vendredi 9 décembre 2016

« Croitre en conscience et en confiance » & vidéos, « 5ème séance de reconnexion âmique » animée par Magali






Il semble qu’apprendre à se nourrir correctement, à ingérer, assimiler, intégrer, digérer et restituer, soit le but de notre existence, ce que nous faisons tout au long de notre vie. 
Dès l’état de fœtus, nous passons notre temps à porter à notre bouche les objets que nous rencontrons, nous goûtons la vie et tentons de nous remplir, sans cesse. 
On commence à mieux connaitre l’impact des vibrations tout comme la valeur énergétique des aliments. On comprend comment chaque être se nourrit dans l’échange, comment l’interaction est permanente, qu’elle soit visible ou invisible.

Le goût d’aller vers l’autre, d’échanger, de partager est naturel, vital même, mais très souvent par ignorance et par la sensation de manque, nous nous goinfrons, nous vampirisons les autres, notre environnement, avec une avidité croissante.

J’apprends en ce moment, à admettre le besoin vital de l’échange sans y voir une interdépendance forcément douloureuse. 
C’est clair que lorsqu’on va vers l’autre en étant rempli d’attentes, en espérant combler la sensation de vide et de solitude, on va nécessairement être frustré parce que tant qu’on ne réalise pas que tout commence en soi, tout dépend de la relation à soi, de sa qualité, on se sentira incomplet et en manque. 
C’est en même temps le désir de communion motivé par l’âme, le fait que nous soyons des êtres énergétiques, vibratoires, que nous soyons nés de la source Une, qui nous pousse à vouloir fusionner, échanger, contribuer. Et c’est aussi notre nature pulsionnelle, animale, le prédateur intérieur, cette soif inextinguible qui nous donne cet élan d’aller vers l’extérieur, à la rencontre de l’autre. 

jeudi 8 décembre 2016

« 6 manières de transformer les émotions en alliées » selon Jean Jacques Crèvecoeur





7 12 Je m’interroge ce matin à propos des égrégores, du monde astral et la question qui revient toujours c’est de savoir si ces mondes sont ‘réels’, si ce sont des ‘objets’ issus de la conscience source ou si ce sont des projections mentales des humains. 

Comme d’habitude, je pose la question en l’air et quelques pistes de réflexion surgissent tandis que je m’active dans les choses du quotidien. 
Déjà, au fond, que ce soient des projections mentales ou des objets issus de la conscience Une, de la source, l’origine est commune et il y a une réalité énergétique. 
Ce qui me pousse à faire la différence c’est que je connais l’ambivalence de l’humain qui lorsqu’il souhaite la justice, a tendance à vouloir éliminer ceux qu’il juge responsables des injustices. 
Déjà là, ce qui est produit, est tout à fait contradictoire tout comme le fait de souhaiter la paix en luttant contre ceux qui font la guerre. La vibration dominante n'est pas celle de la paix mais celle de la violence. 
Ce qui vient de la conscience humaine est duel ou polarisé, divisé en bien et en mal et à mon sens, l’évolution vers la sagesse, c’est de comprendre la force de l’unité, la puissance de l’amour, d’aller vers la conscience Une, l’être unifié, complet, et donc autonome à tout point de vue.
Puis l’idée que ce sont les rêves qui nourrissent ces mondes est venue.Tout comme au niveau individuel, le fait de rêver donne de l'espoir, une direction, sur le plan de l'énergie cela créé des égrégores équivalents.

mardi 6 décembre 2016

« Embrasser Tout ce que je suis et sentir la paix, l’unité, la tendresse »





"La vérité est ailleurs", oui, elle est au-delà de l’image, des apparences, elle est en soi, dans la relation intime et bienveillante à son univers intérieur. 
Dire qu’elle est ailleurs dans le sens d’extérieure n’est pas faux non plus puisque tout est conscience mais cela peut nourrir l’idée de séparation, le sentiment d’indignité, le déni, la quête d’un ailleurs, l’attente et les frustrations et très souvent, c’est dans le sens d’éloigné qu’on conçoit le divin. Et là encore il y a du vrai puisque la source est en toute chose, jusque dans les confins de l’univers.

Tout comme l’humanité dépense des sommes faramineuses, des ressources intellectuelles et beaucoup d’énergie pour aller visiter le cosmos, nous avons tendance à l’échelle individuelle à chercher les visions, le contact avec le monde astral, au lieu de se tourner vers l’intérieur. Au lieu d'apprendre à percevoir toutes les dimensions de l'être et ainsi à constater que les anges, les guides, l'âme, sont des aspects de nous-même.

On fuit l’inconfort, la réalité cruelle et routinière du quotidien, on souffre de nos incompréhensions, on rejette les aspects intérieures en souffrance ou malaimés, l’enfant qu’on a été lorsque celui-ci a souffert de manque, on cherche l’amour auprès d’un conjoint, afin de combler le vide intérieur, l’insécurité.

On pressent que nous sommes plus que ce que nos yeux nous révèlent et pourtant c’est à l’extérieur qu’on place le divin, on croit qu’il nous faut mériter son amour, le prouver par des postures, des prières, des sacrifices, par un comportement sensé nous rapprocher de dieu. 
Ce qui nous empêche de sentir la source, l’amour et la lumière que nous sommes, ce sont toutes les croyances, les conditionnements et les stratégies de survie et avant toute chose cette croyance en la séparation.

lundi 5 décembre 2016

« Nouvelle Vague »





Je pensais que je pourrais me reposer après la vague de remontées émotionnelles de la semaine passée mais les téléchargements et les mises à jour continuent. 
Cette récurrence dans la réception de vagues de lumière qui font remonter les schémas sclérosants à la surface, donne la sensation de ne pas avoir de répit mais en fait, ça m’aide à ne pas m’encroûter, à rester vigilante et à prendre les choses avec toujours plus de légèreté. 
D’ailleurs, j’ai commencé la journée en écoutant et en jouant de la musique, sans aucune retenue juste en suivant l’élan de l’instant, le désir de vivre pleinement et de me placer sur les fréquences qui rendent la vie belle. La pluie depuis hier et le ciel gris cachent la lumière mais c’est une occasion de laisser briller le soleil intérieur, de laisser la source harmoniser le mental émotionnel.

Comme je ne bloque rien, comme je ne m’arrête sur aucune pensée émotion, tout est fluidifié, facilité et le seul objectif de la journée, c’est de nourrir la joie de vivre.

Les règles me donnent la sensation d’avoir subi une purge intérieure pendant 24h, un renouvellement, une régénérescence et j’ai pu constater à nouveau l’efficacité du lâcher prise face à la douleur. Je ne me souvenais plus de ces douleurs spécifiques et comme je n’ai pas cherché à comprendre pourquoi ça venait subitement ni comment c’était possible que j’aie en même temps des bouffées de chaleur, je n’ai pas souffert du tout.

samedi 3 décembre 2016

« Tout est possible » & Entretien avec Marc Auburn





Ce matin, je suis étonnée de constater que j’ai mes règles. Depuis 3 ou 4 ans, je suis entrée dans la phase de ménopause et je goûte "les joies" des bouffées de chaleur qui à mon sens, sont des manifestations de l’énergie de vie qui se déploie dans le corps physique au lieu d’être cantonnée dans les ovaires. 
D’ailleurs le fait que l’énergie de vie, du désir soit consacrée à la fabrication de l’œuf puis que cet œuf ne soit pas fécondé, peut expliquer que dans ces périodes on se sente affaiblies, vulnérables et parfois déprimées. C’est tout le cycle du vivant qui se manifeste en nous, de la création à la mort, du désir à sa manifestation ou non. 
Cela peut éveiller toutes sortes de mémoires, de peurs, de questions existentielles. 

L’idée de ne pas avoir d’enfant est venue mais en l'offrant à la source, en lui confiant toutes les pensées de frustration ou en considérant cela de façon neutre, une autre vision plus positive, objective, est apparue. 
Celle du potentiel de renaissance offert dans cette incarnation et la certitude que ce choix de l’âme correspond tout à fait à celle du vrai moi. 
Cet alignement intérieur, cette unité des corps, cette communion avec l’âme vaut bien la relation parent/enfant. Elle en est l’origine, la quête et le potentiel de réalisation de l’être unifié. N’est-ce pas là un choix merveilleux ? En tous cas, il me réjouit autant qu’il me motive à être et à connaitre tout ce que je suis, à persévérer en cette voie de reconnaissance, de retour à la maison, à l’unité et l’harmonie.

Plus je suis dans l’accueil des pensées, émotions, dans la neutralité et moins ces bouffées de chaleur, que j’associe aux montées d’énergies, de l’énergie de vie, du désir, sont violentes. Ces derniers temps, cela s’était stabilisé et les symptômes des menstruations sont apparus mais j’ai pensé que c’était un problème rénal qui générait des douleurs à cet endroit.
Je ne m'attache plus aux croyances, anciennes ou nouvelles, je reste ouverte parce que les réponses viennent lorsqu'on est dans cet état de réceptivité, sans attentes mais juste dans la certitude d'être entendue, comprise et de pouvoir recevoir des réponses.

vendredi 2 décembre 2016

« Les miracles » Magali/Miriadan & « la fraternité atomique » Nicole Ferroni





Nous avons été conditionnés par bien des croyances. 
Le terme "croyance" est déjà en lui-même un symbole de limitations, car une croyance est déterminée par des cadres, qu'ils soient culturels, religieux, politiques, scientifiques ou amoureux. 
Une dimension est elle-même un cadre de croyances. 
Elle nous offre des repères grâce auxquels nous apprenons et évoluons. 

Une croyance est un espace d'expérimentations dans lequel nous mettons la théorie en pratique.
Notre vie est une croyance. 
Nous sommes nous-mêmes une forme définie par une géométrie et un son précis, respectant les lois inhérentes de l'univers qui nous accueille. 

Où que nous regardions, quoi que nous fassions, qui que nous soyons, nous demeurons dans des limites. L'évolution nous fait changer de repères, élargit notre champ de vision, expanse notre perception, mais conserve des bordures dans un objectif : nous sécuriser, préserver une Cohérence.

« La pensée, l’émotion, c’est de l’énergie qui a besoin de circuler librement » & « 45 sec. d’Éternité » Nicole Dron








1 12 Depuis que la voiture est en panne, je suis obligée de sortir de ma routine et de trouver des solutions pour assumer le quotidien. Mais je ne tente pas de résoudre les choses mentalement, selon mes vieilles stratégies. J’ai focalisée mon attention sur le "travail émotionnel" puisque tout dépend de l’énergie, de sa fluidité et je constate combien le lâcher prise est formidable, comment le seul fait d’apprendre à se détendre, à se détacher des pensées et des émotions, facilite la vie.

Je savais que la visite de ma sœur aurait des répercussions à tous les niveaux de l’être, puisque sa présence éveille la mémoire traumatique et ses stratégies de fuite, mais je me suis contentée d’observer, de répondre à l’élan de l’instant sans m’attacher aux pensées, aux émotions. J’ai parlé de temps en temps à l’enfant en moi mais j’ai plus été dans le ressenti et surtout le lâcher prise, la respiration abdominale, calme, profonde. Abdominale parce que j’ai la sensation que le ventre est le siège des émotions et qu’en le gonflant à l’inspiration, l’énergie est comme brassée.  

Déjà, quand on ne tient pas trop compte des pensées qui émergent continuellement, quand on peut calmer le mental en ne croyant simplement pas tout ce qu’il exprime, l’énergie n’est pas enfermée dans ce corps, la circulation est plus fluide.

L’erreur qu’on fait souvent, c’est d’essayer de s’accrocher à des croyances et de vouloir convaincre le mental qu’il a tort de nourrir des pensées négatives ou encore d'essayer de comprendre quelque chose qui est de l'ordre du ressenti.