vendredi 1 septembre 2017

« Y-a-t-il une vie avant la mort ? »





Quand j'observe ma vie au travers de mes connaissances actuelles, des lois universelles, je constate combien j’ai été toujours guidée et comment le fait de suivre mon feeling m’a préservée de la peur, des dangers que peut rencontrer une voyageuse solitaire. Voyager seule avec pour toute compagne, une chienne pour seul moyen d’existence, un accordéon, a été un parcours initiatique qui répondait à mon immense besoin de liberté, de fuir le passé…
Je comprends mieux pourquoi je me sentais beaucoup plus en sécurité à dormir en pleine nature plutôt que dans des squats, par exemple et comment le fait de me sentir bien dans ma peau me faisait ignorer la peur alors que j’étais consciente des dangers éventuels. 

Même si c’était par l’usage de stupéfiants, d’un produit miracle ou du moins qui répondait précisément à mes besoins, ce bien-être intérieur me libérait de l’influence des égrégores. D’une part je n’attirais plus ces énergies par effet de résonance et de l’autre comme je suivais mon ressenti, je m’éloignais de ces lieux qui transpirent la souffrance, la violence, la misère humaine. 
Mais comme personne n’est où tout mauvais ou tout bon, je trouvais dans ces rencontres de gens qui vivent dans la rue, des qualités que bien des catholiques se targuent de manifester et des personnalités à part, des personnages très charismatiques. 

Même si ce voyage en solitaire n'a duré que peu de temps, en me déplaçant en auto-stop, j'ai eu la chance de rencontrer les gens les plus ouverts de cœur et d'esprit des bleds traversés et j'ai beaucoup appris sur la nature humaine. Tout comme lorsque je jouais de l'accordéon dans la rue où j'ai pu constater que la plupart des gens portaient des masques.

mercredi 30 août 2017

« Pacification et dialogue intérieurs »





Quand on veut changer, évoluer, on a tendance à se fixer un programme, à prendre des résolutions, que ce soit pour évoluer spirituellement, se libérer d’une dépendance, maigrir ou pour cultiver certains talents. Et la plupart du temps, ça nous donne la sensation de régresser parce qu’on voit qu’on n’avance pas alors on s’en veut, on se fait des reproches et on se sent encore plus mal dans sa peau, minable, incapable.
Il est bon dans un premier temps de se demander pourquoi on veut changer. Et pour qui. Et plutôt que de vouloir contrôler les voix en soi qui luttent à longueur de temps juste les écouter par simple curiosité. 
Parce que ces voix ont beaucoup à nous apprendre à propos de nous-même, de qui nous sommes vraiment derrière les peurs et les conditionnements. Elles ont les clefs de notre liberté et celles qui ouvrent notre horizon, libèrent nos potentiels.

Interroger ses croyances nous permet de les actualiser simplement parce que cela génère des prises de conscience. Se demander ce que cache une croyance, c’est déjà prendre conscience d’un conditionnement, c’est porter la lumière de la conscience dans les replis de notre inconscient. 
Malheureusement trop souvent on le fait à travers le mode de jugement et on ajoute de la culpabilité, des critiques ce qui rend inefficace et difficile le processus d’actualisation. 

Notre cerveau est configuré pour évoluer, pour créer de nouvelles connexions neuronales en, libérant la mémoire du superflu. Hormis les traumas ou les évènements qui ont eu un impact intense sur le corps émotionnel, la mémoire est malléable et l’oubli est une des fonctions vitales. Pour le coup, le mode sélectif est ici tout à fait approprié.
Notre cerveau sélectionne ce qui est utile, d’actualité et quand il n’y a pas d’empreinte émotionnelle les infos obsolètes disparaissent naturellement.

mardi 29 août 2017

« Tout est donné au moment opportun »





Les confidences entre les femmes de ma famille côté maternel continuent de me travailler en profondeur et porter leurs fruits. Je sens qu’une guérison collective est en train de se produire touchant toute la lignée familiale. Le féminin qui se réconcilie par ce cercle de femmes qui se réunissent dans la compassion, c'est très libérateur. Dans la semaine alors qu’elles étaient ensemble, par moments, je pensais à elles ou du moins je me sentais connectée. Non plus dans la douleur mais par des sentiments profonds. 
C’est une sensation indescriptible et comme c’est de l’ordre du ressenti, comme ce champs immense est encore inconnu ou méconnu, vouloir interpréter c’est prendre le risque de s’égarer, de perdre la sensation et encore d’enfermer l’énergie dans des cases. 

Hier soir, alors que je parlais avec mon âme lui demandant de diffuser ces énergies de guérison, de réconfort sur chaque enfant intérieur de ma lignée familiale, autant les hommes que les femmes, de grosses larmes chaudes ont coulé.
Je ne peux pas décrire tout ce que j’ai ressenti tellement c’était immense et puissant. 

Déjà l’idée que la guérison des chakras du bas ouvre, si on peut dire, ceux du haut, a été validée par la sensation de plénitude et de confiance vis-à-vis de l’équipe céleste. 
La certitude d’être accompagnée, soutenue depuis l’enfance dans ce cheminement de recherche de vérité m’est apparue clairement et si mes yeux n’étaient pas encore voilés par la peur de la mort, de l’inconnu, de l’invisible, j’aurais certainement vu ces présences bienveillantes. 
Non seulement la peur bloque cette perception mais en plus, la nécessité de vivre l’expérience d’ici et de maintenant en toute conscience, en présence, sans être déconcentrée, sans se disperser, en restant focalisée sur cette incarnation et ses limitations m’est apparue comme la condition si ne qua none.

lundi 28 août 2017

« Le cœur, porte de tous les mondes » & vidéos d’éveil





27 08 Le ciel encore rempli d’une brume fine mais très dense me donne envie de suivre seulement l’élan guidé par la joie intérieure quitte à ne rien faire du tout. Je suis tombée sur une vidéo de David Gilmour et David Bowie qui ont provoqué des vagues de frissons bien agréable. Chaque fois que j’écoute Pink Floyd, je me dis qu’ils avaient tout compris et le symbole du triangle traversé par un rayon laser qui passe du gris à l’arc en ciel, résume tout, ce dépouillement des masques, des rôles du triangle de Karpman. 
Comment en se positionnant au centre, dans la neutralité, on passe au-delà de ces rôles, on accède au potentiel créatif illimité. Les images symboliques et la simplicité de leurs mélodies ont touché tellement de personnes parce que c’est universel et compréhensible par tous, par effet de résonance.
Cette simplicité de la mélodie, c’est le symbole de la simplicité du processus de dépouillement et de la vie même. Leur album "The Wall" décrit l’illusion et les manipulations de ce monde avec une parfaite clarté. Puis quand je vois le chanteur, guitariste du groupe, je me dis qu’il vit ce qu’il propage au travers des sons.
Et ces prises de conscience provoquées par les hallucinogènes ont été vécues par cette génération de façon fulgurante. Il reste peu de survivants parce que c’est une façon très violente d’affronter la réalité. 
En ce sens, l’éveil des consciences n’est pas toujours une sinécure et ceux qui s’ouvrent en un éclair à la réalité crue, celle de la conscience Une ou de l’illusion de la séparation, peuvent rester déconnecté de la réalité matérielle toute leur vie. 
Le point de vue de la conscience humaine formatée et celui de la conscience éclairée semblent tellement opposés que cela peut être insupportable. 
Mais nous avons tous les outils nécessaires à la compréhension et l’intégration ou la réalisation de Qui nous sommes en vérité.

dimanche 27 août 2017

« La vision silencieuse du cœur, dans la paix et l’unité intérieure »




25 08 Depuis hier, je suis face à des énergies lourdes et ce matin j’observe la tristesse profonde qui m’habite. Elle a été déclenchée par une légère douleur aux reins et les pensées sombres se sont enchainées. Le souvenir de la vidéo témoignage de la victime des réseaux pédophiles apparait subitement donnant corps à cette mélancolie qui ne semble venir de nulle part puisque cela m’a pris dès le réveil. Et c’est comme si cette sensation me poursuivait depuis hier. Je peux voir cet enchainement de pensées sombres qui se raccordent les unes aux autres et qui prennent de l’ampleur dans ce mouvement de résonance et d’attraction. 
Le fait de pouvoir l’observer m’en détache et cela vient nourrir ma foi, ma compréhension en ces lois universelles, ces phénomènes psycho-énergétiques. Ce qui créé un petit espace de gratitude, une petite ouverture. La douleur est maintenant partie sans que j’aie eu recours aux médicaments, juste en ne rejetant pas cette tristesse, en n’essayant pas de la nier, de susciter la joie.
La différence est très subtile puisque les processus mentaux, les stratégies d’évitement sont inconscients mais en étant juste l’observateur qui se contente de voir et sentir ce qui le traverse, le changement est flagrant. Je ne fais pas des bonds, la joie n’est pas encore revenue pas plus que l’envie d’agir mais déjà, je ne sens plus la chape de plomb de tout à l’heure.
En écoutant une chanson qui parle de Jésus, de la confiance en la source, quelques images symboliques sont apparues comme l’idée qu’il est le « roi des cieux » comme cela est proclamé dans la bible. En resituant les faits dans leur contexte et selon son choix constant de manifester l’amour, le pardon, il a ouvert ou tout au moins nourri abondamment ces égrégores d’amour sans conditions, qui sont l’opposé de la vengeance, de ce cycle où la violence se perpétue. Il a initié la loi de permissivité.

vendredi 25 août 2017

« Libération, téléchargement et harmonisation »




23 08 Je sens que mon mental et par conséquent mon cerveau, est en train de configurer ses systèmes afin d’intégrer complètement la notion d’énergie. Selon la science quantique, l’infiniment petit et l’information véhiculée par la lumière sous forme de photons, ces données essentielles demandent à trouver leur place en l’individu et pour ce faire, il est nécessaire de libérer de l’espace. Où simplement de focaliser l’attention sur cette dimension de l’énergie, de la vibration, d’en faire la référence première. 

En ce sens, lâcher les jugements, les stratégies de survie, les rôles, les croyances passées et les conditionnements est indispensable. Et comme cela affecte tous les niveaux de l’être de la plus petite cellule, de l’atome, aux organes, en passant par le système psycho-émotionnel, le monde éthérique, on comprend aisément l’ampleur du chantier. 

On peut aussi voir que le mental ne peut absolument pas gérer et encore moins contrôler ce qu’il ne voit pas, ce qu’il peut difficilement concevoir. En ce sens les intelligences multiples sont nécessaires et c’est leur association pacifique qui permet cette immense révolution.
On sait que nos pensées, nos émotions, sont des énergies, que chacune d’elle porte une fréquence particulière et que celle-ci attire ou résonne avec des fréquences similaires. 
Ces fréquences sont plus ou moins lourdes, plus ou moins intenses. 

D’autre part, les pensées et les émotions associées provoquent des réactions chimiques internes qui déterminent l’état d’être, la physiologie. Selon l’intensité de notre focalisation, ou selon le désir de vibrer telle ou telle fréquence, notre point de focalisation peut modifier la physiologie, les réactions chimiques et hormonales internes et donc la vibration, l’énergie.

mardi 22 août 2017

« Revenir au choix déterminant de ce que l’on veut sentir, vibrer en soi »





20 08 Le jugement est un mode d’appréciation, une façon de se situer qui nous limite mais d’un autre côté, c’est un bel outil de connaissance de soi quand on va au-delà de la première idée qui émane d’une des nombreuses croyances collectives.

Il est bon de se demander ce qui sous tend le jugement, pourquoi nous pensons avoir raison parce que cela nous indique un rêve, un besoin inassouvi.
En interrogeant notre pensée, on va entendre la voix de l’enfant en nous derrière la peur. Par exemple, lorsque je juge l’autre d’être injuste, je peux déjà me dire que ce jugement arbitraire est une pensée automatique, une forme de conditionnement. 
Puis en ressentant ce qui accompagne ce jugement, je vais constater qu’il est une stratégie, une façon de contourner la peur. Savoir quelle est exactement cette peur va me permettre de contacter l’enfant en moi, les aspirations véritables. 

La plupart du temps, le mental se fait des films, il projette la peur sur l’écran du mental envisageant les scenarii catastrophes par instinct de survie parce qu’alors il saura déclencher la réponse appropriée, soit l’agression, soit la fuite. 
Tout cela est le fonctionnement généré par l’instinct de survie et quand on revient au présent, à la sensation même de la peur, les films disparaissent, on rit même d’avoir eu autant d’imagination.
Ce processus d’imagination va nous servir à créer notre vie selon nos aspirations profondes. Le mental a des capacités très utiles et nombreuses que le manque de connaissance concernant les émotions, ce qu’elles sont en vérité, nous empêche d’utiliser à bon escient.