Je
pensais que je pourrais me reposer après la vague de remontées émotionnelles de
la semaine passée mais les téléchargements et les mises à jour continuent.
Cette récurrence dans la réception de vagues de lumière qui font remonter les
schémas sclérosants à la surface, donne la sensation de ne pas avoir de répit
mais en fait, ça m’aide à ne pas m’encroûter, à rester vigilante et à prendre
les choses avec toujours plus de légèreté.
D’ailleurs, j’ai commencé la journée
en écoutant et en jouant de la musique, sans aucune retenue juste en suivant l’élan
de l’instant, le désir de vivre pleinement et de me placer sur les fréquences
qui rendent la vie belle. La pluie depuis hier et le ciel gris cachent la lumière
mais c’est une occasion de laisser briller le soleil intérieur, de laisser la
source harmoniser le mental émotionnel.
Comme
je ne bloque rien, comme je ne m’arrête sur aucune pensée émotion, tout est
fluidifié, facilité et le seul objectif de la journée, c’est de nourrir la joie
de vivre.
Les
règles me donnent la sensation d’avoir subi une purge intérieure pendant 24h, un renouvellement, une
régénérescence et j’ai pu constater à nouveau l’efficacité du lâcher prise face
à la douleur. Je ne me souvenais plus de ces douleurs spécifiques et comme je n’ai
pas cherché à comprendre pourquoi ça venait subitement ni comment c’était
possible que j’aie en même temps des bouffées de chaleur, je n’ai pas souffert
du tout.
J'ai à nouveau
vérifié la puissance de la pensée, de son orientation et le fait de ne pas
souffrir lorsqu’on arrête de vouloir comprendre quelque chose qui nous dépasse.
Je continue de faire confiance à la source, au potentiel de régénération du
corps et à son intelligence.
En tant qu’individu, la meilleure chose que je
puisse faire c’est d’accompagner ce qui se manifeste en n’y ajoutant rien, en n’interprétant
pas les faits et en maintenant la paix et l’unité intérieures.
Quelques idées me
viennent concernant les raisons de ces ajustements internes mais là non plus,
je ne m’y accroche pas, j'apprécie le fait que ça calme le mental, qu'il ne cogite pas.
Je note les circonstances habituelles lors de ces
afflux de lumière, leurs effets sur mes corps et cela suffit à ne pas
enclencher la machine à questions.
Le chat qui a encore dormi avec moi et des
symptômes physiques qui vont et viennent, m’amènent à penser que des
ajustements sont effectués tout comme le rêve dont j’ai gardé quelques images
au réveil. J’étais encore "en classe", en train de partager des connaissances au
sujet du fonctionnement de l’humain et des lois universelles.
Plus ça va et
plus je suis convaincue que ce sont des mises à jour au niveau de la psyché, une
rencontre et un débriefing entre les différents aspects de la conscience.
L’image
des rêves, la bulle que décrit Marc Auburn, correspond tout à fait à ma vision.
Le fait de projeter des images mentales émotionnelles sur un écran afin de
poser les choses, de les voir avec un certain recul, de procéder à des mises à
jour, est précisément ce qu’on fait chaque nuit.
Plus on devient conscient de l’importance
de regarder les faits dans la neutralité et plus ces mises à jour peuvent s’effectuer
durant la journée. Quand on parle d’éveil, à mon sens, c’est devenir conscient de qui nous
sommes, de ces stratégies générées par les blessures.
Les bulles d’incompréhension
qui s‘accumulent dans l’inconscient, l’émotionnel, la mémoire et qui peuvent
exploser quand la surcharge énergétique est trop intense, se dissolvent
naturellement lorsqu’on lâche prise. Quand on laisse les pensées et les
émotions liées aux croyances invalidantes s’exprimer au fur et à mesure, on
permet cette dissolution progressive qui mène à la stabilité mentale et
émotionnelle.
C’est
sûr que toutes sortes d’images peuvent mettre en forme ces pensées mais quand
on décide de ne pas s’y attacher, elles n’ont pas d’emprise sur soi. Et il
suffit de savoir que nous sommes interconnectés à toute vie à plusieurs niveaux
pour ne pas s’attacher aux images, aux personnages, aux archétypes universels.
Nous
sommes dotés de dons et talents qui viennent des nombreuses expériences vécues
par l'âme et nous portons aussi les schémas réducteurs, les faiblesses, les
blessures de l’humanité qui se croit isolée, séparée de la source.
Vouloir s’approprier
les dons et laisser de côté ce qu’on considère comme des tares ne peut pas se
faire mentalement. C’est tout le mécanisme, toutes les mémoires qu’il faut
amener à la surface et laisser la source sélectionner, harmoniser tout ce
potentiel énergétique.
En décidant de ne pas nourrir la peur et les jeux de
rôles, en choisissant la paix et la neutralité, cela se réalise naturellement.
On peut comprendre la valeur de tout ce potentiel parce que tant les talents
que les tares ont leur utilité.
Chaque vertu et chaque chose considérée comme
une faiblesse, contiennent des enseignements, c'est toujours de la lumière, de l'info, une occasion d'ouvrir son cœur et sa conscience.
Et déjà le fait de nous amener
à confier à la source le soin de rétablir l’ordre et l’équilibre, de prendre
conscience des limites du mental dans son mode de fonctionnement automatique et
en même temps du potentiel infini de l’âme.
Dans le positionnement au centre,
dans la neutralité, le paradoxe de l’humain divin devient équilibre, harmonie,
communion et unité.
J’ai
tendance à me dire que ces règles qui reviennent sont l’expression des
libérations émotionnelles, des guérisons qui s’opèrent, de l’énergie de vie qui
circule plus librement et de l’intégration du féminin sacré.
On
ne soupçonne pas l’effet de l’acceptation, du désir de paix et de l’abandon de
la lutte mais ça affecte tout notre être, dans chaque corps, chaque dimensions
et le mouvement des énergies s’en trouve aussi bouleversé.
Toutes
les personnes qui témoignent de leur vision viennent aider chacun tant à se
connaitre qu’à utiliser son discernement par la résonance intérieure.
J’ai pu
le vérifier une fois de plus en lisant certains messages comme celui de
Sélacia.
Tous ces messages qui parlent de l’ascension trouvent écho en moi dans
l’ensemble mais j’apprends à en tirer ce qui m’est utile, ce qui entre en
résonance avec ma propre vision et compréhension de ce que nous sommes, de l’évolution. Cette sélection est vibratoire, ça se fait tout seul, ça n'est pas la conséquence d'un raisonnement logique puisque le mental ne dispose pas de toutes les données contrairement à l'âme. Soit ça résonne, sa sonne juste pour moi, soit ça n'entre pas en résonance. Je ne cherche pas à me dire que l'autre à tort ou que j'ai raison, je laisse l'intuition me guider et prendre ce qui m'est utile dans l'instant, justement par l'effet résonance qui me maintient avec assurance dans ma propre vision, mon ressenti.
Le
fait de ne plus m’attacher à ce que je perçois, à ce que je lis et ressens, m’amène
à relativiser, à maintenir la paix en moi et la confiance augmente de jour en
jour.
Je peux le constater dans ma relation aux autres parce que je suis
beaucoup plus à l’aise, moins radicale, moins bavarde, je ne cherche plus à
convaincre et j’apprends à écouter. Écouter vraiment, sans chercher ce qui chez
l’autre est en désaccord avec moi ou même ce qui entre en résonance.
Quand
on est en paix avec le mental, l’émotionnel, personne ne peut troubler cette
paix et les relations sont beaucoup plus simples, authentiques. Je suis allée
voir une voisine hier et j’ai pu constater combien cette paix intérieure
changeait ma façon d’être.
Avant, dès que je frappais à la porte de chez quelqu’un
et déjà rien qu’à l’idée d’aller vers l’autre, toutes sortes de pensées de
doute, des émotions de stress, se manifestaient et bien souvent ça me paralysait.
J’avais beau me raisonner ça n’y faisait rien et plus j’essayais de me
convaincre que je n’avais aucune raison d’avoir peur, de douter, moins j’étais
à l’aise.
Il y avait un conflit permanent à l’intérieur entre mes pensées d’adulte
et les émotions refoulées de l’enfant que j’ai été.
Je voyais cela mais ça ne
changeait rien à l’affaire, au contraire, la culpabilité et même la honte, la
colère, venaient s’y ajouter. Même en étant consciente des peurs que je
trimballais depuis l’enfance, en sachant qu’elles n’avaient plus de raison d’être,
elles continuaient de gérer ma vie, mon comportement.
Et tant que j’essayais de
résoudre cela par l’intellect, je ne faisais que nourrir la guerre, le déni, le
rejet de soi et comme cela activait les blessures sans arrêt, je n’avais pas d’autre
choix que d’anesthésier les émotions.
Maintenant que je les laisse s’exprimer
sans les retenir, les nommer, les interpréter, je constate que la charge émotionnelle
est beaucoup moins dense, les pensées de peur n’émergent presque plus et quand
c’est le cas, je les laisse passer.
Maintenant
que je connais l’impact de la peur sur l’organisme et comme j’ai vécu dans
cette vibration depuis l’enfance tout comme celle de la culpabilité, je ne m’attache
pas aux symptômes physiques parce que je peux comprendre tout le bouleversement
que ça créé à l’intérieur.
Il semble naturel que l’organisme ait besoin de temps
pour s’adapter aux nouvelles fréquences. C’est toute la chimie intérieure qui
en est chamboulée, toutes les nouvelles connexions neuronales qui sont créées,
tous les systèmes qui changent leur mode de fonctionnement et l’énergie qui
change de trajectoire.
Les mémoires de la peur, des traumas ne s’activent plus
à la moindre contrariété et quand c’est le cas, les stratégies étant
délaissées, ça créé un sentiment de confusion intérieure, de vide, de perte.
Je
ne cherche pas non plus à comprendre en détail comment le fait de choisir l’amour
ou l’harmonie et l’unité affectent tous les corps mais le peu que je comprenne
suffit à rassurer le mental.
Quand il se dit de lui-même que c’est normal, que
le changement entraine des ajustements jusque dans la matière et que ces
pensées se basent sur l’expérience, cela montre que les corps subtils sont
apaisés, que la conscience humaine s’ouvre.
Puis quand on comprend quelque
chose, quand les énergies s’ajustent, quand la fréquence s’élève, cela créé une
ouverture, on reçoit plus de lumière, de nouvelles infos qui vont encore nous
pousser à nous remettre en question, à lâche d’autres peurs ou croyances.
On
se stabilise après avoir été chamboulé puis une fois que tout est calme, ça
repart pour un tour parce que nous avons
beaucoup de programmes à désactiver, de croyances à lâcher et le mode de
fonctionnement habituel, automatique, doit aussi être changé.
C’est
surtout cela que les vagues de lumière mettent à jour, la nécessité de devenir de
plus en plus conscient et responsable. Conscient des pensées que nous
continuons de croire, de nourrir et les abandonner par ce processus d’accueil,
de lâcher prise.
A
propos de la lumière qui nous inonde cette vidéo explique simplement ce
processus vérifiable physiquement et cela nourrit ma vision.
"NEBULEUSE D'OR" Sam's (je n'arrive pas à l'insérer, vous pouvez cliquer sur le lien pour la visionner)
Je simplifie au
maximum pour aider le mental à ne pas tergiverser et comme je constate que tout
est relatif et subjectif, je garde uniquement ce qui sert ma foi, ce qui est
tangible, enfin ce qui est logique.
La foi est quelque chose d’intime qu’on ne
peut pas s’expliquer et le mental a besoin de comprendre, de s’appuyer sur des
références logiques alors je lui donne ce qui peut le rassurer et j'utilise sa
capacité d’observation et de comparaison, de déduction, pour trouver du sens.
C’est
une façon d’unifier les corps, la vision, de maintenir l’amour et le respect à
l’intérieur, de permettre à cette vibration de toucher tous les corps et de les
relier de façon harmonieuse, cohérente. Je viens d’ailleurs de rappeler à tous
mes corps et surtout au mental, l’importance de maintenir la reliance
intérieure, d’être dans l’acceptation, d’abandonner la critique, le jugement.
L’amour
véritable de soi, nait de cette unité intérieure, de la reconnaissance et l’acceptation
de tout ce que nous sommes. Même si des aspects sont perçus comme inutiles,
mauvais, laids, inappropriés, malvenus, négatifs ou saboteurs, je sais qu’ils
ont leur raison d’être.
La première c’est d’inviter le mental à percevoir la
détente, la paix et la joie qui viennent de l’abandon de la critique, du
jugement, et la vibration délicieuse qui en découle. La sensation de joie qui
vient du soulagement lorsqu’on se rend compte que le mental ne peut rien contrôler et donc qu'il ne sert à rien de lutter puis le fait que c’est la façon de se maltraiter
qui nous rend malheureux. On l’est parce qu’on nourrit des pensées négatives à
propos de soi (ou des autres), et de ce fait, on créé une division interne, un conflit entre ce
qui est et ce qu’on voudrait.
L’amour vrai de soi et le changement ne peuvent
pas venir du rejet ou de la négation d’aspects de soi, c’est un non sens tout à
fait logique.
On pense qu’on s’aime mais
très souvent cet amour repose sur le succès, sur l’image, on se focalise sur ce
qu’on pense être bien en soi et on repousse ce qu’on juge comme mauvais.
Mais
si on observe cela, on va constater que nos critères de jugement sont ceux de
la société qui dicte ce qui est approprié et ce qui ne l’est pas en se basant
sur les apparences, la notion de mérite et de récompense.
On se juge par
rapport aux autres, on se valorise par rapport aux regards des autres et leur
comportement à notre égard.
Quand on sait que l’autre nous renvoie notre propre
vision de nous même et on peut le vérifier aisément parce que lorsqu’on se sent
bien dans sa peau, l’autre nous respecte, on peut alors savoir où on en est
dans l’amour de soi.
On peut évaluer l’estime de soi en voyant comment l’autre
nous traite. Et selon cet effet miroir, rectifier notre comportement, notre mode de pensée intérieur.
Évidemment comme on passe sont temps à se critiquer, à se faire des reproches,
les situations où on est critiqué vont continuer mais en se rappelant cet effet
miroir on se tourne vers l’intérieur et on peut changer sa vibration. Le regard extérieur ne nous déstabilise plus autant et peu à peu, il n'a plus aucun effet sur notre état d'être.
Puis la critique existera toujours parce que chacun a son propre point de vue. Mais quand on est en paix avec soi, cela ne nous touche plus.
C'est un processus graduel parce que les pensées émergent sans cesse, la vibration change souvent sans qu'on s'en rende compte. Cela nous aide à devenir de plus en plus conscient de ce qu'on pense, de ce qu'on porte et à apprendre la maitrise de notre fréquence vibratoire.
Il
y a de plus en plus d’infos au sujet de l’ascension mais tant qu’on ne trouve
pas la paix en soi, on aura du mal à faire la part des choses et on continuera
de s’attacher aux croyances des autres, à leur vision qui en plus leur
appartient. On sait que la conscience influence l’objet qu’elle observe et pour
cette raison, un même objet sera perçu différemment selon l’observateur parce
qu’il y a joute ses propres énergies, projections et attentes.
On revient
encore à l’importance de trouver la paix, la neutralité en soi qui passe
nécessairement par l’accueil des émotions, leur libre expression dans l’instant
sans s’y attacher mentalement. On la bloque et l’amplifie quand on étiquette l’émotion.
Une fois que l’émotionnel est stable, la vision est plus claire mais elle reste
conditionnée à nos croyances. Purifier le mental, l’émotionnel amène à percevoir
les choses avec détachement, confiance et la vision n’est pas attachée à l’image,
elle est liée à la vibration ressentie et ne se projette pas nécessairement sur
l’écran du mental. L’œil est souvent trompeur déjà par le principe puisque c’est
l’image inversée qui est renvoyée.
Une certitude vient de l'ensemble cohérent entre la pensée, l'intention, la sensation et la vision, elle n'est pas dépendante de l'image qui d'ailleurs est facultative.
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l’intégralité, l’auteure et la source ; Lydia, du blog :
« Journal de bord d’un humain divin comme tout le monde » ou http://lydiouze.blogspot.fr