Je
me décide enfin à publier ce que j’ai écrit au moment des fêtes sans
trouver le temps ou le goût de le partager. Il y a sûrement autant de peur
d’être jugée que de manque de temps puisque c’est tous les deux jours à peu
près que je dois faire face à des vagues émotionnelles intenses et donc que je
suis amenée à me centrer. Et comme l'apprentissage de cet accueil demande de la pratique, ça reste d'actualité.
Habituellement, j’écris et publie le même jour,
dans un même élan mais, en me relisant, quelques jours après avoir écris, j’ai
trouvé que j’enfonçais des portes ouvertes ou que je me répétais encore et
encore. Mais peu importe les éventuels critiques puisque l’envie se manifeste
maintenant, je la suis.
Je
découvre avec émerveillement l’intelligence du corps physique. Son intelligence
est extraordinaire si on observe comment il peut maintenir la vie, harmoniser
autant de dimensions, de systèmes, de cellules, d’organes, d’atomes, de flux,
de rythmes, de neurones, d'intelligences, de ‘cerveaux’, de programmes, de
stratégies, de modes de fonctionnements, de mouvements, d’énergies, sans même
que nous en ayons conscience, sans même que nous le voulions. Et même lorsqu’on
est suicidaire, lorsque le mental n’en peut plus, l’élan de vie continue de
porter le corps physique.
Il y a de quoi avoir le vertige face à cette
intelligence qui orchestre l’ensemble et se rendre à l’évidence que le mieux
que nous puissions faire, c’est d’apprendre à lui faire totalement confiance.
C’est clair que le mental est un des amis de cette équipe au sol mais comme
nous nous identifions à lui ou plutôt à ces pensées émanant des croyances, des
conditionnements qui forment une personnalité finalement impersonnelle, on
complique l’œuvre de ce corps capable de maintenir la vie en nous, de
s’autoréguler.
Par ce constat, dans l’observation neutre de ce qui se vit en
soi, il devient évident que l’accueil, l’abandon de la lutte, le silence et le
calme, la détente, représentent un soutien favorable au bien-être de l’ensemble
des corps.
Si je les distingue les uns des autres, c’est pour mieux connaitre
chacune de leurs particularités, fonctions, mode de perception et langage.
Et
pour reconnaitre et pacifier les nombreuses voix internes souvent contradictoires.
Parce qu’il est aussi évident qu’ils fonctionnent toujours en association et
dans l’équilibre. Je me suis tellement attachée au mental au mépris du corps
physique, privilégiant le monde des pensées, de l’idéal, de l'imaginaire, du raisonnement et de
l’intuition que je suis passée à côté de cette réalité, de l’intelligence infinie
du corps physique.
Il faut dire que je n’avais pas d’autre alternative que de
fuir ce corps tant la réalité quotidienne de l’enfance était insupportable et
en ce sens, je ne me blâme pas.
Non seulement je trouve cela logique mais je
découvre aussi combien les stratégies de survie gérées par l’inconscient et par
le corps physique, ont été nécessaires.
Cette façon de vivre dans une bulle
psychique, loin des émotions, des sensations trop intenses, m’a aussi permis de
développer l’intuition, la connexion à la source, à l’âme et même si ça restait
« aérien », j’ai appris à faire confiance à ces aspects invisibles de
soi. J’ai appris à dialoguer intérieurement avec le mental, avec l’âme, à les
interroger et à recevoir des réponses, à cultiver l’amour dans ces relations
intérieures, à comprendre et surtout à rester en vie par le fait de cultiver la
joie, même par la recherche du plaisir
et le goût permanent d’apprendre.
Cette
nouvelle approche qui consiste à juste observer et à se placer en mode non
jugement, permet de percevoir et recevoir avec plus d’acuité, de lucidité, de
prendre conscience de la beauté du corps physique, de comprendre son langage et
de se laisser guider par lui, dans le geste spontané guidé par le désir.
J’ai
proposé au mental quelques thèmes à étudier, ces thèmes qui sont en fait la
recherche et l’abandon des croyances et conditionnements qui ont tracé mon chemin
de vie depuis l’enfance. Toujours dans l’observation neutre, le dialogue et la
confiance puisque depuis cet ‘espace’ il n’y a pas d’ennemi, de peur à
combattre, à nourrir.
Je découvre donc à la fois les croyances qui étaient pour
la plupart inconscientes mais qui déterminaient mes pensées, mes comportements et les mécanismes à l’œuvre.
Par exemple, le fait de considérer le corps physique comme un poids, un fardeau
étant donné qu’il était traité en objet, m’a amenée à décider plus ou moins
consciemment que je ne vivrais pas pour manger, que je la devise « métro,
boulot, dodo » ne serait pas la mienne. J’ai donc choisi de ne pas devenir
fonctionnaire comme le suggérait fortement ma mère qui s’était émancipée grâce
à ce job. J’ai préféré quitter l’école et apprendre à travers la vie
elle-même. J’ai donc suivi mon cœur et choisi la musique pour subvenir à mes
besoins, pour acheter la drogue qui me permettait de survivre. Je ne mangeais
pratiquement pas mais buvait beaucoup d’eau et j’avais beaucoup d’énergie.
Je
n’avais pas fait le rapprochement à l’époque entre la quantité d’eau avalée et
la quantité d’énergie mais avec ce que je vis et constate depuis un an, cela me
semble évident. J’ai perdu près de 12 kilo depuis l’hiver dernier et au départ
j’ai mis ça sur le fait d’’avoir recommencé à fumer de l’herbe à cette époque
puisque je sentais une perte d’énergie chaque fois que je fumais un pétard.
Perte d’énergie qui était ressentie par un refroidissement général et par la
perte du désir. Je n’avais plus envie d’agir, plus d’élan spontané et je ne
pouvais plus écrire puisqu’il m’était difficile de me concentrer.
Je ne me suis
pas critiquée pour avoir eu ce réflexe qui a été déclenchée par la proximité
des jeunes sous mes fenêtres qui faisaient tourner les pétards. J’ai observé ce
qui m’avait poussé à reprendre ce geste et ça m’a permis de lâcher quelques
croyances, de sortir de certains conditionnements liés à l’âge, l’apparence, la
peur de vieillir…Puis comme très souvent, c’est le genre de relations faussées
qu’entraine tout commerce illégal qui a pesé dans la balance pour que je prenne
la décision d’arrêter de fumer ce truc.
Là encore, c’est venu comme une
évidence et pas comme une obligation.
La nuance peut sembler infime mais elle a
son importance puisqu’au niveau vibratoire, ça n’est pas du tout la même chose.
L’obligation est portée par la peur, le besoin de contrôle alors que la décision
qui vient comme une évidence est portée par l’amour.
Malgré le fait que j’aie
arrêté d’utiliser ce produit, cette stratégie de fuite, je continuais de perdre
du poids. J’ai donc pensé que ça venait logiquement de cette nouvelle façon
d’aborder les émotions, les pensées, puisque cela modifie la chimie interne. Je
n’ai pas cherché à valider cela et je me suis contentée de continuer d’observer
sans donner corps à la peur et sans la nier non plus.
Cela m’a permis de faire
un genre de reset au niveau des croyances qui pour la plupart son véhiculées
par la médecine, la science, elle-même financée par l’industrie pharmaceutique.
Là encore, je n’ai pas cherché à rejeter la faute sur ce système, ni à trouver
des preuves de la corruption généralisée puisque je suis de plus en plus
consciente que tout vient de l’intérieur, tout
ce qui dérange fait écho à quelque chose en soi. Pas besoin non plus de
se prendre la tête, juste suivre l’élan du moment et se laisser porter par la
joie pour constater que le ‘hasard’ fait bien les choses puisqu’il amène sur
des conférences, des articles qui vont confirmer ce que je pense.
Et là encore,
ce que je pense sur le moment est simplement une hypothèse à laquelle je ne
m’accroche pas puisque je sais maintenant que les croyances sont des balises
qui permettent de comprendre peu à peu, de prendre conscience de la réalité
intérieure et extérieure. Et par la même occasion de voir, de savoir, que la
dualité est aussi un outil de compréhension, un mode de fonctionnement du
mental conditionné et non une vérité absolue. Avec l’expérience on se rend
compte à l’évidence que rien n’est jamais ou tout blanc ou tout noir.
Je
reviens à mon idée première dans ce texte de parler du corps physique et au
désir de m’interroger sur la peur du manque puisque c’est cela qui m’empêche de
lâcher les dépendances aux médicaments et à la clope.
L’hypothèse étant émise,
la vie m’amène à vivre des situations qui m’obligent à me centrer et à juste
observer pour lâcher peu à peu la peur de la peur, ce qui m’a permis de
comprendre que l’étiquette qu’on colle sur une sensation emprisonne l’énergie
de l’émotion dans le mental, l’inconscient et cela continue d’activer les
stratégies de survie élaborées sur ces croyances.
La situation récurrente
révèle potentiellement la peur bloquée qui sous-tend tout le mécanisme qui se
met en place automatiquement. Dans l’accueil de l’émotion, la vision change, la
façon d’aborder les choses par l’observation neutre s’installe, devient une
habitude et la confiance en soi, en ses corps mental, émotionnel et physique
grandit.
La peur du manque se manifeste très souvent par la difficulté à avoir
du bois pour me chauffer, même si j’ai les moyens financiers.
La
vision négative à propos du corps physique envisagée comme un poids, une charge,
a peu à peu changé par des prises de conscience évidentes. Évidentes
lorsqu’elles apparaissent dans la détente des corps, l’unité intérieure mais
qui nourrissent toutes sortes de stratégies, de réactions, de souffrances, sans
qu’on s’en rende compte.
L’idée que le corps se charge de lui-même m’est donc
apparue comme une vérité indéniable. En effet, il s’active pour obtenir le
confort qui lui est nécessaire mais j’étais tellement identifiée au mental que
je ne voyais même pas cette évidence. Comme la personne qui devait me livrer du
bois m’a oubliée, j’ai trouvé quelqu’un d’autre pour le faire mais là encore,
c’est loin d’être fluide. J’ai beau le prévenir à l’avance que je vais en
manquer, il ne vient pas. J’ai donc cogité, crié ma colère face à l’âme, même
face à la conscience neutre que j’accusais d’être distante, voire perchée dans
son monde glacial…très bonne chose puisque cela m’a permis de vider la charge
énergétique via les émotions exprimées librement.
C’est
souvent là qu’on bloque le processus de libération parce qu’on se sent
coupable, on s’en veut d’être injuste quand on réalise combien ces accusations
sont infondées. C’est aussi l’occasion de mieux percevoir comment le rôle de la
victime s’exprime par l’accusation, le jugement et de prendre conscience à
nouveau de l’origine de ces visions troublées : le blocage ou déni de la
peur qui en est toujours le déclencheur.
Un système qui tourne en boucle et
l’image du serpent qui se mord la queue est assez juste.
J’ai donc laissé
parler les voix de la victime et libéré la colère puis la tristesse qui
apparait toujours en dernier et témoigne d’une sorte de lâcher prise, de fin de
lutte interne.
La peur est à l’origine de ces stratégies et croyances parce
qu’on n’y fait pas face, parce que toutes ces stratégies ne visent qu’à
éloigner la sensation intense et douloureuse.
Ensuite, la colère qui peut
s’exprimer, montre qu’on déloque un peu l’énergie et la tristesse s’en suit
naturellement. A ce moment là les corps s’équilibrent naturellement par la
détente que procurent les larmes.
Puis c’est ensuite qu’on va trouver des
solutions inspirées ou qu’on va pouvoir agir en confiance. On n’est pas encore
conscient que les corps nous guident ensemble ou que cet élan émane de l’unité
intérieure mais on peut au moins avancer en confiance.
Si j’avais suivi l’idée
du mental sans tenir compte de la peur, j’aurais téléphoné à une entreprise qui
vend du bois pour savoir s’ils étaient ouverts pendant les fêtes mais je
n’arrivais même pas à passer ce coup de fil. La peur qu’on me dise que c’était
fermé me paralysait. J’ai encore piqué une colère jusqu’à vivre ce cycle
colère, tristesse=abandon et solution inspirée.
Au début, la colère s’exprime
envers l’extérieur puis peu à peu on revient vers l’intérieur et c’est l’âme qui
trinque. Là encore, il faut vivre plusieurs fois le même processus pour en
comprendre le cycle et pour oser faire confiance, pour oser faire confiance à
l’envie, l’idée qui vient.
Il s’agissait d’aller ramasser du bois mort à
quelques mètres d’ici. J’ai donc suivi cet élan/idée sans trop savoir où ça me
mènerait. Je n’ai pas prêté attention aux pensées du style « qu’est-ce que
tu vas trouver, du petit bois qui ne chauffe que 5 minutes… »
Arrivée sur
le chemin près du chêne que j’aime bien, je me suis souvenue combien j’avais
aimé dormir en pleine nature, comment je m’y sentais en parfaite sécurité et
l’idée d’être dans un nid, l’idée que la nature dont est issu le corps
physique, la matière, prends soin d’elle-même est venue spontanément invalidant
les autres pensées comme « ça n’est pas normal de devoir en baver pour
avoir du confort, c’est dur de subvenir aux besoins du corps…les animaux ne se
soucient de rien et sont pourtant nourris… »
J’en étais même arrivée, dans
cette mauvaise foi, à jalouser le chat.
Plus c’est gros, plus on peut voir
facilement comment la victime voit la vie, comment ce raisonnement est faussé.
Mais là non plus, pas question de mépriser ce personnage parce qu’il est
précieux puisqu’il amène à s’interroger, à se tourner vers l’intérieur et à
comprendre des lois fondamentales, à trouver les ressources en soi…
Sur
le moment, les souvenirs heureux du contact avec la nature ont été perçus comme
de simples souvenirs mais en fait ils montraient l’évolution autant de la
pensée, de la vision et donc de la vibration plus harmonieuse.
Arrivée sous
quelques arbres, j’ai été frappée de voir tous le bois qui se trouvait là juste
sous quelques feuilles mortes. Encore une belle leçon de la vie, de la
nature ! Une leçon de choses ou philosophique qui pourrait s’exprimer
ainsi : « on cherche très loin ce qui est juste sous nos yeux ou à
portée de main », ou encore « la peur, l’identification à la victime
fausse notre vision et nous aveugle au point de ne pas voir l’évidence, la vie,
le corps, la nature prennent soin d’eux-mêmes, la vie est simple,
facile »…
Non
seulement j’ai trouvé du bois en pagaille mais en plus, cerise sur le gâteau,
il chauffe vite et bien. Même si je dois en mettre régulièrement et vieller à
le faire au bon moment. Même cela, c’est aussi un enseignement direct qui me
rappelle que la vie est facile, que si j’aie confiance en la guidance
intérieure, celle de l’élan porté par le désir, je ne manque de rien.
Ce qui
veut dire aussi que l’idée du manque est fausse, que cette croyance n’a plus de
raison d’être. D’ici à ce que cette réalité s’imprime jusque dans
l’inconscient, il faudra sûrement revivre ce processus plusieurs fois mais
qu’importe puisqu’à chaque fois, tout est plus aisé, fluide.
Et ce qui compte
en tous cas pour moi, c’est de devenir totalement autonome.
Ce qui implique de
connaitre ses partenaires de vie et d’apprendre à leur faire confiance, à les
aimer. Ce qui demande aussi de se réunir régulièrement afin de développer cet
amour par la compréhension mutuelle. Parce qu’au bout de cela se trouve, la
liberté, l’autonomie dans tous les domaines, la capacité à créer sa vie selon
ses valeurs, en conscience, la légèreté, la facilité, la simplicité et donc la
joie d’être.
Je suis allée sur facebook où j’ai trouvé ce texte posté par Magali
et bien entendu, la résonance est telle que j’ai envie de conclure ainsi.
« 2020,
l'année du corps » Magali
2019
était une année d'accueil. Même si elle vous a paru difficile, douloureuse,
elle vous a ramenés vers vous irrésistiblement. Vous avez pris conscience que
vous déteniez un pouvoir précieux, celui de déterminer qui vous êtes et qui
vous voulez être.
Pour cela, vos schémas limitants vous ont été présentés et
continueront à l'être.
Les jours passent et l'énergie s'accroît. Vous souhaitez
l'Abondance ? Vous l'avez !
2020
sera la continuité, comme toutes les années précédentes. Il n'y aura jamais
d'arrêt de votre croissance. Vous avez ouvert vos bras au retour de votre Être,
maintenant laissez infuser ce breuvage savoureux qui est votre essence et
suivez son mouvement dans votre corps.
Car 2020 est l'année de votre
redécouverte corporelle. Là, vous y trouverez votre trône, la satiété et les
promesses d'Amour.
Vous
serez en apprentissage du langage de votre corps et abandonnerez nombre
d'illusions de contrôle. Et vous commencerez à entendre la musique de votre
Géométrie sacrée. Votre corps est votre instrument, votre chef d'orchestre,
votre partition et votre Mozart, le Créateur et le Créé.
Certains
auront envie de pratiquer une activité sportive, de poser leur attention sur
leur alimentation. D'autres plongeront dans l'univers de leurs cellules ou
manifesteront des symptômes disgracieux d'éveil, un appel à la bienveillance.
Vous avez tous choisi d'avancer vers le meilleur de vous-mêmes, quitte à être
mis en présence de ce que vous ne pouviez pas avant.
Mais surtout, vous avez
tous choisi de vous aimer davantage, encore et encore. Parce que la 5ème
dimension n'est pas au-delà mais bien à l'intérieur de la 3ème, celle de notre
instant présent ».
Magali: https://www.magalimagdara.fr/
Honnêtement,
et comme toujours, je prends en ces messages ce qui fait écho en moi et laisse
de côté ce qui ne m’intéresse pas. C’est clair que l’idée d’ascension
collective n’a plus trop d’intérêt pour moi disons que je suis davantage
intériorisée et apprend via l’effet miroir à reconnaitre la connexion qui
existe entre l’individu et le collectif mais l’idée de changer le monde, de le
voir s’élever…n’est plus mon propos. De toute façon tout commence et se résout
en soi alors plus on incarne la paix, plus on la vibre et plus elle peut influencer
l’extérieur en ce sens.
Le personnage de sauveur attaché immanquablement à
celui de victime et de bourreau, est perçu comme tel et accueilli tout comme
celui de la victime et du bourreau. Ils ont aussi leur rôle à jouer au
niveau énergétique et par leur caractère révélateur tant des valeurs qui me
sont propres que des mécanismes internes de fuite, de déni, d’évitement des
sensations par la projection de son mal-être sur l’extérieur.
Rien en nous n’est
‘mauvais’ ou même ‘bon’, chaque aspect à son rôle à tenir et participe à l’élévation
de l’ensemble.
Merci
de laisser les noms des auteurs, si vous souhaitez diffuser cet article
dans son intégralité et de mentionner aussi ce blog (http://lydiouze.blogspot.fr )