vendredi 1 septembre 2017

« Y-a-t-il une vie avant la mort ? »





Quand j'observe ma vie au travers de mes connaissances actuelles, des lois universelles, je constate combien j’ai été toujours guidée et comment le fait de suivre mon feeling m’a préservée de la peur, des dangers que peut rencontrer une voyageuse solitaire. Voyager seule avec pour toute compagne, une chienne pour seul moyen d’existence, un accordéon, a été un parcours initiatique qui répondait à mon immense besoin de liberté, de fuir le passé…
Je comprends mieux pourquoi je me sentais beaucoup plus en sécurité à dormir en pleine nature plutôt que dans des squats, par exemple et comment le fait de me sentir bien dans ma peau me faisait ignorer la peur alors que j’étais consciente des dangers éventuels. 

Même si c’était par l’usage de stupéfiants, d’un produit miracle ou du moins qui répondait précisément à mes besoins, ce bien-être intérieur me libérait de l’influence des égrégores. D’une part je n’attirais plus ces énergies par effet de résonance et de l’autre comme je suivais mon ressenti, je m’éloignais de ces lieux qui transpirent la souffrance, la violence, la misère humaine. 
Mais comme personne n’est où tout mauvais ou tout bon, je trouvais dans ces rencontres de gens qui vivent dans la rue, des qualités que bien des catholiques se targuent de manifester et des personnalités à part, des personnages très charismatiques. 

Même si ce voyage en solitaire n'a duré que peu de temps, en me déplaçant en auto-stop, j'ai eu la chance de rencontrer les gens les plus ouverts de cœur et d'esprit des bleds traversés et j'ai beaucoup appris sur la nature humaine. Tout comme lorsque je jouais de l'accordéon dans la rue où j'ai pu constater que la plupart des gens portaient des masques.


La génération des babas cool a nourrit abondamment les égrégores de paix mais elle a aussi crée des associations d’idées, des croyances néfastes. Comme le fait que la paix en soi s’obtient par la prise obligatoire de produits stupéfiants. 
Cela a donné un formidable essor à l’industrie pharmaceutique soutenue par les pouvoirs en place qui ont rendu l’usage de drogue illégal et leurs usagers de dangereux délinquants par le fait. Le nombre de personnes qui sont dépendantes de médicaments surtout en France a été exponentiel depuis les années 70. Puis en rendant la fumette illégale, non seulement cela l’a rendue beaucoup plus attractive pour les ados, les jeunes en révolte mais cela a renforcé les pouvoirs occultes.

C’est assez ironique de constater que nous sommes tous reliés, que le choix d’un individu en France par exemple a des répercussions à l’autre bout du monde. Celui qui tire sur son pétard afin de se sentir cool, n’imagine pas que dans des régions en guerre civile, les 20 euros de son achat ont financé la balle qui atteint l’enfant ou l’ado innocent. 

Je ne dis pas cela pour faire culpabiliser tous les fumeurs mais juste pour montrer comment on peut prendre conscience de la reliance entre tous et de l’impact de nos choix sur l’ensemble. 
La culpabilité est un sentiment légitime et naturel, elle nous aide à prendre conscience de l’effet de nos choix, de l’impact qu’on peut avoir sur les autres mais c’est comme pour la peur, si on s’identifie à ces énergies, si on se laisse envahir par elles, elles perdent leur effet révélateur et bénéfique. 

La culpabilité et la peur sont des enseignants, des moyens de comprendre leur effet sur nous-même, de sentir la puissance de la focalisation, de la pensée, des croyances, des énergies. Elles nous montrent aussi lorsque nous sommes en mode survie, identifié aux rôles, elles nous ramènent vers le centre, le désir d’unité et de paix. 
Elles font très bien leur job quand on les considère de cette façon et non plus comme des prisons.  




Tous ces scenarii sont sur le point d’être de l’histoire ancienne parce que maintenant nous ne pouvons plus nous cacher derrière l’ignorance puisque tout info est accessible instantanément, le meilleur comme le pire. Nous comprenons de mieux qui nous sommes réellement individuellement et comment tout est interconnecté.

La vérité vous affranchira disait Jésus. Mais cette vérité est multiple, individuelle et à la fois collective. Il y a autant de vérité que d’êtres et de niveaux de conscience. Sur terre par notre constitution multidimensionnelle et le fait que l’énergie de vie nous traverse et par la nature vibratoire de l’énergie, nous apprenons par l’expérience. Ce qui veut dire que pour intégrer une réalité, il nous faut la vivre jusque dans nos cellules, il faut qu’elle résonne simultanément dans tous nos corps. 
Pour cette raison, les livres, les stages, les enseignements théoriques, n’abordent qu’un des corps et par le fait n’ont pas le pouvoir de nous faire comprendre entièrement et véritablement les choses.

Je viens de lire un article qui parle de l’apprentissage de la lecture, des différentes façons d’apprendre et ce qui est très intéressant, c’est qu’on découvre enfin le potentiel unique de chacun, le fait que chaque individu ait son propre mode d’apprentissage. 
Puis chose essentielle aussi, que la motivation, le fait de savoir pourquoi on fait les choses, comment on va les utiliser, les appliquer sont les moteurs d’apprentissage suffisants. 

Le fait de prendre conscience de ce que peut nous apporter une connaissance et les implications dans le réel de celle-ci, survient à tout âge. 
Tout apprentissage est facilité par le jeu, la légèreté ou l’absence de pression, de punition, d’attentes. 
Inculquer des connaissances à un enfant simplement pour se dire qu’on est un parent "qui assure" ou qui est à la hauteur de son rôle ne fait que frustrer l’enfant et le diminuer, le dégoûter même d’apprendre. 
Or l’enfant est encouragé dans son désir d’apprendre par la confiance qu’on place en lui. D’une part, le désir doit venir de lui et d’autre part, il attend de son entourage qu’il ait confiance en ses capacités. Le regard que porte son entourage sur lui est essentiel. 

Ces processus cognitifs s’appliquent aux adultes tout comme aux enfants. 
L’avantage de l’adulte sur l’enfant, c’est qu’il peut savoir consciemment qui il est au-delà de la forme et trouver ce soutien nécessaire dans la communion avec la source. 
L’avantage de l’enfant sur l’adulte dans le phénomène d’apprentissage, c’est qu’il est directement connecté à son désir, il ne bloque pas l’énergie de vie. 
Lorsqu’on reconnait l’enfant en soi et lorsqu’on est dans ce désir d’unité intérieure, on bénéficie des atouts de l’adulte et de ceux de l’enfant simultanément.

L’enfant a beaucoup à nous apprendre, il a la faculté d’éveiller en nous les qualités du cœur. En l’observant on peut voir qu’ils savent vivre vraiment selon le cœur. leur carence, si on peut dire, c’est l’ignorance quand à la façon d’interpréter les émotions, d’en trouver l’essence, mais lorsque l’enfant saura reconnaitre ses besoins fondamentaux et puiser en lui-même pour savoir comment les nourrir dans le respect mutuel, il surpassera l’adulte. 

Au niveau individuel, intérieur, c’est le vivant, l’énergie de Vie, du désir innocent et spontané qui deviennent les guides et la raison d’être, d’agir. 
Associer ces deux aspects de l’être, c’est revenir à la Vie.




Il est dix heures et je n’ai pas encore pensé à prendre un bout de cachet et je m’en réjouis ! L’attrait pour ce mode de fonctionnement, vestige de l’ancien monde, du système de survie gérant tous les corps de l’individu, se dissout peu à peu naturellement parce que la conscience s’élargit et le désir d’aimer grandit à mesure que cette vibration se manifeste, se cultive en moi.

En cessant de juger ce qui est, encore plus lorsque cette chose est perçue comme négative, mauvaise, la perspective change, les énergies s’allègent, le fait de ne plus se focaliser sur cela, de ne plus émettre d’ondes négatives sur cet objet en diminue la charge négative, l’intensité. 
Amener cet objet au point zéro ou l’observer avec neutralité en révèle l’histoire réelle, le sens et la pertinence. Ce qui permet déjà de neutraliser l’effet négatif et le déséquilibre psycho-émotionnel, énergétique. 
Au niveau énergétique c’est important et cela permet de changer la vision et les fréquences. 

Lorsqu’on cesse de juger ou de rejeter une chose, elle apparait dans son ensemble, sa pureté, dénuée de connotations négatives, libérée en même temps des liens toxiques avec les égrégores correspondants qui les nourrissent en permanence, qui amplifient l’effet d’attraction, de polarisation et d’amplification.

Punaise la tête du ciel, lol ! J’ai écouté une partie de conférence au sujet des chemtrails que je ne partage pas afin de ne pas créer une vague supplémentaire d’indignation, de projections psycho-émotionnelles susceptible de nourrir les égrégores guerrier de révolte. Et en plus comme la solution manquait de développement j’ai estimé que ça n’apportait rien de bénéfique. 
Il me suffit de savoir que l’extérieur me renvoie ce que je porte afin d’activer la puissance du cœur, de l’amour, pour utiliser ces phénomènes de façon utile et bénéfique.

Dénoncer les méchants manipulateurs de conscience à l’échelle mondiale, ceux qu’on suppose vouloir éliminer une grande part de la population, c’est oublier que chacun se manipule lui-même et que les mouvements de masse quel qu’ils soient, bons ou méchants agissent souvent de la même façon, en espérant changer le monde, l’autre, de façon à ce qu’il se conforme à ses propres attentes/besoins.

Puis la loi d’attraction, le phénomène de projection, créent une autre forme de manipulation qui est beaucoup plus insidieuse mais néanmoins aussi puissante.

Tant qu’on ne réalise pas que nous sommes notre propre autorité, du moins que la source en nous est la seule autorité à suivre, ou qui ait du crédit, le pouvoir de nous élever, de nous révéler sa présence, sa lumière et son amour, on recherchera en vain la sécurité auprès d’individu ou d’une élite qu’on pense être plus apte à nous diriger, à nous guider.

Regarder et interroger nos peurs dans le silence du cœur, dans le désir de connaitre la vérité, de comprendre et d’aimer, nous ouvre les yeux et la compréhension. 
La peur de la mort qui a généré toutes les autres peurs et les stratégies de survie, nous enseignent bien des choses lorsqu’on la reconnait comme légitime pour l’humain vivant sur cette terre et identifié à la personnalité. Le personnage qui par besoin d’appartenance se plie aux règles de la société, à ces croyances, sans même les questionner, a nécessairement peur du lendemain, de lui-même et de l’autre. 




Les croyances du monde et les lois sécuritaires qu’elles ont engendrées sont les projections de ce que nous pensons de nous-même, de notre ignorance et de la peur des pulsions qui nous traversent. 
Parce que nous ressentons du désir, parce que celui-ci nous fait peur puisqu’il est lié principalement à la sexualité et considéré comme douteux, puisque nous sommes habitués à agir selon les désirs des autres, nous avons estimé collectivement que l’humain était un animal pensant. 
Un animal pensant, foncièrement mauvais, qu’il fallait éduquer à coup de bâton, de punition et de récompense. Mais là encore, c’est la projection grandeur nature de notre façon d’envisager autant les pulsions sexuelles que les émotions qui peuvent nous submerger. 
Nous avons peur de ces sensations, nous ressentons le poids des croyances qui gravitent autour de la sexualité, des convenances et des règles de bienséance. Règles qui sont au final l’expression du déni, du refoulement, de la feinte et de l’hypocrisie. 
On pense que la liberté des mœurs nous a libéré du carcan de ces règles obtues mais on ne fait que changer les codes, les étiquettes.

Dès que nous apposons une étiquette à un objet, on l’enferme, on le limite. 
Il en va de même pour les individus et ce constat est appuyé par l’écoute du roman « Oliver Twist de Charles Dickens. 
Les personnages de l’époque étaient de véritables caricatures et la pseudo science qui étudiait et définissait les gens, leur caractère, selon leur faciès, la psycho morphologie, en était l’application et l’aberration de ce système de pensée. 

Même en y ajoutant la graphologie, vouloir connaitre quelqu’un selon les apparences, c’est le limiter, l’enfermer, le réduire et passer à côté de la réalité, celle de la multidimensionnalité et de l’effet de l’environnement sur l’individu, des interactions, du caractère mouvant de l’énergie, des pensées, des émotions. 

Maintenant que la science étudie beaucoup plus de dimensions de l’individu, de façon objective et sans vouloir systématiquement élaborer des catalogues ou des classifications, on prend conscience du caractère unique et à la fois multiple de l’être, de son aspect personnel et universel.

Les progrès de la médecine dépendent d’une prise en compte holistique et unique de l’individu mais comme cette vision ne correspond pas aux besoins des industries pharmaceutiques et médicales, cela peine à se mettre en place. 
Et d’un côté c’est une très bonne chose parce que cela nous ramène à l’intérieur, à notre potentiel, à nos multiples potentiels en matière d’auto guérison, de bien-être et de réalisation.

Nous ne sommes plus trop à l’heure des guérisons miraculeuses ou d’apparence extraordinaire non pas parce qu’il n’y en a plus mais plutôt parce qu’on comprend mieux les phénomènes de guérison et de santé. 
Les mystères, les sciences dites occultes et le pouvoir que cela donnait à ceux qui était supposés en connaitre le sens, les processus, n’en sont plus vraiment. 
A mesure qu’on devient conscient de Qui nous sommes individuellement, collectivement et comment nous sommes interconnectés, la chape de plomb qui engourdissait les masses se révèle et se dissout. 

En ce sens, les chemtrails sont la projection de ce que nous vivons individuellement et collectivement. Autant parce que nous utilisons de plus en plus de médicaments, de chimie, de molécules artificielles que parce que nous voulons exercer le contrôle sur la vie même.  
Ces épandages sont autant le reflet de notre volonté de manipuler la vie, l’énergie, la nature, les éléments que de l’impact de ce mode de fonctionnement. Le fait que ces épandages agissent à plusieurs niveaux, endocriniens avec les fameux perturbateurs, élémentaires en ajoutant des nanoparticules, des métaux, que sur les ondes, les fréquences…témoigne des connaissances très avancées des scientifiques, méconnues de la majorité mais cependant accessibles soit à ceux qui sont curieux de savoir, soit par la communion intérieure qui révèle les lois universelles et la nature de l’énergie. 




Alors quand je vois des chemtrails dans le ciel, le laisse monter tout ce que ça suscite comme réactions et je confie tout cela à la source en moi, au désir de paix, de lumière, de savoir par moi-même. 
Cette communion intérieure me guide en toutes choses et à tout moment. 
Non pas selon des croyances ou par des idées mais par le ressenti par cet élan enthousiaste qui est l’expression pure et silencieuse de la guidance interne. 
 
Au début, j’avais un peu de mal à agir de cette façon bien que j’en comprenais tout de même la portée au niveau énergétique, vibratoire. Puis en suivant aveuglément mon intuition et avec le recul, j’ai pris confiance par le constat des bénéfices qu’offrent cette attitude. 

Puis revenant sur l’idée de mort, de mon point de vue, c’est un passage comme un autre, une transformation et non une fin. Selon la perspective de la polarité vie/mort, redéfinir la vie et la mort est nécessaire mais par-dessus tout, la question à se poser et à laquelle répondre est la suivante, question posée par Coluche qui l’a peut-être emprunté à quelqu’un d’autre comme a son habitude : « Y-a-t-il une vie avant la mort ? »

Qu’est-ce que Je veux et qu’est-ce que je fais pour y arriver ? 
Chacun tente de répondre à ces questions primordiales mais la plupart du temps, c’est de façon détournée et cela se pose en ces termes : qu’est-ce qu’on attend de moi ? comment j’y parviens ? 
Répondre à la question "qu’est-ce que Je veux", c’est ce que l’accueil des pensées émotions nous révèle. Et c’est ce jeu de questions/réponses dans la transparence et la sincérité qui fait émerger l’être unique et authentique. 

Ainsi plus de frustrations, d’envie, de comparaison, de domination, de lutte, de prédation et d’insécurité.  Juste la confiance en la vie, en soi et envers les autres qu’on n’a plus besoin de changer pas plus que ce qui survient à chaque instant. 

Je continue de réfléchir à l’idée de retourner auprès des êtres avec lesquels j’ai le plus d’affinités et cette perspective élargit considérablement mon horizon. 
La seule idée de bouger, de retourner à mes racines, de changer de lieu de vie, m’ouvre sur toute une gamme de potentiels nouveaux. 
Je peux constater une fois de plus la puissance des pensées, comment le fait de s’ouvrir à la guidance intérieure et de se projeter mentalement, nourrit l’imaginaire, la créativité et le sentiment de liberté. 
C’est encore la conséquence des guérisons intérieures et par conséquent avec l’extérieur. Là aussi, revenir sur mon lieu de naissance totalement renouvelée, en paix avec le passé, c’est comme si je bouclais la boucle. Une façon de revenir aux sources, le reflet du cheminement intérieur. 
Ceci dit, c’est juste une idée pour le moment mais déjà elle suscite pas mal de questions/réponses et Internet participe à cela dans le sens où je peux trimbaler mon bureau n’importe où, sans perte. 

Cet outil favorise  l’expansion de cœur et de conscience tant qu’on n’en devient pas esclave…A l’image des multiples dimensions et connexions auxquelles nous avons accès à l’intérieur, en un seul clic, nous pouvons pénétrer des mondes totalement différents, des niveaux de conscience diamétralement opposé, des énergies et des êtres de tous les temps, les lieux, l’espace même et sentir leur fréquences.




1 09 J'ai été stupéfaite de constater l'impact douloureux physiquement d'un petit choc émotionnel. En entendant les chats se battre dehors, comme leurs cris semblent exprimer une douleur profonde et fatale, j'ai voulu me précipiter dehors et j'ai paniqué parce que je ne trouvais pas de quoi me couvrir étant donné que je passe ma journée en tenue très légère. Du coup, cela a ajouté au stress et j'ai senti mon cœur s'emballer fortement, mes jambes trembler. Je suis restée dehors quelques secondes le temps de les séparer puis je suis vite rentrée pour me poser et apaiser mon corps physique. 
C'est incroyable d'être aussi sensible, j'ai failli me trouver vraiment mal, tomber dans les vapes! 
D'un autre côté, ça semble logique puisque j'ai renoncé à bloquer les émotions et ce qui me rassure c'est que tout s'est apaisé en une ou deux minutes. 
Je dois préciser que le fait d'être peu couverte dans la journée m'est nécessaire tellement les poussées énergétiques, les ajustements, affectent la sensibilité de la peau. 
Je ne supporte pas de vêtements à cause des picotements réguliers et je suppose que c'est encore la conséquence logique de ce désir d'harmonisation qui demande d'exprimer librement les émotions refoulées. Puis symboliquement cette tenue minimaliste, c'est l'expression du dépouillement intérieur, le désir de pureté, de simplicité, de renaissance...

Les symptômes dits "d'ascension" sont encore nombreux et récurrents mais je ne cherche plus à savoir quand cela finira puisque ce qui est important à mon avis, c'est d'apprendre à revenir à la paix, l'harmonie, dans le détachement. Quand je me sens dépassée ou quand je trouve que c'est trop, je ne retiens pas ces pensées, je les confie à la source et cela m'apaise immédiatement. 
Pouah! Les épandages sont tellement nombreux et permanents que ce matin, on ne voit pas le ciel mais juste une bande plus claire à l'est. On perd deux heures de luminosité! 
Voilà encore une invitation à se tourner à l'intérieur...vers la lumière de la source en soi...

Si vous souhaitez partager ce texte, merci d’en respecter l’intégralité, l’auteure et la source ; Lydia, du blog : « Journal de bord d’un humain divin comme tout le monde » ou http://lydiouze.blogspot.fr