"Grâce au soleil en ton cœur,
il t'est permis de changer les ténèbres en clarté,
et tu vis dans le bonheur,
s'il y a du soleil en ton cœur"*
4h10 !
C’est un peu tôt pour me lever mais un élan m’a poussée hors du lit, alors je
le suis. Mon corps physique sera régénéré par le soleil de midi.
La vie
devient de plus en plus palpitante, riche, épanouissante et je mesure l’importance
de la croix, chaque jour un peu plus.
Je ne parle pas du clavaire, je parle de ce symbole puissant qui en deux traits (d’union), montre le chemin du retour de la maison, sur cette terre. Je devrais plutôt dire le retour de Dieu sur terre...
Je ne parle pas du clavaire, je parle de ce symbole puissant qui en deux traits (d’union), montre le chemin du retour de la maison, sur cette terre. Je devrais plutôt dire le retour de Dieu sur terre...
Tant qu’on la regarde en se disant, pauvre Jésus, comme il a dû souffrir, on est une victime impuissante, sourde et aveugle. La « bonne nouvelle », c’est que la vérité est toute autre. C’est en lisant le livre génial de Claire Heartsong ; « Anna, grand-mère de Jésus » (éditions Ariane), que j’ai vue les choses à travers le regard de cette femme épatante, proche témoin dans la chair de ce que Jésus a vécu.
Depuis toujours, je ressens un puissant lien avec ce frère. D’ailleurs, enfant, bien que je n’avais pas entendu parlé de lui, vers l’âge de dix ans, je l’ai prié dans les toilettes pour que cesse mon propre calvaire, celui de l’inceste...
(Si j'écris souvent ce mot, c'est dans l'espoir que ceux qui ont vécu ça et cherche à comprendre, soient amenés sur ces pages et trouvent des pistes de sortie de façon à accepter leur passé, à changer leur point de vue sur le problème et à y reconnaitre un choix pertinent de leur âme. Les moteurs de recherche fonctionnant par mots clefs, tout espoir est permis!)
...Et c’est depuis peu, que je me suis souvenue de cet épisode et du fait que ma prière fût exaucée peu après, par l’arrivée dans la vie de mon père, d’une femme dont il tomba amoureux.
Cette période de ma vie a été ma croix.
Pas à cause des souffrances qu’elle a engendré mais bien plus par la façon dont elle m’a élevée. Je ne garde aucun souvenir, aucune image de ce qui se passait pendant que mon père abusait de moi. Je me souviens uniquement de l’avant et après ces moments où je pleurais doucement et où ma façon instinctive de fuir ce trauma, était de fixer les roses du papier peint qui me faisaient « décoller ». Je n’étais plus là, même mon inconscient me protégeait et n’imprimait pas.
Mon corps physique, lui a enregistré à travers les sens, de façon instinctive, le trauma. Certaines odeurs m’ont replongé dans ce passé avec une vérité époustouflante.
Heureusement que leur réminiscence est arrivée au moment où j’ai pu les interpréter de façon juste. A la période où je lisais les livres de Joéliah, « Les rayons sacrés », qui m’ont fait comprendre que le christ était à l’intérieur de moi et non à l’extérieur.
Pour cette raison, j’ai été étonnée de voir à quel point le corps physique pouvait se souvenir.
De même
que j’ai pu constater que quand on reçoit plus de lumière, inévitablement, elle
éclaire plus en profondeur, ce qui permet de libérer des peurs, des fausses
croyances logées au niveau de l’inconscient qui lui, habite chacun de nos corps.
C’est là qu’une mauvaise interprétation peut faire basculer et rejeter totalement la foi.
Mais rien ne nous est montré sans que nous puissions le voir avec le cœur.
Dans ces moments de découverte de soi, quand notre ombre se révèle, il faut se dire que c’est une libération de l’ancien, du faux, qui va nous amener à nous alléger de façon à accueillir le nouveau.
C’est ce que je me dis maintenant quand je crois être dans un trou noir, je me dis que c’est au contraire un tunnel et qu’au bout, une lumière plus puissante se fera jour indubitablement.
C’est là qu’une mauvaise interprétation peut faire basculer et rejeter totalement la foi.
Mais rien ne nous est montré sans que nous puissions le voir avec le cœur.
Dans ces moments de découverte de soi, quand notre ombre se révèle, il faut se dire que c’est une libération de l’ancien, du faux, qui va nous amener à nous alléger de façon à accueillir le nouveau.
C’est ce que je me dis maintenant quand je crois être dans un trou noir, je me dis que c’est au contraire un tunnel et qu’au bout, une lumière plus puissante se fera jour indubitablement.
Il m’a fallu une trentaine d’années pour comprendre le véritable sens de cette épreuve et pour reconnaître le choix de mon âme que je peux aujourd’hui féliciter pour sa clairvoyance.
En effet, c’est cette croix qui m’a amenée à être qui je suis aujourd’hui, qui m’a permise de trouver les trésors cachés de mon monde intérieur, la vérité du divin en moi.
Si je n’avais pas vécu ça, je n’aurais pas cherché ce que je foutais sur cette terre avec autant de passion, d'acharnement. Je n’aurais pas eu la possibilité d’ouvrir mon cœur à la compassion, à l’amour divin. J’aurais regardé mes frères humains du haut de mon intellect, de mon ego. Mes capacités à l’école m’auraient tracé un avenir temporel riche de pouvoir et de possession matérielles. J’aurais une place royale dans la société.
Bref, j’aurais pris le risque d’être enfermée dans mon ego et de passer à côté
de la porte du cœur.
Les
années de toxicomanie qui ont suivi, m’ont permises de crier haut et fort mon
statut de victime, sans honte ni culpabilité.
C’est une étape essentielle à la guérison puisque garder secret ce genre de choses, est un poison qui tue à petit feu.
C’est une étape essentielle à la guérison puisque garder secret ce genre de choses, est un poison qui tue à petit feu.
Ces
mêmes années m’ont fait côtoyer et comprendre le calvaire de ceux qui sont
exclus, rejetés, marginalisés, diabolisés…
Toucher de très prés cette misère humaine m’a ouvert le cœur, m’a fait vivre la compassion sur le terrain, sans me sentir supérieure mais totalement impliquée et de ce fait à l’abri de toute pitié.
Toucher de très prés cette misère humaine m’a ouvert le cœur, m’a fait vivre la compassion sur le terrain, sans me sentir supérieure mais totalement impliquée et de ce fait à l’abri de toute pitié.
Je
n’aurais pas goûté aux fruits du "miracle du pardon".
Tous ceux qui ont vécu un traumatisme dans leur enfance se trouvent piégés entre deux réalités qui peuvent rendre fou.
Partagés entre l’amour envers leurs parents et la haine pour leur vécu.
Tous ceux qui ont vécu un traumatisme dans leur enfance se trouvent piégés entre deux réalités qui peuvent rendre fou.
Partagés entre l’amour envers leurs parents et la haine pour leur vécu.
Je pense
que la plus grande souffrance est là. La culpabilité vient surtout de ce fait. Et aussi de le vivre dans l'isolement, de ne pas pouvoir en parler.
Bien qu’on puisse croire que la culpabilité soit le résultat de la manipulation perverse de l’abuseur qui maintien sa « victime » dans la peur, le chantage, et qui s’arrange pour faire croire à l’enfant qu’il est lui aussi coupable, se protégeant ainsi du risque d’être dénoncé, c’est plus le déchirement entre l’amour et la haine, et le conflit intérieur que ça créé, qui empoisonne la victime.
Je ne parle même pas de ceux qui ont occulté les faits pour se protéger de ce qu’ils ont ressenti, de la honte qu’ils éprouvent d’avoir osé ressentir dans leur corps, quelque chose qu’ils sont incapables de définir mais qui ressemble à un genre de « plaisir ». Ou encore une forme de reconnaissance affective qui vaut mieux que l'indifférence.
J’ai été protégée de ça parce que mon calvaire a cessé avant que mon corps émotionnel ne soit sollicité par la puberté mais ce n’est malheureusement pas le cas de tout le monde.
J'ai rencontré une femme alcoolique lors d'une post-cure que j'avais faite pour arrêter la codéine (les structures d'accueil pour ce genre de dépendance n'existaient pas et c'était soit l’hôpital psychiatrique, soit les centres pour alcooliques), qui avait rangé bien profondément dans son inconscient, son enfance où elle avait subit l'inceste et en retrouvait la mémoire au bout de 20 ans!
Ma façon de supporter le trauma était de me tourner vers mon monde intérieur tout en maintenant la circulation énergétique de l’amour inconditionnel avec une chienne qui à l’époque compensait le manque affectif maternel. Un chien aime sans conditions, sans calcul, de façon authentique.
C'est avec du recul et à travers l’œil de la foi que je me rends compte de ce qui m'a permis de supporter ce trauma, enfant. Le fait d'être dans mon monde m'a coupé de l'extérieur très longtemps mais ça m'a permis de trouver un trésor à l'intérieur qui me permet aujourd’hui, d'oser témoigner de ce parcours, sans craindre le rejet, la critique.
Je ne blâme pas non plus ma mère bien que je lui aie longtemps reproché d’être allée travailler au lieu de s’occuper de nous. D’un autre côté, l’émancipation féminine a joué un rôle majeur dans l’évolution des mentalités et m’a permise d’être libre en tant que femme, maintenant. Comme quoi, tout le monde a une mission à remplir sur terre et de ce fait, merci maman. Chaque génération amène son énergie spécifique.
Merci à toutes ces femmes qui ont osé sortir de leur rôle prédéfini, suivre leur cœur, chercher l'émancipation, l'indépendance...
Bien qu’on puisse croire que la culpabilité soit le résultat de la manipulation perverse de l’abuseur qui maintien sa « victime » dans la peur, le chantage, et qui s’arrange pour faire croire à l’enfant qu’il est lui aussi coupable, se protégeant ainsi du risque d’être dénoncé, c’est plus le déchirement entre l’amour et la haine, et le conflit intérieur que ça créé, qui empoisonne la victime.
Je ne parle même pas de ceux qui ont occulté les faits pour se protéger de ce qu’ils ont ressenti, de la honte qu’ils éprouvent d’avoir osé ressentir dans leur corps, quelque chose qu’ils sont incapables de définir mais qui ressemble à un genre de « plaisir ». Ou encore une forme de reconnaissance affective qui vaut mieux que l'indifférence.
J’ai été protégée de ça parce que mon calvaire a cessé avant que mon corps émotionnel ne soit sollicité par la puberté mais ce n’est malheureusement pas le cas de tout le monde.
J'ai rencontré une femme alcoolique lors d'une post-cure que j'avais faite pour arrêter la codéine (les structures d'accueil pour ce genre de dépendance n'existaient pas et c'était soit l’hôpital psychiatrique, soit les centres pour alcooliques), qui avait rangé bien profondément dans son inconscient, son enfance où elle avait subit l'inceste et en retrouvait la mémoire au bout de 20 ans!
Ma façon de supporter le trauma était de me tourner vers mon monde intérieur tout en maintenant la circulation énergétique de l’amour inconditionnel avec une chienne qui à l’époque compensait le manque affectif maternel. Un chien aime sans conditions, sans calcul, de façon authentique.
C'est avec du recul et à travers l’œil de la foi que je me rends compte de ce qui m'a permis de supporter ce trauma, enfant. Le fait d'être dans mon monde m'a coupé de l'extérieur très longtemps mais ça m'a permis de trouver un trésor à l'intérieur qui me permet aujourd’hui, d'oser témoigner de ce parcours, sans craindre le rejet, la critique.
Je ne blâme pas non plus ma mère bien que je lui aie longtemps reproché d’être allée travailler au lieu de s’occuper de nous. D’un autre côté, l’émancipation féminine a joué un rôle majeur dans l’évolution des mentalités et m’a permise d’être libre en tant que femme, maintenant. Comme quoi, tout le monde a une mission à remplir sur terre et de ce fait, merci maman. Chaque génération amène son énergie spécifique.
Merci à toutes ces femmes qui ont osé sortir de leur rôle prédéfini, suivre leur cœur, chercher l'émancipation, l'indépendance...
Ma sœur ainée reportait sa haine contre mon père sur moi.
Je ne lui en veux plus parce que ça m’a fait comprendre que la haine reportée sur autrui, ne faisait que nourrir celle-ci, et que la vengeance est une voie sans issue. Un cycle infernal.
Je ne lui en veux plus parce que ça m’a fait comprendre que la haine reportée sur autrui, ne faisait que nourrir celle-ci, et que la vengeance est une voie sans issue. Un cycle infernal.
Ce qui m’a sauvé, c’est d’avoir pardonné à mon père, dès l’enfance. Je sentais son désarroi, je savais qu’il agissait par besoin de vengeance. Il trouvait un genre d’équilibre en faisant subir ce que lui-même avait vécu quand il s’était retrouvé dans une "famille d'accueil", en Suisse parce que ma grand mère était tombée gravement malade. Elle avait du confier ses 4 enfants à des étrangers. Deux sur les quatre ont subi l'abus sexuel!
C'est vraiment un problème qui concerne beaucoup de gens et c'est aussi pour ça que j'en parle librement, sans culpabilité, ni honte. Il est plus que temps d'en parler ouvertement, de crever l’abcès.
La meilleure façon de "régler" un problème, c'est de le regarder en face.
L'abus dans les familles, l'abus de pouvoir sur les enfants représente un fléau qu'il est temps de libérer, le pardon est la clef. Mais il doit venir de l'intérieur, de la sensation que c'est en voulant tourner la page qu'on se libère du passé.
Le fait de ne pas nourrir de haine à l’intérieur, m’a permis de garder suffisamment d’estime personnelle pour ne pas fermer totalement mon cœur. Le pardon que j’ai exprimé à mon père, à l’âge adulte, m’a permis d’ouvrir mon cœur à l’amour du christ. Cette même ouverture a eu pour effet d’élargir ma conscience et de revisiter mon vécu à travers l’œil de la foi.
Je dois
avouer qu’en écrivant ça, quelques larmes montent en moi. Comme c’est un signe
de guérison, de libération, je laisse aller avec joie.
D’autant plus que je sais par expérience que chaque libération apporte aussi son « cadeau », sa révélation ainsi que l’énergie de l’amour divin dont je ne peux plus me passer. C’est immédiat, les larmes sont devenues un rire, une joie !
D’autant plus que je sais par expérience que chaque libération apporte aussi son « cadeau », sa révélation ainsi que l’énergie de l’amour divin dont je ne peux plus me passer. C’est immédiat, les larmes sont devenues un rire, une joie !
Mes années de routarde, m’ont permises de goûter à la liberté de faire, d’être soi-même, d’aller à l’essentiel, n’ayant pour attache qu’un sac à dos rempli de l’essentiel, un accordéon pour « gagner » de quoi acheter mon sirop quotidien (Un mélange de codéine, de sucre, de datura, bref un cocktail de bien-être assuré qui ne m’ôtait pas la conscience mais m’obligeait à plus de vigilance, d’attention pour ne pas être une proie du monde de la nuit tout en me procurant le plaisir indispensable pour vouloir rester en vie)
Comme je trouvais ce produit en libre vente dans les pharmacies, je ne tombais pas dans le cycle infernal de la dépendance à l’héroïne vendue par les plus durs du monde de la souffrance qui vous poussent lentement mais sûrement dans la prostitution et dans la décadence.
Le fait de me déplacer en auto-stop, me permettait de rencontrer des gens qui se lâchaient totalement, qui osaient être eux-mêmes et bien souvent on sortait grandi de cette expérience, de ce dialogue sincère entre humains authentiques. Leur sensibilité qui les poussait à s’arrêter, me garantissait la sécurité tout autant que la chienne qui m’accompagnait.
J’ai beaucoup appris sur l’humain, à cette période là de même que le fait de jouer de l’accordéon dans la rue était une place de choix. Non seulement je faisais une étude sociologique en observant le comportement des gens mais du fait d’être assise, j’étais abordable par tous et les pièces qui tombaient dans mon escarcelle étaient un élan d’amour, de reconnaissance plutôt qu’un geste inspiré par la pitié.
De cette façon je ne perdais pas ma dignité mais me payait le luxe de « gagner ma vie » en faisant quelque chose que j’aimais. En même temps que je conservais l’espoir envers la société, dans l’interaction avec les plus aimants.
Bref, avec du recul, le regard du cœur et l’œil de la foi, on peut revisiter tout son parcours et comprendre l’immense amour qu’il y a derrière chaque épreuve, les cadeaux, les enseignements, les bénédictions qui résultent de l’ouverture du cœur. En se baladant sur les lignes du temps avec légèreté et joie, on peut tout guérir !
Il n’est pas forcément nécessaire de le comprendre**, simplement en s'aimant inconditionnellement, en acceptant sa vie actuelle, son passé, tout ce que l'on est et tout ce qui est en soi, sans même que le mental intervienne, on peut arriver à cette guérison.
Si j’ai voulu ce chemin, au niveau de mon âme, c’est que je voulais être sûre de ne pas passer à côté de l’ascension et de pouvoir partager ce témoignage, ce point de vue depuis l’humain divin, en égale, de cœur à cœur, à travers la chair.
Ce choix qui m'a permis de trouver qui je suis en vérité, me donne l'opportunité de guérir les blessures de l'âme, le rejet, l'abandon, la trahison...
De chercher à comprendre ce qu'est vraiment l'amour.
D'avoir cette
magnifique opportunité d’amener le royaume de Dieu sur la terre, par la croix.
La verticalité étant le symbole de l’union de tous ses corps, l’unité intérieure réalisée par l’amour inconditionnel envers tout ce que nous sommes et l’horizontalité, l’union entre humain, entre frères et sœurs.
Le carrefour c’est le cœur, l’amour inconditionnel, l’amour divin.
Cet alchimiste a le pouvoir de transmuter toute peine en une pépite d’or.
La verticalité étant le symbole de l’union de tous ses corps, l’unité intérieure réalisée par l’amour inconditionnel envers tout ce que nous sommes et l’horizontalité, l’union entre humain, entre frères et sœurs.
Le carrefour c’est le cœur, l’amour inconditionnel, l’amour divin.
Cet alchimiste a le pouvoir de transmuter toute peine en une pépite d’or.
Le cœur
mes amis, le cœur est la porte d’accès au divin en nous qui éveille le christ
en chacun.
Alors inondez vous de cet amour divin, de cette lumière dorée, laissez cette énergie faire son effet en toute confiance.
Sa puissance est immense, c’est elle qui élève au-delà du bien et du mal qui nous amène à voir que seule l’unité est la voie de secours, en nous comme au dehors.
Alors inondez vous de cet amour divin, de cette lumière dorée, laissez cette énergie faire son effet en toute confiance.
Sa puissance est immense, c’est elle qui élève au-delà du bien et du mal qui nous amène à voir que seule l’unité est la voie de secours, en nous comme au dehors.
Je ne me
prive pas de ses bienfaits et chaque jour, je m’y baigne.
C’est une régénération cellulaire, une ouverture de cœur et de conscience, extraordinaires.
Elle nous vient du soleil, elle est au cœur de chacune de nos cellules.
C’est une régénération cellulaire, une ouverture de cœur et de conscience, extraordinaires.
Elle nous vient du soleil, elle est au cœur de chacune de nos cellules.
Merci
pour mon passé, merci à mes parents, merci aux messagers qui ont éveillé
l’étincelle du christ intérieur.
Merci aux deux missionnaires « Mormon », aux membres de l’église de Jésus Christ des saints des derniers jours, à Joéliah, à Paméla Kribbe, à Simon Leclerc, à Claire Heartsong, à Eckhart Tolle, à Lise Bourbeau, à mes compagnons à quatre pattes, merci à la vie, merci pour cette vie, pour ce chemin, merci à la terre mère, merci au soleil père.
Merci à la vie, ce mouvement perpétuel.
Merci à Louis, à Inelia Benz, à Michael Brown, à Michel Erena, à Carmelle Amara, à Tom Kenyon, à Déborah Zeta, merci aux anonymes rencontrés en chemin, à tous mes « ennemis », à mes amis, à ceux qui m’ont écrit et ainsi me montrent que d’avoir osé suivre la voix de mon cœur en contactant Louis et en acceptant de me livrer à nu sur son site, un témoignage vivant du miracle de l’amour, qui me permet de me sentir utile en participant activement, humainement à ce mouvement d’élévation planétaire.
En toute simplicité, en toute humilité, j’entre pas à pas, sur le chemin de l’unité entre humains en étant ce que Je Suis, en exprimant ainsi le désir de mon cœur d’aimer le divin tout autant que l’humain.
L’heure est au partage, à l’échange.
Seul on avance puisque le divin nous habite, mais ensemble on s’envole vers les hautes sphères de la conscience unitaire.
Merci à vous tous, belle famille humaine !
Merci aux deux missionnaires « Mormon », aux membres de l’église de Jésus Christ des saints des derniers jours, à Joéliah, à Paméla Kribbe, à Simon Leclerc, à Claire Heartsong, à Eckhart Tolle, à Lise Bourbeau, à mes compagnons à quatre pattes, merci à la vie, merci pour cette vie, pour ce chemin, merci à la terre mère, merci au soleil père.
Merci à la vie, ce mouvement perpétuel.
Merci à Louis, à Inelia Benz, à Michael Brown, à Michel Erena, à Carmelle Amara, à Tom Kenyon, à Déborah Zeta, merci aux anonymes rencontrés en chemin, à tous mes « ennemis », à mes amis, à ceux qui m’ont écrit et ainsi me montrent que d’avoir osé suivre la voix de mon cœur en contactant Louis et en acceptant de me livrer à nu sur son site, un témoignage vivant du miracle de l’amour, qui me permet de me sentir utile en participant activement, humainement à ce mouvement d’élévation planétaire.
En toute simplicité, en toute humilité, j’entre pas à pas, sur le chemin de l’unité entre humains en étant ce que Je Suis, en exprimant ainsi le désir de mon cœur d’aimer le divin tout autant que l’humain.
L’heure est au partage, à l’échange.
Seul on avance puisque le divin nous habite, mais ensemble on s’envole vers les hautes sphères de la conscience unitaire.
Merci à vous tous, belle famille humaine !
*« Grâce au soleil en ton cœur, il t’est permis de changer les ténèbres en clarté ». Extrait d'un cantique de l'église de Jésus Christ...Bien que je ne sois plus membre de cette église, je ne renie rien de mes choix qui ont toujours été inspirés par mon cœur.
Je garde précieusement ce qui m'a ouvert le cœur, l'esprit, m'a amené de la joie...
**Octobre 2017, en actualisant le blog, bien que je ne change pas grand chose, je tiens à préciser quelque chose d'essentiel, c'est le fait que ce soient les prises de conscience qui permettent de libérer le passé, d'élever sa vision et donc de pouvoir transcender le passé, sortir des souffrances, des rôles...
La compréhension permet de faire de nouveaux choix et ce que je voulais dire ici, c'est que ça n'est pas l'intellect qui résout les choses à lui tout seul. Il y a la prise de conscience qui amène à comprendre, à rechercher la paix, et il y a l'abandon à la source en soi, le désir de paix, l'accueil des pensées, des émotions, qui libèrent la mémoire traumatique...
Vous
pouvez diffuser ce texte à condition d’en respecter l’intégralité, de ne rien
modifier (sauf correction des fautes d'orthographe), de citer l’auteur :
Lydia Féliz, ainsi que la source : http://lydiouze.blogspot.fr et ces trois lignes. Merci