mardi 29 septembre 2015

« Ça remue encore ; c’est l’occasion de trouver le centre, l’équilibre »





Ce matin, en voyant le peu d’intérêt des lecteurs pour le texte magnifique de Francesca qui parle de « La transmutation de nos ombres », je suis triste et j’avoue que l’espoir me manque. Remarque, espoir en quoi ? Voir le monde changer, les gens être plus heureux, plus authentiques, fraternels ? 
Toutes ces questions font écho à mes propres vœux alors comme tout commence en soi, je sais quoi faire de ça. Tout est tordu, tronqué, falsifié dans ce monde mais tant que je focaliserais sur ça, tant que je m’en plaindrais, je ne ferais qu’amplifier la situation, le malaise. Cette réflexion soulève mon besoin de transparence, de droiture, de sincérité, de « vérité » qui peut devenir un poids, une souffrance dans l'excès. Elle révèle aussi ma difficulté à accepter ma façon de gérer mon monde, d’utiliser des médicaments pour m’aider à être ici, à habiter mon corps physique.

Tout ce qui me dérange au dehors fait écho à ce que je n’aime pas en moi.
C’est un constat évident quand on ose se regarder en face, avec sincérité, neutralité.
Tout le monde peut connaitre cette vérité universelle mais ça demande le courage de devenir responsable de soi-même, de sortir du rôle de victime impuissante. 
Et ça n’est pas facile parce que tout à l’extérieur nous donne l’impression que nous sommes petit, soumis, insignifiant et impuissant.

« Cultivons l’intelligence émotionnelle des enfants » selon Isabelle Filliozat





Je suis abonné à la lettre de psychologie.com depuis pas mal de temps mais comme la plupart des mails, je ne les lis plus ou seulement quand l’élan me pousse à le faire. 
Celui-ci est tout à fait synchrone avec la guérison de l’enfant intérieur qui est un passage nécessaire lorsqu’on a vécu un trauma ou simplement quand on n’est pas connecté à la joie, au vivant en soi, quand on veut être soi-même, fidèle à qui on est.

L’enfant intérieur est cet aspect de nous-même qui sait exprimer les émotions, qui rêve, qui prend la vie avec légèreté et insouciance. Mais la majorité des gens pour être en mesure d’affronter la dureté de la vie, se coupe de ses émotions, soit en les réfrénant, soit en les anesthésiant avec des médicaments ou autres psychotropes. Puis il y a ceux qui utilisent l’alcool, le shit, l’herbe, comme un moyen de lâcher tout ce qui est caché, retenu, contraint, un genre de soupape, une façon de décompresser.
Chacun trouve le moyen de contrôler, d’occulter ou d’éviter d’avoir à affronter les émotions désagréables et par ce fait se coupe de sa nature véritable, de son pouvoir créatif…
Le contrôle n’est pas la maitrise et on passe à côté de sa vie, jouant des rôles de mari, de femme, de fils ou de fille de, d’employé, endossant tour à tour à tour le rôle qui convient à la situation…
Pourtant il est possible de retrouver son intégrité en apprenant à gérer ses émotions, et ce qui suit peut être très utile pour savoir comment écouter, comprendre, éduquer l’enfant intérieur.

lundi 28 septembre 2015

« Trouver le divin dans le rien » Christian Bobin





Christian Bobin : Tout est une question d’air et de respiration. 
C’est l’encombrement qui nous rend malhabile, et qui nous fait parfois, suffoquer.
On a besoin de connaître des choses telles que l’ennui, le manque, l’absence, pour connaître la présence, la joie et l’attention pure.
On a besoin d’une chose pour aller vers une autre.

Par exemple, j’aime beaucoup les livres, mais j’ai remarqué que je trouvais les plus intéressants dans les toutes petites librairies perdues, qui n’en vendent que très peu ; comme si c’était là que certains livres m’attendaient depuis très longtemps.
Alors que je ne les aurais pas vus dans un grand étalage, parmi mille autres choses. 
Cette pensée va dans le sens exactement inverse de celui qui a créé Internet.

À la racine d’Internet, il y a le désir qu’on ait tout, tout de suite. Que surtout nul ne souffre plus d’un manque. Or, je pense que c’est une souffrance que d’avoir tout à sa disposition, sans intervalles. On devient soi-même comme une chose au milieu des choses. Alors qu’on a besoin que certaines vitres de la maison soient cassées. Et que le vent entre ! Besoin de certains défauts, de certains manques, de certaines brisures, pour pouvoir respirer.

dimanche 27 septembre 2015

« Honorer le Vivant, la Source en soi »





Ce matin, je chante, je danse, je clique sur les pages Youtube des flash mobs. 
Je vis seule mais je me sens profondément connectée à l’humain, à tous ceux qui manifestent le désir de communion, d’harmonie mais aussi tous ceux qui expriment leur singularité, fièrement, sans craindre le qu’en dira-t-on. 
Pas facile mais tellement excitant et épanouissant ! 
Bien que ces rencontres soient initiées par des groupes publicitaires, des banques…c’est l’expression de la passion commune aux humains, le désir d’exprimer sa singularité dans l’unité, l’harmonie, la paix, la joie que l’art cultive, exprime. 
Nous sommes tous artistes, cocréateurs, sans le savoir. Nous cocréons en permanence selon nos choix, nos fréquences et lorsqu'on se connecte à la source intérieure, nous devenons artisans de lumière, tisserands d'amour.

Mais quand on sait cela, la vie devient joie, découverte, explosion de couleurs, de saveurs, de sons, qui nourrissent les sens et font émerger le meilleur de l’humain.
Alors oui, il y a des guerres, des injustices, des horreurs mais il y a aussi le contraire et selon notre point de focalisation, on nourrit l’un ou l’autre.

Puis on peut choisir de manifester l’harmonie, l’unité, en soi-même et avec toute vie. 
Nous avons toujours la liberté de choisir l’objet, le sujet de notre attention.
Là sont les pouvoirs véritables, ceux qui rendent la vie belle ; la liberté, la beauté d’être, de manifester, de créer, d’imaginer, d’innover, de goûter, de partager.

Nous portons tout en nous, la paix et le chaos, le beau et le laid, la tendresse et la puissance, tout et son contraire.

« La transmutation de nos ombres » Francesca





Avec l’amplification de la qualité d’énergie transmise par la Source (énergie neutre par essence), beaucoup d’êtres en Réalisation observent actuellement en eux une double mise en exergue : à la fois celle de leur partie « lumière solaire » qui les conduit à s’élever, s’éveiller, se révéler et celle de leur partie « lumière sombre » qui correspond à ce que l’on appelle communément « les ombres ». 
Il est bien sûr à considérer qu’il  n’y a nulle frontière entre ces deux parties qui ne sont que des teintes ou nuances différentes du spectre de la lumière en nous.

La plupart des humains ignorent leurs ombres. 
Le plus souvent, ils les projettent dans des troubles somatiques, des obsessions, des fantasmes plus ou moins vastes, ou sur l’entourage. 
Elles sont « les autres », auxquels on prête la bêtise, la méchanceté, l’égoïsme, l’inefficacité qu’il serait tragique de reconnaître en soi.
Elles sont ces aspects portés par les autres qui déclenchent jalousie, aversion, peur ou colère en soi.
Peu ont la capacité d’envisager qu’une vie intérieure se déroule en eux-mêmes, et quand bien même ils sont ouverts à cette réalité, la nature même de ce qu’est l’ombre – pour résumer, la projection de leurs « défauts » sur les autres – est difficilement accessible.  
Nos « défauts » comme nos erreurs ne sont effectivement pas faciles à accepter.

samedi 26 septembre 2015

« Lâchez prise, offrande à la Source » Conrad





Parce qu’un peu de réconfort peut aider ce qui en ont besoin, je vous transmets un message de Conrad que je viens de trouver sur ma page google. Et même si dans l’ensemble je vais de mieux en mieux, suis en paix et retrouve la joie de l'enfant, en fin de journée, des petits moments de doute et de découragement se manifestent encore alors comme toujours, je les offre à la source et le sourire revient, la confiance se manifeste à nouveau. 
Puis je clique « au hasard » et tombe sur cette lettre qui vient conforter mon ressenti et mon intuition...

Chers Ami (e)s
En cette période, vous êtes nombreux à me poser des questions, qui sont souvent les mêmes, sur ce qui se vit en ce moment.
Vous vous demandez ce qui se passe en ce moment ?
Pourquoi vous ne vous sentez pas bien du tout, vous dormez mal, et il y a des inconstances et des fluctuations dans vos émotions et dans votre énergie ? Pourquoi vous n’avez plus envie de rien ?
Vous êtes indécis sur ce que vous devez faire, ce que vous devez quitter ?
Vers quoi devez-vous aller ? Vous vous demandez si vous devez quitter votre relation, votre travail, votre lieu d’habitation, votre vie ?
Vous ne savez pas ou plus ce qui est bon pour vous ? Vous ne savez pas si vous vivez le véritable amour ? Vous vous sentez perdu ?
Que sont ces portails énergétiques et pourquoi sont- ils là ? Que se passe-t-il si vous « ratez » ces portails ? Allez-vous ascensionner ou stagner ? Est-ce bientôt l’apocalypse ? etc… 
Chacun se pose une multitude de questions en cette période de transformation et de grands changements, et je vais donc répondre à certaines ici.

« La Séparation, un droit à la différence » le groupe Miriadan via Magali Magdara





Il était une fois une Création.
Il était une fois des éléments de Vie, des étincelles d'Amour qui tourbillonnaient dans le souffle de l'Un, sur des courants de joie et de liberté.
Il était une fois Vous.
Et Vous, c'est le Tout.
En l'Un, il n'y a qu'équité. En l'Un, il n'y a qu'égalité.

L'évolution s'acquiert grâce à la connaissance des pôles. 
La sagesse se déploie dans le Milieu, la voie royale vers l'épanouissement et la transcendance.
L'évolution est la condition de la Perfection. Sans évolution, il n'y aurait que stagnation. Sans évolution, nous ne remplirions pas nos rôles d'éclaireurs de la magnificence de l'Un.
L'évolution est offerte à tout et à tous.
 
Chaque élément contenu dans l'Un dispose d'une conscience. 
Cela va du tachyon (voir le lien) au plus petit des atomes, au grain de poussière et aux multivers.
Selon les dimensions, selon les choix d'expérimentation, vous avez accès à toutes les potentialités d'incarnation.