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12 Je m’interroge ce matin à propos des égrégores, du monde astral et la
question qui revient toujours c’est de savoir si ces mondes sont ‘réels’, si ce
sont des ‘objets’ issus de la conscience source ou si ce sont des projections
mentales des humains.
Comme d’habitude, je pose la question en l’air et
quelques pistes de réflexion surgissent tandis que je m’active dans les choses
du quotidien.
Déjà, au fond, que ce soient des projections mentales ou des
objets issus de la conscience Une, de la source, l’origine est commune et il y a une réalité énergétique.
Ce qui
me pousse à faire la différence c’est que je connais l’ambivalence de l’humain
qui lorsqu’il souhaite la justice, a tendance à vouloir éliminer ceux qu’il
juge responsables des injustices.
Déjà là, ce qui est produit, est tout à fait
contradictoire tout comme le fait de souhaiter la paix en luttant contre ceux
qui font la guerre. La vibration dominante n'est pas celle de la paix mais celle de la violence.
Ce qui vient de la conscience humaine est duel ou polarisé,
divisé en bien et en mal et à mon sens, l’évolution vers la sagesse, c’est de
comprendre la force de l’unité, la puissance de l’amour, d’aller vers la
conscience Une, l’être unifié, complet, et donc autonome à tout point de vue.
Puis
l’idée que ce sont les rêves qui nourrissent ces mondes est venue.Tout comme au niveau individuel, le fait de rêver donne de l'espoir, une direction, sur le plan de l'énergie cela créé des égrégores équivalents.
La
puissance des égrégores est indéniable et on peut voir comment l’élite utilise
ceux du pouvoir, de la domination, de la séduction, de la conviction et de la
prédation pour parvenir à ses fins. On fait la même chose au niveau individuel
lorsqu’on veut exercer le contrôle sur les pensées et les émotions.
De la même
manière, on peut sentir le soutien de personnages/énergies tels que Jésus, Bouddha,
Marie…
Le souci, c’est que ces égrégores sont parasités par des sentiments, des
énergies de lutte et quand on s’y connecte avec l’idée de trouver un sauveur
qui viendra écraser les méchants, celle d’être privilégié, élu de dieu, on
nourrit tout ce qu’on ne veut pas consciemment, on tente de remplir le manque
en soi.
J’en
reviens toujours à l’idée que chercher la neutralité, la paix en soi, nous connecte aux
mondes correspondants et la force des rêves vient aussi comme une évidence.
Mais des rêves innocents, des rêves d’enfant qui croit que tout est possible,
des rêves de paix, de fraternité, des rêves de joie, de partage, d’échange.
Quand on rêve, quand on réalise ses rêves, on participe à l’élévation de
conscience. Chaque fois qu’on est dans la paix, la joie, l’authenticité, la
spontanéité : l’élan qui vient du cœur, on nourrit l’humanité de belles
énergies qui élèvent tout le monde.
Chaque personne qui exprime ce que porte
son cœur, en toute innocence, dans la pureté des sentiments, rayonne quelque
chose de bénéfique pour l’ensemble.
Une écriture vient aussi me confirmer cette
vision : avant de prier ton père, « réconcilie-toi avec ton
frère. » En ces quelques mots,
réside la clef de la prière, la force de l'intention, des émanations, la nécessité de purifier
sa vibration, ses pensées, ses émotions.
Et bien évidemment le résultat qui
s’ensuit est lié à ce qu’on porte et pas à ce qu’on dit. L’enfer est pavé de
bonnes intentions décrit aussi ce processus parce que lorsqu’on pense aider
l’autre, très souvent on est plus dans le besoin de le changer pour se sentir
mieux, on exerce une forme de contrôle à vouloir le convaincre qu’on a raison,
on finit par être déçu qu’il ne change pas et on devient le persécuteur on va
l’accuser de ne pas avoir assez de volonté, d’être indécrottable…
Ce
chant exprime à mon sens, la vibration de l’unité, de l’harmonie, à merveille
et je suppose que ce qu’il émet sert l’humanité.
Amazing Grace - Peter Hollens feat. Home Free
Je
reviens à la force de certains personnages comme Jésus ou Bouddha qui ont
véhiculé, porté le message de l’amour inconditionnel et c’est ce qui a fait
leur force, ce qui donne de la puissance à ces égrégores d’amour pur. Ils ont
rêvé le monde et on vécu selon ce rêve d’amour, de paix, de fraternité puis
tout ceux qui ont été touchés par cette vibration, par l’amour sans conditions,
la soif de vérité, la pureté de l’enfant, on nourrit et continuent de nourrir
cet égrégore.
Je
ne parle pas du Jésus des églises bien que certains croyants aient un cœur pur
mais les institutions sont pourries, par principe, puisqu’elles se posent en
intermédiaire, en sauveur, en prédicateurs…et leurs méthodes d’évangélisation
ont montré la vibration qui les porte.
Quand
je me connecte en conscience aux êtres de lumière, je reconnais seulement le
fait qu’au niveau astral, éthérique, énergétique, nous soyons reliés et par le fait qu'en portant la vibration du coeur, je suis connectée en conséquence.
D’ailleurs, la plupart du temps, je me contente de leur faire un coucou quand
je vois des chiffres miroir.
J’hésite souvent à demander leur soutien parce que
le risque de penser que l’autre peut me sauver, de rester assisté et de ne plus
agir intérieurement est encore là.
Tout est toujours dans l’équilibre, le juste milieu parce que c’est
clair que seul on n’est rien.
On n’est jamais vraiment seul et ça c’est la
bonne nouvelle surtout quand on sait que nous sommes composés de multiples
corps, aspects intérieurs et quand on sait que l’énergie, la vibration n’a
aucune limite qu’elle entre en résonance avec les mêmes fréquences.
Il serait
insensé de croire qu’on soit les seules formes de manifestation de la vie
surtout quand on voit la diversité des règnes sur la planète mais encore
faut-il avoir purifié les filtres du mental émotionnel pour y voir clair et
comprendre ce que sont ces dimensions éthérés et les êtres qui les peuplent.
En
ce sens, savoir gérer ses pensées et ses émotions est indispensable.
Et c’est à
mon sens l’intérêt de ces mondes invisibles qui nous renvoient à nous-même, par
effet miroir.
Je
viens d’exploser de colère en voyant que j’ai merdé avec la machine à
laver ! Elle se remet en position habituelle, c'est-à-dire 60° quand on
l’a éteint et qu’on la rallume. Je n’ai pas fait attention à ça et les fringues
en laine risquent d’être rétrécies.
Il n’y a rien de plus énervant que de
constater qu’on manque d’attention et c’est toujours la raison pour laquelle on
fait des erreurs qui peuvent être dramatiques.
Être présent à soi-même ça
s’apprend et quand on a passé sa vie à vouloir fuir, c’est un sacré
challenge ! Si je parle de ça c’est parce que ce genre de situation est
une occasion de mettre en pratique le fameux lâcher prise, mais ça demande de
tout vider, de ne rien retenir, de ne pas en rajouter.
J’ai donc vidé ma colère
et laissé le mental extérioriser les pensées critiques au sujet de ce manque de
concentration, de présence. Je me contente du fait de ne pas nourrir les
critiques, sans les nier, sans avoir peur d’attirer des énergies similaires,
tout en sachant que je suis toujours reliée aux énergies que je rayonne.
C’est
cela qui donne la sensation d’amplification, d’avoir l’impression de ne rien
pouvoir maitriser et d’être submergé.
Quand on le sait, on aura tendance à
retenir les pensées émotions négatives mais en agissant de cette façon, on est
encore dans des vibrations duelles et conflictuelles.
La pensée tout comme
l’émotion, sont spontanées et on ne peut pas les contrôler.
La seule chose et
non des moindres qu’on puisse faire, c’est de les harmoniser, de se souvenir
que notre cœur, le fait de se centrer et de ne rien contraindre va fluidifier
l’énergie et stabiliser le mental émotionnel, amener la vibration au point
zéro.
C’est comme si on mettait les compteurs à zéro lorsqu’on laisse la source
en soi gérer ces explosions. Bon c’est le moment de respirer profondément,
d’inspirer avec le ventre
Ce
n’est pas par hasard si je suis tombée sur cette vidéo de Jean Jacques
Crèvecoeur :
J’ai
fait un petit résumé de la vidéo pour ceux qui n’auraient pas le temps ou l’envie
de la voir mais aussi pour me remémorer l’essentiel, pour habituer le mental à
lâcher prise, à ne plus contenir les émotions simplement parce qu’il les
reconnait comme des outils de création et plus comme des objets indésirables
qu’il faut sélectionner. J'y ai ajouté quelques idées personnelles...
Les
démarches scientifiques liées aux émotions sont effectuées seulement (officiellement), à partir des années soixante
dix par entre autres, Thomas Gordon : "parent efficace", Jacques Salomé, Marshall
Rosenberg : la communication non violente, Daniel Coleman :
"l’intelligence émotionnelle".
Pour savoir gérer nos émotions, on
nous apprend à dire ce qu’on ressent, à utiliser le « Je », à être
responsable de nos émotions, de nos ressentis et la plupart du temps à contrôler les émotions
mais c’est une stratégie de survie, violente, qui en plus est inefficace.
C’est
là où on revient à la réalité celle du pouvoir de l’amour, de l’acceptation.
Parce que ça n’est pas en contrôlant l’émotion qu’on s’en libère.
D’autant plus
que les émotions sont essentielles, « essence-ciel » elles sont
l’expression de la vérité de l’instant, de ce que nous ressentons et elles ont
beaucoup à nous apprendre. On tente de repousser les émotions dites négatives
mais en fait elles nous enseignent, nous guident vers l’amour, la sagesse
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manières de transformer les émotions en alliées :
Les
cadeaux des émotions, leurs fonctions :
Elles avertissent d’un
danger,
d’une menace, selon le mécanisme de survie, régit par le tronc cérébral et le
cervelet. Ce n’est pas seulement la peur qui fait office de sonnette d’alarme,
le feeling, le ressenti, procède de l’intelligence du cœur.
Les émotions
désagréables, les malaises sont des signes, c’est le gps intérieur, un message
de l’âme, c’est l’intelligence émotionnelle à l’œuvre, sa façon de communiquer et de nous inviter à revenir au centre, dans le cœur.
Elle exprime autant ce qui est refoulé dans l’inconscient et c’est donc une
occasion de libérer la mémoire émotionnelle, mais aussi les messages de l’âme,
l’idée que nous sommes décentrés, que nous agissons dans l’excès, que nous
réagissons et qu’il est temps de se fier à notre cœur, d’être à l’écoute, en
état de réceptivité, de revenir à la paix l’unité, l’harmonie.
On connait les
conséquences de l’excès, l’aspect négatif de la disharmonie qui se traduit au
final par des symptômes physiques via les endorphines, la chimie interne régie
par les glandes endocrines.
C’est tout le système endocrinien qui est ébranlé
tant lorsqu’on contient une émotion que lorsqu’on l’exprime en s’y attachant
lorsque la pensée associée à l’émotion est considéré comme une croyance ferme.
Et cette chimie interne est aussi bouleversée lorsqu'on choisit l'amour plutôt que la peur, l'unité plutôt que la dualité, le lâcher prise en confiance.
Indicateur d’équilibre
ou de déséquilibre, des besoins qui ne sont plus nourris. Dans la relation à
l’autre ou à soi-même on vit la situation comme une injustice, avec des
frustrations, des attentes non comblées.
L’intensité indique la force du
déséquilibre, du manque, de la frustration. Là encore, le retour au centre va rétablir l'ordre et l'équilibre, on verra comment nourrir nos besoins dans le respect de tous.
Miroir des résonances. Lorsque deux objets
ont la même fréquence vibratoire, si on fait vibrer l’un des deux, il va mettre
l’autre en résonance. On peut faire l’expérience avec des verres de cristal. On
sait que notre corps physique est composé d’éléments à base de silice, de verre,
de cristal et pour cette raison la résonance peut être ressentie dans le corps
physique.
L’effet miroir nous indique ce que nous portons à l’intérieur,
lorsqu’on réagit au comportement de quelqu’un. Si on n’avait pas un
déséquilibre interne on ne réagirait pas.
La réaction nous invite à contacter
l’enfant en soi, les parts internes qui ont été sollicitées. Cette résonance
est donc un outil de connaissance de soi, une façon de sonder ce qui est logé
dans l’inconscient. Ce qu’on ne veut pas voir ou reconnaitre est ainsi révélé.
On peut aussi vérifier la loi de résonance, d'attraction et apprendre à orienter son attention en conséquence.
Soupape de pression. Le fait de refouler les
émotions créé une pression interne qui va amener à l’explosion. La colère
peut-être un moteur d’action parce que l’énergie contenue s’accumule et très
souvent on utilise la pression contenue pour oser agir mais le souci, c’est
qu’on agit avec violence envers soi et envers les autres.
L’émotion par nature doit
s’exprimer, s’extérioriser. C’est le sens originel de ce mot qui en latin veut dire bouger hors de :
ex : en dehors, movere : bouger c’est un mouvement vers l’extérieur. Tout comme en
anglais motion veut dire mouvement.
L’émotion
n’est jamais négative, elle permet de surmonter les traumas et de ne pas
somatiser si on peut l’exprimer naturellement, sans la bloquer ou s’y attacher,
sans en ajouter. C’est une forme de vidange énergétique qu’il est nécessaire de
vivre.
C’est un moteur
d’action : L’émotion
exprime nos désirs, les aspirations de l’âme, mais très souvent on utilise les
émotions négatives, la pression, le fait de contenir et d’exploser pour agir.
On le fait par instinct de survie, dans l’ignorance de ce que nous sommes en
vérité, dans l’inconscience, de façon automatique parce que c’est le système de
survie qui gère notre comportement.
Mais quand on sait que nous sommes l’amour,
la joie, la source et son expression dans la matière, quand on reconnait
l’intelligence du cœur, des émotions, en apprenant à les ramener au cœur pour
qu’il les harmonise, on agit alors depuis cet espace de paix, de joie.
La
fluidité énergétique due au lâcher prise, à la libre expression des pensées
émotions dites négatives, lorsqu’on les confie à l’amour lumière intérieurs,
permet au désir de l’âme, de se manifester dans la matière avec facilité. On apprend à reconnaitre nos besoins essentiels, ceux de notre âme, à nourrir le désir, l'enthousiasme.
On
peut alors rêver et réaliser ses aspirations, oser être soi et vivre dans la joie.
C’est
extraordinaire de pouvoir agir depuis le cœur parce qu’alors on est en
communion avec la source, dans la vibration harmonieuse de l’unité, de la paix
et de la joie.
Le quotidien devient joyeux parce qu’on est porté par la simple
joie d’être qui on est.
Cela demande de la patience, du temps, parce que ce
chemin qui va de la tête au cœur ou de la dualité à l’unité, bouleverse
totalement nos systèmes internes.
Tout ce cheminement mène à la stabilité
émotionnelle et mentale, tous les corps sont alignés à la vibration de la
source et tout s’écoule de façon fluide.
Révélateur de nos
pensées. Les
émotions sont toujours associées à des pensées. Lorsqu’elles sont négatives ou
lorsqu’elles nourrissent des croyances invalidantes, limitantes, l’émotion nous
invite à observer nos pensées afin de les ramener dans le cœur, de les faire
passer à travers le filtre de l’amour sans conditions, de la lumière, de la
sagesse du cœur.
On
ne mesure pas l’impact de cette attitude face au pensées et aux émotions dites
négatives mais elles nourrissent continuellement notre état d’être, les
croyances illusoires, les conditionnements et activent les blessures rendant la
vie difficile et douloureuse.
Elles les éveillent afin qu’on puisse réagir non
pas en explosant nos émotions sur les autres mais en confiant à la source, à l’intelligence du cœur, le
soin de les guérir en les reconnaissant comme telles, comme des indicateurs,
des signes qui nous montrent que nous sommes identifié à la souffrance, aux
pensées émotions difficiles.
Le mouvement de l’émotion en direction de la
source en soi rétablit l’équilibre, l’ordre et l’harmonie.
C’est
assez complexe mais tellement libérateur de ne plus voir les émotions comme des
objets indésirables. Au niveau énergétique, c’est du pur potentiel parce que
lorsqu’on ne bloque plus rien en soi, l’énergie de vie peut alors circuler
librement et tout devient possible, réalisable.
En chemin, on a grandit en
sagesse en capacité d’aimer, en confiance vis-à-vis de l’âme, de soi, de la
vie, on devient plus conscient et responsable donc capable de réaliser notre
plus beau potentiel, de nourrir nos besoins essentiels.
Quand on peut être dans
la compassion vis-à-vis de soi, dans l’acceptation de tout ce que nous sommes,
le besoin primordial d’aimer et d’être aimé, s’auto-alimente en permanence et
cela nous comble. On peut alors donner librement et sans attentes.
Même si on a
des préférences, on est libéré du jugement, des accusations et ce qui se passe
à l’extérieur n’a plus d’emprise sur soi, on ne réagit plus de façon démesuré,
dramatique, excessive.
Dans
cette vibration de paix, d’unité et d’harmonie, on reconnait le divin en soi,
la source originelle qui se manifeste en toute vie et on peut le voir en
chacun.
Ceci dit, ça ne se fait pas en un jour mais en apprenant à
s’intérioriser, à s’observer, on peut voir en soi-même et donc en l’autre ce
qu’il est au-delà des apparences, des croyances, des masques et des
conditionnements.
La pensée, l’émotion, l’énergie forment les mondes
éthériques, l’astral, et quand on peut être en paix avec ces corps, on pénètre
les mondes subtils, invisibles, sans craindre l’effet miroir, la
résonance.
Le plus simple c’est de
rester centré, de laisser le cœur harmoniser et unifier tout ce que je suis. Je
ne différencie pas trop l’éther de l’astral mais je reste ouverte et me laisse
guider pour recevoir des réponses. Je vais relire ce que Magali en disait.
Et
bien j’ai frôlé la cata mais finalement le linge est intacte.
Un épisode qui
pourrait sembler banal, révèle pas mal de choses parce que les fringues sont
celles que mon âmie m’a donnée et le sabotage inconscient me renvoie à la
difficulté à recevoir, au fait que je me sente encore illégitime, indigne et
que je bloque à l’idée d’avoir besoin des autres.
Encore une fois, le juste milieu
est à trouver, parce que nous nous nourrissons de l’extérieur, de l’air que
nous respirons, des aliments, des échanges et cela modifie nos cellules, intervient dans la
régénération cellulaire.
On ignore encore pour la grande majorité des gens, à
quel point la nourriture énergétique est essentielle et comment nos pensées,
nos émotions, la façon de les aborder influence considérablement notre état
d’être, notre quotidien.
Nous sommes constamment reliés aux autres par la
vibration et en ce sens si nous ignorons ce que nous portons, ce que nous
émanons, si nous sommes dans le rejet, nous luttons contre des forces
invisibles.
Mais on a tous les outils pour savoir ce que nous vibrons, les
émotions, les changements de vibration peuvent nous aider à connaitre les
mondes subtils et l’observation neutre demeure la clef de connaissance de soi.
J’ai pu vérifier par deux fois comment mon taux vibratoire s’abaissait lorsque
je regarde des épisodes de Kamlott. Et ce qui me dérange surtout, c’est la
façon dont les femmes sont traitées en général dans les films. Même si
l’époque, le contexte veut que la femme soit considérée comme un être inférieur
qui est soit stupide, soit manipulateur, on sent trop comment l’acteur
principal a fait son casting pour nourrir ses fantasmes.
Les sentiments d'injustice vis à vis de la distribution des rôles homme/femme, révèlent une forme de déséquilibre interne. Un déséquilibre qui est l'expression de la dualité inhérente à l'humain que seule l'acceptation peut amener au point zéro.
La dynamique qui s'en suit est axée sur la vibration de la source et ça change tout.
J’offre donc à la source tout
ce que cela suscite en moi.
Il est vrai que vivre dans un monde géré par des
hommes n’est pas facile mais comme toujours, ça n’est qu’en cessant de nourrir
la dualité en soi, que les choses peuvent changer. Accepter d’exprimer les
émotions telles que la colère est primordial pour s’affirmer à condition de ne
pas s’identifier à ces énergies.
Bon, je passe à autre chose, j'ai envie d'être dans l'action...on verra demain pour la publication.
8 12 Ce matin, il fait froid et je me suis décidée à allumer le poêle. L'avantage d'avoir pris du poids, c'est que je suis moins frileuse, beaucoup plus détendue mais là, le corps se crispe alors c'est l'heure de faire un feu. Là encore, cela me montre le juste milieu entre l'action intérieure et le geste. La puissance de l'amour ou du lâcher prise qui fluidifie l'énergie, réchauffe le cœur, le corps, et donne l'élan d'agir jusque dans la matière. L'action au niveau de la vibration est primordial mais si le geste ne suit pas, cela montre que le flux de l'énergie est rompu, qu'il y a un manque d'ancrage, d'équilibre. C'est encore là où j'ai quelques carences parce que c'est clair que je suis davantage dans la réflexion que dans l'action même si j'ai progressé à ce niveau là.
En relisant ce que j'ai écrit hier, je me dis que le sentiment de solitude et d'ennui sont à l'origine de ses questions au sujet des égrégores tout comme la curiosité qui pousse à vouloir comprendre de quoi je suis faite et comment fonctionnent les systèmes internes.
Je rejoins donc l'idée exprimée par Jean Jacques Crèvecoeur dans le sens où l'émotion, quelle quelle soit, est un moteur d'action.
Il y a une grande différence entre le fait de réagir et l'action qui découle du lâcher prise, de l'acceptation, de la libre expression de l'émotion. Même si dans les deux cas, l'émotion est extériorisée, le résultat sera différent si on agit en conscience, en connaissance de cause ou si on réagit de façon impulsive en explosant l'émotion en direction des autres.
Une fois que j'ai laissé sortir toutes les pensées émotions relatives au manque de soutien détecté au-delà des émotions qui se sont exprimées, j'ai reçu un coup de fil d'une âmie et suis allée papoter un peu avec une voisine. J'ai pu sentir comment le contact avait maintenu la vibration élevée et comment le fait d'avoir confié à la source tout ce qui me tracassait comme le fait que la voiture soit toujours en panne et que je ne voie pas le mécano, avait libéré l'énergie de vie, de l'enthousiasme, de la joie. J'ai pu mesurer la valeur de l'échange et comment ces contacts, même de courte durée, avaient nourris l'enthousiasme.
Dans ces expériences du quotidien et par l'accueil des émotions, l'abandon de la lutte, je mesure la force du centrage, la puissance du lâcher prise, et le mouvement naturel de l'énergie qui me pousse vers l'autre, dans un élan spontané, en toute simplicité, authenticité, sans calcul ni attentes.
J'ai la sensation que l'âme veut me faire comprendre comment l'échange s'effectue sur différents plans et m'aider à voir que j'apporte autant que je reçois même si mon aide est plutôt vibratoire. Je vois que je résiste à l'idée de recevoir par manque de reconnaissance de ma propre valeur et de ce que je peux offrir par la vibration.
Cela constitue un don tout autant que ce qu'on peut faire dans la matière, dans l'action.
Et de ce point de vue, ce qu'on donne n'est pas nécessairement rendu par la personne qu'on touche directement. On reçoit déjà en retour un soutien vibratoire de l'âme, des égrégores correspondants lorsqu'on choisit la paix et l'unité puisque cela influe directement sur l'état d'être. On nourrit en même temps les égrégores qui rayonnent l'espérance, la paix, l'unité. Puis dans cette ouverture de cœur, et de conscience, on reçoit le soutien de personnes que notre âme place sur notre chemin au bon moment.
C'est aussi l'occasion de constater comment l'âme agit selon son point de vue, comment elle supervise tout et comment nous sommes toujours guidés, soutenus.
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« Journal de bord d’un humain divin comme tout le monde » ou http://lydiouze.blogspot.fr