants pour se dire adulte, se savoir inséré dans une société qui ne
sait que compter. Numéro de sécu, carte d’identité, numéro de compte…
Tout
est classé, rangé, formaté.
Et
quand revient Noël, recommencer la débauche de dépenses parce que quand on
achète, on montre qu’on assume, qu’on sait gagner sa vie. C’est d’un
pathétique !
Chacun
ses choix, chacun sa vie. On est venu créer, exprimer qui on est, pas se
conformer au modèle imposé.
Comment
entendre son cœur ? Il suffit d’être soi. D’oser écouter ses envies, faire
des choix à partir de ce que l’on aime, de ce qui nous rend joyeux, de ce qui
nous inspire et peu importe si ça déplait au voisin, au contraire, c’est tant
mieux, ça prouve qu’on existe en tant que « je ».
Paradoxalement
c’est cette notion de soi qui amène à comprendre l’unité.
Quand
on se démarque des autres, c’est qu’on est inspiré.
L’inspiration
venant du cœur, on frôle notre divinité.
Et
mieux on s’aime et moins on a besoin des autres.
Moins
on a besoin, plus on a envie d’échanger, de partager et plus on sait
donner.
Plus
on donne et plus on reçoit.
Mais
quoi donner ? Donner un peu de soi, de notre singularité, notre
simplicité, notre tolérance, notre attention, notre présence, notre acceptation
de l’autre tel qu’il est.
Et
si cet autre n’est pas lui-même, en étant soi-même authentique, il fini par oser
l’être.
C’est
quand même hallucinant qu’on ne sache rien faire sans passer par l’argent.
Comme si c’était le seul moyen d’échange, la valeur sûre.
La
vraie valeur c’est la vie, c’est ce que l’on en fait.
C’est
la façon dont chacun va l’exprimer.
Plus
il y a de gens différents et plus le monde est riche, plus le dialogue
enseigne, plus l’échange est porteur de nouveauté, d’épanouissement.
Mais
non, l’autre, nous sert à nous évaluer en plus ou en moins.
Je
suis plus beau que lui, je suis moins riche que lui…
Et
ses comparaisons ne font qu’agrandir les frontières tout en diminuant la vraie
valeur de chacun.
Je
suis mieux qu’untel, je suis content.
Je
suis moins riche que l’autre, je me sens diminué.
Même
les sentiments sont faussés.
Pas
étonnant que l’amour soit moqué, galvaudé, rabaissé.
Il
est représenté par un couple marié, institutionnalisé ! Il y a de quoi
déprimer !
L’amour
c’est l’énergie de la vie. Le mouvement de l’être, l’impulsion d’un
désir.
Le
désir c’est l’envie d’être, de vivre, de toucher, de goûter, de sentir, de voir
et de connaître.
Vous
pouvez diffuser ce texte à condition d’en respecter l’intégralité, de ne rien
modifier (sauf correction des fautes d'orthographe), de citer l’auteur :
Lydia Féliz, ainsi que la source : http://lydiouze.blogspot.fr et ces trois lignes. Merci