jeudi 27 février 2020

« Le juste milieu, l'équilibre »




22 02 Je n’y connais rien en matière d’astrologie, de mouvement des planètes ou encore de numérologie qui sont pour moi des formes d’interprétations de l’univers, mais le peu que j’aie lu au sujet de cette année semble réel, du moins, on peut dire que ça brasse individuellement et collectivement. 
Il y a un ordre dans l’univers, et un rythme, qui peuvent s’exprimer en différentes formes par les mathématiques, par la musique, par les archétypes, par les astres, leurs mouvements, les arts en général... 
Il s’agit d’interpréter ce qu’on perçoit, ce qu’on ressent et de poser un cadre qui bien souvent enferme plus qu’il n’éclaire. C’est clair que plus on se détache des schémas de pensées qui forment les croyances et conditionnements et plus on s’ouvre à recevoir de nouvelles infos. Il semble que cela fonctionne selon la dualité par des mouvements internes réguliers de plus en plus rapprochés qui nous amènent à nous ancrer en profondeur et pourtant avec de plus en plus de légèreté. 
Là encore le principe de dualité est à l’œuvre et lorsqu’on peut se positionner en observateur neutre, on contemple ce qui est alors perçu comme une danse, un mouvement de plus en plus souple, fluide, entre le masculin et le féminin intérieur ou entre le mental et l’émotionnel, le corps et l'esprit. 
La mémoire se constitue d’association de pensées et de sensations et quand on s’abandonne en confiance au centre de soi afin de laisser l’amour déconstruire ces schémas, on perçoit cette dissociation en un retour à l'équilibre.

Il y a comme un moment de flottement, d’incertitude, avant que de nouvelles énergies, informations, soient amenées à la conscience et c’est là où on est le plus fragile, le plus vulnérable. 
Dans l’observation des croyances et conditionnements, la reconnaissance détachée de ces schémas de pensées qui constituaient les stratégies de survie, génère des réactions naturelles ou logiques de sensations de perte, de vide, et même parfois de confusion. 
C’est la pratique régulière qui permet au mental de ne pas être tenté de revenir en arrière ou de s’identifier à nouveau à ces schémas de pensée parce qu’il a reconnu dans ce processus d’accueil une formidable ouverture, un potentiel évolutif qui le réjouit.

La mémoire traumatique est déconstruite et une nouvelle "empreinte" se forme peu à peu mais elle n’est pas fermée ou figée, elle représente le potentiel créatif par le mouvement, par l’ouverture. Un espace libéré de la peur ou plutôt des étiquettes qu’on lui avait attribué se dégage et s’expanse. Il semble que le système de survie perde son emprise ou ne contrôle plus la conscience humaine, il gère les fonctions vitales et même si les stratégies de survie s’activent encore, comme on ne s’y attache plus, elles perdent peu à peu leur intensité. 
Comme le mental reconnait le mouvement interne comme étant le signe d’une évolution, d’une exploration, d’une découverte, comme il n’y a plus de résistance à ce qui advient, comme il n’y a plus d’hésitation à suivre l’élan spontané quel qu’il soit, la légèreté et la souplesse s’installent.

Le masque de la victime est souvent celui de la rigidité, du contrôle des émotions, des pensées dites négatives et à mesure qu’il tombe, les résistances sont relâchées permettant une meilleure circulation de l’énergie, une plus grande amplitude au service de l’action. 

L’action portée par la joie n’est pas soumise à l’idée du temps qui passe, elle est action au présent, sans attente, sans savoir où ça mène, il n’y a plus de sentiment d’urgence ou de peur de l’échec. Mais là aussi, c’est la pratique qui permet de cultiver la confiance parce qu’au début, des peurs légitimes émergent.

En lâchant peu à peu les schémas de survie, tant au niveau mental qu’émotionnel, le sentiment de sécurité nécessaire dans le système de survie étant reconnu comme tel, comme un système légitime de ce point de vue, est remplacé par la confiance.

Le fait de parler à ses corps, c’est s’en détacher, c’est être conscient que nous ne sommes pas un seul d’entre eux mais bien cette union sacrée entre différentes dimensions, cet amalgame de règnes, de dimensions, de points de vue, de potentiels. 
J’ai relu il y a quelques jours, le texte au sujet des chakras reçu par Magali et il continue d’infuser dans le mental puis de se révéler dans la matière. 




Parfois, je me dis que c’est vraiment bizarre de pouvoir vivre avec un être aussi différent que moi, de pouvoir se comprendre et de partager autant alors qu’on est totalement différent dans la forme. Ce chat qui partage ma vie depuis bientôt 14 ans s’est imposé à moi et le fait qu’il soit né le jour de mon anniversaire a marqué cette "histoire d’amour" ou le caractère magique de cette rencontre.

Je parle d’amour parce que finalement c’est l’être avec lequel je peux être totalement moi-même sans que ça change son attitude à mon égard. On peut parler d’amour inconditionnel et la façon dont nous vivons ensemble, dans le respect mutuel, semble être le facteur essentiel de cette communion bénéfique. 

Le fait de savoir que nous avons des gènes communs avec le végétal, l’animal et la connaissance de l’aspect énergétique, vibratoire, du vivant, peut expliquer pourquoi nous sommes si proches et compatibles. Déjà le fait qu’il ait un regard profond et que dès ses deux mois, il regardait en conscience, on sentait sa présence, m’avait impressionnée. Il m’apprend beaucoup tant sur lui-même, la nature, les énergies mais aussi sur moi-même selon mes réactions. 
Sa façon de dormir les pattes en l’air, totalement détendu, m’invite à lâcher prise, à prendre la vie avec insouciance. Ce qui n’empêche pas d’être conscient de ce qui se passe dans le monde ou dans la réalité matérielle mais quand on apprend à prendre du recul sur nos propres vagues émotionnelles et les pensées conditionnées qui leurs sont associées, ça remet les choses à leur juste place. 

En gros, je ne sais pas où je vais mais j’avance avec joie et confiance parce que petit à petit je ne vois pas un chemin tracé mais une multitude de potentiels qui s’offrent à moi. 
Il y a comme un bouillonnement intérieur certainement amplifié par les énergies particulières du printemps. 
Ces énergies de renaissance, de renouvellement, me portent et calment le mental à propos de l’apparence de mon corps physique qui ne grossit toujours pas malgré que je mange pas mal. 
Là, c’est la relativité qui est mise en évidence parce que si je tente de comprendre, je le fais par comparaison alors que c’est plutôt une question de contexte interne. 
Je balance entre le fait de perdre du gras qui voudrait dire que la confiance s’installe ou que le ventre, le système émotionnel n’a plus besoin de protection et l’apparence de la victime qui porte le masque de fuyant selon Lise Bourbeau. 
C’est probable dans la mesure où l’idée que ma mère vienne habiter près de chez moi a soulevé pas mal de réactions. J’ai pu voir comment je m’étais positionnée en sauveur tout autant qu’en victime. 
La reconnaissance de ces schémas et le fait de m’en détacher par l’accueil des émotions a permis une forme de libération qui se ressent dans la relation avec ma mère. Nos conversations sont plus authentiques, on se dit les choses et on rigole beaucoup. 

Pour en revenir à la maigreur du corps physique, je me dis que chercher des explications à l’extérieur ou essayer de comprendre à travers la vision de Lise Bourbeau n’est pas juste et je reviens à la simplicité de l’observation des faits dans ma réalité. 
J’ai de l’énergie pour passer à l’action, j’ai de l’appétit et la joie me porte de plus en plus tout comme la confiance vis-à-vis du corps physique. Confiance en son intelligence, sa capacité d’orchestrer l’ensemble. Le seul fait d’être en vie et de pouvoir vivre ces processus d’ouverture, de changement, de reconnaissance de "tout" ce que je suis, me suffisent. 

J’ai mis entre parenthèse ce "tout" parce que plus ça va et plus ça me semble immense, infini. C’est clair que du point de vue énergétique, vibratoire et même microscopique on ne peut imaginer de limite alors autant cultiver la confiance et se réjouir d’être. De pouvoir s’exprimer et vivre cette unité intérieure à travers l'unicité.   




24 02 Se détacher de tout, autant des réactions dites négatives que celles qu’on considère comme positives, amène nécessairement à élargir sa conscience et à trouver l’équilibre, le juste milieu. 
Je ne me cache rien, ne retiens rien, par exemple lorsque je perçois de la culpabilité, de la jalousie, je le reconnais, je me dis : "il y a de la jalousie, de la peur, de la culpabilité…" sans discuter cela. 
En me laissant porter dans l’instant par ce qui me motive, me fait envie, sans juger, non seulement la joie grandit, l’action est légère mais en prenant un peu de recul, en revoyant le défilement d’une journée, je constate que chaque action avait sa pertinence, était en cohérence avec "le ciel" et avec les mouvements extérieurs. 
Quand je parle du ciel, je pense à la fois au climat, à la température, à la luminosité plus ou moins intense. 
Je ne peux pas l’expliquer mais je ressens cette cohérence avec l’extérieur, avec la nature, les éléments. Certainement une question de résonance vibratoire avec le vivant, avec les règnes qui sont autant en moi qu’à l’extérieur. 
Et bien évidemment en cohérence avec la vie par le seul fait de suivre la joie, d’être en mouvement sur cette portée. 

Là encore, je ne trouve pas les mots pour décrire ces sensations mais ce qui est magnifique c’est que d’autres expriment précisément cela. Je me sens guidée à  lire les messages et à écouter les conférences de Magali même si la dernière que j’aie écoutée hier m’a laissée un peu confuse. C’est clair que ça résonne fortement mais le mental s’y perd comme très souvent dans ces lectures de messages. Peu importe, ce que j’explore principalement en ce moment, c’est la reconnaissance des sensations/vibrations et l’effet de résonance. Je mets le lien de la conférence de Magali :

« L’ âme, Le Soi, La Personnalité, et Les Autres » Magali



Je suis aussi guidée à écouter les vidéos de Michel Onfray ( https://michelonfray.com ) et à chaque fois, je suis ébahie de constater qu’il exprime ce que je pense et c’est souvent le thème que j’explore au présent. Je me suis abonnée à sa chaine depuis l’année dernière et j’ai la forte sensation que cela révèle la structure de mon mental tout en participant à l’équilibre du masculin intérieur. 
Je suis guidée vers cet homme mais aussi de la même façon, spontanément; vers les tirages de Lulumineuse ( http://heline.e-monsite.com/pages/ta-guidance-de-l-instant-by-lulumineuse.html ) ou les messages reçus par Magali ( https://www.magalimagdara.fr ). 

Au début, je me disais que ça représentait un écart immense mais en fait, ça s’équilibre peu à peu ne serait-ce qu’au niveau énergétique, ressenti. Par contre, j’ai essayé de lire des messages reçus par Monique Mathieu mais à chaque fois, j’ai piqué du nez. Le corps physique est très parlant! Je ne sens plus du tout d’intérêt à les lire parce que le ressenti est encore trop dualiste, le discours trop moralisateur et paternaliste. 
Par moments je me dis qu’elle capte des êtres de l’astral. Ce qui ne veut pas dire que c’est "faux" mais plutôt que ça ne me parle plus, ça n’entre plus en résonance avec ce que je vibre, ce que je suis et veux. 

L’attirance vers Michel Onfray est plus fraternelle ou disons que le fait qu’on ait seulement 5 ans d’écart doit y faire parce que je retrouve les mêmes aspirations à la liberté, le goût de comprendre et son discours posé, cohérent, logique, sa façon d’exprimer spontanément sa vision, son intégrité, sa transparence, me touchent beaucoup. Tout comme son désir de transmettre sans se croire au-dessus des autres mais avec l’assurance de celui qui vit ce qu’il dit.

Apprendre à reconnaitre nos valeurs, nos priorités, nos vibrations, ce qui nous porte, nous motive, libère du besoin de reconnaissance extérieure. Je continue de m’ouvrir autant à ce que je vis à l’intérieur qu’aux autres, au monde, mais avec cette capacité accrue à reconnaitre ce qui vibre, résonne vibratoirement ou non et à prendre du recul au niveau émotionnel. 
C’est aussi de cette façon que je constate que l’équilibre psycho-émotionnel s’installe parce que je peux discerner ce qui résonne avec les programmes de survie basés sur la lutte, le contrôle et ce qui vibre avec ma vérité du moment. 
Cette vérité fondée sur l’unité intérieure, la paix, la reconnaissance du caractère unique et universel de l’humain, du divin. 

Ce qui semblait paradoxal ou conflictuel révèle son potentiel magnifique, cette capacité à porter autant de dimensions, règnes, systèmes, dans l’harmonie, cette assemblage des forces, des éléments, cette combinaison de différents degrés de conscience. 

Les choses m'apparaissent maintenant de cette façon ; différents degrés de conscience selon le degré d'ouverture et d'attachement mais aussi selon le point de focalisation. 
La conscience qui s’expanse à mesure qu’on lâche l’identification à une seule partie de cette immensité que nous sommes. 




La conférence de Magali continue de produire ces effets et dans l’instant, c’est la notion de flamme qui me vient en tête. Mais je ne cogite pas, je laisse infuser. 
Les prises de conscience, comme elle le dit d’ailleurs, viennent toujours à un moment où on s’y attend le moins témoignant de plusieurs choses : le fait que le mental soit un canal, qu’il reçoive des infos qu’il transmet ensuite à travers différents filtres ce qui fait appel à la mémoire, puis la façon dont l’inspiration vient sans passer par le filtre des croyances, ou sans qu’elle soit le fruit d’un raisonnement. 
D’où le terme d’image symbolique que j’emploie pour le décrire. Je suppose que ça passe aussi par une mémoire puisqu’il faut mettre en mot ce qui est reçu. Mais il semble logique de penser que celle de la structure du langage pourrait être suffisante. Ce qui explique aussi la difficulté à traduire en mot ce qui est perçu.

D’un autre côté, nous percevons par 5 sens qui eux aussi ont différents degrés de conscience dans le sens où on peut percevoir plus ou moins finement, profondément. Dans cette perspective, il semble logique que l’image symbolique soit une retranscription plus fidèle parce que plus complète de ce qui est reçu. 

Souvent je me dis que l’intuition est difficile à percevoir tant qu’on n’a pas appris à lâcher les conditionnements liés aux émotions parce qu’on peut prendre pour une forme d’intuition ce qui finalement est l’expression de la peur. D’autant plus que la capacité du mental émotionnel à se faire des films risque de fausser les choses. 
Voilà qui me motive à continuer d’observer sans juger, sans attente et sans interpréter. Juste être ouvert, présent, afin que l’image apparaisse d’elle-même. 

L’accueil des émotions apparait là encore comme un formidable outil de connaissance du mode de fonctionnement tant de l’énergie que des processus psycho-émotionnels. On n’aura jamais fini de comprendre ! 

25 02 L’idée de ce titre est venue justement dans cette observation des faits, dans ce recul vis-à-vis de mes élans à aller vers telle ou telle personne. Comme lorsqu’on observe sans s’attacher à ce qui se manifeste en soi, l’équilibre revient naturellement, sans qu’on le recherche. Et quand je me sens guidé à aller vers l’extérieur, ça semble être le prolongement logique du mouvement interne. Comme si la vibration de ce balancement interne s’expansait vers l’extérieur ou s’exprimait aussi dans la relation aux autres. 
Bon, je bloque encore sur les mots. 

Je retrouve cette sensation d’équilibre nécessaire dans la relation de couple au travers des deux jeunes voisins qui ont un enfant ensemble. La femme est très protectrice avec tous les inconvénients que ça amène puisque l’enfant est totalement dépendant affectivement et la tyranise. Elle agit en fonction des attentes de l’enfant et ne sait pas poser de limites. Il y a une interdépendance toxique et je me dis que l’humain ne sait pas éduquer un enfant. 




Si on observe la nature, on voit que les animaux élèvent leurs petits afin qu’ils deviennent parfaitement autonomes et même si cela est motivé par l’instinct de survie au moins le résultat est satisfaisant. 
Je ne porte pas de jugement parce que bien sûr, c'est toujours plus facile d'imaginer les choses quand on n'est pas pris dans le rythme du quotidien, dans l'action, mais ça n'empêche pas non plus de réfléchir à la question.
L’homme de son côté est plutôt du genre à imposer son propre rythme de vie à l’enfant. 

Ils montrent les extrêmes qui m’amènent à penser que c’est bien dommage qu’ils ne trouvent pas le juste milieu. Si je trouve de l’intérêt à les observer, c’est que je perçois aussi que le fait que j’entre beaucoup moins en réaction vis-à-vis de leurs comportements respectifs témoigne de l’effet miroir qui enseigne, renseigne, quant à l’état de mes propres mondes intérieurs et de l'équilibre qui s'installe progressivement. Cela me montre par effet miroir, comment le masculin et le féminin s’équilibrent, comment le mental et l’émotionnel s’associent de plus en plus selon la fréquence de l’unité, de la paix. 

Et cela est aussi un signe qui m’encourage à persévérer dans cette observation/accueil qui libère les récepteurs/transmetteurs que sont le mental et l’émotionnel. 
Tout cela sans forcer, sans vouloir changer, sans rechercher l’équilibre puisqu’il se crée naturellement et toujours indépendamment du degré de conscience de l’individu. 
Je crois que Magali en parle aussi. Je ne sais plus trop parce qu’elle a livré tellement d’infos que j’aie fini par décrocher. D’une part parce que j’aime apprendre par moi-même et d’autre part parce que la compréhension n’est pas uniquement intellectuelle. 
Ce que j’aime chez elle tout comme chez Michel Onfray, c’est la transparence, l’intégrité. Là, c’est pour le côté théorique et vibratoire mais celle qui m’aide le plus au niveau pratique, c’est Nassrine Reza puisque je retrouve exprimé à travers elle, ce que j’ai mis en place par intuition dans la relation aux corps physique, mental et émotionnel. 
Je remets sa vidéo au sujet de l’accueil, si je la retrouve. 

"Le Pouvoir de l'Accueil" Nassrine Reza



J’hésite à acheter son livre parce que là encore, j’aurais l’impression de "trahir" ce que je suis. En effet, quel intérêt de chercher à l’extérieur ce qui est en soi ? N’est-ce pas cela qui donne un sens à l’individu, apprendre et comprendre par lui-même. 
Le fait d’écouter le discours ou la vision des autres est utile pour confirmer son ressenti, reconnaitre l’effet résonance, l’effet miroir, la façon dont nous sommes reliés à différents niveaux. 
Là encore, c’est une question d’équilibre entre l’intérieur et l’extérieur. Tant qu’on suit l’élan, l’intuition, on reste dans le désir de connaissance et de reconnaissance de soi mais si c’est le mental qui cherche des réponses à l’extérieur, on ne connaitra pas notre âme, notre valeur, nos valeurs, nos potentiels. 
On se privera de la joie et du bien-être procurés par la connaissance intime de soi, la reliance à chaque partie de l’être. La reconnaissance et la sensation de l’amour qui grandit en soi en même temps que la confiance en la vie, en ce que nous sommes. 

C’est peut-être un des aspects positifs de mon vécu, de cette enfance traumatisante, qui m’a poussé à chercher à comprendre, à me fier davantage à ma raison, mon intuition, qu’à l’extérieur. 
Là encore, c’est le recul d’une vie qui permet de voir les aspects positifs d’une situation dramatique et ça demande de passer par différents stades. Mais c’est un vaste sujet qui comprend plusieurs étapes et prises de conscience…

Si vous souhaitez partager ce texte, merci d’en respecter l’intégralité, l’auteure et la source ; Lydia, du blog : « Journal de bord d’un humain divin comme tout le monde » ou http://lydiouze.blogspot.fr  Photos privées