22 02 Je n’y connais rien en matière d’astrologie, de mouvement des planètes ou encore de numérologie qui sont pour moi des formes d’interprétations de l’univers, mais le peu que j’aie lu au sujet de cette année semble réel, du moins, on peut dire que ça brasse individuellement et collectivement.
Il y a un ordre
dans l’univers, et un rythme, qui peuvent s’exprimer en différentes formes par
les mathématiques, par la musique, par les archétypes, par les astres, leurs
mouvements, les arts en général...
Il s’agit d’interpréter ce qu’on perçoit, ce
qu’on ressent et de poser un cadre qui bien souvent enferme plus qu’il n’éclaire.
C’est clair que plus on se détache des schémas de pensées qui forment les
croyances et conditionnements et plus on s’ouvre à recevoir de nouvelles infos.
Il semble que cela fonctionne selon la dualité par des mouvements internes
réguliers de plus en plus rapprochés qui nous amènent à nous ancrer en
profondeur et pourtant avec de plus en plus de légèreté.
Là encore le principe
de dualité est à l’œuvre et lorsqu’on peut se positionner en observateur
neutre, on contemple ce qui est alors perçu comme une danse, un mouvement de
plus en plus souple, fluide, entre le masculin et le féminin intérieur ou entre
le mental et l’émotionnel, le corps et l'esprit.
La mémoire se constitue d’association de
pensées et de sensations et quand on s’abandonne en confiance au centre de soi
afin de laisser l’amour déconstruire ces schémas, on perçoit cette
dissociation en un retour à l'équilibre.
Il
y a comme un moment de flottement, d’incertitude, avant que de nouvelles
énergies, informations, soient amenées à la conscience et c’est là où on est le plus
fragile, le plus vulnérable.
Dans l’observation des croyances et
conditionnements, la reconnaissance détachée de ces schémas de pensées qui
constituaient les stratégies de survie, génère des réactions naturelles ou
logiques de sensations de perte, de vide, et même parfois de confusion.
C’est
la pratique régulière qui permet au mental de ne pas être tenté de revenir en arrière ou
de s’identifier à nouveau à ces schémas de pensée parce qu’il a reconnu dans ce
processus d’accueil une formidable ouverture, un potentiel évolutif qui le
réjouit.