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03 Quand on observe les choses d’un point de vue binaire, on distingue la peur
de l’amour et on va même jusqu’à les opposer. Dans cette perspective, c’est une
réalité incontestable d’autant plus que lorsqu’on choisi de suivre l’amour
plutôt que la peur, les réactions internes, les réactions en chaine, sont
diamétralement opposées. Et sur le plan vibratoire, les effets sont aussi
distincts puisque chaque émotion, chaque pensée à une fréquence spécifique. Et
par la loi d’attraction, de résonance, la fréquence qu’on émane attire des
fréquences de même valeur.
Les systèmes activés dans le corps physique ne sont
pas les mêmes et les hormones, les protéines que le corps fabrique sont
différentes. Les scientifiques ont mis en évidence le rôle des nerfs reliant le cœur au cerveau et on sait
aussi que le lien avec le ventre, avec les émotions est essentiel. On sait que le cœur régule, harmonise et
orchestre l‘ensemble.
On sait aussi que notre cerveau ne fait pas de différence
entre le réel et le virtuel, et que la représentation qu’on se fait des choses,
de nous-mêmes, génère des réactions en chaine.
Les
croyances et conditionnements sont fondés sur des pensées, des représentations
de la réalité, qui pour la plupart sont inscrites dans nos gènes et véhiculées
ainsi de générations en générations.
Ce qui est formidable à notre époque,
c’est qu’on peut mieux comprendre la complexité du corps physique, son
autonomie et ses différentes formes de traitement de l’info.
On comprend de
plus en plus l’effet de l’énergie, de l’objet de notre focalisation sur notre
état d’être. En effet, plus on cultive l’amour et plus on se sent léger, à
contrario plus on nourrit la peur et plus on se sent mal.
Basés
sur des concepts, notre vision du monde est aussi l’image de ce qui se vit à
l’intérieur, des structures physiques, des modes de fonctionnements, des
systèmes et de notre état d’être du moment. On peut constater que lorsqu’on se
sent bien à l’intérieur, cela influence notre vision du monde, des situations,
des autres.