dimanche 27 novembre 2016

« Votre lumière s’intensifie » les guides de l’unité via Daniel Desjardins





« Très chers amis humains,
C'est avec grand Amour et grande Joie que nous nous adressons à vous aujourd'hui. Depuis notre dernier message, ce nuage, cette noirceur dont nous vous parlions s'est déjà grandement dissipée. Le choc initial a amené de plus en plus d'êtres humains à s'enflammer, à s'allumer et, même si, pour une majorité ce n'est encore qu'un balbutiement, c'est déjà tellement merveilleux à observer; toutes ces lumières qui s'allument, tous ces cœurs qui s'ouvrent, cela amène beaucoup, beaucoup de lumière dans votre collectif humain. 

De notre perspective, nous observons ce qui était une grande noirceur devenir de plus en plus spectaculaire avec tous ces jeux d'ombre et de lumière. Nous ne vous disons pas que la lumière va faire fuir tous les ténèbres instantanément, mais ce que nous pouvons vous confirmer c'est que cette lumière est en chemin et cela est une grande source de Joie pour tous les êtres non incarnés, mais aussi tous les êtres incarnés, car lorsque vous sombrez dans le sommeil, vous aussi avez la même perspective que nous. Certains en ont un bref souvenir à leur éveil. 

Notre message aujourd'hui est donc un message encourageant et rassurant, car vous êtes sur le chemin d'éveil, vous êtes sur votre chemin, car cet éveil vous mène, tout un chacun individuellement, à l'expression de votre brillance.

samedi 26 novembre 2016

« Les mondes subtils de la pensée, de l’émotion, de la vibration » & « 4ème reconnexion âmique » avec Magali Magdara






25 11 Ce matin, j’ai la pêche et avec le recul je constate une fois de plus que les turbulences mènent toujours à plus de stabilité intérieure, une plus grande clarté ou une conscience plus ouverte, attentive, une foi amplifiée et plus ancrée dans la réalité. 

C’est clair que toutes les infos auxquelles nous avons désormais accès, toutes les fréquences lumineuses que nous recevons tant de la source que des mondes subtils, viennent balayer les anciennes croyances et bien évidemment cela créé des turbulences en tous nos corps. La lumière éclaire ce qui est caché en profondeur, elle révèle nos blessures et les stratégies habituelles qui ne marchent plus lorsqu’on commence à comprendre les mécanismes de survie.
Tant qu’on reste identifié à la surface de l’être, on ne peut pas avoir suffisamment de recul pour voir que tout est parfait. Et cette perfection n’est pas un concept humain, elle ne concerne pas l’individu mais l’être véritable, la source, la conscience Une et l’âme qui animent toute vie. Cette clef de sagesse, un peu plus bas, piochée à l’instant, me confirme la puissance de la vibration, de l’intention, lorsqu’elle s’aligne au mouvement spontané porté par la joie. Je comprends de mieux en mieux comment nous sommes constitués et comment nous fonctionnons à mesure que j’intègre ces nouvelles données qui sont à l’opposé de ce qu’on nous enseigne ordinairement. 
Et c’est cela qui rend difficile le chemin parce que ça demande de se dépouiller de toutes ces fausses croyances qui ont été inculquées depuis des millénaires par ceux qui prétendaient détenir la vérité, l’autorité. 

jeudi 24 novembre 2016

« Le mental ne sait pas gérer l’émotion de façon appropriée, seule l’âme en a le pouvoir »





23 11 Il y a bien longtemps que je n’avais pas eu cette sensation de régresser, de tourner en rond. Mais en regardant en arrière et en constatant que c’est à chaque fois la même chose, le même processus, puis en me positionnant dans le cœur, la neutralité, malgré l’apparente confusion, je trouve la paix et une confiance aveugle en l’avenir.

Quand on s’autorise à vivre les émotions sans les bloquer ni les retenir, on se trouve dans une phase déroutante parce qu’on ne peut plus s’accrocher aux croyances passées, on entre dans un monde inconnu, on perd nos repères habituels. On ne peut plus s’identifier au personnage de surface et à ces certitudes, aux croyances qu’ils l’ont formé et qui le nourrissent alors on a la sensation d’être perdu, seul, impuissant.
On ne sait plus comment être ni quoi faire et plus on essaie de contrôler les choses plus elles nous échappent. 

On est tellement habitué à agir de façon automatique que le fait de suivre l’élan du moment, de vivre au jour le jour, en accueillant ce qui émerge dans l’instant, peut effrayer.
Et plus on résiste à ce qui arrive plus on se sent perdu. La panne de voiture et le mécano qui promet de venir la réparer, c’est un scénario déjà vécu et la seule différence avec le passé, c’est ma façon de réagir à cela.

Je vois que l’énergie de la victime s’active, que les pensées de dévalorisation s’enchaînent et que les émotions sont bloquées dès qu’elles se manifestent. Je ne change rien à ma façon d’agir mais je ne me laisse pas berner par les pensées automatiques.

mardi 22 novembre 2016

« Pleurer est bon pour la santé ! »...





Saviez-vous que pleurer est bon pour la santé ?
Durant longtemps, les larmes ont été perçues comme le principal signe de faiblesse d'une personne. Le seul fait de pleurer était considéré comme la démonstration d'une personnalité immature. Les personnes qui pleuraient étaient accusées de ne pas assumer leurs erreurs et de vouloir seulement attirer de la compassion. 

Pleurer est bon !
Lorsque nous sommes tristes, et que nous l'exprimons par des pleurs, le corps libère des substances qui jouent le rôle de calmant naturel, qui nous aident à ce que notre douleur s'apaise petit à petit.
Les pleurs permettent de libérer deux classes d'hormones distinctes, les opiacées et l'ocytocine.
Ces deux substances ont la capacité d'apaiser nos souffrances.
Elles fonctionnent comme deux véritables anesthésiants naturels, qui nous apportent de la tranquillité et, d'une certaine manière, un peu de "détente".
Pour résumer, pleurer est un bon exercice qui nous aide à maintenir le bon fonctionnement de notre organisme.
C'est un comportement essentiel lorsque nous nous sentons angoissé, lorsque nous sommes déprimés ou préoccupés par une situation particulière. 

« Le Pouvoir de l’Accueil » Nassrine Reza





Ce matin (mardi), la pluie remet en question l’idée d’aller faire des courses puisque la voiture est en panne et je n’ai pas de parapluie. Je n’ai jamais pensé à acheter cet engin qui dans la région n’a pas de raison d’être tant les pluies sont rares. J’ai pris l’habitude d’adapter mon emploi du temps à la météo comme je n’ai pas d’obligations sociales, de contraintes horaires.
Je mesure combien j’ai été attachée à la lutte, la résistance, à l’intensité des sensations. 
En relisant ce que j’ai écris hier et que je n’ai pas publié de suite parce que j’ai préféré agir plutôt que de rester dans le mental, j’ai pris conscience que j’ai tellement été habituée à vivre la peur au ventre étant enfant, que j’y ai pris goût. Pas à la peur mais à son intensité. Puis comme c’était douloureux et handicapant, j’ai cherché l’inverse, les plaisirs intenses, la joie provoquée par des substances sans jamais me demander si cette quête n’était pas la cause de mon mal-être.

Malgré tout, il fallait passer par là pour connaitre la palette des émotions et décider enfin de vivre dans la paix. Cette paix qui devient vitale au point que le désir de l’obtenir amène à s’attacher à toutes sortes de croyances qui même si elles ne permettent pas de trouver la quiétude, aident à sortir la tête de l’eau. 
Mais cet équilibre est précaire puisqu’il demande une attention soutenue à ces pensées, un contrôle permanent qui finit par créer encore plus de trouble, d’anxiété. 
Je viens encore de vérifier la puissance libératrice de l’abandon de la lutte.

On est tellement habitué à résister à ce qui se manifeste en soi qu’on vit dans un stress permanent qui génère des crises, des explosions émotionnelles, de la confusion mentale et un sentiment de dévalorisation croissant.
Plus on s’accroche aux raisonnements du mental, plus on tente de contrôler et plus l’énergie peine à circuler.

lundi 21 novembre 2016

« Cesser de lutter, de s’attacher à ce qui se manifeste en soi »





Maintenant que la vague est passée, enfin que je m'accroche moins aux raisonnements du mental, ce qui reste de cette expérience, c’est une redéfinition des émotions, des énergies, et la capacité à marcher avec le mental plutôt que contre lui, de le rassurer en cessant de cogiter. 
Plus on lutte contre ce qui se manifeste en soi, plus on donne de l’énergie à la peur, simplement en l’étiquetant de mauvaise et plus on est mal, dans la confusion. 

Savoir abandonner les étiquettes et croyances semble être un bon moyen de se faciliter la vie et d’intégrer le changement, les nouvelles énergies, en douceur ou sans avoir la sensation d’être perdu, bouleversé à l’intérieur. Être hypersensible peut sembler douloureux mais en lâchant la notion de bien et de mal, en cessant de bloquer l’énergie en soi, ça devient une force. La patience est nécessaire, elle permet de s'apprivoiser, de se familiariser avec les sensations.

J’ai repensé aux moments où j’ai senti ce trouble intérieur et au fait qu’à chaque fois, j’ai eu la forte impression d’intégrer de nouvelles énergies, d’augmenter mon taux vibratoire. C’est fascinant d’observer comment fonctionne l’énergie et quand on le fait avec un certain recul, quand on n’est pas identifié aux pensées ou aux émotions qui émergent naturellement quand ces téléchargements s’effectuent, quand on reconnait et quand on lâche certaines croyances, on sent une paix de plus en plus profonde et stable. 
Quand on admet que la notion de jugement, de bien et de mal est arbitraire, aléatoire et en plus douloureuse, on facilite l’intégration ou l’émergence de l’énergie de vie en soi.
C’est ce qui ressort de mon expérience de ces derniers jours.

samedi 19 novembre 2016

« Maintenir la reliance interne » & vidéo Darpan « Travailler sur ses peurs »






Ces derniers jours ont été très intenses et avec un peu de recul, je peux constater plusieurs choses et tirer un bilan plutôt positif de la situation. C’est encore assez bouleversant mais comme je confie tout à mon âme et comme j’ai pu exprimer mon ressenti à deux âmies, je reste debout et confiante.
Pouvoir remonter à une peur, une croyance qui s’est imprimée dans l’enfance, dans les profondeurs de l’inconscient, créant un programme spécifique dont découlent toutes sortes de comportements, de croyances, de schémas de pensées, de réflexes conditionnés, c’est en soi une nette progression. Cela veut dire que la peur de la peur est en train de se dissoudre, ou de changer de forme, d’apparence, de sens et même si ça peut sembler fou de dire ça, c’est une réalité que nous partageons tous. 

Nous sommes habitués à refouler la peur, à lui donner des réponses intellectuelles, à s’en prémunir ou à croire qu’on peut le faire en achetant toutes sortes d’assurances, de garanties, en achetant une arme pour se défendre, en ayant un compte en banque bien rempli, et dans les relations amoureuses, à tout faire pour ne pas perdre l’autre, à se marier, à le couvrir de cadeau, à être aux petits soins, à répondre aux attentes de l'autre…

Toutes sortes de stratégies qui sont sensées nous tranquilliser, nous faciliter la vie mais qui sont totalement vaines lorsque survient une crise, un deuil, la perte d’un emploi, d’un conjoint…
On a tellement de solutions très sophistiquées pour ne pas sentir la peur, qu’on fini par croire qu’elle n’existe pas, qu’elle n’a pas de raison d’être, que ce sont les faibles qui en sont la proie...