Quand
j'observe ma vie au travers de mes connaissances actuelles, des lois universelles,
je constate combien j’ai été toujours guidée et comment le fait de suivre mon
feeling m’a préservée de la peur, des dangers que peut rencontrer une voyageuse
solitaire. Voyager seule avec pour toute compagne, une chienne pour seul moyen
d’existence, un accordéon, a été un parcours initiatique qui répondait à mon
immense besoin de liberté, de fuir le passé…
Je
comprends mieux pourquoi je me sentais beaucoup plus en sécurité à dormir en
pleine nature plutôt que dans des squats, par exemple et comment le fait de me
sentir bien dans ma peau me faisait ignorer la peur alors que j’étais
consciente des dangers éventuels.
Même si c’était par l’usage de stupéfiants,
d’un produit miracle ou du moins qui répondait précisément à mes besoins, ce
bien-être intérieur me libérait de l’influence des égrégores. D’une part je
n’attirais plus ces énergies par effet de résonance et de l’autre comme je
suivais mon ressenti, je m’éloignais de ces lieux qui transpirent la
souffrance, la violence, la misère humaine.
Mais comme personne n’est où tout
mauvais ou tout bon, je trouvais dans ces rencontres de gens qui vivent dans la
rue, des qualités que bien des catholiques se targuent de manifester et des
personnalités à part, des personnages très charismatiques.
Même si ce voyage en solitaire n'a duré que peu de temps, en me déplaçant en auto-stop, j'ai eu la chance de rencontrer les gens les plus ouverts de cœur et d'esprit des bleds traversés et j'ai beaucoup appris sur la nature humaine. Tout comme lorsque je jouais de l'accordéon dans la rue où j'ai pu constater que la plupart des gens portaient des masques.
La
génération des babas cool a nourrit abondamment les égrégores de paix mais elle
a aussi crée des associations d’idées, des croyances néfastes. Comme le fait
que la paix en soi s’obtient par la prise obligatoire de produits stupéfiants.
Cela a donné un formidable essor à l’industrie pharmaceutique soutenue par les
pouvoirs en place qui ont rendu l’usage de drogue illégal et leurs usagers de
dangereux délinquants par le fait. Le nombre de personnes qui sont dépendantes
de médicaments surtout en France a été exponentiel depuis les années 70. Puis
en rendant la fumette illégale, non seulement cela l’a rendue beaucoup
plus attractive pour les ados, les jeunes en révolte mais cela a renforcé les
pouvoirs occultes.
C’est
assez ironique de constater que nous sommes tous reliés, que le choix d’un
individu en France par exemple a des répercussions à l’autre bout du monde.
Celui qui tire sur son pétard afin de se sentir cool, n’imagine pas que dans
des régions en guerre civile, les 20 euros de son achat ont financé la balle
qui atteint l’enfant ou l’ado innocent.
Je ne dis pas cela pour faire
culpabiliser tous les fumeurs mais juste pour montrer comment on peut prendre
conscience de la reliance entre tous et de l’impact de nos choix sur
l’ensemble.
La culpabilité est un sentiment légitime et naturel, elle nous aide
à prendre conscience de l’effet de nos choix, de l’impact qu’on peut avoir sur
les autres mais c’est comme pour la peur, si on s’identifie à ces énergies, si
on se laisse envahir par elles, elles perdent leur effet révélateur et
bénéfique.
La culpabilité et la peur sont des enseignants, des moyens de
comprendre leur effet sur nous-même, de sentir la puissance de la focalisation,
de la pensée, des croyances, des énergies. Elles nous montrent aussi lorsque
nous sommes en mode survie, identifié aux rôles, elles nous ramènent vers le
centre, le désir d’unité et de paix.
Elles font très bien leur job quand on les
considère de cette façon et non plus comme des prisons.
Tous
ces scenarii sont sur le point d’être de l’histoire ancienne parce que
maintenant nous ne pouvons plus nous cacher derrière l’ignorance puisque tout
info est accessible instantanément, le meilleur comme le pire. Nous comprenons
de mieux qui nous sommes réellement individuellement et comment tout est
interconnecté.
La
vérité vous affranchira disait Jésus. Mais cette vérité est multiple,
individuelle et à la fois collective. Il y a autant de vérité que d’êtres et de
niveaux de conscience. Sur terre par notre constitution multidimensionnelle et
le fait que l’énergie de vie nous traverse et par la nature vibratoire de
l’énergie, nous apprenons par l’expérience. Ce qui veut dire que pour intégrer
une réalité, il nous faut la vivre jusque dans nos cellules, il faut qu’elle
résonne simultanément dans tous nos corps.
Pour cette raison, les livres, les
stages, les enseignements théoriques, n’abordent qu’un des corps et par le fait
n’ont pas le pouvoir de nous faire comprendre entièrement et véritablement les
choses.
Je
viens de lire un article qui parle de l’apprentissage de la lecture, des
différentes façons d’apprendre et ce qui est très intéressant, c’est qu’on
découvre enfin le potentiel unique de chacun, le fait que chaque individu ait
son propre mode d’apprentissage.
Puis chose essentielle aussi, que la
motivation, le fait de savoir pourquoi on fait les choses, comment on va les
utiliser, les appliquer sont les moteurs d’apprentissage suffisants.
Le fait de
prendre conscience de ce que peut nous apporter une connaissance et les
implications dans le réel de celle-ci, survient à tout âge.
Tout apprentissage
est facilité par le jeu, la légèreté ou l’absence de pression, de punition,
d’attentes.
Inculquer des connaissances à un enfant simplement pour se dire
qu’on est un parent "qui assure" ou qui est à la hauteur de son rôle ne fait que
frustrer l’enfant et le diminuer, le dégoûter même d’apprendre.
Or l’enfant est
encouragé dans son désir d’apprendre par la confiance qu’on place en lui. D’une
part, le désir doit venir de lui et d’autre part, il attend de son entourage
qu’il ait confiance en ses capacités. Le regard que porte son entourage sur lui
est essentiel.
Ces processus cognitifs s’appliquent aux adultes tout comme aux
enfants.
L’avantage de l’adulte sur l’enfant, c’est qu’il peut savoir
consciemment qui il est au-delà de la forme et trouver ce soutien nécessaire
dans la communion avec la source.
L’avantage de l’enfant sur l’adulte dans le
phénomène d’apprentissage, c’est qu’il est directement connecté à son désir, il
ne bloque pas l’énergie de vie.
Lorsqu’on reconnait l’enfant en soi et
lorsqu’on est dans ce désir d’unité intérieure, on bénéficie des atouts de
l’adulte et de ceux de l’enfant simultanément.
L’enfant
a beaucoup à nous apprendre, il a la faculté d’éveiller en nous les qualités du
cœur. En l’observant on peut voir qu’ils savent vivre vraiment selon le cœur.
leur carence, si on peut dire, c’est l’ignorance quand à la façon d’interpréter
les émotions, d’en trouver l’essence, mais lorsque l’enfant saura reconnaitre
ses besoins fondamentaux et puiser en lui-même pour savoir comment les nourrir
dans le respect mutuel, il surpassera l’adulte.
Au niveau individuel,
intérieur, c’est le vivant, l’énergie de Vie, du désir innocent et spontané qui
deviennent les guides et la raison d’être, d’agir.
Associer ces deux aspects de
l’être, c’est revenir à la Vie.
Il
est dix heures et je n’ai pas encore pensé à prendre un bout de cachet et je
m’en réjouis ! L’attrait pour ce mode de fonctionnement, vestige de
l’ancien monde, du système de survie gérant tous les corps de l’individu, se
dissout peu à peu naturellement parce que la conscience s’élargit et le désir
d’aimer grandit à mesure que cette vibration se manifeste, se cultive en moi.
En
cessant de juger ce qui est, encore plus lorsque cette chose est perçue comme
négative, mauvaise, la perspective change, les énergies s’allègent, le fait de
ne plus se focaliser sur cela, de ne plus émettre d’ondes négatives sur cet
objet en diminue la charge négative, l’intensité.
Amener cet objet au point
zéro ou l’observer avec neutralité en révèle l’histoire réelle, le sens et la
pertinence. Ce qui permet déjà de neutraliser l’effet négatif et le
déséquilibre psycho-émotionnel, énergétique.
Au niveau énergétique c’est
important et cela permet de changer la vision et les fréquences.
Lorsqu’on
cesse de juger ou de rejeter une chose, elle apparait dans son ensemble, sa
pureté, dénuée de connotations négatives, libérée en même temps des liens
toxiques avec les égrégores correspondants qui les nourrissent en permanence,
qui amplifient l’effet d’attraction, de polarisation et d’amplification.
Punaise
la tête du ciel, lol ! J’ai écouté une partie de conférence au sujet des
chemtrails que je ne partage pas afin de ne pas créer une vague supplémentaire
d’indignation, de projections psycho-émotionnelles susceptible de nourrir les
égrégores guerrier de révolte. Et en plus comme la solution manquait de
développement j’ai estimé que ça n’apportait rien de bénéfique.
Il me suffit de
savoir que l’extérieur me renvoie ce que je porte afin d’activer la puissance
du cœur, de l’amour, pour utiliser ces phénomènes de façon utile et bénéfique.
Dénoncer
les méchants manipulateurs de conscience à l’échelle mondiale, ceux qu’on
suppose vouloir éliminer une grande part de la population, c’est oublier que
chacun se manipule lui-même et que les mouvements de masse quel qu’ils soient,
bons ou méchants agissent souvent de la même façon, en espérant changer le
monde, l’autre, de façon à ce qu’il se conforme à ses propres attentes/besoins.
Puis
la loi d’attraction, le phénomène de projection, créent une autre forme de
manipulation qui est beaucoup plus insidieuse mais néanmoins aussi puissante.
Tant
qu’on ne réalise pas que nous sommes notre propre autorité, du moins que la
source en nous est la seule autorité à suivre, ou qui ait du crédit, le pouvoir
de nous élever, de nous révéler sa présence, sa lumière et son amour, on
recherchera en vain la sécurité auprès d’individu ou d’une élite qu’on pense être
plus apte à nous diriger, à nous guider.
Regarder
et interroger nos peurs dans le silence du cœur, dans le désir de connaitre la
vérité, de comprendre et d’aimer, nous ouvre les yeux et la compréhension.
La
peur de la mort qui a généré toutes les autres peurs et les stratégies de
survie, nous enseignent bien des choses lorsqu’on la reconnait comme légitime pour
l’humain vivant sur cette terre et identifié à la personnalité. Le personnage
qui par besoin d’appartenance se plie aux règles de la société, à ces croyances,
sans même les questionner, a nécessairement peur du lendemain, de lui-même et
de l’autre.
Les
croyances du monde et les lois sécuritaires qu’elles ont engendrées sont les
projections de ce que nous pensons de nous-même, de notre ignorance et de la peur
des pulsions qui nous traversent.
Parce que nous ressentons du désir, parce que
celui-ci nous fait peur puisqu’il est lié principalement à la sexualité et
considéré comme douteux, puisque nous sommes habitués à agir selon les désirs des autres, nous avons estimé collectivement que l’humain était un
animal pensant.
Un animal pensant, foncièrement mauvais, qu’il fallait éduquer
à coup de bâton, de punition et de récompense. Mais là encore, c’est la
projection grandeur nature de notre façon d’envisager autant les pulsions
sexuelles que les émotions qui peuvent nous submerger.
Nous avons peur de ces
sensations, nous ressentons le poids des croyances qui gravitent autour de la
sexualité, des convenances et des règles de bienséance. Règles qui sont au
final l’expression du déni, du refoulement, de la feinte et de l’hypocrisie.
On
pense que la liberté des mœurs nous a libéré du carcan de ces règles obtues
mais on ne fait que changer les codes, les étiquettes.
Dès
que nous apposons une étiquette à un objet, on l’enferme, on le limite.
Il en
va de même pour les individus et ce constat est appuyé par l’écoute du roman
« Oliver Twist de Charles Dickens.
Les personnages de l’époque étaient de
véritables caricatures et la pseudo science qui étudiait et définissait les
gens, leur caractère, selon leur faciès, la psycho morphologie, en était
l’application et l’aberration de ce système de pensée.
Même en y ajoutant la
graphologie, vouloir connaitre quelqu’un selon les apparences, c’est le
limiter, l’enfermer, le réduire et passer à côté de la réalité, celle de
la multidimensionnalité et de l’effet de l’environnement sur l’individu, des
interactions, du caractère mouvant de l’énergie, des pensées, des
émotions.
Maintenant
que la science étudie beaucoup plus de dimensions de l’individu, de façon
objective et sans vouloir systématiquement élaborer des catalogues ou des
classifications, on prend conscience du caractère unique et à la fois multiple
de l’être, de son aspect personnel et universel.
Les
progrès de la médecine dépendent d’une prise en compte holistique et unique de
l’individu mais comme cette vision ne correspond pas aux besoins des industries
pharmaceutiques et médicales, cela peine à se mettre en place.
Et d’un côté
c’est une très bonne chose parce que cela nous ramène à l’intérieur, à notre
potentiel, à nos multiples potentiels en matière d’auto guérison, de bien-être
et de réalisation.
Nous
ne sommes plus trop à l’heure des guérisons miraculeuses ou d’apparence
extraordinaire non pas parce qu’il n’y en a plus mais plutôt parce qu’on
comprend mieux les phénomènes de guérison et de santé.
Les mystères, les
sciences dites occultes et le pouvoir que cela donnait à ceux qui était
supposés en connaitre le sens, les processus, n’en sont plus vraiment.
A mesure
qu’on devient conscient de Qui nous sommes individuellement, collectivement et
comment nous sommes interconnectés, la chape de plomb qui engourdissait les
masses se révèle et se dissout.
En ce sens, les chemtrails sont la projection
de ce que nous vivons individuellement et collectivement. Autant parce que nous
utilisons de plus en plus de médicaments, de chimie, de molécules artificielles
que parce que nous voulons exercer le contrôle sur la vie même.
Ces épandages sont autant le reflet de notre
volonté de manipuler la vie, l’énergie, la nature, les éléments que de l’impact
de ce mode de fonctionnement. Le fait que ces épandages agissent à plusieurs
niveaux, endocriniens avec les fameux perturbateurs, élémentaires en ajoutant
des nanoparticules, des métaux, que sur les ondes, les fréquences…témoigne des connaissances très avancées des scientifiques, méconnues de la
majorité mais cependant accessibles soit à ceux qui sont curieux de savoir,
soit par la communion intérieure qui révèle les lois universelles et la nature
de l’énergie.
Alors
quand je vois des chemtrails dans le ciel, le laisse monter tout ce que ça
suscite comme réactions et je confie tout cela à la source en moi, au désir de
paix, de lumière, de savoir par moi-même.
Cette communion intérieure me guide
en toutes choses et à tout moment.
Non pas selon des croyances ou par des idées
mais par le ressenti par cet élan enthousiaste qui est l’expression pure et
silencieuse de la guidance interne.
Au début, j’avais un peu de mal à agir de
cette façon bien que j’en comprenais tout de même la portée au niveau
énergétique, vibratoire. Puis en suivant aveuglément mon intuition et avec le
recul, j’ai pris confiance par le constat des bénéfices qu’offrent cette
attitude.
Puis revenant sur l’idée de mort, de mon point de vue, c’est un
passage comme un autre, une transformation et non une fin. Selon la perspective
de la polarité vie/mort, redéfinir la vie et la mort est nécessaire mais
par-dessus tout, la question à se poser et à laquelle répondre est la suivante,
question posée par Coluche qui l’a peut-être emprunté à quelqu’un d’autre comme
a son habitude : « Y-a-t-il une vie avant la mort ? »
Qu’est-ce
que Je veux et qu’est-ce que je fais pour y arriver ?
Chacun tente de
répondre à ces questions primordiales mais la plupart du temps, c’est de façon
détournée et cela se pose en ces termes : qu’est-ce qu’on attend de
moi ? comment j’y parviens ?
Répondre à la question "qu’est-ce que Je
veux", c’est ce que l’accueil des pensées émotions nous révèle. Et c’est ce jeu
de questions/réponses dans la transparence et la sincérité qui fait émerger
l’être unique et authentique.
Ainsi plus de frustrations, d’envie, de
comparaison, de domination, de lutte, de prédation et d’insécurité. Juste la confiance en la vie, en soi et envers
les autres qu’on n’a plus besoin de changer pas plus que ce qui survient à
chaque instant.
Je
continue de réfléchir à l’idée de retourner auprès des êtres avec lesquels j’ai
le plus d’affinités et cette perspective élargit considérablement mon horizon.
La
seule idée de bouger, de retourner à mes racines, de changer de lieu de vie,
m’ouvre sur toute une gamme de potentiels nouveaux.
Je peux constater une fois
de plus la puissance des pensées, comment le fait de s’ouvrir à la guidance
intérieure et de se projeter mentalement, nourrit l’imaginaire, la créativité
et le sentiment de liberté.
C’est encore la conséquence des guérisons
intérieures et par conséquent avec l’extérieur. Là aussi, revenir sur mon lieu
de naissance totalement renouvelée, en paix avec le passé, c’est comme si je
bouclais la boucle. Une façon de revenir aux sources, le reflet du cheminement
intérieur.
Ceci dit, c’est juste une idée pour le moment mais déjà elle suscite
pas mal de questions/réponses et Internet participe à cela dans le sens où je
peux trimbaler mon bureau n’importe où, sans perte.
Cet outil favorise l’expansion de cœur et de conscience tant
qu’on n’en devient pas esclave…A l’image des multiples dimensions et connexions
auxquelles nous avons accès à l’intérieur, en un seul clic, nous pouvons
pénétrer des mondes totalement différents, des niveaux de conscience
diamétralement opposé, des énergies et des êtres de tous les temps, les lieux,
l’espace même et sentir leur fréquences.
1 09 J'ai été stupéfaite de constater l'impact douloureux physiquement d'un petit choc émotionnel. En entendant les chats se battre dehors, comme leurs cris semblent exprimer une douleur profonde et fatale, j'ai voulu me précipiter dehors et j'ai paniqué parce que je ne trouvais pas de quoi me couvrir étant donné que je passe ma journée en tenue très légère. Du coup, cela a ajouté au stress et j'ai senti mon cœur s'emballer fortement, mes jambes trembler. Je suis restée dehors quelques secondes le temps de les séparer puis je suis vite rentrée pour me poser et apaiser mon corps physique.
C'est incroyable d'être aussi sensible, j'ai failli me trouver vraiment mal, tomber dans les vapes!
D'un autre côté, ça semble logique puisque j'ai renoncé à bloquer les émotions et ce qui me rassure c'est que tout s'est apaisé en une ou deux minutes.
Je dois préciser que le fait d'être peu couverte dans la journée m'est nécessaire tellement les poussées énergétiques, les ajustements, affectent la sensibilité de la peau.
Je ne supporte pas de vêtements à cause des picotements réguliers et je suppose que c'est encore la conséquence logique de ce désir d'harmonisation qui demande d'exprimer librement les émotions refoulées. Puis symboliquement cette tenue minimaliste, c'est l'expression du dépouillement intérieur, le désir de pureté, de simplicité, de renaissance...
Les symptômes dits "d'ascension" sont encore nombreux et récurrents mais je ne cherche plus à savoir quand cela finira puisque ce qui est important à mon avis, c'est d'apprendre à revenir à la paix, l'harmonie, dans le détachement. Quand je me sens dépassée ou quand je trouve que c'est trop, je ne retiens pas ces pensées, je les confie à la source et cela m'apaise immédiatement.
Pouah! Les épandages sont tellement nombreux et permanents que ce matin, on ne voit pas le ciel mais juste une bande plus claire à l'est. On perd deux heures de luminosité!
Voilà encore une invitation à se tourner à l'intérieur...vers la lumière de la source en soi...
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l’intégralité, l’auteure et la source ; Lydia, du blog :
« Journal de bord d’un humain divin comme tout le monde » ou http://lydiouze.blogspot.fr