Ce
matin, je suis étonnée de constater que j’ai mes règles. Depuis 3 ou 4 ans, je
suis entrée dans la phase de ménopause et je goûte "les joies" des bouffées de
chaleur qui à mon sens, sont des manifestations de l’énergie de vie qui se
déploie dans le corps physique au lieu d’être cantonnée dans les ovaires.
D’ailleurs
le fait que l’énergie de vie, du désir soit consacrée à la fabrication de l’œuf
puis que cet œuf ne soit pas fécondé, peut expliquer que dans ces périodes on
se sente affaiblies, vulnérables et parfois déprimées. C’est tout le cycle du vivant
qui se manifeste en nous, de la création à la mort, du désir à sa manifestation
ou non.
Cela peut éveiller toutes sortes de mémoires, de peurs, de questions
existentielles.
L’idée de ne pas avoir d’enfant est venue mais en l'offrant à
la source, en lui confiant toutes les pensées de frustration ou en considérant cela de façon neutre, une autre vision plus positive, objective,
est apparue.
Celle du potentiel de renaissance offert dans cette incarnation
et la certitude que ce choix de l’âme correspond tout à fait à celle du vrai
moi.
Cet alignement intérieur, cette unité des corps, cette communion avec l’âme
vaut bien la relation parent/enfant. Elle en est l’origine, la quête et le
potentiel de réalisation de l’être unifié. N’est-ce pas là un choix merveilleux ?
En tous cas, il me réjouit autant qu’il me motive à être et à connaitre tout ce que je suis, à persévérer en cette
voie de reconnaissance, de retour à la maison, à l’unité et l’harmonie.
Plus
je suis dans l’accueil des pensées, émotions, dans la neutralité et moins ces bouffées
de chaleur, que j’associe aux montées d’énergies, de l’énergie de vie, du
désir, sont violentes. Ces derniers temps, cela s’était stabilisé et les
symptômes des menstruations sont apparus mais j’ai pensé que c’était un
problème rénal qui générait des douleurs à cet endroit.
Je ne m'attache plus aux croyances, anciennes ou nouvelles, je reste ouverte parce que les réponses viennent lorsqu'on est dans cet état de réceptivité, sans attentes mais juste dans la certitude d'être entendue, comprise et de pouvoir recevoir des réponses.
J’ai
la sensation que mon âme me montre à quel point les symptômes ne peuvent pas
être généralisés, le caractère aléatoire, fragile, des interprétations et
surtout que le changement d’attitude face aux émotions amène des mouvements de
l’énergie qui se répercutent sur le corps physique.
Toutes les prises de
conscience de ces derniers jours notamment au niveau de l’attachement aux
croyances, de leur caractère aléatoire et changeant, de l’importance du lâcher
prise, de ne pas chercher à interpréter les faits, vient aussi nourrir la
notion de miracle, ou la foi en ‘tout est possible’. Tout est possible pour peu
qu’on laisse l’âme faire, nous guider et qu’on lâche tout.
Le
chat a passé la nuit avec moi et j’ai encore la sensation qu’il m’aide à
réguler les énergies, à faire des mises à jour au niveau de la psyché sur le
plan éthérique, énergétique.
Il est évident que chaque prise de conscience,
chaque fois qu’on lâche des anciennes croyances au niveau mental et qu’on
laisse les émotions s’exprimer librement afin que l’énergie de vie puisse
circuler de façon fluide, cela crée des sensations physiques, des symptômes,
naturellement, puisque ce sont tous les corps qui s’ajustent aux nouvelles
fréquences, à la nouvelle vibration.
En ce sens, moins on s’accroche aux
raisonnements, aux questions, aux interprétations mentales surtout quand il est
paniqué et qu’il tente de comprendre quelque chose qui le dépasse et plus le
processus est facilité.
Ce
n’est pas du tout évident d’intégrer la lumière, ou d’élargir sa conscience, de
digérer des nouvelles infos, parce que cela se fait sur tous les plans. Le
mental se sent perdu, il n’a plus les repères habituels et les anciennes
stratégies n’ont plus rien de magique, au contraire, elles ne sont plus efficaces. Cette sensation de perte, de confusion mentale amène aussi une
forme de résistance et les émotions vont être refoulées ou excessives.
Les
questions qui sont l’expression de la peur, du stress, vont générer des
émotions en conséquences et si on s’identifie au mental émotionnel, si on
s’attache aux raisonnements, aux interprétations, la panique va amplifier
créant le chaos énergétique à l’intérieur.
Et comme nous attirons ce que nous
rayonnons, la matière va aussi répondre à cela par effet miroir. C’est là où
c’est important de connaitre les lois universelles, de résonance, d’attraction
et l’effet miroir afin de ne pas focaliser sur le mental, de ne pas croire ce qu'il émet. C'est à mon sens ce que l'âme tente de nous enseigner, ce pouvoir de projection des pensées émotions, des énergies et la résonance, l'attraction, la puissance de l'intention, de la focalisation, de la vibration...
Tant qu’on cherche la solution soit dans le mental, soit en
changeant la situation au niveau physique, au niveau de la matière, on ne
permet pas le changement, la guérison, le saut quantique. On lutte, on résiste,
on tente de comprendre et l’énergie ne peut pas circuler, les émotions et les
pensées s’auto-alimentent nourrissant le doute, la confusion et le mal-être.
Quand
je ne comprends pas ce qui arrive, je sonde mon corps physique je ne cherche
pas à tout prix la paix mais je me contente d’observer, de ressentir sans
m’attacher à ce qui se manifeste, je laisse passer.
Plutôt que d’enclencher le
système de survie par les questions/réponses, qui créent une résistance
énergétique je reste ouverte.
Je n’interprète pas, je ne nourris pas le mental
ni l’émotionnel en qualifiant ce qui émerge, en essayant de changer les pensées
ou les émotions, je laisse tout s’écouler en me rappelant seulement que
l’énergie est vivante, qu’elle "a besoin" d’être en mouvement ou plus simplement, qu'elle est mouvement.
Et que c’est
uniquement le fait de m’accrocher aux pensées, aux émotions qui la fige et qui
créé les blocages, les douleurs, les symptômes. Cela entretient la peur, le
doute et quand les émotions émergent et qu’on les bloque, ça nourrit les
croyances et conditionnements passés, ceux qui entretiennent l’idée que je suis
impuissante, victime.
Je simplifie les données mentales à retenir et cela
permet aux émotions non seulement de s’exprimer mais aussi à l’énergie de vie
de circuler aisément. Et je constate comment cela permet de lâcher les
anciennes croyances, de stabiliser le mental et l’émotionnel et bien sûr
d’amplifier la foi, la confiance en la vie, en l’âme et en soi.
Le fait de
considérer les pensées et les émotions comme des énergies neutres qui ne
demandent qu’à circuler et qu’en les laissant s’exprimer librement, tout se
stabilise, évolue dans le bon sens, calme considérablement le mental qui ne
bloque plus sur lui-même.
Idem pour la santé qui résulte de l’harmonie, de la
fluidité énergétique et les symptômes physiques qui arrivent toujours en bout
de processus.
Je ne remets plus cela en question et je sais que le symptôme
n’est pas nécessairement signe de blocage énergétique qu’il peut aussi être la
manifestation dans la matière, d’une élévation vibratoire, d’une libération
émotionnelle, énergétique.
En ce sens, écouter son corps doit être relativisé
ou ramené simplement à l’idée que le mental n’a pas la réponse, que celle-ci
vient par intuition donc en étant ouvert, en lâchant les raisonnements
habituels.
La réponse vient déjà dans le fait qu’en lâchant prise, la détente
physique, mentale, émotionnelle libère le mouvement de l’énergie.
Puis comme
tout est fluidifié, comme la vibration s’aligne à celle de la source, de la
paix, de l’unité, la vision s’élargit, on peut observer avec le recul
nécessaire.
Observer sans interpréter juste nourrir la foi en étant dans
l’ouverture, l’accueil. Puis en se laissant guider, on va tomber sur des infos
qui vont confirmer le ressenti.
Celle-ci piochée juste avant d’écrire a formulé
ce que je ressentais au réveil. Le fait que l’énergie bouge en moi, qu’elle
circule mieux, que l’énergie de vie ait réenclenché le cycle de l’ovulation témoigne
de cela. Au moment où je réfléchis à la notion de miracle,
cette réaction physique naturelle qui est aussi un signe de fertilité, de
jeunesse, bouleverse les à priori et vient nourrir ma foi en la vie éternelle.
"Les
énergies alternatives actuelles peuvent être difficiles à digérer, nous vous
accompagnons dans ce processus"
-- Lulumineuse
Au
sujet de la vie éternelle dont je ne doute pas du tout, j’ai demandé à mon âme
hier, le sens des symptômes physiques. J’ai posé les deux significations entre
lesquelles je balançais ; soit l’expérience vient m’aider à lâcher la peur
de la mort en vue d’un départ imminent dans l’autre monde, comme une préparation à
passer le voile, soit c’est une occasion de lâcher la peur de la mort pour vivre
plus pleinement, oser être totalement qui je suis et foncer, agir en ce sens.
Bon je suis encore radicale dans mes raisonnements, mais je n’ai pas cherché à
entendre des réponses. J’ai juste posé la question dans la confidence à mon
âme, au moment où je me suis couchée.
Je suis convaincue qu’il se passe
beaucoup de choses la nuit parce qu’il m’arrive d’en garder le souvenir au
réveil et la présence du chat coïncide avec ses mises à jour de la psyché, ces
sauts quantiques, ces libérations émotionnelles. Je ne doute plus du fait que
nous voyageons la nuit, que des ajustements se créent entre l’inconscient,
l’émotionnel, le mental, le subconscient, enfin entre les différents aspects de
la psyché, entre les corps subtils, comme une forme d’équilibrage, de mise à niveau,
d’alignement.
Puis qu’on reçoit aussi de
nouvelles données, que certaines infos viennent à la surface afin d’être vécues
le lendemain, qu’une sorte de tri s’effectue à plusieurs niveaux.
Au niveau
émotionnel, les rêves permettent de projeter des émotions trop excessives ou
refoulées, comme une sorte de vidangé énergétique du surplus.
Comme nous sommes
inter-reliés au niveau énergétique, éthérique avec des égrégores que notre vibration attire, il est
fort probable que la nuit, un nettoyage ou une épuration s’effectue via le
processus de projection mentale, émotionnelle. Comme si les corps subtils avaient aussi la fonction naturelle de digestion de l'énergie comme le fait le corps physique.
Je n’ai aucune preuve de cela
mais c’est ce que je ressens et ça semble tout à fait logique si on considère
les choses d’un point de vue énergétique sachant que celle-ci n’a aucune limite
et qu’elle entre en résonance avec des fréquences de même type.
C’est aussi pour
ça que lorsque je commence à me plaindre de ne pas voir les énergies, les
mondes subtils, je reviens vite à la raison parce que je me dis que ça doit
être un sacré cafouillis !
Je me contente de continuer d’épurer le mental
émotionnel du superflu ou simplement de la tendance à rester enfermé dans ces
corps, et de rester ouverte en sachant que mon âme me donne toujours ce que je
peux intégrer. La confiance en elle grandit et je ne doute plus que ce qui arrive est juste et pour mon bien malgré ce que le mental peut encore croire.
Et c’est toujours en lâchant les attentes que les réponses
arrivent, en se laissant porter qu’on tombe pile poil où il faut. En libérant
la charge émotionnelle qu’on fait de la place en soi pour télécharger de
nouvelles infos/énergies.
J’ai été absorbée par cet entretien qui m’a frappé tant
par la résonance des propos, la synchronicité, que par la façon d’exprimer les choses, la
ressemblance est hallucinante !
Le fait que cet entretien dure 6 heures ne
m’a pas découragée et je n’ai pas vu le temps passer. J’ai écouté sur deux
jours en tricotant, ce qui me permet d’être alignée intérieurement, concentrée
sur l’écoute sans y être attachée, en ayant tout de même du recul et en
observant la résonance intérieure.
J'ai commencé à confectionner un pull arc-en-ciel avec des bouts de pelotes récupérées à droite à gauche sans savoir si je le porterais un jour, juste pour le plaisir de créer.
L'acte est symbolique, inspiré, il est un support d'intégration de nouvelles données, une façon d'affirmer mon intention de maintenir la fluidité énergétique, l'unité et l'harmonie, jusque dans la matière.
Il favorise le changement, le mouvement, l'expression personnelle, la créativité, témoignant de la libre circulation de l'énergie du désir, de l'idée à sa manifestation dans la forme.
Marc Auburn - 0,001% - Radio Ici et Maintenant - 11
avril 2014Copiez-collez le lien dans google pour écouter la vidéo: https://youtu.be/oGFNuMzkFao
Tout
ce qu’il décrit est précisément ce que je vois, non pas avec les yeux ou encore
à travers le corps astral comme il le fait mais par la foi, l’intuition, et
aussi selon la logique ou la nature de
l’énergie.
Je
sens que la question des vies simultanées est à voir de près. Il est clair que
nous sommes porteurs de toutes sortes de mémoires, d’atomes et d’éléments
glanés dans l’espace, l’environnement et qu’on
peut en conclure que nous sommes donc interconnectés à de nombreux êtres
via l’ADN, les atomes, mais aussi par la résonance vibratoire.
Chaque aspect de
l’humain est constitué de parts extérieures, traversé par des énergies, porteur
de la mémoire de l’humanité tant par sa constitution, celle du cerveau
tripartite, par exemple, que par ce qui le traverse continuellement, et bien
évidemment par essence. Dans tous ce fatras, on peut se demander qui nous
sommes véritablement, et si ce que nous sommes est solide, tangible, réel.
Les
atomes, les énergies qui nous composent et nous traversent sont en mouvement
perpétuellement et ce qui nous définit en tant qu’individu bouge aussi
continuellement. Selon notre positionnement intérieur, notre vibration, notre
vision change et notre comportement aussi. On n’est jamais la même personne
d’un bout à l’autre.
Déjà quand on libère les masques, tout ce qui est de
l’ordre du conditionnement et qu’on apprend à maintenir la paix et l’harmonie,
la fluidité en soi, on s’approche de l’être véritable et on définit les limites
énergétiques de notre personnalité.
Enfin disons plutôt qu’on ne se laisse plus
envahir par des énergies indésirables ou qu’on ne s’identifie plus aux
égrégores correspondant aux pensées émotions de victimes.
Moins on s’identifie
aux pensées, aux émotions et donc aux croyances, plus on affirme son intention d'unité intérieure et plus on délimite son
territoire énergétique et comme on lâche la notion de jugement, on n’est plus
effrayé à l’idée d’être traversé, parasité par des énergies extérieures.
Parce
que la connaissance ou reconnaissance de ces mondes invisibles, énergétiques, change
totalement la notion d’appartenance, d’identification et lorsqu’on considère
les mondes éthérique ou astral constitués des projections mentales,
émotionnelles et donc énergétiques, de l’humanité, depuis sa création, puis le
principe de résonance, cela bouleverse totalement les anciennes croyances basées
sur l’idée de séparation.
Ce qui à mon sens est le plus utile à retenir, ce
sont les lois universelles, le pouvoir de la psyché de se projeter
énergétiquement et de créer des mondes, des images, des êtres, tout comme celui de
manifester notre quotidien selon la
fréquence émise.
Ce pouvoir est à double tranchant parce qu’on peut se
fabriquer un véritable enfer tout autant qu’un paradis et en ce sens,
rechercher la paix et l’unité intérieures me semble être la solution idéale.
Dans
cette perspective, il est évident que le mental est incapable de gérer
l’énergie, les mondes subtils, seule l’âme en a la capacité. On manque de
connaissance et on pense bêtement pouvoir gérer l‘invisible avec un outil conçu
pour percevoir le monde au travers des cinq sens. Et même si on sait que nous sommes dotés d'un œil capable de percevoir l’invisible, ça n’est encore pas du domaine de l’intellect. Du moins cette réalité n'est pas encore intégrée, les anciennes croyances ont encore la main tant que des parts de soi sont rejetées, tant que c'est l'inconscient qui gère nos vies.
Vouloir
développer cette capacité par des techniques est à mon sens aussi ridicule que
de penser pouvoir voyager dans les airs avec un sous marin.
Comme le dit Marc
Auburn, c’est une capacité à la portée de tous, de par notre constitution mais
c’est un domaine que seule l’âme, l’intuition peuvent gérer.
Déjà par le fait
d’attirer l’attention sur ce sujet puis en cultivant l’intuition par l’écoute
attentive, la connaissance de soi, de ses corps, des énergies et la façon dont
cela fonctionne de façon optimale.
Seule l’âme peut coordonner nos corps,
harmoniser l’énergie, ouvrir la vision au moment opportun. Ceux qui témoignent de ces voyages ont pratiqué cela pendant des années et ils tâtonnent encore.
J’ai bien vu l’effet
d’une sortie de corps avec du LSD. Non seulement ça n’était pas agréable,
j’avais une sensation de métal dans la bouche mais en plus, se voir de haut et
considérer son corps de chair comme une enveloppe, un sac, un poids, une lourde
charge, ne m’a pas aidé à vouloir m’incarner pleinement, au contraire, cela m’a
donné encore plus envie de fuir la réalité, le monde, la physicalité. J'étais encore plus identifiée à la victime et pour lutter contre ça, je me marginalisais toujours plus.
En ce
sens cette expérience a été bénéfique parce que cela m’a confirmé que la vérité
était ailleurs mais j’ai aussi compris que j’étais passée par la mauvaise porte.
Je n’ai pas vu de monstres mais la sensation de n’être rien, que tout était vain,
illusoire, a produit un effet similaire sur mon état d’esprit.
Pour en revenir
aux miracles, l’idée qui me semble plus pertinente que celle de savoir s’il est
possible de régénérer son corps physique par la vibration, de guérir, c’est
plutôt de savoir est-ce que j’ai vraiment envie de continuer cette expérience,
ici, maintenant, dans ce corps, ou cet ensemble de corps et dans quelles
conditions ?
Il est clair que tant que l’identification à la personne est
prédominante, tant que la stabilité, l’équilibre mental émotionnel n’est pas
maintenu en soi, la vision n’est pas suffisamment claire mais on peut déjà
apprendre à se maintenir dans les fréquences de la source.
Gagner en confiance
en lâchant les croyances basées sur la notion de séparation, laisser l’âme nous
guider et harmoniser, unifier ce que nous sommes.
Je ne me dis plus "je veux
guérir" mais je me souviens de l’importance de la vibration et c’est d’abord là
que je place ma volonté dans ce désir de paix et d’unité.
Puis je laisse de
côté les à priori, les diagnostiques et interprétations du corps médical pour
favoriser l’écoute intérieure, le ressenti, pour suivre l’intuition.
Il est
clair que la première chose à faire, c’est de nourrir la confiance en la source
et de lâcher les étiquettes à ce sujet. En ce sens, je prends les menstruations
comme l’expression de l’énergie de vie qui peut mieux circuler en mes corps
subtils et je m’en réjouis.
Tout comme je fais confiance à mon corps physique
pour maintenir la santé, l’équilibre et l’harmonie, je fais confiance à mon âme
pour m’amener à élargir ma conscience et mon cœur, ma capacité d’aimer ou
d’accueillir, d’accepter ce qui est.
C’est là que la vision s’éclaire et qu’on
reçoit une réponse qui n’est pas mentale même si ça peut passer par des idées.
Alors aujourd’hui, je prends soin de mes corps subtils, de mon corps physique,
je continue de laisser l’amour lumière épurer, nettoyer, libérer, ce qui n’est
plus utile, faire le tri et garder le meilleur selon le point de vue de l’âme
qui sait ce qui est juste.
Connaitre ses différents corps et leur fonction puis
laisser la source rétablir l’ordre, restituer à chacun la place, le rôle qui
lui convient, me semble être une bonne base d’évolution, de réalisation.
Plus
ça va et plus je me dis que mon âme a choisi la facilité, la simplicité, la
liberté et la joie. Le fait de ne pas vouloir approfondir les choses, voyager
hors du corps, par exemple ou me livrer à des expériences pour aborder les
mondes subtils mais plutôt me laisser guider de l’intérieur, correspond tout à
fait à qui je suis au niveau humain.
J’aime bien avoir une vision large des
choses, la connaissance suffisante des principes, des modes de fonctionnement
sans m’arrêter dessus, sans vouloir "en faire un business" parce que la
connaissance est infinie, changeante, du moins l’interprétation des mondes
invisibles, du ressenti, est si variée qu’on ne peut pas s’y accrocher comme si
c’était une vérité immuable.
Ce qui compte le plus, à mon avis, c’est de
maintenir son cœur et son esprit ouvert, de ne pas s’attacher à ce qui est,
d’être souple, fluide, curieux, capable de s’adapter, et de nourrir ce désir de
connaitre.
Capable de lâcher les certitudes, les à priori, les conditionnements
pour aller vers toujours plus de pureté, de clarté, de joie de découvrir.
Ce qui
est éternel, immuable, c’est la vie, ce mouvement, cette essence, cette
vibration et le bonheur, c’est de se réjouir de danser en harmonie, de se
sentir porté, guidé, soutenu dans le désir d’être et d’agir selon cette vision.
La
théorie de la réincarnation est à mon sens l’interprétation de ce mouvement
perpétuel du vivant qui évolue sans cesse dans la forme, la vibration. Mais
quand on sait qu’on porte des atomes d’autres êtres, leur mémoire plus ou moins
ancrée, activée, tout comme celle de notre lignée et par ailleurs, que le fait
d’ouvrir son cœur, de communier avec l’âme, de laisser sa vibration imprégner
notre être, nos corps, nous relie aux émanations, aux autres formes de cette
essence source, il semble logique qu’on ait des visions de celles-ci.
Mais là
encore, s’identifier à ces aspects, se les approprier, n’est pas le propos à mon
sens. J’ai rigolé en pensant à tous ceux qui avaient été enfermés en psychiatrie
parce qu’ils disaient être César ou Napoléon, en fait, ils n’étaient pas si
fous.
Ce constat montre comment l’attachement à un aspect de soi,
l’identification à la personnalité, aux pensées et aux émotions, l’enfermement
dans le mental et les interprétations peuvent rendre fou.
Au niveau humain, il
n’y a pas une vérité, une interprétation de l’invisible, du ressenti qui soit
exacte, il y a autant de possibilités d’interpréter qu’il y a d’individu, de
points de vue. La vérité divine n’est pas accessible à l’humain via
l’intellect, elle se révèle peu à peu par des prises de conscience, des éclairs
de lucidité.
En ce sens il s’agit plutôt de se libérer de tout ce qui est faux,
c'est-à-dire à tout ce qui ne résonne plus en soi, et de se fier à son cœur, à
la paix qui s’y loge puis de suivre son désir, ce qui nous met en joie, dans la
communion avec l’âme, de faire comme on le sent.
Savoir ce qu’on n’est pas, pour aller à la rencontre de
Qui on est, et réaliser ce parcours par des face à face successifs qui vont
révéler tant notre essence que le désir d’incarnation de l’âme, du vrai moi.
Et
je reviens toujours à l’évidence que le désir premier, c’est de vivre dans la
paix, l’unité, la transparence, la spontanéité, d’apprendre à faire confiance.
Comme le dit Marc Auburn, nous sommes des récepteurs émetteurs d’info,
d’énergie, d’amour et de lumière alors la première chose à faire, c’est de
nettoyer les filtres afin de capter la vibration source et de la rayonner dans
sa pureté.
Savoir venir au point zéro afin de laisser l’énergie de vie circuler
librement et purifier tout sur son passage.
Les mondes de l’astral ne
m’attirent pas parce que tant que ma vibration n’est pas celle de la paix, de
l’unité, tant que la dualité continue d’être vécue comme une réalité, je ne
ferais que voir sur écran géant ce chaos qui prédomine à l’intérieur.
La vie,
les situations, les rencontres me renvoient cela alors autant utiliser les
outils à ma disposition pour apprendre à revenir au centre et ainsi trouver la
stabilité mentale, émotionnelle, énergétique et aller vers l'unité, la complétude.
C’est déjà tout un art et les
effets sont immédiats, stupéfiants même.
On n’est pas dans le prévisible comme
avec des produits mais bien qu’on ne sache pas, qu’on ne puisse pas prévoir ce
qui va arriver, dans l’ouverture, on est déjà dans la gratitude, la joie de
recevoir, d’être ouvert. Cela donne un sentiment de liberté, de grandeur et
tout devient possible.
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l’intégralité, l’auteure et la source ; Lydia, du blog :
« Journal de bord d’un humain divin comme tout le monde » ou http://lydiouze.blogspot.fr