jeudi 10 novembre 2016

« Le chaos est notre ami » Daniel Desjardins






Cette nuit, à 00:57, heure de l'est des Amériques, je me suis éveillé en sursaut avec une intuition, non une connaissance, que les États-Unis d'Amérique avaient élu Donald Trump. Je ne vous cacherai pas que mon mental est tout de suite passé en 6e vitesse avec une quantité de scénarios et de peurs quant à l'avenir de notre monde et une grande incompréhension face au fait qu'en 2016, après déjà 4 ans de nouvelles énergies, comment était-il possible qu'un potentiel despote soit élu à la tête d'un des pays les plus influents de la planète?
C'est lorsque je me suis permis de rester dans la question, et de m'ouvrir véritablement à recevoir la réponse que les Guides de l'Unité m'ont parlé (ou plutôt c'est à ce moment, lorsque j'ai baissé mes barrières que j'ai pu les entendre...). 

Ils m'ont montré que oui, cette élection va amener le chaos à plusieurs niveaux dans leur pays, mais aussi dans le monde, mais que le chaos, contrairement à ce que la majorité de gens pense, le chaos c'est une bonne chose!

Le chaos accélère la destruction de l'ancien, car plus rien ne peut rester en place comme il l'était. Cela force le changement, et c'est pour cela que les gens ont voté! L'humanité en a assez de l'Ancien Monde et des anciennes énergies, et ironiquement, la façon la plus rapide de s'en débarrasser c'est d'aller une dernière fois dans l’extrême (je ne dis pas que cela ne peut pas se produire aussi en France et dans d'autres pays qui ont des élections cette année ou l'année prochaine :) ).

mercredi 9 novembre 2016

« Être pleinement Vivant » & « Être soi-même » vidéo de Darpan






8 11 Toute souffrance vient d’un blocage énergétique, d’un manque de fluidité, de souplesse, d'ouverture. Si l’énergie de vie est confinée dans un des corps, un des chakras, cela créé des frustrations, des maladies et une confusion mentale. Elle est généralement confinée dans le mental qui tente de contrôler la vie, les émotions. C’est plus ou moins intense selon les blessures d’enfance et la capacité d’adaptation à son environnement, selon la personnalité, la foi, le désir d’incarnation ou d’Être de l’âme, le degré de conscience et le vécu. 
Cela fait beaucoup de paramètres et de par notre constitution multidimensionnelle, le nombre de nos corps et le contexte de la dualité, c’est autant de possibilités de souffrir, de s’enfermer, d'être confus, que de potentiel d'ouverture, de réalisation et d’expansion qui s’offrent à nous.
La perception et l’interprétation de l’humain ignorant de sa nature multidimensionnelle est limitée en conséquence. Plus on devient conscient de tout ce que nous sommes en réalité et en le ressentant, en s’observant avec un regard neuf, plus on est émerveillé par cela.

On croit que la sexualité représente l’enjeu essentiel et que l’accomplissement d’un être réside dans l’acte qui consiste à assouvir son désir. La société est construite sur ce postulat réducteur et tout est envisagé comme un objet de consommation, tout est commercialisé et tourne autour de la séduction, de la capacité à convaincre, à dominer l’autre et à avoir raison.

Je regarde des vieux films des années 30 à 50 et je suis ébahie de constater que les mêmes personnages, les mêmes scénarii se rejouent sans cesse. Tout est basé sur la superficialité de l’être et l’amour est cantonné aux relations de couple quels qu’ils soient. 
Le besoin de communion, de fusion est limité dans son accomplissement par la relation de couple, les relations filiales, comme si le cœur de l’humain ne pouvait embrasser qu’un nombre limité d’individus. 

mardi 8 novembre 2016

« Ne pas s’attacher à ce qui est perçu, ne pas qualifier, ne pas nommer, Juste Observer »





7 11 Je viens de faire la dernière méditation de Deepak Chopra et comme je réagis à chaque fois qu’il parle de l’âme comme d’un aspect limité et possiblement endormi de l’être, j’ai demandé à mon âme d’éclairer mon mental pour que je puisse comprendre mieux qui est qui. Je ne sais pas si je vais traduire en mots ce que j’ai perçu sous forme d’images symboliques, mais j’essaie quand même histoire de ramener le mental au calme.

Tout est question de conscience, de niveau de conscience et d’identification. 
Tant qu’on est identifié seulement au corps physique, qu’on se croit limité, on l’est apparemment. Puis quand on ressent son âme ou que nous sommes plus que notre corps, nos pensées, notre personnalité, on se tourne à l'intérieur, en son cœur/esprit, on s’ouvre et par l’observation on va reconnaitre le caractère illusoire de la personnalité. 

En effet comme nous jouons tous des rôles qui peuvent être reconnus et placés dans des cases, ces rôles étant construits sur l’expérience douloureuse et l’incompréhension ou l’identification aux pensées émotions, aux blessures, il est clair que ça n’est pas notre vrai moi. 
Lorsqu’on est conscient d’exister au-delà des rôles, dans une dimension plus vaste de l’être et par la connexion à cet aspect de soi, on est en relation avec toutes les émanations de l’âme. Elle est infinie, se manifeste en toute forme de vie et selon notre degré de conscience, notre capacité d’ouverture, on va s’identifier soi à une âme qu’on s’approprie soit à l’âme cosmique, universelle. 
Il semble qu’il y ait une seule et même âme, ou l’aspect incarné de la source, l’aspect capable de se matérialiser dans la chair, la matière, sous forme d’atomes organisés. 
Nous sommes uniques dans la relation à la source, à l'âme et la conscience Une.
Puis la conscience sans forme qui habite toute vie et que nous partageons tous.

lundi 7 novembre 2016

« Je suis déjà tout ce que je souhaite manifester »





6 11 Ce matin, après une bonne nuit de sommeil réparateur, je me sens bien, sereine et en commençant à écouter la médiation de Deepak Chopra, l’idée que mon âme a choisi d’utiliser la dualité, la souffrance et la faculté de comparaison du mental comme moyen de réalisation, d’émergence du vrai moi, du soi, m’apparait comme une évidence. 
Il n’y a rien à faire, juste à être, je suis déjà tout ce que je souhaite manifester.

Je suis encore parfaitement en résonance avec ce qu’il dit et ces quelques mots en particuliers, ont fait écho en moi : « Irradier la plénitude/réalisation/l’accomplissement est l’étape finale de l’expansion du bonheur. Ceci vient de soi quand vous reconnaissez en vous qu’il n’y a plus rien à chercher, vous retournez chez vous, après votre voyage. Pourtant, le chemin spirituel se déroule comme un voyage étrange parce que vous ne parcourez aucune distance. 
Vous commencez là où vous avez commencé avec vous-même mais le soi que vous connaissiez au début, n’est plus celui que vous connaissez à la fin. 
Votre soi à la fin s’est réalisé, il a appris que la vie ne nécessite aucune lutte, peur ou résistance, vous avez seulement besoin d’être. 
J’aime la simplicité de la citation suivante : « pour devenir illuminé,  arrêtez de courir continuellement et commencez à marcher. Quand vous marchez, ralentissez et arrêtez vous. Dès que vous vous arrêtez, vous réalisez qui vous êtes vraiment ». 

Alors, tout le voyage est un processus de détente et de relâchement. Il n’y a rien à étudier, mémoriser, apprendre ou à défendre, il y a seulement l’expérience. Faire l’expérience du vrai soi ne serait-ce qu’un instant, active la sensation du « ah ah, voilà ce que j’ai toujours recherché » Deepak Chopra

dimanche 6 novembre 2016

« Je suis la Paix, l’Unité, l’Équilibre et l’Harmonie »






Ce matin, la journée commence dans l’énervement malgré une bonne nuit de sommeil. 
J’ai voulu installer skype et comme ça se compliquait, le stress s’est installé. J’ai fait la méditation du jour de Deepak Chopra et bien que je sente encore des tensions à l’intérieur, le mental est apaisé.  
C'est clair que le personnage soumis à la peur se manifeste en ce moment et le seul fait de le reconnaitre en défait l'intensité. Savoir revenir au centre, au calme, à la détente générale, restaure l'unité intérieure et ramène à l'essence de l'être. Il suffit de peu pour en perdre conscience et de la même façon il suffit de quelques respirations profondes pour retrouver cette vibration, cette conscience d’Être.

Je repense à ce que j’ai écris hier au sujet des croyances et au fait que l’humanité ait progressé par le contact avec la source, la lumière, l’amour, en choisissant la paix plutôt que la réaction primaire. Chaque individu qui s’est libéré des masques, des conventions, des croyances et superstitions religieuses, a participé à l’éveil des consciences, de la conscience collective, de façon directe et c'est encore le cas aujourd'hui. 
On parle du siècle des lumières parce qu’il correspond à une période où l’accès aux connaissances n’était plus réservé à une élite, aux nobles et aux bourgeois. Même si ces connaissances étaient et restent limitées à l’aspect humain de l’être, le fait de pouvoir apprendre à lire, écrire et compter, a permis au plus grand nombre de devenir plus autonome. Les érudits tout comme les initiés ont empruntés des chemins isolés, ont voyagé, rencontré différentes cultures, afin d’élargir leur vision et leur compréhension de l’humain. L’accès à Internet aujourd'hui, produit le même effet d'ouverture des consciences et en même temps pose la question du discernement.
Les églises ont causé beaucoup de tort aux humains en instituant des croyances, des superstitions et la crainte d’un dieu éloigné des hommes. Mais d’un autre côté l’ignorance de l’humain au sujet de sa vraie nature et la vision d’un dieu autoritaire ont créé ces chefs, ces hiérarchies, ce système patriarcal.

vendredi 4 novembre 2016

« Patience et longueur de temps font plus que force ni que rage, lol »






Ce qui suit est venu en écriture spontanée et ça n'est que mon point de vue bien qu'il soit exprimé avec assurance. 
Qu’est-ce qu’une croyance ? C’est une association d’idées basée sur une expérience vécue et perçue selon le degré de conscience de l’individu au moment de l’évènement marquant, qu’il soit positif ou négatif. 
Dans l’incompréhension face à un comportement qui enclenche l’instinct de survie ou qui génère une récompense ou encore une punition, la mémoire enregistre les faits au niveau émotionnel, inconscient, bloque l’énergie et le mental en déduit une croyance.

Elle est la réponse précipitée à un stress qui forme tout un réseau neuronal qui s’incruste dans l’inconscient, le cerveau limbique, la mémoire, et qui trouve son origine dans les gènes et le tronc cérébral. L'instinct de survie s'y loge et génère des réactions automatiques de fuite, d'agressivité ou de défense. C’est la réponse automatique donnée par l’humanité depuis des générations et celle adoptée dans l’enfance suite à un trauma. Très souvent cette réponse vient des parents, qui eux-mêmes ont eu ce réflexe identique face à une difficulté qui mettait en cause leur survie. Le genre de réponse spécifique est d'ordre génétique, selon le degré de conscience des ancêtres et leurs réactions instinctives dans l'expérience. Au fil des siècles, l'humain a utilisé son intelligence et sa connexion à l'amour lumière en lui pour répondre de façon moins primaire aux stimuli extérieurs. 

Chaque individu d'une lignée qui a su utiliser son intelligence, sa sagesse innée pour répondre aux aléas de la vie a enrichit les générations suivantes. Élargit le panel de réponses possibles.

jeudi 3 novembre 2016

« Dans la paix et l’unité intérieures, le mental est perçu comme un outil au service de l’être »





« Ne te préoccupe pas de ce que tu dois faire dans la matière, pour le moment, ce qui importe le plus, c’est que tu apprennes à faire totalement confiance en ta guidance intérieure, que tu puisses reconnaitre la voix de la sagesse en toi. 
La sagesse n’est pas une attitude rigide ou encore faussement détachée face aux circonstances de la vie, aux autres, c’est la conscience de ce que tu es, de la paix du cœur et de sa capacité à pacifier tout ce que tu es. Il ne t’importe pas de t’occuper des autres dans la matière mais de ces autres "toi" à l’intérieur ».

Je suis tellement en joie, connectée à mon âme par le fait d’espacer les prises de médocs que la sensation de bien-être intérieure m’inspire encore à écrire mais comme le soleil brille et que la température est douce, je vais d’abord en profiter et reporter à plus tard l’écriture. 
C’est clair que cette habitude de confier sur l’ordi tout ce qui me passe par la tête au quotidien constitue à la fois un stimulant et une aide pour le mental qui structure la pensée, concentre l’énergie, mais en même temps, ça m’éloigne de la réalité tangible ou de l’action dans la matière. 
Le juste milieu est à trouver mais là encore, sans forcer, juste en continuant de me maintenir dans la paix et l’unité intérieures. 
Ce moment d’écriture est une façon de démarrer la journée avec un mental remplit d’enthousiasme du fait d’être dans la passion. La vibration qui me porte est alors celle de la joie et le goût de passer à l’action vient dans l’élan spontané, motivé aussi par le goût du changement. 
L’effet duel ou contraste sert le bien-être lorsqu’on est porté par l’inspiration, lorsqu’on suit l’élan à changer d’activité sans s’y obliger, simplement par évidence, par goût.