Il
semble qu’apprendre à se nourrir correctement, à ingérer, assimiler, intégrer, digérer et restituer, soit le but de notre existence,
ce que nous faisons tout au long de notre vie.
Dès l’état de fœtus, nous
passons notre temps à porter à notre bouche les objets que nous rencontrons,
nous goûtons la vie et tentons de nous remplir, sans cesse.
On commence à mieux
connaitre l’impact des vibrations tout comme la valeur énergétique des
aliments. On comprend comment chaque être se nourrit dans l’échange, comment
l’interaction est permanente, qu’elle soit visible ou invisible.
Le
goût d’aller vers l’autre, d’échanger, de partager est naturel, vital même,
mais très souvent par ignorance et par la sensation de manque, nous nous
goinfrons, nous vampirisons les autres, notre environnement, avec une avidité
croissante.
J’apprends
en ce moment, à admettre le besoin vital de l’échange sans y voir une
interdépendance forcément douloureuse.
C’est clair que lorsqu’on va vers
l’autre en étant rempli d’attentes, en espérant combler la sensation de vide et
de solitude, on va nécessairement être frustré parce que tant qu’on ne réalise
pas que tout commence en soi, tout dépend de la relation à soi, de sa qualité,
on se sentira incomplet et en manque.
C’est en même temps le désir de communion
motivé par l’âme, le fait que nous soyons des êtres énergétiques, vibratoires,
que nous soyons nés de la source Une, qui nous pousse à vouloir fusionner,
échanger, contribuer. Et c’est aussi notre nature pulsionnelle, animale, le
prédateur intérieur, cette soif inextinguible qui nous donne cet élan d’aller
vers l’extérieur, à la rencontre de l’autre.
Nous sommes mus par l’énergie du
désir, la soif d’être, de fusionner, de communier et tout cela s’exprime de
façon impulsive, compulsive, inconsciente, tant que nous ne nous connaissons
pas entièrement ou au moins globalement.
Cette
vidéo qui montre le miracle de la création en l’espace de 4 minutes, raconte
l’histoire de l’humain, de son évolution à travers les siècles, de sa
croissance et toutes les étapes de ce cheminement vers la naissance.
"La croissance de l’embryon, de 0 à 9 mois", de la course des spermatozoïdes à la délivrance...
Quand
on voit ces images, quand on voit la complexité et la perfection du processus,
on peut s’imaginer comment il peut être difficile d’expliquer ce miracle de la
vie. Comment l’âme, les guides ou les êtres plus conscients de ce qu’est la
vie, l’humain, le divin, se trouvent devant cette difficulté à transmettre la
vérité de la création. Puis selon le mode de communication de l’âme et les
filtres de ceux qui reçoivent les visions, comment les interprétations peuvent
être aussi variées.
La
ressemblance entre l’infiniment petit et l’infiniment grand est aussi frappante
au travers de ces images. Cette ressemblance pourrait expliquer les
interprétations tellement variées de notre environnement, de notre constitution,
de l’évolution de l’humain, et de notre conception du divin.
La façon dont le
fœtus passe par tous les stades de la cellule à la naissance en prenant toutes
sortes de formes reflète la
création entière, les créatures de cette planète, les règnes, les forces qui régissent la vie. Selon la personne
qui reçoit l’info, selon ce qu’elle a vécu et sa façon de voir le monde, selon
son ouverture de cœur et de conscience, elle aura une interprétation subjective
de la réalité.
C’est ce qui à mon sens demande de recouper l’info, de puiser
dans tous les domaines de connaissance et d’en faire une synthèse en utilisant
la résonance du cœur.
C’est aussi ce qui me pousse à croire que chacun dit
vrai puisque c’est sa vision personnelle des choses, sa façon unique de retranscrire
l’info.
En se référant à son propre ressenti, son expérience et la résonance
interne on trouve une vision commune.
Ce spectacle extraordinaire de la
conception, de la création d’un humain détient toutes les connaissances, tant
dans les formes que dans les forces, les énergies qui régissent ce mouvement.
La
force qui anime les spermatozoïdes est la même que celle qui fait croitre la
graine, qui fait tourner les planètes et grandir l’humain. On peut comprendre
que chacun est une bibliothèque vivante et tout le potentiel à notre
disposition.
J’ai relu les enseignements à propos de notre constitution, reçus
par Magali, pour me remémorer l’être sublime et infiniment complexe que nous
sommes.
Le
fait qu’un seul spermatozoïde pénètre l’ovule me fait penser aux individus en
quête de lumière, de vérité et de fusion, au faible pourcentage de personnes
qui s’en soucie ou pour qui c’est essentiel. On retrouve toujours le même
mouvement de fusion et de division, d’attraction et de rejet, la même pulsion
du cœur qui rythme l’ensemble. Ce mouvement perpétuel de l'intérieur vers l'extérieur et inversement. Et c'est la façon dont on se situe en ce mouvement, la direction qu'on prend, le point depuis lequel on rayonne, la capacité à se situer au centre, de rayonner l'amour lumière librement, d'agir avec fluidité qui va déterminer notre état d'être, la qualité de notre vie.
Nous
sommes dans la phase sublime, de connaissance, de reconnaissance, de
renaissance ou de résurrection. Cette renaissance est intérieure, tout comme
pour la formation de l’embryon, l’organe majeur, celui qui précède les autres, qui
orchestre l’ensemble et dans lequel l’étincelle de l’âme se loge, c’est le
cœur.
Ce n’est pas par hasard si c’est cet organe qui se forme avant tout,
avant le cerveau et en même temps que la colonne vertébrale.
La structure et
l’essence sont la base et cette colonne porte les chakras, la reliance entre le
ciel et la terre, entre l’âme de la terre et l’âme céleste. Le pont entre
l’humain et le divin, cette colonne centrale dont le cœur est la porte, le
carrefour, nous relie à tous les niveaux et avec tous les êtres, toute la
création.
Les chakras qui sont des portes vers les mondes éthérés, les mondes
de la projection des pensées, des émotions, des sentiments, de la communication à différents
degré, nous relient aux égrégores, aux mondes de toutes dimensions, à toutes les
âmes, à la conscience Une.
C’est vertigineux et on peut comprendre que ce
voyage, cette incarnation soit importante parce qu’on s’ouvre de plus en plus
vers l’extérieur à partir de l’intérieur.
Il fallait que l’humain soit capable
d’entendre, de recevoir l’info, la lumière, de pouvoir l’interpréter avec
justesse. Toute l’évolution de l’humanité peut être comparée à un chemin qui va
du ciel à la terre et de la terre au ciel, de chakra en chakra, de monde en
monde.
Nous avons expérimenté la matière, la descente dans la chair et l’oubli
pour connaitre de l’intérieur, pour apprendre à aimer, pour connaitre par
l’expérience et retrouver l’essence de ce que nous sommes.
Nous avons aimé
comme des bêtes par instinct de survie puis les sentiments se sont ajoutés, les
émotions ont amené la passion, le raffinement des pensées, la compréhension de
soi, des autres, de notre environnement.
Nous avons ouvert notre cœur et notre
conscience petit à petit, d’expérience en expérience, de générations en
générations et nous sommes maintenant mûrs, capables d’aimer sans conditions, de
choisir la paix, la fraternité.
Ce film, bien qu’il date un peu, m’a touchée
parce qu’il a été réalisé après la dernière guerre et le message qu’il portait
à l’époque est toujours d’actualité. Il démontre l'intelligence du cœur et voir Bernard Blier dans ce rôle atypique, participe au changement de vision au sujet du masculin. Ce n'est pas par hasard si l'élan m'a porté vers ce film.
Je continue de suivre la guidance et d'utiliser les films pour sonder mes émotions, et les laisser s'exprimer librement. Je peux mesurer ainsi mon degré de sensibilité, ma capacité à lâcher prise, à ne pas bloquer une émotion dite indésirable.
« L’École Buissonnière » 1949 Bernard
Blier
On
apprend de l’expérience, en passant par la souffrance et on espère transmettre
la sagesse qu’on en a tirée afin que les générations futures souffrent moins,
qu’elles soient plus éclairées, avisées.
Mais on fait continuellement les mêmes
erreurs parce que tant que chacun ne vit pas en son cœur ce retournement de
conscience, tant qu’on n’instaure pas d’abord la paix en soi, tant que la
majorité continue de se faire violence, le monde ne peut pas s’installer dans
la paix.
Mais
quand on sait que nos actes ont une portée vibratoire infinie, quand on connait
le pouvoir de l’amour, de l’intention, du rêve, quand on se détache de la
personne, quand on se positionne dans le cœur, la notion de temps disparait. A mesure qu'on lâche prise, on se libère de la pression, du sens du devoir, des obligations parce qu'on sait qu'on ne peut rien contrôler, qu'en se laissant guider, porter par le flux de la vie, on est exactement au bon endroit, au bon moment, dans la justesse.
On
ne s’inquiète plus de savoir si le monde va basculer dans une autre dimension
parce qu’on comprend que notre pouvoir, notre contribution au monde se situe
dans la vibration qu’on rayonne, à chaque instant.
On
ne peut forcer ni contraindre les humains à aimer, à vouloir vivre en paix,
c’est à chacun de nourrir ce désir et de le manifester. La sagesse ne vient pas
non plus par les livres, la croissance ne peut pas être forcée. Elle vient de
l’intérieur, dans l’abandon à la source, l’unité des corps, l’union entre
l’intuition et l’intellect. Dans la capacité de voir en l’expérience, la
lumière qu’elle contient et l’expansion qu’elle amène tant au niveau de la
conscience que dans la capacité d’aimer.
Je
continue d’être fascinée par la vidéo qui contient tellement d’infos qui
stimulent l’imaginaire et font apparaitre des images, des associations d’idées,
des comparaisons, des ressemblances.
C’est
hallucinant de pouvoir contempler la lumière qui pénètre les neurones, comment
les impulsions électriques amènent les infos. Ce qui me frappe aussi c’est la
lumière dans le cordon ombilical et le parallèle qui peut être fait entre ce
cordon qui relie le fœtus à la mère et la fameuse corde d’argent qui relie
l’humain à l’âme.
Depuis
la genèse, on se nourrit de lumière et son intensité varie selon les connexions
que nous favorisons, selon les êtres avec lesquels nous entrons en résonance.
Il y a toujours un échange et à mon sens, être adulte ou responsable c’est être
conscient de qui nous sommes, c’est pouvoir passer de la dépendance à notre
mère, nos parents, à la communion avec l’âme. C’est se détacher de l’humain, de
son passé, de ce qui est superficiel pour s’ancrer dans la vérité de l’être. C'est se nourrir, s'abreuver à la source. C’est
être capable de choisir, de faire des choix qui nous élèvent qui nourrissent
tout notre être, des choix qui sont motivés par notre cœur.
C’est être ouvert
afin de recevoir la lumière, l’amour de notre âme et être dans la paix et
l’unité intérieures pour en comprendre le sens, pour traduire ces infos en
gestes bienveillants. C’est pouvoir laisser la source, l’énergie de vie
circuler librement et nourrir chaque corps, chaque chakra, pour aller de
l’intention à la manifestation de nos désirs dans la matière, dans la chair.
Des désirs qui respectent la vie, tant celle que nous portons que celle de
notre entourage, notre environnement.
C’est
clair que cela ne se fait pas en une vie mais lorsqu’on suit cette direction,
lorsqu’on suit son cœur, lorsqu’on est dans la communion avec l’âme, dans
l’unité et l’harmonie intérieures, on comprend que tout ce qui est acquis,
compris, intégré, demeure inscrit dans les gènes, dans l'âme, se transmet, et que ça nourrit l’ensemble au-delà du temps et de l’espace.
En
embrassant le « Je », en s’aimant, en s’acceptant en totalité on va
au-delà de la personne dans un espace où la notion d’individu devient celle de
l’unité, de l’union.
Les frontières ne sont plus des limites, le corps n’est
plus une prison, il est le véhicule de l’âme et potentiellement rayonneur
d’amour et de lumière. Quand on reconnait cette essence qui nous anime, qui est
la reliance à la source, la source elle-même, on apprend à la laisser rayonner
en soi et au-delà.
Je
ne crains plus autant d’être dépendante des autres puisque je reconnais que la
vie, la croissance d’un individu est faite d’échanges, que je suis toujours
connectée aux autres au niveau subtil. Quand que je confie à mon âme toutes mes
peurs, mes doutes, par cette communion ressentie et quand je me laisse guider
par l’élan du désir, par l’enthousiasme à passer à l’action, l’interdépendance
première est en cette confidence qui me libère des conditionnements fondés sur
la peur de l’autre.
L’autre est une émanation de l’âme, de la source et quand
je prends le recul suffisant, il n’est plus une menace, il est un frère, une
sœur, un compagnon de route. Nous nous servons mutuellement dans un juste
équilibre selon les directives de l’âme.
J’ai envie de faire la 5ème
séance de reconnexion âmique proposée par Magali, depuis quelques jours mais il
y a encore des résistances. Je me sens poussée à le faire mais je ne force
rien, j’attends que l’élan se manifeste naturellement et déjà, j’offre à la
source ces craintes.
La méfiance instinctive envers l’autre est inscrite dans
la mémoire, les gènes et elle a été fortement activée durant l’enfance mais ce
n’est pas parce que j’ai conscience que l’autre est un frère, une sœur, que ça
suffit à lâcher les peurs.
C’est toujours en confiant à la source ce que cela
fait émerger, que les programmations se dissolvent ou ne s’activent plus dans
cette situation précise.
9/12 Je me suis laissée totalement guidée par Magali dans la 5ème séance, en n'intervenant pas mentalement et ce fut une expérience très intéressante qui semble porter ses fruits. Déjà, le fait de nourrir la confiance en l'autre et de s'ouvrir, de se laisser guider, constitue une progression puisque c'est dans l'ouverture et l'échange qu'on grandit. Je n'aurais pas fait cela si je n'avais pas eu confiance en Magali et même si je ne vois pas ce qu'elle voit, je ne doute pas de son intégrité. Ce qui ne veut pas dire non plus que je crois tout ce qu'elle dit.
Croire est subjectif et ça n'est pas sur une croyance que je veux m'appuyer.
Je me fie à ce que me dit mon cœur, à la résonance, à l'élan spontané libéré de la peur, de la méfiance, sachant que l'autre éveille en moi certains programmes selon son genre, son âge, son apparence, ma vision de la personne, mes propres croyances et conditionnements. Certaines relations sont d'emblée perçues, ressenties, vécues, d'âme à âme et même si ça pourrait s'expliquer, je ne cherche pas à savoir ce qui me pousse vers elle ou encore à lui faire confiance. Je me réjouis de cette connexion transparente, au-delà des apparences et utilise les réactions qu'elle suscite pour libérer les programmes invalidants, inhérents à l'humain.
Il y a de vieux schémas relatifs aux relations dont chacun peut faire l'expérience comme la jalousie entre femmes, les jeux de séduction, les manipulations, le désir de dominer l'autre. Ce sont des programmes inconscients qu'on désactive toujours de la même façon, en étant conscient de cela et en choisissant de confier tout ce qui émerge à la source, à l'amour lumière en soi.
« 5ème Séance de Reconnexion Âmique » Magali
Magdara
Le
deuxième point positif de ces séances, en plus de l'ouverture à l'autre
et de la confiance qui grandit, c'est le fait d'élargir le champ de
connaissance, donc de confiance, d'amour, au corps physique, à son
intelligence. Je ne doute pas du tout que cette magnifique création qu'est le corps physique, soit régit par l'intelligence pure, qu'il soit conscient et sachant le nombre de dimensions qu'il porte, le fait qu'il soit traversé par les énergies, connecté de toutes parts, il semble logique que cet organisme soit gérés par toute une équipe.
L'air et le feu qui nous habitent, nous traversent, sont intelligents et rencontrer ces "êtres", même si c'est virtuellement, c'est nourrir la conscience, la confiance. Ne plus voir ce que nous sommes, ce que nous pouvons ressentir, comme des ennemis, des objets indésirables mais comme des êtres et des forces intelligentes, bienveillantes, rétabli l'ordre, l'harmonie et l'amour, la reliance en soi, avec tout ce qui est.
Ces séances sont donc l'occasion de porter un nouveau regard sur soi, sur le corps physique, les corps subtils et de s'ouvrir en conscience à toute cette complexe organisation. C'est une façon de prendre conscience que notre corps est un univers qui interagit sans arrêt avec son environnement, qu'il se nourrit d'échanges, de lumière et d'amour et que tout cela se réalise dans l'harmonie, sous le regard et l'action bienveillante de l'âme.
L'amour c'est l'échange, la reliance entre les êtres, un mouvement de cœur à cœur, entre deux consciences et quand on sait que les cellules se nourrissent dans l'échange, que tout notre être est dans cette dynamique, cela change notre conception de l'amour.
Je ne perçois pas encore les bénéfices de cette séance mais je sens que cela a permis une expansion de cœur, de conscience. J'ai la sensation qu'un saut quantique ou une élévation vibratoire s'est effectuée créant comme d'habitude en pareilles circonstances, un ajustement et donc des changements intérieurs.
J'ai eu du mal à m'endormir hier soir mais plutôt que de nourrir la peur en me disant par exemple que j'avais été manipulée, j'ai confié toutes les pensées à la source et suis restée focalisée sur le cœur, dans la confiance, le sentiment d'avoir fait quelque chose d'important dans mon évolution. L'évolution pour moi étant l'expansion de cœur, de conscience, la confiance en soi, en la vie et aux autres. La capacité d'aimer sans conditions et de rayonner cette vibration dans toutes les sphères de l'être.
Je suis très enthousiaste ce matin, dans l'action, et la joie de recevoir une âmie ce soir y est sûrement pour quelque chose. Là encore, dans ce constat et selon la vibration qui me porte, le fait de me réjouir de cette visite me montre combien la confiance en l'autre augmente. Il n'y a pas de pensées de peur, de doute, d'anticipation, aucun stress, juste de la joie.
C'est à mon sens une vibration tout comme celle de la liberté qui donnent tout son sens et sa grandeur à l'humain. Une mission grandiose et la seule réussite qui vaille la peine parce que lorsqu'on peut vibrer la joie au quotidien, en conscience, en étant lucide quand à l'état du monde, sans que cela ne vienne affecter notre état d'être, tout est possible, permis et donc réalisable.
Je suis tellement portée par l'élan de la joie, dans le mouvement fluide que j'en ai oublié de prendre le reste de médicaments. Ce geste devient de plus en plus obsolète parce que la vibration s'élève, l'empathie et l'hypersensibilité sont harmonisées, équilibrées, dans la libre expression des émotions. Le besoin de se protéger de l'extérieur se dissout à mesure que je fais la paix avec mes pensées, mes émotions, les mondes intérieurs. Lorsque la confiance en soi, en la source, grandit, elle rayonne en direction des autres aussi, simultanément.
Je suis tellement portée par l'élan de la joie, dans le mouvement fluide que j'en ai oublié de prendre le reste de médicaments. Ce geste devient de plus en plus obsolète parce que la vibration s'élève, l'empathie et l'hypersensibilité sont harmonisées, équilibrées, dans la libre expression des émotions. Le besoin de se protéger de l'extérieur se dissout à mesure que je fais la paix avec mes pensées, mes émotions, les mondes intérieurs. Lorsque la confiance en soi, en la source, grandit, elle rayonne en direction des autres aussi, simultanément.
Cela démontre encore la puissance de la vibration et le fait qu'elle détermine tout, qu'elle soit illimitée, infinie, dans son rayonnement.
A mesure que je comprends comment fonctionne la vibration, dans quel sens elle opère, de l'intérieur vers l'extérieur et comment elle est essencielle, quelle est sa puissance, je comprends mieux les notions de lâcher prise, d'abandon, de confiance, d'échange et de grâce. Le fait qu'on ne puisse pas la contrôler mais que tout dépende de nos choix, de ce sur quoi nous focalisons notre attention, de notre positionnement. Cela renforce ma vision au sujet de la liberté, de la libération et des besoins qu'on nourrit dans la confidence, la confiance envers la source...
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l’intégralité, l’auteure et la source ; Lydia, du blog :
« Journal de bord d’un humain divin comme tout le monde » ou http://lydiouze.blogspot.fr